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 Le mensonge n'est pas toujours un vilain défauts {Mélian}

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Anonymous

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Le mensonge n'est pas toujours un vilain défauts {Mélian} #Lun 29 Nov - 15:06


    Ann était assez stressée. Dans à peu près une semaine aurait lieu l’un des matchs des Montrose Magpies et elle n’était pas sans savoir que les critiques l’attendaient au tournant. Flit essaya du mieux qu’il pût de détendre sa maitresse en allant virevoltant autour de son oreille pour la chatouiller. Mais au lieu de l’éclat de rire qu’il avait espéré le pauvre Billywig eut seulement droit d’être chasser d’un revers de la main avec un son de protestation. La jeune femme revoyait dans sa tête en boucle leurs tactique de jeu et essayait d’y déceler une faille quand Flit - accompagner cette fois de Fly – décida de s’attaquer à une orange présente dans l’un des sacs en papier que portait Ann et qui contenait ses courses, afin de la faire tomber. Ainsi ses animaux de compagnie – puisqu’aussi étrange que cela puisse paraitre c’est ce qu’ils étaient – espéraient lui changer les idées. Ils arrivèrent à leurs buts et Ann posa ses sacs au sol et s’accroupit pour ramasser le fruit. C’est alors qu’elle le vit… Lui. L’homme du Psy. Il n’avait pas de prénom. Elle n’avait pas osé lui en donné un et ne le connaissait pas assez pour savoir comme il s’appelait réellement. A vrai dire elle ne lui avait même jamais parlé. Enfin si une fois elle lui avait dit « bonjour » et une autre elle avait fait un commentaire sur l’horrible temps et il avait semblait être d’accord avec elle. Mais rien de plus. Elle s’était contentée de le regarder, de même lui sourire parfois. Cela avait duré des semaines sans qu’elle ne trouve vraiment de chose à lui dire et appréciant pourtant secrètement de ne pas être seule à attendre dans cette lugubre salle d’attente de son psychiatre. Car c’était bien le lieu où elle l’avait rencontré pour la première fois. Il n’avait rien d’intéresser dans la façon dont elle avait eut à le regarder. Ann n’était pas du genre à dévoré des yeux le premier homme qui passe et son cœur battrait de toute façon plus ou moins toujours pour son ex mari. Ce n’était pas de ça qu’il s’agissait. Elle avait seulement était intrigué par la présence de cet homme à chacun de ses rendez vous et il est vrai qu’au fur et à mesure de ses séances elle avait éprouvé de la sympathie pour lui. Etrange puisqu’elle ne le connaissait pas mais c’était comme ça. Malheureusement un jour il n’était plus venu et elle n’avait plus jamais revu son visage. Jusqu’à aujourd’hui…

    Il ne l’avait pas remarqué et se trouvé plus loin dans la rue alors qu’elle était presque arrivé chez elle. Elle ne se voyait pas l’appeler – elle ne connaissait de toute façon même pas son prénom – mais elle ne voulait pas laisser cette occasion de le connaitre d’avantage. Elle eut alors une idée…

    Elle se redressa et reprit ses sacs dans les bras avant de… tomber au sol avec fracas en poussant un « Aaaaaa ». Sa chute avant attiré tout les regards des passant sur elle, alors que quelque seconde plus tôt chacun ne se mêler que de ses affaires. Posant sa main sur son genou et restant au sol, Ann espéra secrètement que « L’homme du Psy » viendrait l’aider. Elle l’espérait vraiment…









Anonymous

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Le mensonge n'est pas toujours un vilain défauts {Mélian} #Sam 12 Fév - 15:16


    HRP : désolée du retaaard u_u
    Sortir du Ministère, et aller prendre l'air. Cela lui avait pris comme ça, sans prévenir. Il s'était soudain levé de son siège, avait quitté la réunion sans s'émouvoir des protestations que cela déclenchait, et s'était transformé en félin pour quitter les lieux sans qu'on risque de chercher à l'en empêcher. Bien sûr, personne n'aurait pris cette initiative, il aurait fallu être stupide pour essayer de retenir l'Auror quand il avait décidé quelque chose, mais c'était au cas où. Au cas où qu'ils décident encore de lui ravir sa liberté.
    Dans son petit corps de chat, sous son pelage blanc impeccable, le français, dont les grands yeux bleus se posaient sur le monde avec amusement, se sentait bien. Malgré l'agitation qui l'entourait, il avait l'impression que les choses étaient plus faciles. Ces dernières années ne l'avaient pas été ; la traque constante parfois dans les endroits les plus reculés du monde, les pistes qui finissaient en impasse, ses doigts qui se refermaient désespérément sur un fantôme... Perdre son frère avait été dur. Ne pas retrouver la dernière trace de lui qu'il avait légué au monde l'avait été d'autant plus. Avoir la chance d'être animagus l'avait par nombreuses fois sauvé ; être un chat allégeait sa peine. Le monde pesait un peu moins lourd sur ses épaules. La liberté reprenait ses droits. Mais il savait que cela ne devait pas durer, qu'il ne devait pas exagérer avec ce pouvoir. La sensation de bien être que cela lui apportait n'était, au fond, que provisoire, car il ne pouvait se soustraire à ses responsabilités éternellement. Son côté droit, intègre, et légèrement bourreau de travail. S'il n'avait pu vaincre ses propres démons, il pouvait en revanche contribuer à vaincre ceux qui s'attaquaient au monde. C'était une mission qu'il ne comptait pas abandonner, quoi qu'il advienne. Il voulait rendre l'avenir meilleur ; et il en avait les moyens, puisqu'il était le Chef des Aurors. Même si, souvent, il avait l'impression que cela ne suffisait pas... C'était là que l'Ordre du Phoenix venait compléter les choses ; des actions pour l'instant peu significatives, mais qui pourrait faire la différence sur le long terme. Il en était persuadé, l'Ordre avait un avenir.

    Arrivé quelques parts dans les quartiers résidentiels, Mélian reprit forme humaine, après quoi il s'étira par réflexe plus que par nécessité, et enfonça ses mains dans ses poches. Se dégourdir les pattes lui avaient fait du bien, mais c'était avant tout de s'aérer l'esprit dont il avait eu besoin. De faire le point, loin de ces bureaucrates pompeux qui l'attendaient au tournant avec leurs questions de budget qui, il fallait l'avouer, lui passaient largement au dessus. Reprenant sa marche tranquille, il se mêla à la vie un instant, toujours dans ses songes en se mordant la lèvre, ne faisant pas du tout attention à ce qui l'entourait... Quand soudain, un cri mit tous ses sens en alerte alors que, par réflexe, il sortit sa baguette, sur le qui-vive, avant d'apercevoir la source de l'agression... Enfin, de la chute, plutôt. HrrRrRrmm. Mélian, il allait falloir faire du yoga, un peu, hein ! Rangeant sa baguette d'un mouvement leste, il s'approcha de la jeune femme avec un étrange sentiment de déjà-vu alors que personne autour n'avait dérangé son quotidien pour l'aider... A croire que la société entière vivait avec des œillères. Banc de ploucs. Se baissant à ses côtés, il commença à rassembler les courses qui s'étaient déversées sur le sol avant de relever les yeux vers elle :

      – Est-ce que ça va ? S'enquit-il en continuant de s'affairer, fronçant les sourcils devant ce visage... Familier, sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus ; mais il la connaissait pourtant, il savait que son instinct ne le trompait pas. Elle faisait partie de son quotidien... Avant. – Vous êtes... La jeune femme de la salle d'attente, non ?

    Mais oui, c'était ça, celle qu'il croisait toujours à la séance suivante ! Ils attendaient parfois ensemble, où se croisaient quand il sortait de sa séance d'évaluation ! Il ne lui avait jamais adressé la parole, le lieu ne le mettant pas du tout à l'aise, mais maintenant qu'ils étaient dans un lieu neutre, il ne ressentait pas le même malaise. Il était même plutôt content de la revoir, et se sentait d'humeur joyeuse. C'était amusant, le hasard, parfois !

      – C'est votre genou qui vous fait souffrir ? Je peux porter vos sacs si ça peut vous soulager. Sourit-il sincèrement avant de se frapper le front, stupéfait de sa bêtise : – Je ne me suis pas présenté, je m'appelle Mélian.

    Sur quoi il lui tendit sa main. Il était temps de faire les présentations, depuis le temps qu'ils se cotoyaient c'était la moindre des choses !









Anonymous

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Le mensonge n'est pas toujours un vilain défauts {Mélian} #Ven 25 Fév - 20:28



[ Hrp : pas grave tu sera juste écartelé, éviscéré et démembré * sort * ]



    Ann ne fût pas déçue. Bien que sa façon d’agir était un peu ridicule quand on y réfléchissait – on ne fait pas semblant de se faire mal pour attiré l’attention – le résultat était celui qu’elle voulait. N’importe qui se trouvait dans la rue aurait pût venir lui prêter main forte mais heureusement pour elle seul « l’homme du psy » vint lui prêter main forte. Peut-être parce qu’il s’était souvenu d’elle ou peut-être pas… Quoiqu’il en soit il l’aida à rassembler ses courses alors qu’elle faisait toujours semblait d’avoir mal au genou, gardant un de ses mains dessus.

    « Est-ce que ça va ? Vous êtes... La jeune femme de la salle d'attente, non ?

    « Oui » s’empressa-t-elle de répondre avec un sourire. Beaucoup de gens aurait répondu avec une grimace ou un air gêné car il y avait tout de même une meilleure façon pour quelqu’un d’être perçue qu’étant seulement « la fille de la salle d’attente ». Personne n’aurait souhaité que quiconque se souvienne quelle voyait un psychologue car ce n’était pas glorieux, mais Ann elle semblait plutôt ravi qu’il se rappel de son visage.

    « C'est votre genou qui vous fait souffrir ? Je peux porter vos sacs si ça peut vous soulager. » Elle était ravie de sa gentillesse mais il ne lui laissa pas le temps de répondre qu’il se présenta se trouvant visiblement crétin de ne pas l’avoir fait plus tôt, ce qui fit légèrement rire la jeune femme. « Et moi c’est Ann. Ann Morgan » rajouta-elle avec un léger soupir montrant qu’elle n’était pas forcément fière de son nom de famille. Elle attrapa bien volontiers la main qu’il lui tendait et elle se releva sans peine bien droite sur ses jambes avant qu’elle ne se souvienne qu’elle était censé avoir mal au genou. Elle se pencha alors légèrement et fit mine de grimacer. Bon ce n’était peut-être pas très honnête ce dont elle était en train de faire et son comportement l’empêcherait surement de dormir ce soir quand elle y repenserait, mais elle avait tellement de fois pouvoir aimer lui parler qu’elle n’avait pas trop envie qu’il s’en aille aussi vite. Puis elle ne l’obliger à rien, c’est lui qui lui avait proposé de porter ses courses.

    « Si vous le proposer si gentiment …j’accepte volontiers votre aide »
    dit-elle simplement avec un léger sourire. « C’est très gentil de votre part. Vous êtes du quartier ou vous passiez par hasard ? » Elle était de nature curieuse mais savez qu’elle dépassait des fois les limites. « Enfin si ce n’est pas indiscret… »










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