(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. »

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » Ashton-kutcher-rankin$
Hey Satan, paid my dues
Playing in a rocking band
Hey Momma, look at me
I'm on my way to the promised land
HIGHWAY TO HELL - ACDC.

NOM : Swindler ; nom d'famille que je désirais pas tellement. Mais on choisit pas sa famille, ni même les membres qui en font partit, qui dirigent d'une poigne de fer, comme des pantins, des membres atroces. Des putains d'horribles pantins.. Et puis, sérieusement, ça fait pas penser à Schindler ? /SBAAF/

PRENOM(S) : Sarajevo Hedmond ; achevez-moi, ça ira plus vite. Sarajevo, c'était une idée de mon père. Et comme je chérissais mon père, autant que je chérisse le foutu prénom qu'il m'avait choisit. Et puis, Hedmond. C'est une honte, ce prénom ! J'pensais même pas que quelqu'un pouvait s'appeller comme ça. Les parents doivent vraiment vous détester, au point d'vous refiler l'prénom d'leurs parents. Ouais, Edmond, mon grand-père..

AGE : 28 balais. Ouais, 28 balais que je fou la merde sur cette foutue terre. Et une vingtaine d'année que j'aime ce que je fais.

ORIGINE(S) : Je suis né à Oxford. Je vis à Oxford. J'aime Oxford *O* /SBAF/

PROFESSION : Mentor d'ma p'tite soeur. Ca passe, comme job ? Conseiller avisé et expérimenté, en fait. Ouais, j'suis un peu le « Mac » d'ma p'tite Alice. Umpf.

ETAT CIVIL : Alone. Seul. Tout seul, et c'est mieux comme ça. Oh, bien sûr, j'vais à gauche à droite, ça change tous les soirs. Mais vaux mieux être seul que mal accompagné, huu ?

Some of them want to use you
Some of them want to get used by you
Some of them want to abuse you
Some of them want to be abused.
MARYLYN MANSON - SWEET DREAMS ( ARE MADE OF THIS )

I am, what I am.

PSEUDONYME, PRENOM : Hannah, sachant que mon pseudo est carrément plus long que mon prénom : Hannah`rchist. Umpf.

AGE : 17 ans. Hanw, & toutes mes dents *O*

AVATAR UTILISE : Ashton Kuther, Umpf. * essuye la bave *

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? : by Alice, Audrey, Styxxounette /SBAAF/. C'que j'en pense ? Bah funky cool, sinon je serais pas là, Mouarf.

LE MOT DE LA FIN ? : J'ai faim ^o)

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » Ashton_kutcher$

Christ, I'm asking you for just one thing,
I'm asking you for just one thing,
Eradicate this disease.
BMTH - PRAY FOR PLAGUES

Tout était parfait, et magnifiquement bien organisé. Chaque détail comptait, il n'avait le droit à aucun faux pas. La scène devait lui ressembler, et jusque là, c'était quasiment de l'autoportrait : macabre, glauque et parfaitement beau. Beau, d'un point de vue macabre et glauque, bien entendu. Il était plutôt fière de lui, et comme pour satisfaire son égo, il fit claquer ses gants en latex comme un expert. Un sourire démoniaque fendit son visage angélique, tandis que ses yeux azurs parcouraient la pièce. Ce qui manquait ? Absolument rien. L'odeur du sang était là, le sang lui même était plus que présent. Sur les murs, les commodes, le tapis, le fauteuil. Des traces de mains, de pas, qui montrent que la victime a souffert avant de succomber. Le canapé offrait à quiquonque le désirait, des cicatrices ouvertes que la victime avait causé grâce à des serres acérées, tandis que le tueur, assoifé, jubilait devant un tel spectacle. Le corps était encore là, gisant à moitié sur le fauteuil, à moitié sur le sol. Défiguré. Méconnaisable. Tout d'abord, le tueur avait araché les cordes vocales de sa victime, histoire de ne pas effrayer les voisins. Ensuite, se sont des tas d'actes plus sadiques les uns que les autres qui s'en suivent. Des mutilations, des arrachages de peau à quelques endroits, des membres fracturés - les doigts, les poignets et toutes les jointures du coprs humain -, des cheveux arrachés et mêlés au sang de la victime. Des scarifications sur le front, des tas de signes gravés dans la chairs, sans plus de signification que le signe ' Alpha ' dans une équation. Les vêtements étaient arrâchés, la victime nue. C'était une femme, une quarantaine d'années. Pas de doutes, il y avait un lien de parenté entre le tueur et la victime. La même couleur de cheveux - de ceux qui restaient sur le crâne de la femme - et, à priori, la même couleur d'yeux. D'ailleurs, les yeux même de la victime gisaient sur une des commodes. Enfin, pas tout à fait. L'oeil droit était posé avec soin sur une coiffeuse des années trentes. L'autre, le gauche, était un peu moins bien posé - de travers, donc - sur une autre commode. Une sorte de table de chevet. Allez savoir pourquoi une telle disposition. Mais dans l'esprit du tueur, plus les vicères de la victime étaient éloignées, et plus elle souffrait, même après sa mort lente et douleureuse. Le tueur marcha dans la pièce sombre. Des yeux, il examina minutieusement chaque endroit de la pièce. Non, bien sûr. Il ne pouvait pas laisser le corps dans cet état, à la vue de tout le monde. Même si au fond, ce fût son souhait le plus chèr. Ce qu'il ressentait à ce moment là, devant le corps de cet femme qu'il avait tant chérie ? Au fond, avait-il réellement des sentiments ? De l'amour propre, oui. Bien sûr qu'il jubilait à la vue du sang dans toute la pièce. Et plus y'en avait, plus ça exitait sa soif de vengeance. Et plus il avait soif de vengeance, plus il devenait agressif, sadique et distant. Il avait souris pendant tous le spectacle. Même quelques fois, il avait rit à gorge déployée, comme lorsqu'il fendit en deux la gorge même de la femme. Le sang avait giclé sur son visage, et il n'avait pas pû s'empêcher de gôuter à l'elixir qui s'offrait à lui. Y prenant gôut, il s'était même glissé à genoux devant la jeune femme, agonisant. Il avait lentement porté sa bouche sur la plaie béhante, sa langue cherchant dans le trou encore et toujours plus de sang. Alors oui, il avait aimé. Et non, il ne regrettait en aucun cas. Il était même très fière delui. C'est après avoir regroupé les vicères et toutes les muqueuses qui traînaient, ainsi que le corps lui même, et ce, le tout dans un sac poubelle, que Sarajevo s'en alla, un sourire satisfait au coin des lèvres. Jettant le sac poubelle dans un coin d'une rue, il prit le soin d'écrire sur une étiquette, qu'il plaça entre les orteils cassés et arrachés de la victime : « Hécate Swindler. Pour le bien de l'humanité » Défigurée comme elle l'était, autant aider un peu les enquêteurs, non ?

❦ ❦

Il avait les mains dans les poches, le regard ailleurs. On l'avait forçé à venir dans ce lieu infâme. On : son père, ou une quelquonque autre force de la nature. Le jeune homme porta un regard pessimiste sur son père, les mains toujours plantées dans les poches de son jean. Qu'elle idée ignoble que de se rendre dans un endroit aussi clos que peux l'être un orphelinat. Aussi gris que le temps qu'il faisait au dehors, aussi triste que Sarajevo, aussi minable que son père. Ils patientèrent pendant quelques minutes, et une femme les fit entrer dans une pièce encore plus sombre que le hall. Des laies de papier peint se décollaient dans les coins hauts, les chaises étaient bancales. Sans parler du café qu'elle avait servit et qui était aussi fade que son regard vitreux derrière ses lunettes. Elle posa son regard sur une porte, derrière le père et le fils qui lui faisaient façe. La dîte porte s'ouvrit en grinçant, et une petite fille en sortit, de longs cheveux bruns lui couvrant le visage. Sarajevo soupira. En plus d'adopter, il a fallut que se soit une fille qui vienne chez eux ! Son père abusait roayelement.. Il allait devoir s'occuper de son cas, à cette demoiselle.. Détournant le regard, il attendait que les formalitées soient remplies, et, à l'aise, déclara qu'il rentrerait à pied, que ça valait mieux pour tout le monde. Comprenez le. Il en avait assez bavé pour réduir à néant la seule femme de la famille. Il allait devoir recommener. Tout depuis le début, comme si rien ne s'était jamais passé.

❦ ❦

S'il allait se venger de sa présence ? Oh, il n'allait pas la louper, ça non. Il ne lui laisserait rien passer, absolument rien. Il serait sur elle à chaques faits et gestes qu'elle pourrait entreprendre. Si bien qu'un jour, il passa devant la chambre qui était celle de son père, mais aussi celle d'Alice. Elle était là, assise sur le lit, les yeux dans le vide, les cheveux serrés en un chignon lâche. Elle était belle à damner. Sa taille était fine, ses reins apétissants. Il avait soif d'elle, de son corps, de tout ce qu'elle représentait. Il voulait la tuer autant qu'il voulait faire d'elle son esclave sexuel. Le jeune homme poussa donc la porte, et se plaça de l'autre côté du lit, Alice lui faisant dos. Si elle l'avait entendu ? Bien sûr, peut-être même qu'ele avait entendu monter les marches, aussi. Mine de rien, ils étaient en conexion perpetuelle, physique et sexuelle. Ils se cherchaient constament. La mine réjouit, un sourire sadique fendant son visage d'ange, Sarajevo contourna le lit. Il se plaça près de la fenêtre, à vrai dire, à l'endroit où pointaient les yeux de notre belle Alice. Les bras croisés, il leva un peu le menton avec dédain. Le soleil dans le dos, on ne pouvait voir qu'une ombre se dessiner. Sensuellement, il humidifia ses douces lèvres, son regard ne lâchant nullement celle qu'il appellait ' petite soeur '. D'un ton glacial, il lâcha impunément :

« Tu d'mandais l'autre jour pourquoi t'étais pas allé à Poudlard, comme tout bon sorcier qui se respecte. J'vais t'dire pourquoi, moi ... T'es qu'une bonne à rien, Alice. Une garce, une belle salope. Tu me dégoutes, j'te déteste, comme je déteste tout ce qui émane de toi. Ta sensualité, autant que ton sadisme. Oui, je t'en veux d'être venue dans cette famille, même si tu n'y pas vraiment pour grand chose. Mais merde, regarde toi ! T'es dans l'âge ingrat, t'as l'air d'une pute ! T'aurais jamais dût la remplaçer. J'vais devoir te supprimer..»

A ces mots, le beau brun s'avança d'Alice. Un regard sa dique trônait sur son visage angélique. Au fond, avait-il réellement envie de la tuer ? Oui, bien sûr. Elle représentait tout ce qu'il pouvait haïr depuis des années. Elle était revenue. Il avait tué sa mère pour pouvoir disposer de son padre tranquillement, mais non. Il a fallut qu'Alice vienne dans cette maison maudite, souillée de sang. En plus, il a fallut qu'elle vienne dans le corps de sa défunte mère. En même temps, connaissez-vous le complexe d'Oedipe ? Si Sarajevo a tué sa mère il y a de cela quelques années, c'est peut-être parce qu'au fond, il l'aimait tellement qu'il ne pouvait pas accepter qu'elle puisse aimer d'autres personnes que lui. Alors, si Alice était là devant lui aujourd'hui, c'était surement un signe. Comme si au fond, sa mère se rendait, se vouait à lui. Elle lui donnait enfin son corps, sa chaire. C'est pourquoi, tout en marchant vers sa proie, Sarajevo souria bêtement. Alice était belle à se damner. Et puis, elle n'avait pas tellement l'air de reculer. C'est pourquoi, il se mit à genoux devant elle, enserrant ses genoux contre son torse. Il huma l'odeur charnelle que pouvait dégager le corps de la gamine. De sa langue, il lécha les cuisses de la belle brune, tandis qu'elle déguéna sa p'tite lame de 6 centimètres, double tranchant. La pressant contre la jugulaire du jeune homme, elle avait à présent un regard menaçant. Et pourtant, Sarajevo prit cela pour de la tendresse. Se relevant, incitant ainsi Alice à retirer la double-lame, il prit quelques minutes à admirer sa p'tite soeur. Alors, d'un coup vif, elle lui assena un coup à la gorge avec sa p'tite lame. Le sang gicla, Sarajevo porta une main à son coup, un sourire en coin. C'était presque jouissif. Il s'approcha d'elle, lentement, et à peine y eut-il contact, la gamine attrapa son frère pour faire en sorte d'être dans une position dominatrice, soit : elle au dessus de lui, la lame parcourant le corps du jeune homme tandis qu'il gémissait et qu'elle prenait son pied à le voir souffrir pour elle. Sarajevo fit danser ses mains sur les reins d'Alice, tandis que sa lame dessinait des voluptes de sang sur le torse du brun. Fermant les yeux, il se mordit la lèvre. Avec puissance, il la dégaga de lui, se projettant lui même de l'autre côté du lit. Oui, le lit leur servait de muraille. Oui, ils devaient peut-être s'arrêter là. Mais ce n'était pas du gôut d'Alice, qui grimpa sur le lit, lentement, à quatres pattes, comme une vraie chienne. Sarajevo succomba à ce visage démoniaque. Il se roula sur le lit, giffla celle qu'il appellait sa petite-soeur, avant de poser ses lèvres séches sur celles, sucrées, d'Alice.

Assis au bout de la table, seul, il attendait. Ses mains, jointes, semblaient trembler. Comme un manque. Quelque chose de puissant. Il savait quelle était la cause de ce manque énorme. Elle était en retard. Comme d'habitude. Pourtant, quand il lui faisait la remarque, elle promettait de faire attention la prochaine fois. Malgrès le fait qu'il ne l'aimait pas du tout, il l'aimait au delà de tout. C'était cruel, mais parfois, il agissait simplement pour lui, comme une vengence. Comme s'il elle n'aurait jamais dût entrer dans cette demeures, des années avant. En fait, elle n'aurait jamais réellement dût. Il entendit du bruit dehors. La porte s'ouvrit, bruit d'étoffe. La porte se referma. Puis, plus aucun bruit. Sarajevo avait baissé la tête, l'air désolé. Comme s'il allait devoir lui infliger une punition pour son retard pourtant habituel. « J't'avais dit Dix-Huit heures.. Il est trente. » Murmura-t-il entre ses dents. « Tu vas payer pour ton retard, p'tite conne.. » Il n'avait pas bougé. Cependant, ses mains avaient finit leur opéra. Elles ne tremblaient plus. Et comme pour affirmer sa punition, Sarajevo vit une lame à double trenchant se planter à quelques millimètres de ses mains. Sans même bouger, il continua : « Les thunes.. » Et lui balança quelques dollars au visage. Sarajevo releva enfin le visage. Alice était montée sur la table, à quatre pattes, le visage à quelques centimètres de celui de Sarajevo. Elle retira sa lame lentement, et taillada la joue droite de son frère. Lui, il détourna les yeux. Il ne voulait pas une nouvelle fois craquer et faire en sorte que leurs deux corps vivent la parfaite osmose. Mais alors qu'elle faisait en sorte que la blessure soit plus profonde, il lui prit le poignet, l'arrêtant dans son élan. Il serra fort. Trop fort, si bien que ses jointures blanchirent. « Seulement Vingts Dollars... T'es bonne à rien, Alice.. » Relachant son poignet férocement, Alice perdit l'équilibre, et finit par s'assoir face à lui, jambes pliées. Il s'alluma un join, tira une longue bouffée. Les yeux fermés, il laissa ses poumons en profiter le plus possible, avant de recracher la fumée dans le visage meurtri d'Alice. Là, elle lui retira le mégot et tira elle aussi dessus longuement, avant de lui faire une souflette. Profitant de cet instant complice, laissant le peu de nicotine apaiser ses douleurs, il souria niaisement, écrasant la fin de son joint dans le cou de sa soeur. Elle émit un petit cri féroce, tel une lionne blaissée. Mais ça n'eut pour but que d'accentuer le désir de Sarajevo envers la brune, face à lui. Il posa ses mains rêches sur les jambes d'Alice, les faisant remonter lentement. Ils avaient passé un pacte : elle bossait pour lui, et lui cachait le meurtre de son père. C'était le prix à payer, pour cette conne. Elle posa avidement ses petites mains blessées dans les cheveux en bataille de son frère. De son âme soeur. Ils ne pouvaient le nier ; ils étaient réellement faits l'un pour l'autre. Tant de haine que d'amour, autant de chaque côté. Alors qu'il parcourait son corps avidement, le soufle court, il nicha son visage entre les deux seins de la belle brune. Elle jura. Il arracha son corsage, s'excitant un peu plus.. Il adorait ça. C'est alors que quelque chose lui sauta aux yeux : ils faisaient l'amour sur la scène du crime, où son père même avait perdu la quasi totalité de son sang. Sarajevo, fou de rage et d'envie, émit un rugissement sonore, tout en allongeant violement Alice sur la table, la caressant un peu partout. Alors, elle se mit à rire. Certainement la première fois que Sarajevo l'entendait. Mais elle devait avoir calculé la même chose que lui : le faire dans une pièce où un meurtre avait été commis, surtout par un des deux, c'était jouissif.

SHUT. UP.

haan, Hannah de moiii

Bienvenue \o/ Hâte de voir ce que va donner Sarajevo et notre tandem de tarés .___.
*sort et retourne à sa fiche*

Haaaan trop bien un perso garçon t'as toute mon admiration tellement c'est rare $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 45669$
Bon trêve de plaisanterie j'ai hâte de voir votre BG à deux $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 232727$

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 772465$

Ben plus de filles que de garçons comme souvent XXD

Ha ouais, je vois je vois. Bah écoute, disons que pour mon perso, c'est un bon plan, mouhaha xD *fufufu*

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 511311$ Dis pas ça tu vas rameuter tt le forum dans ta fiche là $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 844508$

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 421499$

Non $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 511311$ mais comme je suis une âme charitable je te préviens XXXD
Ma pauvre Phyllis-Ere-Glaciaire tu vas me la traumatiser là $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 640783$

$(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 471336$

Welcome *O*

( Bah faut bien que je passe moi aussi, j'ai pas passé =O et ça c'pas normal )

M'en fiche, Will. Parce que le préféré de Will, c'est Sarajevo xD *sort*

Sa aurait put mais plus maintenant xDD * sort *

Comment ça, plus maintenant ? O.o

Pensez à finir vos fiches, ou à indiquer qu'elles sont terminées si vous voulez être validés. Ne nous laissez pas penser que votre fiche est inactive elle risque d'être déplacer à tord (ou à raison). Bon courage pour la fin.

Désolée, Phyllis. Je la termine d'ici quelques minutes.

muahaha je deviens l'admin tyran $(v) Sarajevo_ « De la folie à la démence, il n\'y à qu\'un pas. Moi. » 560410$
Non mais y a pas de soucis c'était juste pour savoir si c'était toujours d'actualité XD

JAI FINI

ça marche pour moi.
Validé. Je t'ajoute à ton groupe itou.

» ÆMESYA ♠ « Il n'est point de génie sans grain de folie »
» de ton poison fait le remède à la folie. (pv)
» Aussi loin que nous porte la folie...
» Une idée fixe aboutit à la folie ou à l'héroïsme. (pv)
» Anna Abbot Bush ~ La folie de l'optimisme ~

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