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 Il est grand temps de rallumer les étoiles.

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Anonymous

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Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 21:41





MATTHIEU AZAZEL DE MOLAY, 52 ANS.


Il est grand temps de rallumer les étoiles. 1106156306
Come in my bed Darling! with Mickey Rourke, the super papy.

DE MOLAY ❃ MATTHIEU AZAZEL ❃ HOMME ❃ 52 ANS ❃ 18 JANVIER 1958, TOBOLSK, RUSSIE ❃ FRANCO-RUSSE, NATIONALISE FRANCAIS ❃ PROFESSEUR REPENTI, SUCCESSEUR DE PETITS BOULOTS ❃ HETEROSEXUEL ❃ VEUF ❃ PUR ❃ SORCIER DÉPRESSIF ❃ PARTICULIER.

Azazel n'est pas un bon garçon. Il fume. C'est un homme à femme. Mais Azazel n'est pas un mauvais garçon, il ne s'énerve pas à tort, il ne fait pas de mal sans raison. Et puis Azazel n'aime pas qu'on l'appelle Azazel, son deuxième prénom. En fait, Azazel, c'est peu flatteur, prénom du démon qui habite le désert, celui qui a tenté Jésus pendant quarante jours, Azazel, le porte drapeau des légions de l'enfer. Mais Azazel ne mérite pas sa première appellation, ce prénom que sa mère lui a donné avec tant d'amour à sa naissance, un froid jour de janvier en Russie. Matthieu, le don de Dieu, celui qui n'a pas hésité à suivre Jésus et qui a su mourir en martyr. Non, c'est sa mère elle-même qui lui a retiré, sous la honte de voir un fils ainsi déshonorer ce prénom si sacré à ses yeux. Azazel n'est pas un don de Dieu, ou, en tout cas, ce n'en est plus un. Azazel se pense damné, que son âme a été aspirée le jour où il a aperçu la porte des enfers et, tout au long de sa vie il a tenté de la racheter. Mais, quand on est le fils d'un père qui descend d'une vieille famille de nécromant et d'une mère fille de démoniste, on a peu de chance de se racheter une âme. On avait même peu de chance d'en avoir une à la naissance. Et puis Azazel il a un chien.
REQUIN BALEINE ❃ UNE BALANÇOIRE ❃ NECROMANTIQUE ❃ OBBLITERO ❃ L'ÉQUIPE SENIOR DU GROENLAND ❃ TATOUE, MAIS NE SAIT PLUS VRAIMENT POURQUOI ❃ FUMEUR INVÉTÉRÉ ❃ INTEGRE ❃ INCONNNU ❃ POUDLARD ❃ POUDLARD - SERDAIGLE

Une vieille balançoire, cela ne ferait peur à personne. Même si le bois qui compose son siège est pourri, à demi mangé par les vers et si les chaînes qui la retiennent sont rouillées et menaces de lâcher à chaque seconde. Une vieille balançoire, cela ne fait peur à personne, sauf à lui. C'est une vieille histoire dont il ne se souvient pas forcement, il préfère se mentir à lui-même plutôt que de s'en rappeler. C'est sur une vieille balançoire au bois pourri et aux chaînes rouillés que sa mère l'a à tout jamais renié. C'est aussi sur cette balançoire que, folle de rage, elle a appelé son Dieu si cher à son cœur, qu'elle a récité plusieurs versets et qu'elle a lancé, comme possédée, de l'eau bénite à la figure de son fils. Ce n'est rien diriez-vous, mais cependant l'eau bénite diffère légèrement de l'eau, elle vous pique affreusement les yeux, elle vous donne l'impression qu'elle va vous rendre aveugle, comme pour vous punir d'avoir vu ce qu'il ne faut jamais voir. Puis, après vous avoir rincé plusieurs fois les yeux, vous vous rendez-compte qu'elle vous a laissé une séquelle irréparable, vous pouvez maintenant voir, en vous concentrant sur certaines personnes, l'essence qui les compose, s'ils sont habités de vie ou si la mort commence à les ronger de l'intérieur. C'est après avoir vu les portes de l'enfer à cause de son grand-père, un homme vieux, décharné et froid qui était venu le chercher une nuit, pour lui commencer son apprentissage de démoniste (apprentissage qu'il n'a jamais réellement commencé, puisqu'il n'a pas franchi les portes et qu'il ne continuera donc jamais), que sa mère à eu une telle crise de folie. C'est après cet épisode marquant que le père d'Azazel vint le chercher. Ce n'était pas un bon père qu'il avait là, plutôt distant, maladroit avec les enfants, mauvais cuisinier et blessé par cette femme qui lui avait offert un fils mais qui l'avait quitté pour un Dieu. Mais Azazel aimait son père, c'était son héros, celui qui l'avait sauvé de cette vie misérable de Russie où il avait grandi dans un orphelinat religieux, ce grand monsieur charismatique qui l'avait emmené en France, dans une vraie maison, avec un jardin et des voisins amicaux. C'est par admiration par son père qu'Azazel a voulu devenir nécromant, comme lui. Et puis son père était atrocement intelligent, alors, dès son plus jeune âge, il fit étudier son fils et lui appris tout ce qu'il savait du monde sorcier et surtout nécromantique. C'est comme cela que l'enfant continua à grandir, entouré de livres, de savoir et de mort et qu'il a su se forger un esprit critique, objective et observateur, à l'affut du moindre détail. Il était intelligent mais cependant manquait cruellement de sentiments et avait souvent du mal à faire la distinction entre le bien et le mal, mais cela ne jugea nullement l'adolescent qui sortit de Poudlard où il étudia à Serdaigle avec brio. Il fut même invité à aller étudier à l'université Rosenkrantz mais ne s'y présenta jamais. Élève brillant donc, qui maîtrise la magie normale et qui est un nécromant complet et qui pourrait être dangereux, mais Azazel n'a jamais manifesté le moindre désir de monter une armée de mort pour prendre le pouvoir et asservir l'humanité, cependant qui sait ce qui se passera le jour il le voudra?

→ « TES BUSES?;

Histoire de la Magie. A
Sortilège. O
Métamorphose. E
Botanique. O
DCFM. O
Potions. E
Divination. A
Astronomie. P
Vol. A

Tes anciennes options?
- Étude des moldus.
- SACM.
→ « TES A.S.P.I.C.S?;

Histoire de la Magie. E
Sortilège. O
Métamorphose. A
Botanique. O
DCFM. E
Potions. O
SACM. O
Duel. A
Etude des Moldus. O

COME ON PLUS BAS DARLING ;P !
M ; B mais Lala ça va très bien ❃ 15 YO ❃ DE MA MERE ❃ PARCE QUE LE PEUPLE L'A VOULU ! *sbaf* ❃ TÊTE BRULÉE GOUT COCA ❃ CHOCOLAT CHAUD ❃ SOUTH PARK & POKEMONS ❃ LA 2EME PROF D'ESPAGNOL DE MON BAHUT ❃ HUM... ENVIRON 3/4 ANS avec des petits passages à vide ❃ FORTE ❃ CHAUSSETTES!

Comme chez moi ? Bah mettez l'ordi devant la télé alors, j'arrive \o/ !
Le monsieur il est professeur (: d'ailleurs si j'ai pas mis assez de détails sur la discipline je peux en mettre plus ce n'est pas un problème, j'espère juste que ça convient ^.^ après moi avoir une place dans l'intrigue ça me branche et puis j'adooooooore être harcelé sur msn \o/ ! De toute façon j'suis entrainé avec Mawiie xD ! *sort loin*
J'ai pas envie de crier CAROTTE. CHOU FLEUR à la limite. Ou BANANE, c'est bien BANANE !
ps:Je t'aime toi qui lis ma fiche (:















Anonymous

Invité
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Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 21:44


    « Ma vie ? Je ne suis pas sur d'avoir vraiment vécu une vie normale. Enfin déjà, rien qu'à ma naissance, ça puait à des kilomètres, j'allais m'en prendre plein la tête, c'était plus que sûr. Mon père, un français pur-souche, d'une famille de sang pure mais surtout de nécromants, d'ailleurs, si vous êtes férues d'histoire, mon nom vous dira sûrement quelques choses. Ma mère, elle, descend plutôt d'une famille qui s'apparente à des démonistes. Enfin son père en tout cas l'était. Vous voyez le truc quoi, ça sentait pas la joie. Pourtant, mon père et ma mère, à ce qu'ils m'ont dit, était heureux ensemble, cependant, le jour où elle est tombée enceinte de moi, ma mère est partie se faire bonne sœur dans un orphelinat russe et, à son accouchement, m'y a placé et s'est occupé de moi comme tous les autres enfants, le seul véritable plus que j'avais par rapport aux autres, c'était une berceuse ou une histoire, le soir, avant de m'endormir. Je devais avoir six ou sept ans et, un après-midi, alors que je sortais de la messe – oui, à l'époque, l'existence d'un Dieu tout puissant était pour moi une évidence, les sœurs nous avaient proposés un cache-cache. Et c'est quand j'étais bien caché, qu'il est apparu, là. C'était un vieil homme, grand, mince, au regard vide qui était, il me fixait et me demanda mon nom. Il me sourit avant de m'assurer que c'était mon grand-père. Et c'est vrai qu'il avait les mêmes yeux que ma mère alors, sans réfléchir, j'ai attrapé sa main qui était glaciale et j'ai commencé à marcher avec lui. Il me raconta que, quand ma mère était partie, cela lui avait fait beaucoup de peine et qu'il avait toujours voulu lui montrer qu'elle n'avait jamais voulu voir. Sur le coup, l'enfant que j'étais ne comprenait pas, à six ans, on ne s'imagine pas ce genre de choses, je pensais qu'il voulait juste faire connaissance, mais il voulait bien plus. Je ne sais pas comment il s'y est pris, et je ne veux pas savoir, mais, c'est là que la terre s'est mis à trembler. Je ne me souviens pas très bien, mais je sais que deux grandes portes se sont dressées devant moi et, elles se sont ouvertes. Je ne préfère pas vous dire ce qu'il y avait derrière. Je ne saurais vous le décrire, mais je sentais qu'il y avait un courant d'air qui semblait vouloir me happer, prenant tous mes sentiments d'enfants effrayé que j'étais. C'est à ce moment là que j'entendis plusieurs hurlements, donc celui de ma mère courant vers moi. Je me suis évanouie avant qu'elle n'arrive jusqu'à moi, surement à cause de l'émotion. A l'époque, je n'avais aucune idée de ce que je venais de voir, je ne savais pas que j'avais entrevu l'enfer. Je ne savais encore moins pourquoi je m'étais réveillé sur la vieille balançoire rouillé de l'orphelinat qu'on nous déconseillait d'utiliser, mais, en tout cas, ma mère était devant moi. Elle avait crié, mais je ne savais pas pourquoi, elle ne me regardait plus comme avant, elle disait des paroles qui n'étaient pas sienne, elle parlait au nom du Christ. C'est quand je lui ai demandé ce qui n'allait pas qu'elle a éclaté en sanglot, me balançant de l'eau bénite au visage, me traitant de tous les noms et m'ordonnant de ne plus jamais me faire appeler Matthieu car son Matthieu à elle venait de mourir, maintenant je n'étais plus qu'une abomination, je ne méritais plus la vie.

    Deux jours après, mon père était venu me chercher et j'étais en France. Je savais déjà un peut parler français, mais, mon père, aussi peu paternel soit-il, m'avait donné la meilleure éducation, à peine était-je arrivé qu'il m'apprenait l'anglais et le français, m'apprenait à mieux écrire et me disait tout ce qu'il savait sur le monde magique. Je savais que j'étais spécial, mais ma mère ne m'avait jamais révélé l'existence d'un monde sorcier. Avec mon père, je mettais les deux pieds dedans et j'en étais ravi. Il m'apprit même l'art très secret et mal vu de la nécromancie. Je faisais tout comme lui, ou en tout cas j'essayais. C'était mon héros, mon sauveur et même si, au début de mon enfance, on me disait que le seul salut d'une vie était de prier Dieu, avec mon père, je le bafouais plus qu'autre chose en pratiquant la magie et en réveillant les morts. C'est vers mes dix ans que j'ai dû commencer à me poser des questions sur tout ça, vous savez, Dieu, le Diable et toutes ces choses. Et même si je commençais à pratiquer la nécromancie, j'essayais tout de même de bien me conduire au maximum, essayant de me racheter une conduite pour avoir vu l'enfer. Mais c'était trop tard, Dieu m'avait abandonné. Mais son eau bénite me permettait de voir ce que les autres ne voyaient pas et cela allait se révéler plus qu'utile durant mon apprentissage de la nécromancie.

    Vers mes onze ans, comme la plupart des sorciers de mon âge, je suis allé étudier à Poudlard, l'école de sorcellerie française étant réservé aux filles. J'y étais un élève brillant, mon père m'ayant déjà expliqué la plupart des choses, le savoir qui me manquait, je le puisais dans les livres, aussi compliqué soit-il, de la bibliothèque. J'étais un gouffre de savoir, plutôt mignon mais j'avais très peu d'amis. Peu de personnes voulaient s'approcher de moi, je ne sais pas bien pourquoi mais j'avais une côte raisonnable du côté des filles et j'ai eu plusieurs petites amies. Souvent en même temps. Je suis sortit avec les mentions de Poudlard et l'université des Roses, comme on la surnomme, accepta mon dossier. Je n'y suis jamais allé et, même si c'est très clair dans mon esprit, personne ne sait pourquoi, on m'a souvent reproché une décision immature et stupide mais je ne pouvais aller étudier tranquillement dans la meilleure université soit-elle en sachant que ma mère était de retour à la maison. Où plutôt que ma mère morte avait été enterré dans ma Russie natale et que mon père avait juste été la chercher pour en faire sa poupée. Sa vue m'avait glacé, il ne m'avait fallu qu'un coup d'œil pour me rendre compte de la supercherie, il n'y avait plus aucune goutte de vie en elle, et, qu'elle puisse utiliser la parole ou avoir une conscience, cela m'apportait peu. Je me suis enfui de la maison avant qu'elle puisse me pardonner ou me châtier à nouveau. De toute façon, ce ne serait pas elle qui aurait parlé. Ce n'était plus elle mais mon père était encore aveuglé par sa peine d'amour. C'était beau quand on y repense, mais cela me dégoûta de la nécromancie.

    Je suis en partie en Afrique, là où il y avait toute la misère du monde. Après avoir vu ma mère, je voulais me racheter. Je ne voulais pas finir comme ou comme mon père que je détestais à présent. Je suis retourné à l'église, me suis confessé tant que j'ai pu et ait juré devant l'autel de Dieu de ne plus user de nécromancie et de faire le bien autour de moi, de me ranger, d'arrêter le pêcher de luxure et même de chair s'il le fallait. J'ai supplié qu'il me réponde sans rien avoir en retour. C'est une rencontre qui m'a fait rompre ma promesse, une rencontre avec un enfant, atteint d'une maladie grave. Il était petit et ses cheveux blancs se contrastaient avec sa peau noire, l'essence de mort l'habitant à demie. J'ai donc fait une chose risquée, mais je préférais essayer plutôt que de le voir agoniser, j'ai retiré l'essence de mort et l'ai remplacé par une essence de vie, faisant le transfert avec une poule que l'on voulait tuer pour le dîner. L'enfant survécu. C'est à partir de là que je devins une sorte de guérisseur, appliquant ma magie à tous les mourants d'Afrique, qu'il soit dans la rue ou dans un hôpital. Enfin des gens étaient reconnaissants envers moi, il me considérait comme quelqu'un d'important, mais je n'avais toujours pas de réponse de Dieu. Au cours de ma vie, je me convertis dans plusieurs religions, aucune ne m'amenait ni le pardon, ni la satisfaction. Et j'étais toujours aussi seul, malgré la gratitude dans le regard des gens, personne ne voulait s'attarder auprès de moi. Si je pouvais guérir, je pouvais aussi maudire, tous en était conscient, ma seule compagnie se résumait à quelques filles que je côtoyait pour une nuit, rarement plus. Cependant, ne pensez pas une seule fois que dans ma vie je sois allé voir des prostitués, en plus d'une question d'éthique, c'est beaucoup trop cher.

    Après quelques années à être confronté à la misère du monde sans pouvoir finalement y faire grand-chose, j'ai quitté l'Afrique pour me rendre dans plusieurs pays, par manque d'argent, je suis vite devenu une sorte de chasseur de primes détective. J'interrogeais les morts, c'était beaucoup plus rapide et économique que de corrompre des flics pour avoir des informations. Je retrouvais des moldus aussi bien que des sorciers fugueur parti faire le tour du monde. J'ai vu des endroits aussi magnifiques que détestables mais, c'est vers mes 35 ans que j'ai arrêté le tout. J'étais lassé et je commençais à me faire à nom car, si je n'acceptais pas tous les contrats, je réussissais tous ceux que je signais, c'était une question de principe. A mes 35 ans donc, je me posais à Londres, la ville que j'avais la moins fréquentée. Après quelques nuits de débauche, je suis tombé amoureux de la femme la plus imparfaite du monde, mais pourtant, à mes yeux, elle était parfaite. Elle avait la trentaine et tenait une boite de nuit burlesque dans le bas Londres. Cela ne m'avait pas interpellé, jusqu'à ce que je retrouve la même enseigne dans le Londres magique. C'est là que je me suis intéressé à elle et qu'elle m'a raconté toute son histoire, elle aussi, était passé du statut d'enfant chéri à enfant détesté, petite première d'une famille de sang pur, ses pouvoirs ne se sont jamais révélés, c'était une cracmol. Je n'étais bien qu'auprès d'elle, j'avais cessé mes aller-retour à l'Église, m'étant reconvertie au Christ entre temps et je me sentais enfin vivre. J'avais l'impression d'avoir obtenu mon pardon, comme si l'imbécile qui habitait là haut avait compris que j'avais assez souffert pour un acte que je n'avais commis. Un an après notre rencontre, elle me donna une magnifique petite fille. Deux ans après notre rencontre, elle me disait oui dans une robe blanche avec une traine infinie. Le jour de mes cinquante ans, elle rendait son dernier souffle, ma magnifique petite fille elle, est parti étudier aux États-Unis dans une sorte d'école expérimentale truc où l'on apprend aussi bien la magie que les matières moldus. » Azazel s'arrêta de parler un court instant avant de reprendre.

    « En fait, je crois qu'à ce moment, le ciel m'est tombé sur la tête et la terre s'est effondré sous mes pieds. J'ai tout remis en question, tout. Je me suis dit que finalement, je n'avais pas réussi à me racheter une conduite, je n'avais pas été pardonné, je resterais une sorte de damnée toute ma vie... Et puis je me demandais si j'avais vraiment besoin d'un pardon. Si quelqu'un pouvait me pardonner. Si finalement je n'avais pas passé ma vie à attendre une chose vaine, si finalement je n'avais pas grandi dans le mensonge. Pendant un temps, je me suis dit que tout cela n'existait finalement pas, tous ces dieux, puis, finalement, une idée à germé dans ma tête. Et si, finalement, tous ces sois disant dieux n'était finalement que des sorciers ? Les premiers, bien sûr, n'avaient pas d'école pour tout leur apprendre et ils n'ont dû développer qu'une sorte primitive de la magie, chacune propre à soi-même, c'est sûrement pour cette raison qu'il y avait plusieurs dieux, chacun sa « spécialité ». C'est à partir de cette hypothèse que je commençais à me renseigner sur le sujet, je ne remets pas en cause leur existence ou leurs bienfaits, loin de là, je remets en cause leur statut. A une époque où il n'y avait finalement qu'une grande anarchie, ce sont souvent les Dieux qui sont venus remettre de l'ordre ou qui ont instaurés une sorte de code de conduite pour les hommes, ils ont donc une place sociale sans égale, mais, finalement, n'ont-ils pas instauré le tout parce que leur patrie en avait besoin ? Ils auraient pu rester dans leur coin à essayer de perfectionner leur magie mais ils sont venus se mettre dans la lumière. Peut-être voulait-il une reconnaissance par rapport à leurs pouvoirs, peut-être voulait-il se faire reconnaître d'un peuple qui n'aurait pas voulu d'eux, il est très probable que leurs parents les aient abandonnés à cause des pouvoirs qu'ils manifestaient... J'ai déjà parlé avec plusieurs historiens malheureusement mort mais ils n'en savaient au final pas plus que moi... Et ceux qui ont vécu à l'époque ne sont plus que des poussières qu'on ne peut retrouver. Il faut croire que, pour l'instant, la nécromancie à ses limites. Qu'est-ce que tu en penses de tout ça, toi ? » dit-il tout en rallumant une autre cigarette, fixant un petit chien qui le regardait bizarrement. Son petit chien. C'était sa femme qui lui avait offert, une année avant sa mort. Il ne savait pas vraiment quelle race c'était, ni comment le qualifier, il doutait même parfois du fait que ce soit un chien. Mais en tout cas, il était vraiment tout petit. Il pourrait l'écraser. Azazel parlait souvent à son chien. C'était un espèce d'ami pour lui. Mais surtout, il lui disait souvent où en était sa théorie sur l'origine des Dieux. Au moins lui ne le contredisait ou ne posait pas une question à toutes les phrases, comme les jeunes adolescents paumés qui lui servaient d'élèves.

    Complément à savoir sur le cours : Bien loin d'être un cours normal avec un programme formel et des dates précises, c'est plus un cours théorique qui se place sur le débat. Azazel mettra bien sûr le contexte en place, les Dieux, leurs noms, leurs pouvoirs/fonctions, les traces écrites qu'il existe sur eux, mais bien loin d'imposer son point de vue, il laisserait aux élèves le temps de développer le leur à ce sujet, mais en partant tout du moins sur l'idée que les dieux ne sont finalement pas divins, mais plutôt des sortes d'ancêtres des sorciers, avec une magie propre à eux-même. Le cours abordera principalement la place/le rôle sociale qu'avaient les dieux dans la civilisation concernée et leur importance dans la vie de tous les jours – tout du moins à certaines époques – et pourquoi pas ce qui aurait pu arriver au cours de l'histoire s'il n'y avait pas eu d'interventions dites divines ou simplement pas de dieux.










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 22:26




Je peux? Okay.
Oh My God. J'adore ton perso. J'ai rarement été bluffé. Le physique - parce que je suis carrément fan de Rourke, jusqu'au caractère et l'histoire, je suis hyper, hyper fan. Je veux un lien, un rp, et un bébé avec toi. *BAAAF* Non, je blague.... Non, Aaron, tu sors. BREF. Ta fiche est-elle finie ? Ah, et aussi, une autre question : j'peux avoir un autographe? -baaaf- Au passage, le don de nécromant est accepté. Et le poste également.









Anonymous

Invité
Invité

Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 22:37


    MERCI \o/ ! On m'a rarement fait des commentaires aussi beau sur une fiche de présentation ;_; ! Tu auras tout ce que tu veux. Même le bébé. Si tu le portes. *sbaf*. Après oui ma fiche est finie xD ! Y'en a assez pour une fiche je pense (: je vais m'éclater dans la partie biographie maintenant ah ah ! Merci beaucoup <3










Anonymous

Invité
Invité

Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 22:41


Bienvenue ! What a Face

Ta signature me fait mourir de rire Il est grand temps de rallumer les étoiles. 511311









Anonymous

Invité
Invité

Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 22:45


    Merci What a Face










Aaron O. Vanna Syl


► MESSAGES : 218
Il est grand temps de rallumer les étoiles. #Sam 4 Déc - 23:11





What a Face Super. Je déplace alors. Bienvenue et bon rp parmi nous! *w*










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