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 Le Livre Dont Vous Etes le Héros.

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PROFIL & INFORMATIONS









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 19:58


Le Livre Dont Vous Êtes le Héros
...à n'ouvrir sous aucun prétexte...



Rangé n'importe où dans la Bibliothèque de Poudlard, ce curieux livre, toujours fermé de sa cordelette d'argent, sans titre ni rien, fait son apparition de temps à autre, et alors gare aux curieux. Ne vous en approchez pas et il ne vous arrivera rien de fâcheux.
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. 234f0ebc9b5fd06b2bb74bcfa72e3852
Approchez vous-en et vous pouvez être sûr que la fascination qu'exerce ce livre ne vous laissera plus d'autre choix que de l'ouvrir et alors... vous apprendrez à vos dépends pourquoi on l'appelle "Le Livre Dont Vous Etes le Héros".









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 19:58




    Ce jour là, particulièrement comme les autres jours, Asphodèle avait résolu de s'installer dans la salle commune de Serpentard pour travailler un peu les axiomes de la métamorphose semi-humaine. La jeune fille se retrouvait donc attablée sérieusement près de la cheminée, un grimoire énorme devant elle, qui apparemment n'avait pas été emprunté à la bibliothèque depuis une certaine "Midgen Turkelton, promotion 1902". Du moins d'après ce qu'en disait la carte de bibliothèque soigneusement glissée dans la première de couverture.

    Asphodèle était donc plongée dans ses études, ses longs cheveux blancs tombant en cascade sur ses épaules, et ses deux prunelles de velours n'ayant d'yeux que pour les lignes manuscrites qui s'étalaient à n'en plus finir semblait-il. Forcément il fallait qu'un trouble-paix vienne gâcher ce moment. Asphodèle ne leva même pas les yeux se contentant d'afficher son net mécontentement d'un sourcil sévère. Elle connaissait la "chose" qui avait osé prendre place en face d'elle commentant sans aucun doute que le livre qu'elle avait pris été nul puisqu'il n'y avait pas d'images. A vrai dire, elle n'avait absolument aucune idée de ce qu'il pouvait raconter, puisque c'était Greg Kelso. Sans intérêt donc.

    Elle plia cependant vite bagage, gênée par la nuisance sonore. Le livre serré soigneusement contre elle, elle quitta donc l'endroit, froide, et sans un mot pour Kelso, résolue à migrer vers la bibliothèque où elle pourrait par ailleurs compléter les informations du grimoire en lisant d'autre livre. Comme de bien entendu, Azazel, le chat antipathique était sur ses talons et il ne manqua pas de cracher à l'adresse de toutes les personnes présentes exception faite de sa maitresse.

    Arrivée à la bibliothèque, Asphodèle se plaça à une table du rayon métamorphose et transfiguration. S'étant installée, elle alla tout simplement chercher quelques miscellanées et autres index de la transfiguration, par exemple "Transfiguration et Métempsychose chez le Sorcier" de Liliputia Magot. Alors qu'elle parcourait le rayon sans vraiment avoir de bibliographie précise en tête elle tomba sur un drôle de bouquin, beaucoup plus mince que les autres et dont la côte n'indiquait absolument rien. Intriguée, et se demandant quel genre de libraire incompétent avait bien pu publier la chose en omettant d'y faire figurer un titre et un nom d'auteur, elle sortit le livre du rayon et le jaugea un petit moment.
    Il y avait une cordelette d'argent qui le tenait bien fermé. Nul doute que c'était un avertissement qui invitait à ne pas ouvrir le volume qui ne devait compter en tout et pour tout qu'une vingtaine de pages. Asphodèle était quelqu'un de très curieux mais de très prudent. Elle savait respecter les règles qu'elle jugeait bonnes. Par exemple là, ne pas céder à tentation d'ouvrir par curiosité en sachant le genre de chose qu'on pouvait trouver dans cette bibliothèque. Elle en était coutumière, visitant quelques fois la réserve par pure distraction mais là elle ne pouvait pas faire ça là, devant tout le monde.

    Mais ce drôle de bouquin et surtout ça cordelette d'argent semblait avoir un effet de fascination étrange sur Asphodèle (sûrement pas que sur elle mais à l'instant c'était elle qui l'avait dans les mains), elle resta un petit instant absorbée ainsi jusqu'à ce que quelqu'un ne la bouscule, lui faisant échapper le livre des mains...











Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 19:59


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Bt0297 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Istorm56

William Slayers & Asphodèle Nospheratov

    Cela faisait une bonne dizaine de minute que William se trouvait devant la porte de la bibliothèque en hésitant a entré. A vrai dire il n’avait aucune envie de pénétré dans cet endroit lugubre et vraiment démoralisant . A son souvenir, bien qu’il soit en septième année il avait dût y pénétrait qu’une ou deux dans sa vie. Même lorsqu’il était collé il s’arrangeait toujour pour éviter ce lieu qui lui donner presque des cauchemars. Des livres, des livres, et encore des livres. Beurk. William avait horreur de ses machin plein de page qui ne servait à rien. Il était certaine d’une chose, les livres ravager le cerveau ! D’autant plus quand ils se trouvaient dans les mains d’une fille.

    Cependant là il ne semblait pas pourvoir échapper a son destin ou plutôt au enfer car il avait perdu un pari avec Kivar et le gage était de faire un passage dans la salle des horreurs, appeler plus couramment par les autres élèves : bibliothèque ! Le pire dans tout ça c’est qu’il ne pouvait pas seulement mettre un pied dedans et ressortir, ça aurait trop simple, non il devait entré et recherché un livre. De préférence un livre interdit et susceptible d’intéressé ses potes. C

    ’est donc tout penaud et après une grande hésitation que William entra dans le lieu maudit, cherchant des yeux un livre qui pourrait convenir. La salle était pleine d’élèves qui avaient l’air plus soporifique les uns que les autres et le jeune Gryffondor n’avait qu’une envie, c’était de ressortir au plus vite. Cependant il devait d’abord trouvait LE livre qui lui permettrait de fanfaronner auprès de ses pots. Il se dirigea vers le rayon de la Méthamorphose et regarda les côtes des différents bouquin sans grand enthousiasme, voulant à tout prix partir au plus vite.

    Mais il aperçut plus loin, une fille qui semblait fasciné par l’immondice qu’elle tenait entre ses main et un sourire espiègle s’afficha sur son visage. Il était de son devoir de la sauver et de lui dire que les livres s’étaient mauvais pour la santé. Une fille ça ne lit pas. Tandis qu’il se rapprochait d’elle il se rendit compte qu’elle semblait vraiment captivé par son bouquin mais… il restait fermer. Le sourire de William s’élargit, il avait trouvait LE livre. Pour qu’elle n’ose l’ouvrir il devait sûrement s’agir d’un livre interdit, de magie ou autre. Sans plus attendre, se retrouvant derrière elle, il attrapa la chose sans lui demander son avis.

    William – Tu permet ? demanda-t-il avec un large sourire.

    Ce n’était pas une réelle question car il tenait déjàl’objet de son désir entre les mains. Tien une cordelette. Sans plus attendre, William tira dessus et le livre s’ouvrit….









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:00




    Le livre avait un tel pouvoir d'attraction et de fascination qu'Asphodèle, pourtant naturellement méfiante et ce n'était pas peu dire, n'entendit pas le garçon arriver. Elle ne le connaissait pas vraiment de toute façon c'était juste qu'il s'était fait remarqué dans deux ou trois autres cours. En temps normal ça réaction aurait été de lui lancer un regard glacial et de s'éloigner avec le livre à la main.

    Mais là comme elle ne se rendit pas compte de sa présence avant qu'il ne lui arrache le précieux ouvrage des mains sa réaction fut plutôt de ce type:

    William – Tu permet ?
    Lily-Non.

    Le livre lui fut ravi. Comment osait-on se permettre un tel geste?

    Lily-Non je crois pas non. Rend moi...

    La fin de sa phrase disparu dans un flot de bruits parasites en même temps que le livre s'ouvrait et qu'un étrange magie se mettait en branle pour les aspirer à l'intérieur. Et le plus étrange était que personne n'avait rien remarqué dans la bibliothèque. Comme si personne n'avait crié en tombant dans un espèce de vortex noir et bruyant.
    Asphodèle sentit qu'elle avait la tête qui tournait et curieusement la seule chose qui la l'empêchait de rendre le contenu de son estomac dans le néant du livre c'était justement qu'elle sentait cette faim terrible et irrépressible que lui provoquait ses allergies parfois. Malheureusement pour elle, elle n'avait pas la petite fiole d'Enkil sur elle à ce moment là.
    Elle n'arrivait pas à savoir si oui ou non, l'autre type était tombé lui aussi, du moins pas avant qu'elle ne lui tombe dessus à califourchon, sa jupe courte plissé retombant par grande chance de sorte qu'elle était le plus descente possible mais on voyait une grande partie de ses cuisses, celle qui n'était pas couverte par ses longues chaussettes noires. Sa cravate de Serpentard était retombée par dessus son épaule découvrant quelque chose d'assez agréable à voir pour Will par l'échancrure du troisième bouton du chemisier blanc de la jeune fille.

    Elle resta dans cette position les yeux, à demi morte de honte à cause de la position et en même temps furieuse. Il avait toujours le bouquin entre les mains elle le lui reprit avant de lui dire:

    Lily-Je ne sais pas qui tu es mais de toute évidence tu manques cruellement de manières, bonnes ou mauvaises d'ailleurs, sans laisser que tu es un abruti fini. Regarde! Tu as vu ce que tu as fait?!

    Elle se releva, et passa les mains sur sa jupe pour la remettre en place, ainsi que sa cravate, puis elle s'épouseta avec une classe qui n'était pas à éprouver. Dans le noir, la lueur améthyste de ses yeux se révélait légèrement (tout comme à la lumière du feu). Il faisait tellement noir qu'elle ne pouvait absolument rien discerner de ce qui les entourait. Il allait falloir un long moment avec leurs yeux ne s'habituent aux ténèbres environnantes.
    Elle s'éclaircit la voix avant de se présenter parce que elle, elle ne manquait pas de bonnes manières:

    Lily-Asphodèle Nospheratov. Je suppose que tu dois être le Slayers dont on entend tant parler.

    Contrairement à ce que cela pouvait présager, cette phrase n'était du tout un compliment. Elle était d'ailleurs prononcée d'un ton hautain et détaché. Un de ces tons à la Nospheratov qui vous fait vous sentir mal à l'aise si vous n'êtes pas en terrain conquis.
    Petit à petit, les yeux de la jolie métisse se faisaient au manque de lumière et elle discernait un disque gris dans le ciel et un ruban à peine visible au sol un peu plus loin. Sans doute la lune qui éclairait un chemin mais le noir était omniprésent et leur dissimulait en grande partie le décor qui les entouraient.













Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:01


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Darkangelalecx5494 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Istorm48
William Slayers & Asphodèle Nospheratov


    Lily-« Non. »

    Parle a mon cul ma tête est malade. Il s’en ficher royalement de son « non » . C’était une question rétorique avant de montré qu’il était là. Peu importer la réponse il aurait quand même pris le bouquin. C’était quand même pas une fille qui allait lui dire ce qu’il avait à faire. Il n’avait d’ordre a recevoir de personne.

    Lily - « Non je crois pas non. Rend moi... »


    Un sourire malicieux sur les livres il pivota sur la côté pour l’empêcher de l’attraper tandis qu’il ouvrait le livre. Elle n’avait pas eut le temps de finir sa phrase car d’un seul coup il fût… aspiré par le livre ! William eut à peine le temps d’écarquiller le yeux surpris que déjà il était à l’intérieur du livre avec la belle black. D’ailleurs oui, la belle black. Même la très belle black ! L’aspiration du rouge et or a l’intérieur du livre avait à seulement duré quelque seconde et sa tête avait à peine eut le temps de tourné et William était plus préoccupé par la métisse que par l’endroit où il se trouver. A califourchou sur lui, il avait les regard rivé sur les formes généreuses de la belle poitrine de la demoiselle qu’il pouvait apercevoir à travers le chemisier d’Asphodèle qui était déboutonner au troisième bouton. Un sourire pervers sur les lèvres, il apprécier la vue. Pas qu’il chercher a tout prix à la mater mais là c’était dur de faire autrement, c’était juste sous son nez. Puis c’était un homme. Quoiqu’il en soit le son de la voix de la Serpentard le fit sortir de sa contemplation et il secoua la tête pour essayer de se ressaisir.

    Lily-Je ne sais pas qui tu es mais de toute évidence tu manques cruellement de manières, bonnes ou mauvaises d'ailleurs, sans laisser que tu es un abruti fini. Regarde! Tu as vu ce que tu as fait?!

    Eh bin dis donc elle était de mauvais poil. Elle insinuer quoi là ? Que c’était de sa faute ? C’était ELLE qui avait tenu le livre pas lui. Bon d’accord c’était lui qui l’avait ouvert et alors ? C’était pas SON livre ! Saloperie de bouquin ! Il était il ne savait pas trop où en compagnie de il ne savait pas trop qui.

    William – « Ce que J’AI fait ? J’y suis pour rien moi si les bouquins sont des ennuis ambulants » dit-il avec une grimace.

    A son tour il se releva, et il essaya de regarder au alentours et de déterminer où ils avaient attéri mais il faisait très noir.

    Lily-Asphodèle Nospheratov. Je suppose que tu dois être le Slayers dont on entend tant parler.


    Oulà elle ne se prenait pas pour d’la merde celle-là. Eh bin dit donc il était bien tombé ! Elle avait un balai dans le cul ou quoi ? Tiens elle lui faisait presque penser à Lilith. Beurk. Quoique Aspho… Elle avait dit qu’elle s’apeller comment déjà ? Aspho… ? Oh puis merde ! ça serait Aspho truc quoi !
    Alors comme ça on lui avait parler de lui ? Intéréssant.

    William – « C’est exact . William Alex Slayers pour te servir ma jolie :hey: »
    fit-il avec un large sourire arrogant. « Enchanté de te connaitre Aspho… Aspho…. Enfin Aspho quoi dit-il en haussant les épaules et n’ayant pas envie de se faire chier à retrouvé son prénom.

    Contrairement à la jeune fille, William semblait des plus décontracté. D’ailleurs peut-être trop. Il se comportait comme s’il était dans la sallr commune des Gryffondor et non dans un monde inconnu où il pouvait mourir a tout moment. Un sourire malicieux et un air insouciant, il regarda Asphomachin .

    William – « Bon on fait quoi maintenant ? On attend que ton machin avec des pages... »
    fit-il en designant de la tête le livre qu’elle tenait . «... Nous ramène à Poudlard ou on trouve un truc pour s’occuper ? » fit-il en grimaçant, distant.

    Un truc pour s’occuper . C’était vite dit parce qu’elle semblait pas très a fréquenter. A regarder très. Mais à fréquenter… Beurk ! On aurait dit une reine des glaces….









The Changelin'

The Changelin'
PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:01




    William – « Ce que J’AI fait ?
    Lily-Oui ce que TU as fait. Si tu avais eu un peu plus de jugeote tu aurais su qu'il ne fallait pas l'ouvrir!
    William- J’y suis pour rien moi si les bouquins sont des ennuis ambulants » dit-il avec une grimace.

    Des ennuis ambulants? Elle aurait tout eu! Non content de les avoir mis dans un pétrin pas possible, monsieur le donneur de leçons jouait les bons samaritains, parfaitement innocent. Comme si tout le monde n'avait pas vu que c'était de sa faute tout ça.

    Lily-Si tu lisais un peu plus, tu saurais que les livres ne sont PAS des ennuis ambulants. Il suffit de lire des livres intéressants et non pas des bouquins de coloriage ou pire... des magasines de Playwitch!

    Il avait bien une tête à lire Playwitch! Le magasine masculin qui affichait régulièrement Sugar (la star du roman photo magique Amour, Gloire et Sorcier) ou encore Bella Bellissima, la journaliste à qui nul ne pouvait résister (soit disant). Bien évidemment nues, ça allait de soit. Pour le reste Asphodèle ne pouvait pas en dire plus car elle n'avait jamais été jusqu'à feuilleter un numéro de cette feuille de choux, même pas pour sa culture générale!

    Elle jeta un regard en coin sur l'homme de la situation. De haut sans tout à fait se retourner vers lui. Elle savait qu'il y avait un garçon dans sa maison qui lui ressemblait traits pour traits elle en déduit donc que lui ce devait être le mauvais Slayers.

    William – « C’est exact . William Alex Slayers pour te servir ma jolie . Enchanté de te connaitre Aspho… Aspho…. Enfin Aspho quoi.
    Lily-Asphodèle triple buse. C'est pas bien compliqué on doit te le répéter depuis la première année!

    Elle se demandait pourquoi personne ici ne pouvait retenir son prénom du premier coup alors qu'il était carrément au programme. Mais quand même elle fit un effort pour être moins désagréable, après tout ils allaient peut-être être coincés là toute leur vie. Enfin c'était quand même fort peu probable qu'elle se laisse dominer par un vulgaire bouquin d'une pauvre vingtaine de page cela dit.

    Lily-Mais si c'est encore trop compliqué pour le service public qui te sert de langue tu peux toujours m'appeler Lily, et oui je vais essayer de faire un effort pour arrêter d'être méchante.,' précisa-t-elle tout de même au cas où il n'avait pas remarqué qu'elle faisait déjà un effort.

    D'un autre côté, on l'avait bien averti sur ce fameux William, et elle savait que sa langue et peut-être d'autres parties de son corps encore plus répugnantes avait traîné un peu partout dans l'école. Sans compter qu'il paraissait qu'il passait son temps à faire le ménage pour le compte du professeur Grey. Comme ça au moins il savait qu'elle savait et que ce n'était pas la peine d'essayer au cas où l'idée lui ai traversée l'esprit.
    Elle s'éclaircit la voix. Ce qui l'énervait en fait ce n'était pas vraiment William, mais c'était de ne rien contrôler, même si ça c'était effectivement la faute de William.

    William – « Bon on fait quoi maintenant ? On attend que ton machin avec des pages... » fit-il en désignant de la tête le livre qu’elle tenait . «... Nous ramène à Poudlard ou on trouve un truc pour s’occuper ? »

    Elle leva les yeux au dessus d'eux et ouvrir le livre. Immédiatement elle eut l'impression qu'on y voyait mieux même si ce n'était toujours pas ça. Ses yeux commençaient à s'habituer au manque de lumière mais pas assez pour qu'elle puisse voir distinctement ou même lire les instructions du livre, si instructions il y avait. Mais ce n'était pas un problème. Elle glissa sa main contre sa cuisse pour aller chercher sa baguette mais... elle n'était plus là. Pas de problème, elle avait du tomber, c'était une baguette lourde donc selon la métisse, le choc de leur atterrissage avait du la décrocher de son fourreau. A en juger par la nature gravilloneuse du sol, elle ne devait pas être bien loin de l'endroit où ils étaient tombés.

    Lily-Allonge toi, s'il te plait.

    Elle le regardait le plus sérieusement du monde et dut répéter sa demande une seconde fois avant qu'il n'accepte en râlant. Avant que je ne vous dise ce qui se passa ensuite, il est essentiel que vous compreniez que malgré le tranchant acéré de sa langue, Asphodèle était une jeune fille plutôt innocente et qui ne voyait pas forcément le mal là où vous le verriez. Elle plaçait le Mal dans l'intention et non dans les faits. Et elle n'avait peut-être pas tout à fait tord...

    Une fois qu'il fut allongé au sol, elle reprit sa position sur lui, exactement celle qu'ils avaient tout à l'heure et resta un petit instant comme ça à réfléchir ou à calculer quelque chose. Elle huma l'air parce que ses allergies pouvait parfois lui forcer l'odorat. En fait elle cherchait une odeur de Mandragore (l'odeur de sa baguette) mais une autre odeur qu'elle ne connaissait pas masquait tout.

    Lily-Tu mets du parfum?

    Elle dut donc se résoudre à tâtonner depuis son pied d'estale, balayant le sol de ses doigts, se penchant sur le "pauvre" William pour élargir son périmètre. Mais elle ne trouvait rien. C'était curieux parce que logiquement la baguette était trop lourde pour s'être éloignée plus que ça.

    [...]

    Lily-Lumos!', incanta-t-elle une fois qu'elle avait mis la main sur sa baguette.En fait je pense qu'on est dans le livre, expliqua-t-elle enfin, ça ce ne serait qu'une reproduction du livre... dans le livre. C'est très simple tout à l'heure quand j'ai ouvert la première page on aurait dit qu'il y avait plus de lumière... rhaaa LUMOS MAXIMA!!!

    La baguette eut une drôle de vibration, comme si elle n'arrivait pas à sortir son sortilège il y eut un petit éclair bleu qui grésilla au bout et le sortilège s'éteignit comme une ampoule qui grille. Elle retenta plusieurs fois.

    Lily-Voilà autre chose. Je crois que la magie ne marche pas ici. Essaye pour voir?...

    Cela dit ses yeux c'était suffisamment habitués pour qu'elle arrive à lire un tout petit peu. Elle se rapprocha de William pour qu'il puisse voir aussi à l'intérieur du livre.

    Lily-Le livre... de... le livre dont... vous êtes le héros. Le Livre Dont Vous êtes le Héros!

    Elle tourna les autres pages. BLANCHES!!! Le livre était tout effacé! Elle eut un bref instant de panique!!!

    Qu'est-ce qu'ils allaient bien pouvoir faire sans instruction! Autour d'eux on commençait à distinguer des ombres hautes et très noires qui les surplombaient et les encerclaient...










Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:02


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Willcsourirehypocritewv5 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Willcrisperhd6 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Istorm53
William & Asphodèle

    Lily-« Si tu lisais un peu plus, tu saurais que les livres ne sont PAS des ennuis ambulants. Il suffit de lire des livres intéressants et non pas des bouquins de coloriage ou pire... des magasines de Playwitch! »

    Non mais quel connasse ! Excuse moi du mot mais rhaaaaaaaa elle l’énerve. Qu’est-ce qu’elle en savait des bouquins qu’il lit ? Genre c’est écrit sur son front ? « je lis des playwitch » ! Grogniasse ! Pour info oui il lit des PlayWitch ! Oui oui oui ! Et alors ? Tout le monde lit ça ! Et contrairement à ce qu’on pense c’est pas que du nu ! Il a des articles très intéressant ! Si si j’vous jure. Et puis c’est pas parce que Miss Coincé était incapable de lire un bouquin de moins de trois cent page sans faire un arrêt cardiaque qu’il fallait qu’elle s’excite sur lui . Si elle voulait s’exciter William aurait préféré qu’elle le fasse autrement parce que franchement, là elle était soulante. Elle avait pas baiser beaucoup trop longtemps ou quoi ? Puis d’abord les bouquins de coloriage il en avait jamais fait ! Lui ce qu’il préférait c’était dégommer les poupée de Willara au lance pierre. D’ailleurs a cet instant il aurait volontiers dégommer la tête de Miss Gnagnagna avec. Pff ! Bouquin de coloriage ! Je t’en foudrais des bouquins de coloriage ! Si elle savait qu’il écrivait lui-même quelque truc elle serait bien verte, tiens ! Enfin bref, comme toujours triturage interne, relax attitude externe.

    William – « Ah bon ? Intéressant ? Comment quoi ? Devenir la pire des emmerdeuse en dix leçons ? » fit-il avec un large sourire crispé. « Ah non. Suis-je bête. Ça c’est TON style de lecture ! »

    Il adressa un regard grand sourire crispé et hypocrite avant de soupiré et de lever les yeux aux ciel ! Pfff ! Saloperie de bouquin !!! Puis vient le moment de la présentation et bien sûr il se souvenu plu comment elle s’appelait. Pour c’que ça l’intéréssé d’ailleurs.

    Lily-« Asphodèle triple buse. C'est pas bien compliqué on doit te le répéter depuis la première année! »

    Triple buse ? Triple conne ! Et qu’est-ce qu’elle dit celle-là ?? On lui répète depuis la première année ! Comment ça on lui répète depuis la première année ? Pourquoi on lui répèterai depuis la première année ? Elle était dans sa maison ? Il était censé la connaitre ? Ou… ? Attendez ! Asphodèle ?! Aaaaaaaaah comme la plante ! Ah bin oui bien sûr c’est évident ! Asphodèle ! Elle s’appeler Asphodèle ! Beurk ! Pourquoi pas Mandragore Pissenlit ou Verveine tant qu’elle y était. Tiens Verveine sa lui allait bien. Ça faisait vieux truc moche et soporifique. Tout à fait elle en bref.

    William – « Sa va Miss Susceptible . C’est ma faute à moi si ton prénom n’en ai pas un ? » dit-il en grimaçant.

    Lily-« Mais si c'est encore trop compliqué pour le service public qui te sert de langue tu peux toujours m'appeler Lily, et oui je vais essayer de faire un effort pour arrêter d'être méchante.,' »


    Lily ! Hum c’était jolie ça. Lily . Lily paquerette tout sourire. Lily. Ça faisait un peu « petite maison dans la prairie » . En fait. C’était jolie. Mais… ça lui allait pas du tout ! Vous voyez le diable s’appeler « Lily » « Blanche neige » ou « Juliette » vous ? William non !

    William - «Oooooooooh » fit-il en posant sa main à plat sur son cœur gardant la bouche ouverte faussement choqué « Tu serais capable de faire preuve de gentillesse ? » demanda-t-il en articulant chacun de ses mots, surjouant a merveille avec un air théâtrale. « Franchement ça me va droit au cœur » fit-il avec un large sourire hypocrite.

    Elle avait décidé d’être gentille ? Ou du moins « d’essayer » ? Bien ! Qu’elle le fasse ! Pas lui ! Il manquerai plus qu’il se laisse dominer par une fille. Il avait fait qu’ouvrir un putain de bouquin de merde, des tas de gens font ça d’ailleurs, et par rapport à ça il s’en prenait plein la tronche ! Alors non ! Il avait PAS envie d’être gentil. Puis…. C’était pas drôle si elle l’envoyer plus péter. Bin quoi ? William aimer l’action et les filles de caractère il voit pas où et le mal . Et il faut avouer que le mauvais caractère de la jeune fille avait quelque chose pour lui plaire. A tout les coups elle était pas si froide que ça ! Bon aller Slayers elle a fait un effort, donc fait un effort. Il poussa un soupir et lui dit alors.

    William – « Bon on fait quoi maintenant ? On attend que ton machin avec des pages nous ramène à Poudlard ou on trouve un truc pour s’occuper ? »

    Pour toute réponse elle ouvrit le livre. Vu ce qu’il s’était passer la première fois, c’était peut-être pas un bonne idéé. Mais bon il la laissa faire. Cette fois elle pourrait pas dire que c’était de SA faute. Il semblait y avoir une certaine lumière qui émaner du truc à page et Asphotruc, Lily puisqu’elle préférait, semblait chercher quelque chose . Une potion de décontraction peut-être ? Aller savoir. William avait hâte de rentré et de sortir de « la bibliothèque » .

    Lily-« Allonge toi, s'il te plait. »
    William –« Pardon ? » demanda-t-il en grimaçant légèrement moqueur.

    Elle avait craqué là ! Pourquoi voulait-elle qu’il s’allonge ? Elle voulait faire faire quoi ? Lui sauté dessus et l’embrasser fougueusement ? Si c’était qu’ça il suffisait d’le demander. Ok elle lui tapé sur les nerfs, mais si ça pouvait lui faire plaisir, il voulait bien se sacrifier. Puis il savait que c’était dur de résister a son charme donc. Puis elle avait dit « s’il te plait » c’était déjà bien. ça devait sûrement rare chez elle. Cette fille semblait être aussi aimable qu’un troll, et encore c’était une insulte pour le troll !

    Lily-« Allonge toi, s'il te plait. »
    William – « Bon. Si tu insiste. Mais j’te préviens, si tu t’alonge sur moi je ne promets rien pour la suite »

    Accepter les demandes d’une fille . Pff ! C’est bien parce qu’il était pressé de rentré et curieux de savoir se qu’elle allait faire parce que franchement fait chier quoi ! Asphodèle se… Attendez . Elle s’allongea sur lui ??? Mais c’était pas possible ça ! Là elle faisait exactement se qu’il avait dit et imaginer dans sa tête deux minute auparavant ! Elle n’avait pas compris que si elle s’allonger sur lui il n’allait plus pouvoir contrôler ses neurones ?? Peut-être que si en fait. Peut-être que c’était pour ça qu’elle faisait ça. Se retrouvait si près de son corps parfait d’athlète quelque minute auparavant avait sûrement mis la demoiselle en émoi et elle ne pouvait plus résister a ses pulsions. C’était sûrement aussi pour ça qu’elle était aussi pec sec avec lui . Elle était frustré !!!

    Mais c’est pas grave ça allait s’arranger. Un câlin et pouff elle allait pouvoir se détendre un peu. C’était une chic fille finalement . A califourchon sur lui, elle avait exactement la même position que tout à l’heure, et lui avec la même vue et bien sûr il retrouva son sourire presque pervers et il eut les yeux rivé sur sa poitrine. Bin quoi c’était ce qu’elle voulait. Alors il n’allait pas se priver. A vrai dire il se retenait de mettre ses mains sur la hanche de la métisse pour l’embrasser fougueusement mais plus on attend mieux c’est. Puis il envie de voir si elle faisait le premier pas. Il attendis. Il attendis. Rien. Rien . Rien de rien. Rhooo fait chier !

    Relevant son regard vers elle, il s’aperçut qu’elle était entrain de réfléchir. Elle faisait quoi là ? Une prière a Dieu pour lui demander de lui pardonner ses péchés en bonne sainte ni touche qu’elle était ?

    Lily- « Tu mets du parfum ? »

    Hein ? Tu mets du parfum ? C’était quoi ça ? Sa technique nullissime de drague ou quoi ? Si c’était le cas il y avait pas besoin . Il était déjà séduit. D’ailleurs si elle arrêter de gigoter deux seconde il pouvait lui montrer. Mais pourquoi elle bouge autant d’ailleurs ?

    William – « Oui mais il ne sent pas aussi bon que toi » fit-il avec un sourire.

    Hum. Une phrase séductrice. Peut-être la première d’une longue lignée. D’un autre côté elle était carrément sur lui donc il aurait pût difficilement faire autrement qu’avoir envie de la séduire. C’est qu’il commençait un petit peu à faire chaud là. Elle bougeait toujours autant et agaçait William finit par pousser un soupir . Bon cette fois ça était trop il pouvait plus tenir. Il posa ses mains sur les hanches de la vert et argent et rapidement la fit pivoter et elle retrouva donc au sol et lui dessus. Il la regarda avec un air espiègle tandis qu’elle était sa prisonnière, ses mains poser au sol, une de chaque coté d’Asphodèle. Il se pencha alors pour l’embrasser mais c’est alors qu’il aperçut un bout de bois juste a côté de la jeune fille.

    William – « Oh une baguette » fit-il juste avant de reporter son regard vers la métisse et se pencher de nouveau vers elle.

    Il aurait mieux fait de se taire….

    […]

    Lily-« Lumos ! En fait je pense qu'on est dans le livre ça ce ne serait qu'une reproduction du livre... dans le livre. C'est très simple…»

    Oui en effet ça avait l’air trèèèèèèès simple. Elle avait pas la version racourcit ? Non parce que franchement il la trouvait plus passionnante quand elle était sur lui.

    Lily – « tout à l'heure quand j'ai ouvert la première page on aurait dit qu'il y avait plus de lumière... rhaaa LUMOS MAXIMA!!! »
    William – « Je crois que ta baquette est cassé »

    Oui alors elle était pas douée. Woé c’était peut-être ça ! Peut-être les deux ! En tout sa baguette avait mauvaise mine. Avec le caractère de sa propriétaire ça pouvait s’expliquer mais quand même. William commençait a se demander dans quel endroit étrange ils avaient vraiment atterris.

    Lily- « Voilà autre chose. Je crois que la magie ne marche pas ici. Essaye pour voir?... »


    Euh… Oui . Pourquoi pas. Bonne idée. Euh… pas contre juste un détail. Un détail de rien du tout hein. C’est pas important. Mais… il avait pas sa baguette ! Bin oui il avait pas prévu de se faire aspiré un livre lui ! Et techniquement a la bibliothèque il avait pas besoin de baguette ! Puis William avait horreur de se trimbalé se bout de bois inutile. Surtout qu’il connaissait plein de sort a réaliser sans baguette mais il préféré les éffectuer seul si vous voyez ce que je veux dire. Après tout il était réputer pour être « cracmol ».

    William – « Non c’est pas la peine. J’te fais confiance » fit-il avec une légère mimique et un large sourire.

    L’obscurité se faisant de moins en moins dérangeant, et William et la métisse se rapprochèrent du livre pour lire ce qu’il y avait d’écrit. Oui parce OUI Will SAIT lire. Enfin je dit ça je dit rien :mrgreen: !

    Lily-Le livre... de... le livre dont... vous êtes le héros. Le Livre Dont Vous êtes le Héros!

    Le héro ? Il y avait erreur sur la marchandise alors. Qu’est-ce qu’Asphodèle fouter là ? Lui d’accord c’était un héro . Mais elle… Enfin bref Slayers c’est pas le moment de penser a ça.

    Elle feuilleta le livre et il ne vut que des pages blanches. Super un livre qui sert VRAIMENT a rien. De mieux en mieux ! Miss Verveine semblait paniquer et a vrai dire lui … non ! Bin quoi ! C’était un homme . Ok ça le faisait flipper, légèrement, à peine, si peu, pas du tout, mais il allait quand même pas le lui montré. Et puis c’était pas si dramatique que ça. Les pages étaient blanches ? Okays. Pas de soucis ! Il allait arranger sa. Il fouilla ses poches et en sortit un stylo et sans laisser le temps à la jeune fille de l’en empêcher ou de se rendre comte de se qu’il allait faire, il lui arracha le livre des mains et commença à écrire a la va vite.

    « Il était une fois dans une contré lointaine, une fille qui se prénommer Asphodèle et un garçon fort beau et intelligent prénommé William . Il se trouvait dans un endroit inconnu. Une tension sexuel régner entre eux et il était évident que le cœur de la demoiselle qui semblait aussi froide que la glace battait pour le preux chevalier dont le charme…. »


    Malheureusement William n’eut pas le temps d’en écrire plus….









The Changelin'

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PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:03




    William – « Ah bon ? Intéressant ? Comment quoi ? Devenir la pire des emmerdeuse en dix leçons ? » fit-il avec un large sourire crispé. « Ah non. Suis-je bête. Ça c’est TON style de lecture ! »

    Et Asphodèle de répondre, butée comme elle était:

    Lily-Mais je ne suis pas la plus chiante...', plaça-t-elle d'un ton chantant et convaincue de ce qu'elle avançait.

    D'abord ce type lui tapait sur le système, il avait l'air complétement imbu de lui même et croyait l'en il n'y avait vraiment pas de quoi. Elle se demandait s'il y avait un Greg Kelso dans toutes les maisons ou si c'était seulement à Gryffondor et Serpentard.
    Encore un exemple des facultés extraordinaires du cerveau de William Slayers: il était incapable de se rappeler de son prénom à elle! Rendez vous compte? Ce n'était pas comme si il l'avait vu et revu en cours de botanique ET de potion au minimum!

    William – « Sa va Miss Susceptible . C’est ma faute à moi si ton prénom n’en ai pas un ? »
    Lily-C'est déjà plus original que William en attendant!', jeta-t-elle froidement.

    Asphodèle était peut-être bizarre comme prénom mais elle avait horreur qu'on l'attaque sur ça ou sur quoique ce soit, elle était une Nospheratov pas un objet de raillerie! Et plus excusez la, mais honnêtement des William en Angleterre il y en avait à tous les coins de rue alors que Asphodèle...écrit à la française en plus! Mais bon se disputer sur des broutilles n'allait pas les aider.

    William - «Oooooooooh » fit-il en posant sa main à plat sur son cœur gardant la bouche ouverte faussement choqué « Tu serais capable de faire preuve de gentillesse ? » demanda-t-il en articulant chacun de ses mots, surjouant a merveille avec un air théâtrale. « Franchement ça me va droit au cœur »
    Lily-Ah parce que tu as un coeur!', cassa-t-elle en levant les yeux au ciel, agacée par la gestuelle clownesque ridicule du sang et or.

    Bref, il était temps de se mettre en en quête de sa baguette parce que ce n'était pas la lumière qu'elle avait avec elle qui allait les tirer de là. Elle reproduisit la scène du crime en quelque sorte.

    William – « Bon. Si tu insiste. Mais j’te préviens, si tu t’allonge sur moi je ne promets rien pour la suite »
    Lily-Oui oui.', marmonna-t-elle sans avoir rien écouté.

    Elle n'avait pas besoin de ses conseils pour retrouver sa baguette, que croyait-il? A tout les coups il s'était vidé une bouteille de parfum sur la figure ce qui expliquait qu'une odeur parasite l'empêchait de sentir l'odeur forte de la résine de mandragore.

    William – « Oui mais il ne sent pas aussi bon que toi »

    Tout ce qu'elle remarqua c'était qu'il avait dit "oui", pour le reste elle n'avait pas besoin de savoir la marque ou elle ne savait quoi encore, elle était bien trop absorbée par ses recherches pour prêter attention aux élucubrations de cet empêcheur de capricorner en rond! Elle le gratifia donc d'un simple "humhum" indifférent au compliment qu'elle n'avait même pas relevé à vrai dire.
    Elle vit néanmoins cette espèce de chose qui devait être un sourire se dessiner sur le visage de William avant qu'il ne se conduise comme un gros porc et n'ose!!! poser ses mains sur ses hanches et la renverser. Hors il n'y avait qu'une chose au monde qu'Asphodèle détestait encore plus que d'être touchée, c'était être dominée. Elle se figurait bien maintenant ce qu'il imaginait mais il n'y était pas du tout et il allait lui en cuire.

    William – « Oh une baguette »', annonça-t-il sans même se douter de ce qu'il allait arriver ensuite.

    La main de la métisse jaillit de sous William pour saisir l'objet tandis qu'elle envoyait valser notre "héros" d'un coup de pied de peu mal placé. Cela avait quelques avantages de côtoyer des gens beaucoup plus vieux que vous, versés dans l'art du combat notamment.
    Elle se releva, époussetant sa tenue une seconde fois.

    Lily-Merci de ta contribution.', fit-elle comme si ça lui avait mutilé la langue de dire merci.

    Immédiatement elle testa sa baguette sur le livre après quelques "brèves" explications. Mais elle n'arrivait à rien.

    William – « Je crois que ta baquette est cassé »
    Asphodèle-Elle n'est PAS cassée!', opposa-t-elle du tac au tac.

    Sa baguette était irréprochable! C'était si évident que l'autre finit par la croire sur parole sans même vérifié si elle disait vrai ou non. Elle aurait très bien pu se jouer de lui après tout. Elle, elle aurait vérifié en tout cas. Mais peut-être qu'il était vraiment cracmol après tout, et que les rumeurs de Poudlard étaient fondée pour une fois.

    Ils ouvrirent le livre et s'aperçurent qu'il était vierge, hormis pour la première de couverture, intitulée le livre dont vous êtes le héros. Asphodèle ne doutait pas de ses capacité pour ce qui était d'être le héros de quelque chose mais en revanche elle était beaucoup moins prompte à confirmer William dans ce rôle. Pour le moment elle le voyait surtout comme un boulet. Après tout c'était de SA faute à lui si ils en étaient là.
    C'est alors que l'homme qui avait eu l'idée du jour décidait encore de s'illustrer en lui prenant une nouvelle fois le livre des mains. Comme si/

    Lily- Une connerie par jour ça te ne suffit pas?', nota-t-elle blasée avant de s'apercevoir de ce qu'il était en train de faire.

    Elle crut faire une crise cardiaque! Écrire sur un livre! Un crime de lèse majesté! Elle lui vola le livre des mains et lu rapidement avant de s'écrier!!!:

    Lily-Non mais ça c'est pas du tout passé comme ça!!!

    Le papier était en train d'absorber l'encre de la plume de William. Tant mieux, furieuse elle sortit sa propre plume et réécrit l'histoire.


    « Il était une fois dans une contrée lointaine, une noble jeune fille prénommée Asphodèle et un garçon. Ils se trouvaient dans un endroit inconnu par la faute du garçon qui tel Pandore dans l'antiquité n'avait su résister à ses instincts les plus primaires et avait ouvert le livre interdit. Une tension régner entre eux car Asphodèle lui en voulait mais en même temps elle ne pouvait lui en vouloir puisqu'il n'était pas capable de comprendre et il était évident que le cœur de la demoiselle qui semblait aussi froide que la glace allait devoir faire preuve d'un courage et d'une patience qui n'était pas de ce monde…. »


    Elle fit lire à William, très satisfaite de sa version où le nom de William n'était même pas cité bizarrement. Et pendant qu'ils se disputaient sur les différentes versions de l'histoire, les ténèbres semblèrent se dissiper peu à peu.

    Lily-Bon ça suffit tu me portes sur les nerfs!

    Elle se leva d'un bond avant de remarquer qu'ils étaient en bordures d'une forêt particulièrement effrayante. Il y avait une route de gros pavés ocres qui s'y enfonçait. Calmée soudain par cette nouvelle perspective, elle se retourna vers William pour le "consulter".

    Lily-Tu viens?


      Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Hansel1Ils n'avaient pas d'autres choix de toute façon, c'était le seul endroit du décor où ils pouvaient aller, derrière eux c'était sombre et impénétrable au sens propre.
      Pas très rassurée pour un poil, surtout parce qu'elle n'avait aucune confiance en ce bouquin, elle avançait en se retournant au moindre bruit, brandissant sa baguette inefficiente par réflexe. Puis à force de s'enfoncer, et d'entendre des bestioles, plus ou moins grosses fuir sur leur passage ou grogner dans le noir, ils arrivèrent dans une clairière dégagée. Elle ne savait quelle heure il était mais elle se rendit soudain compte qu'elle mourrait de faim.
      C'est alors qu'une chose improbable paru devant leur yeux. Une petite maisonnette plâtrée de sucreries de tout les côtés même le toit. Ca sentait terriblement bon le pain d'épice mais Asphodèle était beaucoup trop fière pour aller se jeter comme une mendiante sur les sucreries, ou même avouer que ça lui faisait horriblement envie.

      Lily-Une maison en pain d'épice! Pff C'est vraiment ridicule!












Prudence Slayers

Prudence Slayers


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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:03


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Spn126byllenkabc0 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Iconspn4ra0


    Lily-Mais je ne suis pas la plus chiante...',

    Ah mais attendez ça voulez dire quoi ça ? Que c’était LUI le plus chiant ? Oh mais quel toupet ! Quel idiote ! Il était tout sauf « chiant ». Non franchement il était adorable. Un vrai mec parfait. Gentil. Beau. Attentionné. Et elle elle le trouvait CHIANT ??? La chieuse !!!! Voilà pourquoi il avait oublier son prénom ! Elle était inintéressante et son cerveau avait l’habitude de zappé les détail inutile. Bizarre d’ailleurs qu’il n’est pas zappé la demoiselle en entier tellement elle servait à rien ! Asphodèle ! C’était moche !

    Lily-C'est déjà plus original que William en attendant!'

    Oh putain ! Oh putain ! Elle ne savait pas dans quel merde elle venait de se mettre en critiquant le prénom de son père. William ! Le deuxième prénom de son père ! On touche pas à son père. Retenez le il va lui faire bouffer son livre !

    William – « C’est celui de mon père . » dit-il d’un froideur supérieur a celle de la vert et argent lui adressant un regard noir.

    Un zéro. Un pour elle. Mais elle manquerai rien pour attendre. Sa vengeance serait terrible. Là elle venait d’aller trop loin . Okays elle pouvait pas deviner mais on critique pas son père. William et Thomas avait toujours était proche et éloigner en même temps. Le pére et le fils ne se comprenant pas toujours mais le rouge et or avait une admiration sans borne pour cet homme qui était l’égal de Dieu pour lui. Alors le prénom de « William » n’avait de critiquable et il était fier de le porté.

    Elle se radoucit un peu, mais vraiment juste alors. Juste une seconde en fait, le temps de lui donner son surnom « Lily » et il répondu du tact au tact, sur la défensive.

    Lily-Ah parce que tu as un coeur!'


    William – « Euh laisse moi réfléchir… »
    il releva sa leva sa main à son menton et le caressa doucement en levant légèrement les yeux au ciel avant de rajouter. « Oui » avec un large sourire. « Ce qui apparemment n’est pas ton cas » rajouta-t-il avec un large sourire crispé.
    Puis elle lui demanda de s’allonger au sol….
    William – « Bon. Si tu insiste. Mais j’te préviens, si tu t’allonge sur moi je ne promets rien pour la suite »

    Lily - « Oui oui.' »

    Attendez mais elle écoute même pas se qu’il dit en fait ? Oh quoique non . Elle doit sûrement avoir entendu, il est tellement intéressant que c’est dur de l’ignorer. Elle doit sûrement faire semblait pour continuer a jouer les petites prude. Mais bon avec lui ça ne prend pas et il ne pût s’empêcher de baver sur son décolleté . Puis hop une petite question sur son parfum et une petite phrase séductrice. Aucune réaction. Euh… Elle était sourde ? Non parce que làil lui avait un compliment. Youhou Asphodèle réagit . Youhou. Il t’a dit quelque chose. Youhooooooou. Bon pas grave. Et hop une main sur le hanche et la voilà a sa merci. Sourire espiègle. Il en était certain, elle n’entendait que ça, que ses lèvres se pose sur les siennes. Mais alors qu’il se pencher pour l’embrasser il remarqua une baguette au sol et BAM !!! William se retrouva au sol, atterrissant sur les fesses. Putain de merde ! Encore un peu et elle le castré !!! Non mais elle est malade !!!

    William – « Non mais t’es malade ??? »


    Oh putain !! Il l’a dit ça ? Oye . Apparemment. Oye Oye . Si maintenant il se met a dire ce qui pense c’est pas bon signe ça. Un homme un vrai ne ressent rien et il est pas censer montré des sentiments comme la colère ou l’agacement. Mais rhoooooooo elle l’énerve !!! Vous vous rendez compte qu’a deux doigt elle toucher ses bijoux de famille ?? Ce rerouver au sol a cause d’une FILLE ! Putain que ça l’énerver ! En plus ce n’était même pas une fille en fait. C’était un cerveau sur patte et encore il se demanda ce qu’il avait dans se cerveau a part des tonnes de pages de livre. Parce qu’une VRAI fille ne l’aurait pas repouser. Franchement c’était quoi son problème ? Elle jouait les aguicheuses en montant sur lui et après elle l’envoyait péter ? C’était pasun jouer. Et encore moins SON jouet.

    Lily- « Merci de ta contribution. »


    Hien ? Quoi ? Hein ? Merci de quoi ? Contribution ? De quoi elle voulait parler ? Il avait contribuer a rien du tout lui. Mais bon déjà il retrouvait son calme bien qu’il la fusiller presque du regard mais il garder son pétage de plomg interne pour lui. Il se releva remerciant dieu d’avoir épargner ses partie intime.

    William – « Mais j’t’en prie. De rien » fit-il sèchement.

    Ne pas la tuer. Ne pas le tuer. Ne pas la tuer. Allez Slayers. Concentre toi. La tuez serait inutile et ne ferait que te salir les mains. Zen . Zen. Allons communique avec d’la demoiselle. Allez fait un effort. Soupir intérieur. Bon parlons du pourquoi du comment de leurs présence ici. Au moins ça lui évitera de penser à comment la tuer.

    William – « Je crois que ta baquette est cassé »
    Asphodèle- « Elle n'est PAS cassée! », opposa-t-elle du tac au tac.
    William – « Oh pardon j’ignorai qu’tu était fabriquante de baguette » fit-il avec un large sourire crispé.

    « Elle était PAS cassé ». Genre Mademoisselle Casse Couille a une baguette indestructible impossible a casser. Non mais franchement on aura tout vu. Bien sûr qu’elle pouvait être casser. Quoiqu’il en soit n’essayerai pas de sort juste pour lui montré qu’elle avait raison. Bon ok il avait pas sa baguette, mais même.
    Enfin bref. Ils ouvrirent le livre et constatèrent que les pages étaient vierge et William eut l’idée d’écrire. Bin oui on sait jamais il suffisait peut-être décrire pour que les choses se réalise . Alors il écrit leurs histoire.

    Lily- « Une connerie par jour ça te ne suffit pas ? »

    Une connerie ? Parce qu’il avait fait une connerie ? Quand est-ce qu’il avait fait une connerie ? Il faisait jamais de connerie. Et si elle voulait parler du livre il n’y avait quand même pas écrit dessus « ne pas ouvrir » ! Donc il y était pour rien. Puis les livres c’était fait pour ça, pour être ouvert et pour être lu. Alors c’était la peine de le souler avec ça. Si elle voulait trouver un coupable qu’elle le trouve ailleurs. C’était pas de sa faute a LUI s’ils étaient coincé ici. C’était de sa faute a ELLE . Mais mademoiselle Je-Sais-Tout est bien sûr trop fière ou trop conne, plutôt trop conne d’ailleurs, pour s’en rendre compte ! Si elle avait pas de la merde dans les yeux ça serait déjà plus facile pour elle ! Non parce que faut VRAIMENT aveugle pour se refuser à lui. Elle était lesbienne ou quoi ? Non parce que franchement regarder le. Regarder bien. Il est physiquement impossible de lui résister !!! Vous voyez Juliette foutre un coup de pied mal placé a Roméo vous ? Non mais sérieux ! Elle était ravager celle-là !

    William – « Non j’essaie de rattraper ton cotat . Sa va être dur » dit-il avec un large sourire hypocrite.

    Le pire c’est qu’apparement elle venait de lui dire qu’il faisait encore une connerie mais qu’elle n’avait même pas remarquer qu’il écrivait et avant qu’il n’était pût finir et écrire qu’elle l’embrasser fougueusement et qu’ils rentraient à Poudlard, elle lui arracha le livre des mains. Pfff !! Brisseuse de rêve !!!

    Lily-« Non mais ça c'est pas du tout passé comme ça!!! »

    William – « Bien sûr que si »

    Vous êtes témoin hein hein ? Hein que ça c’est passer comme ça ??? Hein hein ??? Pfff !! Et voilà qu’elle commence a griffonner a son tour. Recopieuse. C’était SON idée. Quelle aille s’en chercher une autre. C’était à LUI de les sortirent de là. Il lût son histoire et la regarder avec des yeux surpris . Elle avait même pas écrit mon nom !!! Imaginer que ça se réalise ! Il serait encore « le garçon »

    William – « Ta même pas écrit mon nom ??? Imagine que ça se réalise ??? Je serait « le garçon » !!

    Oh noooooooooon !!! Il avait encore dit ce qu’il pensait !! Putain elle l’énerve ! Elle l’énerve elle l’énerve elle l’énerve. Bruler là ! Rétablissons la chasse au sorcière et balançons Verveine au bucher. La terre s’en portera que mieux .

    Puis puisqu’elle avait écrit d’abord ? « Par la faute du garçon ».

    Par SA faute ???? Oh la menteuse ! C’était pas de SA faute. Il doit lui taper pour que sa rentre ou quoi ?? Quoiqu’elle avait déjà des déficiences mentale donc fallait peut-être pas en rajouter ! Puis « tel Pandore dans l'antiquité ». Pff ! Et en plus elle romancer. Par pandore ! Quel connerie oui ! N’empêche qu’elle avait garder le « aussi froide que la glace » ! Elle semblait satisfaite de sa version et il lui arracher des mains pour changer « le garçon » par « William, un prince au grand cœur qui était fort beau et charmant mais qui rechercher encore sa dulcinée qui serait digne de lui » et d’autre passage. Elle griffonna a son tour et il se disputèrent pendant cinq minute avant qu’elle lui rende le livre.

    Lily-« Bon ça suffit tu me portes sur les nerfs! »

    .Voilà elle décréter qu’il avait gagner. Il le savait bien qu’il était le plus fort ! Ah les femelles et leurs faiblesses. Pathétique.

    Lily-« Tu viens? »

    William – « Bien sûr. Tu serais tellement malheureuse sans ma présence » fit-il avant de lui lancer un clin d’œil séducteur et sur un ton arrogant.

    Là on pouvait pas dire qu’il faisait pas d’effort ! Il la suivit alors restant en arrière. Pour la protéger ? Non . Pour se protéger tout seul. On sait jamais elle pouvait avoir envie de le poignarder dans le dos. Puis honneur aux dames et s’était elle qui avait la baguette donc… Ils ne tardèrent pas à arrivaient devant une maison en pain d’épice et William ne pût s’empêcher d’enlever un bout.

    Lily-« Une maison en pain d'épice! Pff C'est vraiment ridicule ! »

    William – « ridicoule mais ché très bon »
    fit-il la bouche pleine. Asphodèle le regarda d’un air plein de reproche. « Quoi ? chai pas pût m’en empêcher » fit-il en avalant encore un boucher.
    Il grignoter tout se qu’il lui passer par la main et ne semblait pas inquièter de dérangeait le propriétaire de la maison….









The Changelin'

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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:04




    William – « C’est celui de mon père . »

    Il fallait dire que Asphodèle n'avait absolument pas la fibre familiale. Si William lui avait dit qu'il était le fils d'une cigogne et d'un singe nasique elle n'aurait sûrement rien trouvé à redire quoique tous deux soient des animaux très intelligents. Il fallait dire qu'on ne lui avait jamais appris a aimé les autres, et que d'ailleurs elle même ayant rarement assisté à des démonstrations d'affection à son attention et vivant très bien sans, elle n'était pas vraiment apte à saisir tout le sous texte dissimulé sous ce simple c'est mon père.

    A sa manière, si quelqu'un avait insulté Nospheratov devant elle il ne lui serait jamais venu à l'idée de le défendre lui, mais plutôt son nom et la grandeur qui y était attachée. Prendre la défense de quelqu'un avait quelque chose de très insultant pour elle, puisque c'était le considérer comme faible. Et enfin, le fait qu'Asphodèle n'ai jamais eu de mère, et elle ne s'était d'ailleurs jamais encore posé la question en 16 ans, avait peut-être un effet sur sa façon d'interagir avec les autres.

    Lily- Ben peut-être qu'avant la fin de cette histoire je vais me rendre compte que tu tires un tant soit peu de quelqu'un d'intelligent.

    Après tout Sawyer n'avait pas l'air si cruche que William. Puis s'ensuivit encore une liste de chamaillerie qui menèrent Asphodèle à "constater" que William avait un coeur:

    William – « Euh laisse moi réfléchir… » il releva sa leva sa main à son menton et le caressa doucement en levant légèrement les yeux au ciel avant de rajouter. « Oui » avec un large sourire. « Ce qui apparemment n’est pas ton cas »
    Lily-Une chance, ça nous fait un point commun en moins.', fit-elle d'un ton égal.

    Et d'ailleurs elle ne voyait pas de quoi se vanter dans le fait d'avoir une pompe à faiblesse dans la cage thoracique mais bon...
    Comme ils continuaient de se taper dessus, elle souligna qu'il alignait conneries sur conneries:

    William – « Non j’essaie de rattraper ton cotat . Sa va être dur »
    Dans ce cas je vais être au regret de te dire que tu l'avais déjà largement dépassé en te levant ce matin.', fit-elle toujours aussi neutre, comme si ce qu'elle venait de dire n'avait rien de blessant.

    En parlant de connerie, elle jeta un coup d'oeil à la version de l'histoire selon William et se vit obligée d'apporter quelque petite modification:

    William – « Ta même pas écrit mon nom ??? Imagine que ça se réalise ??? Je serait « le garçon » !!
    Lily-De quoi te plains tu? Ce n'est pas comme si j’avais écrit que tu n'étais même pas humain ', nota-t-elle.

    Puis ils se mirent en chemin.

    William – « Bien sûr. Tu serais tellement malheureuse sans ma présence »

    Lily-Si seulement tu pouvais tombé dans un fossé ça nous débarrasserait de ta stupidité. Mais il n'y a même pas de fossé ici !', souffla-t-elle désespérée par son compère.

    Ils arrivèrent donc à la fameuse maison en pain d'épice, et tout ce que put constater Asphodèle, affligée, c'était que William n'avait pas perdu une minute pour aller se goinfrer, ne prenant pas la peine de prendre des précaution, de vérifier ce qui l'entourait. Mais dans quelle pays avait-il été élevé celui là? Celui des boursoufflets?


    - Langue, langue lèche !
    Qui donc ma maison lèche ?



    Et voilà elle en étais sûre.

    Lily-C'est lui.', vendit-elle, blasée.

    C'est alors qu'ils virent sortir de la maison une petite vieille toute percluse de rhumatisme, un vieux bâton de chêne à la main. Asphodèle la regarda de la tête au pied et elle n'aimait pas son air amical, elle n'aiamait pas non plus sa drôle de façon de parler. Mais de toute manière Asphodèle n'aimait pas les gens donc cela réglait un certains nombre de questions.

    - Eh ! chers enfants, qui vous a conduits ici ? Entrez, venez chez moi ! Il ne vous sera fait aucun mal. Venez donc à ma table -quel bon repas je vais faire...


    Lily-Pardon?
    Entrez chez moi, entrez...


    Asphodèle crevait littéralement la dalle mais elle était trop fière et trop méfiante pour accepter de se faire donner l'aumône par une vieille inconnue mielleuse. Elle aurait préféré mangé des racines tient!

    Lily-Je suis pas sûre que...

    Mais un bon fumet de poulet rôti venait déjà chatouiller son appétit...












Prudence Slayers

Prudence Slayers


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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:04


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Bt0297 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Istorm56

William Slayers & Asphodèle Nospheratov


    Un compliment ! Elle lui faisait compliment ! Si si j’vous jure il y avait bel et bien un compliment dans cette phrase . Si on gratter un peu sous la surface il y avait un compliment. Si si. Ça sautait pas aux yeux mais il y en avait un. Ou du moins William le prit comme tel. Quelqu’un intelligent ! C’était son père ça. C’était tout ce qu’il retenu ne voyant pas l’ombre du sarcasme cette fois. Il valait mieux car…. Attendez elle venait de la traiter de crétin là non ??? Bien sûr qu’il était inteligent et qu’il tirait de son père. Qu’est-ce qu’elle croyait celle-là ? Bon ne répond pas Slayers. Ne répond pas évite de lui sortir un truc à toi doivent vachement être sympathique. Allez va. Elle n’en vaut pas la peine. Ils continuèrent toutefois leurs chamaillerie mais sur sur un autre sujet.

    Lily - « Une chance, ça nous fait un point commun en moins. »'

    Eh bin tant mieux ! Il manquerai plus qu’il lui ressemble et qu’ils aient des points commun . Vous imaginez si vous Asphodèle et William étaient deux copie conforme comme des siamois ou des jumeaux ??? Il Bin lui oui. Il imaginer la scène. Tout les deux habillé pareil. Pensant pareil. Parlant en même temps, disant la même chose. Ne faisant qu’un quoi ! Aaaaaaaaah mais Quel horreur ! Beurk beurk beurk ! Sort toi cette image de la tête Slayers . Puis aller encore une ou deux joutes verbales pour se distraire….

    William – « Non j’essaie de rattraper ton cotat . Sa va être dur »

    Lily – « Dans ce cas je vais être au regret de te dire que tu l'avais déjà largement dépassé en te levant ce matin. »

    Zen Slayers Zen. Le sang ça salit. Zen Zen. L’indifférence c’est pire que tout. Zeeeeeeen !!
    Puis vient l’écriture du livre. Et la déception….

    William – « Ta même pas écrit mon nom ??? Imagine que ça se réalise ??? Je serait « le garçon » !!
    Lily- « De quoi te plains tu? Ce n'est pas comme si j’avais écrit que tu n'étais même pas humain »

    Quoi ?????? Même pas humain ??? Non mais il aurait manqué plus qu’ça tiens !

    William – « On ne t’a jamais dit que le mensonge était un vilain défauts ? » fit-il en souriant de manière crispé pour ne pas changer.

    Puis ils se mirent en route.

    Lily- « Si seulement tu pouvais tombé dans un fossé ça nous débarrasserait de ta stupidité. Mais il n'y a même pas de fossé ici ! »


    Abbater la ! Non mais c’est possible ! Abatter la !

    William – « Non mais je peut en crée un pour pouvoir te pouser dedans. »

    Bon fort heureusement il arrivèrent devant une maison en pain d’épice et William fût plus intéréssé par les sucrerie que par Miss Casse-Couille. Peut-être trop.

    Voix « - Langue, langue lèche ! Qui donc ma maison lèche ? »


    Hein ? Quoi ? Comment ? Qui avait parler ? Susautant William arrêta d’arracher des sucrerie de la maison.

    Lily- « C'est lui. »

    William – « Non » fit-il en postillonnant des morceau de pain d’épice et en essayant de faire un sourire sans montrer les morceau, bien que c’était peine perdue vue qu’il avait la bouche pleine.

    COh la balance ! Elle pouvait pas tenir sa langue celle-là ? Non bien sûr que non. Il voit une manière de l’enfoncer de lui pourrir la vie alors elle saisit l’opportunité . Méchante ! Alors c’était comme ça ? Œil pour œil dent pour dent ? Ok . Mais elle ne perdrait rien pour attendre. Un homme un vrai viendra a bout de la reine des glaces il s’en fait la promesse. Bientôt elle lui mangera dans la main. Foie de Slayers.

    Bon quoiqu’il en soit pour l’instant le plus urgent et de savoir qui a parler. Woé parce que les voix c’est bien beau mais a part d’être Jeanne d’arc en général ya un tête et un corp accrocher. Ah bin voilà une veille dame avec un vieux baton de chêne. Elle a l’air gentille. Enfin elle fait décrépie et toute moisi mais… Non en fait William aime pas les grand-mère. Déjà en régle général elle pue, ensuite elles ont cette sale manie de vous pincer les joues et pour finir elles ne vous laissent rien faire. Bon par chance William n’a jamais trop vu ses grand parents à part peut-être du côté de sa mère mais il n’en garde pas un bon souvenirs. Chez les Johnes c’est plutôt bon chic bon genre et son meilleurs moment passer en leurs compagnie et une fricotage avec sa cousine Valendra en fait. Enfin bref, revenons en a la veille dame. Halucination ou Verveine semble aussi « ravi » que lui par la présence de la nouvelle venue ? Ah non non ça va pas ça. S’ils commencent à avoir des avis similaires ça va pas l’faire. Manquerai plus qu’ils finissent pas s’entendre ! Quel horreur !

    Vieux Machin – « Eh ! chers enfants, qui vous a conduits ici ? »

    William –« C’est elle » s’empressa-t-il de dire en designant Asphodèle du doigt avant de lui tiré la langue .

    Bin quoi ! C’est elle qui avait commencé ! Elle l’avait balançé alors il l’avait balançé. Puis c’était pas de SA faute s’il était là. C’était LE livre de Miss Froideur.

    Vieux Machin – « Entrez, venez chez moi ! Il ne vous sera fait aucun mal. Venez donc à ma table -quel bon repas je vais faire... »

    Oulà. « Bon repas » ? Il se méfie. Les vieilles en général ça mange de la soupe et des truc pas vraiment mangeable

    William – « Non merci moi et ma petite amie on a pas faim. Je suis déjà rassasiéer et elle se nourrit exclusivement de méchanceté et de la souffrance qu’elle inflige aux autres »
    fit-il avec un large sourire hypocrites.

    Un point partout. Quoi que non. Deux zéros. Woé deux zéro il est en tête. Il aurait peut-être dut compter les points depuis le début ? Ah woé merde. Oh et puis flute. Pas grâve. L’important c’est qu’il gagne.

    Lily-« Pardon ? »

    William – « La dame te demande si tu as faim » articula-t-il bien fort et regardant Asphodèle. Puis ce retournant vers la veille dame. « Excuse là, elle est un attardé mentale et un peu sourde. Mais ne vous en faite je veille sur elle » fit-il d’un ton faussement compatissant.

    Vieux Machin – « Entrez chez moi, entrez... »


    Bin en fait non il a pas trop envie. Pour être honnête la seule raison qui le pousserai a entré dans la maison ça serait pour embêter d’avantage Asphodèle car elle semblait pas ravis d’y aller. Réfléchis Slayers Réfléchis. 1/ Eviter de bavarder avec une veille dame gnangnante. 2/ Agaçait d’avantage Miss Je-Sais-Tout et manger. Hum. Dur choix. Aller va pour la 2.
    Lily-Je suis pas sûre que...

    William – « Oh sa va arrête ta chichi pompom. Franchement que veut-tu qui nous arrive de mal ? Puis… »

    William s’était tût, levant la tête vers le haut en sentant un délicieuse odeur de…

    William – « Poulet ! »


    Tirant Asphodèle par le bras, il se dirigea a l’intérieur de la maison…









The Changelin'

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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:05




    William – « Non mais je peut en crée un pour pouvoir te pousser dedans. »
    Lily-Bah tiens... commence à creuser tu me diras quand il faut que JE te pousse.', fit-elle d'un ton toujours aussi ignoblement détaché.

    Elle ne voulait même plus se donner la peine de se disputer avec ce que le malheur lui avait donné comme camarade d'infortune. Il ne valait vraiment pas la peine qu'elle s'intéresse à lui, plus que ça. La preuve en était, il ne savait même pas mentir:

    William – « Non »

    Non c'était évident. Ce n'était pas lui qui grignotait la maison même si il avait la bouche pleine de pain d'épice, le visage et les mains collés de miel. Mais enfin bon... La vieille dame commençait à leur poser beaucoup trop de questions. D'où venez vous? Qui ceci? Qui cela? Asphodèle n'aimait pas qu'on se montre si enthousiaste. Elle aimait la demi mesure parfois.

    William – « Non merci...

    Du merci, elle savait bien qu'il ne pouvait pas y avoir une aussi énorme dose de crétinerie dans un seul homme sans une microscopique lueur de quelque chose qui pouvait ressemblait à ... une lueur d'espoir?

    William-... moi et ma petite amie on a pas faim. Je suis déjà rassasié et elle se nourrit exclusivement de méchanceté et de la souffrance qu’elle inflige aux autres .La dame te demande si tu as faim » articula-t-il bien fort et regardant Asphodèle. Puis ce retournant vers la veille dame. « Excuse là, elle est un attardé mentale et un peu sourde. Mais ne vous en faite je veille sur elle »

    La mine d'Asphodèle se crispa avant de s'étirer en une espèce de sourire forcé. Là il dépassait carrément les bornes, c'était trop! Sa petite amie, c'était typiquement le genre de chose qui ne pourrait se produire que dans ses rêves. Et de quel droit lui parlait-il comme à une attardée de son genre?!! Elle ne pouvait pas tolérer ça.
    Elle glissa sa main dans celle de William pour apporter un tant soit peu de crédit à son mensonge ridicule, et au passage elle en profita pour lui écraser les doigts du mieux qu'elle pouvait et lui glisser un mauvais; tu me payeras ça!

    Elle ne savait même pas pourquoi elle le suivait à l'intérieur et d'ailleurs elle ne voulait même pas toucher à la nourriture contrairement à son acolyte qui lui se jeta sur tout les mets décidément très appétissant qu'on leur servait. Finalement, tandis que la vieille tenait à leur faire la conversation, pour les divertir sans doute, Asphodèle finit par mordre dans une belle cerise à la chair ferme. A partir de là, tout ce qui lui revint en mémoire ce fut: un énorme trou noir.

    Quand elle se réveilla le lendemain, elle sentit le soleil lui caresser doucement la joue avant de se rendre compte qu'elle était sur un truc pas confortable du tout. Ou plutôt qu'il y avait un truc qui gênait horriblement dans le lit, quoiqu'on aurait plutôt dit qu'elle dormait par terre. Comble de l'humiliation elle ouvrit les yeux immédiatement avant de s'apercevoir qu'elle était dans une cage à même le sol dans la poussière, et que le truc qui gênait c'était ce stupide gryffondor qui n'avait pas eu d'autres choix que de se coller contre elle vu l'étroitesse de la cage. Enfin ce n'était pas une cage c'était... le poulailler. Asphodèle était parfaitement dégoûtée par l'endroit, ça ne convenait pas du tout à qui elle était. Par réflexe et sans bien savoir pourquoi, elle vola le livre à William pendant qu'il dormait encore. De toute façon il valait mieux que ce soit elle qui l'ait.

    A te voilà réveillée paresseuse!


    Asphodèle tira immédiatement sa baguette, mais la sorcière l'empoigna par le col et la jeta hors du poulailler ce qui aurait été plutôt bien si elle n'avait pas été si rude. Asphodèle se dit qu'elle pouvait partir tandis que la sorcière jetait de la nourriture à William avant de refermer la cage en ricanant. Elle grommela quelque chose et commença à donner des ordres à Asphodèle qui ne le prit pas bien du tout. Il aurait été plus facile pour la jeune fille de s'échapper en douce mais la sorcière avait semblait-il tout prévu pour qu'elle ne puisse pas sortir du jardin, et elle se retrouva à faire les basses tâches pendant une bonne semaine, chose qu'elle détesta cordialement parce qu'elle n'aimait pas qu'on lui donne des ordres ni qu'on la voit comme un être inférieur.
    Il lui fallut beaucoup moins de temps que cela pour comprendre ce que la mégère voulait faire mais elle ne put pas une seule fois aller voir William dans le poulailler, sauf un soir que la vieille avait trop mal au dos pour lui porter à manger elle même:

    Lily-Elle essaie de t'engraisser pour pouvoir te manger après. Ne touche pas à ça gros bêta, la nourriture est enchantée exprès pour te faire envie alors à moins que tu n'es envie de finir en rôti il va falloir que tu en prenne le moins possible. J'ai remarqué qu'elle n'y voyait presque rien on pourrait peut-être s'en servir contre elle. Essaie e réfléchir à ça, moi j'ai pas le temps de me poser avec tout ce qu'elle me donne à faire.

    Et d'ailleurs...

    Pourquoi ça te prends tant de temps petite idiote!


    Lily- J'arrive (grogna-t-elle), au fait c'est moi qui aie le livre...

    Et Asphodèle était déjà repartie en se massant le bas de ses reins qu'elle avait quand même trop délicat pour mener tous ces travaux de ferme à longueur de journée. C'était une aristo pas une fille des champs. Si encore elle pouvait se servir de sa baguette, elle.




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Prudence Slayers

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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:05


    Un large sourire crispé apparut sur les lèvres de William tandis que Asphodèle lui écraser les doigts, glissant sa main dans la sienne pour faire croire a la vieille dame qu’il était un couple. Sur le coup, sentant ses doigt craquer il se dit que ça n’avait peut-être pas une bonne idée de dire ça mais après tout elle l’avait chercher.

    Quoiqu’il en soit, ils rentrèrent à l’intérieur tandis qu’il retira vivement sa main avant d’adresser un grand sourire hypocrite à Verveine. Gourmand et peu regardant William dévora tout se qui se trouver a porter de main mais il n’eut pas le temps de manger grand-chose car tout devient noir…

    Et c’est alors que les VRAI ennuis commencèrent…. William se réveilla le lendemain matin dans une cage sans vraiment comprendre se qui s’était passer. Pour lui tout ça c’était de la faute d’Asphodèle . La faute de qui sinon ? Quoiqu’il en soit les jours passèrent avec une lenteur désespérante et tandis que la jeune fille sortait jusqu'à jour pour diverse corvée, William rester enfermé avec de la nourriture a volonté. Il ne comprit pas bien pourquoi il était mieux traité mais il se dit que la vieille sorcière avait surement compris qui était le méchant de l’histoire bien que leurs hôte avait plutôt le bon profil. Quoiqu’il en soit un Slayers n’avait pas à être traité ainsi et chaque jours il penser a son évasion. A LEURS évasion . Et oui parce que même s’ils semblaient ne s’appréciaient guère pour rien au monde William ne la laisserai ici. Ils étaient arriver ensemble et ils repartiraient donc ensemble. Bon ok elle était agaçante mais… euh… en fait avec le recul il avait trouvait ça marrant. Quoiqu’il en soit, une semaine passa et il eut enfin l’occasion de revoir Asphodèle, alors qu’il commençait a s’inquiéter pour elle. Seulement peut-être. Après tout ils n’étaient pas amis.

    Lily-« Elle essaie de t'engraisser pour pouvoir te manger après. Ne touche pas à ça gros bêta, la nourriture est enchantée exprès pour te faire envie alors à moins que tu n'es envie de finir en rôti il va falloir que tu en prenne le moins possible. J'ai remarqué qu'elle n'y voyait presque rien on pourrait peut-être s'en servir contre elle. Essaie de réfléchir à ça, moi j'ai pas le temps de me poser avec tout ce qu'elle me donne à faire. »


    William grimaça réalisant qu’elle n’avait peut-être pas tord. Il fallait a tout prix qu’il évite de montré a la sorcière qu’il avait grossi car c’était évidemment le cas étant donné tout se qu’il manger. Il avait envie de discuter d’avantage avec la jeune métisse car cela faisait une semaine qu’il n’avait parlait à personne mais la vieille veiller.

    Lily- « J'arrive . au fait c'est moi qui aie le livre... »


    Ah d’accord ! Mince il aurait dût s’en douter. Jusque jours il l’avait cherché en vain. Profitant de son temps libre pour examiner chaque recoin de sa prison mais il était vite venue a la conclusion que la Sorcière l’avait confisqué a leurs plus grand malheurs. Mais apparemment c’était Asphodèle qui l’avait donc tout aller bien. Enfin… Il aurait était plus en sécurité avec lui, après tout ce n’était qu’une fille, mais c’était mieux que rien.

    William – « Asphodèle… »
    appela-t-il plein d’espoir mais elle était déjà partit. Dans son élan il continua toutefois sa phrase. « Est-ce que ça va ? … » termina-t-il d’un air penaud.

    Ce soir là, un peu plus tard, la veille sorcière ouvrit la cage et tandis le bras. William grimaça et se demanda ce qu’elle voulait tandis qu’elle tâter le vide. Repensant au parole de la métisse, il grimaça de nouveau comprenant qu’elle voulait savoir s’il était bon à manger. Jetant un œil sur une veille carcasse de poulet, il attrapa alors une veille os et le tandis a la femme. A moitié aveugle elle grimaça a son tour croyant qu’il s’agissait d’un garçon et elle referma la cage en pestant. Ouf il y avait échappé belle. Cela suffirait pour cette fois. Mais la prochaine ? Il fallait qu’ils trouvent une idée pour qu’ils sortent d’ici. Et vite…..









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    - tends tes doigts mon garçon, que je voie si tu es déjà assez gras.


    Et la sorcière de vérifier que William avait bien engraissé, avec tout ce que la petite métisse lui faisait comme cuisine... les mets les plus délicieux y passaient lait, sucre d'orge, beignets, pommes au four, noix, viandes rôties.
    La sorcière mettait assez du sien avec cette gamine pour savoir que le garçon était choyé pour ce qui était de la nourriture. Les enfants de nos jours rechignaient toujours à la tâche et c'était particulièrement lassant pour la vieille de toujours courir après sa servante pour vérifier qu'elle faisait les choses correctement. Après avoir donc renvoyé Asphodèle a astiquer le four, la sorcière vint voir William. Il faut qu'il engraisse. Quand il sera à point, je le mangerai avait-elle dit à Asphodèle. Donc elle venait vérifier que ses doigts étaient bien dodus, signe qu'il était effectivement à point. Mais, à son grand étonnement elle fut surprise de voir qu'il n'avait que la peau sur les os. Perplexe elle s'en retourna dans la maison en pain d'épice, ne s'expliquant pas ce mystère. Peut-être qu'il n'avait pas aimé les plats qu'on lui avait servis.

    Le lendemain matin, elle alla secoué Asphodèle dans sa paillasse encore plus tôt qu'à l'accoutumée:

    - Debout, paresseuse ! Va chercher de l'eau et prépare quelque chose de bon à manger


    Asphodèle grogna. Même en deux semaines, elle n'avait toujours pas prit l'habitude d'être traitée comme ça, et si seulement sa baguette avait fonctionné, elle aurait corrigé cette vieille comme elle le méritait sans égard pour le droit d'aînesse. Mais au lieu de ça elle du trainé les pieds jusqu'à la rivière, jetant au passage un petit coup d'oeil au poulailler où William dormait encore. Tout en chariant son eau elle se demanda s'il avait froid mais, sentant la morsure de l'anse de fer de son seau sur ses doigts, tous élans de sympathie (si s'en était vraiment) disparu définitivement. Pour elle non plus ce n'était pas drôle. Elle se retrouva donc à faire la cuisine pendant des semaines, variant les plats les plus divins qui lui passaient systématiquement sous le nez alors qu'à elle on ne donnait que de vieilles carapaces de crabes et d'écrevisses. La technique de William fonctionnait, c'était déjà ça mais au bout d'un mois ni lui ni Asphodèle n'avaient trouvé le moyen de s'échapper. La serpentard avait essayé de forcer le poulailler la nuit, mais il était fermé avec une magie que ni elle ni William ne connaissaient. Tout ce qu'ils avaient réussi à faire c'était réveiller la sorcière qui était alors entrée dans une colère noire. Avec ses mauvais yeux, la sorcière croyait vraiment que William n'engraissait pas du tout. Au bout de tout ce temps elle finit par perdre patience.

    Holà ! Asphodèle, dépêche-toi d'apporter de l'eau. Que le garçon soit gras ou maigre, c'est demain que je le tuerai et le mangerai.


    Ce qu'entendant Asphodèle se rappela ce que William avait dit quand ils étaient arrivés dans le livre. " T'as même pas écrit mon nom ??? Imagine que ça se réalise ??? Je serait « le garçon » !!". Tout en charriant ses seau d'eau, elle repensait à ça, craignant qu'effectivement les prévisions de William ne se soient avérées justes. Elle essaya bien d'en toucher deux mots au "garçon" mais la sorcière supervisait dorénavant tous ses faits et gestes. Son seul recours fut d'attendre le soir pour voir s'il y avait quelque chose d'écrit dans le livre. Elle attendit que la sorcière fut endormie pour se lever et sortir le livre de sous son matelas. Il lui fallut cependant se glissait jusque dans la cuisine où les braises du four produisait un peu de lumière. Tout était écrit là. Tout ce qu'ils avaient vraiment fait depuis leur arrivée. Apparemment l'histoire s'écrivait au fur et à mesure. D'ailleurs, une phrase était en train de s'écrire...

    Lily-...elle sortit de son sommeil, persuadée d'avoir entendu un bruit dans la cuisine...

    La suite racontait comment la sorcière se levait et trouvait Asphodèle avec le livre dans la cuisine. Par chance en lisant cela la jeune fille se faufila à pas de velours jusqu'à son lit de paille, le livre bien caché sous ses vêtements et la phrase se modifia légèrement comme la sorcière retourna simplement se coucher après avoir attiser les braises du four pour le grand festin du lendemain. Ils avaient vraiment eu chaud.

    Demain donc William "le garçon" serait mangé. Asphodèle ne pouvait pas s'endormir et penser à cela. C'était impossible. Non pas parce qu'elle sentait qu'il fallait qu'elle sauve William mais surtout parce qu'elle se disait qu'une fois que William serait mangé (l'idée lui fit quand même sentir un frisson d'horreur) se serait-elle qui prendrait sa place dans le poulailler et rien que cette perspective lui était insupportable. Elle dans un poulailler! Sans compter qu'elle n'avait aucune envie d'être mangée d'ailleurs. Elle finit quanf même par s'endormir percluse de fatigue à cause des tâches qu'elle accomplissait à longueur de journée. Le lendemain, elle se réveilla assez tard, faisant un bond dans son lit. Pourquoi la sorcière l'avait-elle laissé dormir pour cette fois? Son esprit encore endormi ne tarda pas à trouver une foule de raisons à ça. Et pendant qu'elle se précipitait dans la cuisine, elle avait déjà imaginé William sur la broche, ou alors la sorcière sur la broche ou encore un chasseur qui aurait pris la vieille pour un gibier et les auraient sauvé (enfin surtout William) à son insu. Mais rien de tout cela. La sorcière força sur ses yeux avant d'annoncer:

    Nous allons d'abord faire la pâte. J'ai déjà fait chauffer le four et préparé ce qu'il faut. Faufile-toi dedans ! et vois s'il est assez chaud pour la cuisson.


    Elle poussa Asphodèle qui venait de se lever vers le four béant d'où sortaient d'immenses flammes. Pas dupe pour un sou, la jeune fille comprit que finalement la sorcière avait décidé de lui épargner le poulailler en la faisant directement rôtir en hors d'œuvre avant de rôtir William à son tour. Il n'y avait pas vraiment le temps de réfléchir à un super plan de secours, Asphodèle dut improviser:

    Lily- - Je ne sais comment faire , comment entre-t-on dans ce four ? ', au passage ça lui écorchait la bouche de dire qu'elle ne savait pas, surtout qu'il ne fallait pas avoir fait Durmstrang pour comprendre ce que voulait la vieille en fait.

    - Petite oie, l'ouverture est assez grande, vois, je pourrais y entrer moi-même.


    Et la sorcière de passer la tête par la porte du four pour montrer à sa petite écervelée de servante. Ni une ni deux Asphodèle lui mit un coup de pied dans le derrière et ferma la porte du four sur la vieille tirant le verrou. La jeune fille se précipita alors à l'extérieur, assez horrifiée parce qu'elle venait de faire. Tuer quelqu'un avec un sortilège c'était quelque chose mais le faire rôtir vivant c'était carrément un acte de barbarie. Elle déglutit vaguement. Quand Enkil lui racontait ses exploits à la guerre elle trouvait toujours cela excitant, ne rêvant que de contrées lointaines et d'adversaires impitoyables mais là ce n'était pas pareil quand même. Elle passa sa main sur la petite chaînette d'argent qu'elle avait au cou se rappelant qu'elle était une Nospheratov et qu'en tant que telle, aucun de ses actes ne pouvaient être contestés. C'était comme ça, elle avait fait ce qu'il fallait faire. Elle releva fièrement la tête et sortit ouvrir à William.

    Lily-Allez sors on s'en va.

    Malgré tout elle avait quand même l'air de cacher quelque chose et sa façon de dire ça à William ne pouvait que laisser à penser qu'elle faisait l'impasse sur certains détails de l'histoire... mais elle préférait faire comme si de rien n'était. Elle avisa tout de même l'énorme pouler rôti qu'elle avait servi à William la veille avant d'ajouter:

    Lily-Non attends on prend ça!

    Elle retira sa robe de sorcière pour s'en servir de bagage à main et y enferma le poulet ainsi que quelques beignets qui ne faisaient pas encore trop la gueule. Sans attendre elle se mit en route, gobant presque un délicieux beignet au miel tellement elle avait faim. Ca lui permit de remarquer qu'elle n'était pas mauvaise cuisinière, bien qu'elle n'eut absolument pas l'intention de renouveler l'expérience. Son sac de nourriture à la main, le livre à sa ceinture, à côté de sa baguette inutile, elle se dirigeait donc droit vers la route de brique ocre qui s'enfonçait dans la forêt. Ce ne fut qu'après plusieurs jours de marche, qu'ayant épuiser leur réserve de nourriture, William et Asphodèle arrivèrent en vu d'un château. On voyait qu'après les fourrés le chemin se mettait à monter, monter encore à travers un jardin un peu en friche où quelques ronces se laissaient déjà deviner de loin et tout en haut de la colline, le château se dressait en flèches étincelantes. Voilà qui présageait d'hôtes civilisés pour Asphodèle. C'était une vision familière et rassurante aussi était-elle persuader qu'ils seraient bien reçus et que c'était là qu'ils devaient se rendre.

    Lily-Quand je leur dirais qui je suis ils ne pourront que nous faire bonne accueil tu verras.

    Il n'était pas question de demander son avis à William en fait, et d'ailleurs elle était déjà partie pour aller à ce château.

    Le Livre Dont Vous Etes le Héros. DLP











Prudence Slayers

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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:06


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William Slayers & Asphodèle Nospheratov

    Les jours passèrent et se ressemblèrent lamentablement. Chaque jours il échappe de peu à la mort, où plutôt ils car William était bien conscient qu’après lui viendrait le tour d’Asphodèle, grâce au stratagème de l’os de poulet mais ils n’avaient toujours trouver de solutions pour s’enfuir. Ils avaient déjà tenter une évasion mais elle avait lamentablement échouer. Malgré ça il continuer de sourire tout en se triturant le cerveau car il n’était pas du genre à se laisser abattre. Il fallait plus qu’une veille sorcière cannibale pour venir à bout d’un Slayers. Ils arriveraient à se sortir de se mauvais pas il en était certain. Le seul problème c’est que pour l’instant il ignorait comment . Un bon mois passa et fur et mesure William commençait à se dire qu’ils ne sortiraient jamais d’ici ou du moins pas tout les deux et il essayait dans sa tête un plan pour sauver Asphodèle, quand la demoiselle apparut d’un air précipité et ouvrit sa cellule. Il la regarda sans comprendre.

    William – « Qu’est-ce qui se passe ? » fit-il légèrement suspicieux.
    Lily-« Allez sors on s'en va »
    William – « Mais la sorcière… » observant la mine légèrement anxieuse de la métisse il comprit . « Oh… ».

    Sans plus attendre il sauta de la cage, ravie de quitter cet endroit désagréable et sans incriminé la jeune fille. Il n’avait aucune idée de se qui s’était passer bien qu’il était certain qu’elle s’était débarrassé d’elle mais il n’avait aucun reproche a lui faire. C’était eux ou elle. Et a choisir il préférait encore être en vie.

    Lily-« Non attends on prend ça! »

    Il esquiva un sourire. Elle elle n’avait eut la chance de manger comme une peine pendant un mois. D’un côté ça le faisait jubiler. D’un autre, la pauvre quoi. Après tout s’ils étaient libre a présent s’était un peu grâce à elle donc il n’allait pas la haïr éternellement. Cela pas qu’il l’appréciait. Non non bien sur que non. Seulement… a présent s’était différent voilà tout.

    Enfin bref, comme de véritable aventurier ils reprirent la route, dans le calme cette fois ne se chamaillant pas ou alors presque plus. William chanta, ou plutôt « meumeuma » quelque pas pendant le trajet mais Verveine contrôla ses pulsion et il finit par se tenir tranquille. Marchant encore et toujours ils finirent par arrivé vers un sorte de forêt et William regretta de pas avoir un fidèle destrier et un épée pour trancher quelque haute herbe. Marchant plus longtemps ils finirent quand même à arriver a un endroit dégager et ils se retrouvèrent nez a nez avec un splendide château.

    Lily-« Quand je leur dirais qui je suis ils ne pourront que nous faire bonne accueil tu verras. »

    William – « Hmm hmm. Si tu le dis » fit-il avec léger sourire hypocrite peu convaincu.

    Elle s’était pris pour qui ? La princesse de Russie ? Reine des glaces qui gouverne et donne des ordres a longueur de journée ? Elle était bizarre sa phrase et elle soulevait la curiosité de William car après tout il ne connaissait rien de sa collègue d’infortune. Peut-être qu’elle était une princesse ou quelque chose dans le style et qu’il n’en savait rien…. Quoiqu’il en soient ils se dirigèrent vers le château et William entra d’un air guilleret en laissant trainer son regard un peu partout.

    William – « You hou ya quelqu’un ??? You hou !! You hou on est là !!! You hou a quelqu’un ??? » Aucune réponse. Il se retourna vers Asphodèle, l’air penaud. « J’crois qui a personne ! »

    L’intérieur du château était magnifique ou plutôt avait était car il était tout recouvert de poussière et des drap autrefois blanc recouvrer la plupart des meubles. Il semblait évident que personne n’était venu depuis longtemps. Curieux, il toucha presque a tout, déplaçant quelque truc et éternuant même une fois à cause de la poussière. Marchant d’un pas prudent, laissant Asphodèle dans la pièce principale il finit par apercevoir un escalier en colimaçon qui semblait mener jusqu’a une tour. Comme attiré par une force invisible William grimpant les marches incapable de résister a l’attraction de la tour et plus curieux que jamais de découvrir se qui se trouvait en haut. Arrivant dans la petite tour, le jeune homme observa de nouveau les alentours. Tandis qu’Asphodèle le rejoignez après quelque minute s’étant sûrement rendu compte de son absence, son regard se perdit vers un fuseau. Dans un recoin de la pièce se trouvait une pancarte que William ne semblait pas avoir vu « Ne pas toucher » signer Aurore et son prince.

    William – « Oh une aiguille » fit-il comme s’il avait découvert la 8ème merveille du monde et à peine eut-il prononçait ses mots qu’il poser son doigt sur l’aiguille. La tête lui tourna alors…..









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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:06




    William – « Mais la sorcière…
    Lily-Elle n'était pas là quand je me suis levée, elle a du sortir tôt ce matin pour aller chercher du bois pour son sorcier farci...', mentit-elle.
    William-Oh..."

    Elle ne le regarda d'ailleurs pas dans les yeux comme elle inventait ce mensonge, trop pressée de laisser loin derrière elle les lieux de son forfait. Elle se contenta simplement d'afficher son air supérieur de petit chef, celui de d'habitude. Mais en même temps elle avait bien fait, enfin c'était ce qu'elle se disait. Et puis raconter que finalement un chasseur avait défoncé la porte de la maisonnette pour venir manger la sorcière n'aurait pas était très crédible. Ils reprirent donc la route.

    William- Trois kilomètres à pieeeeeeeeds... Chante la avec moi Asphodèle ! Trois kilomètre à pieeeeeeeds ça use...
    Lily- Il me semblais t'avoir dit de ne plus chanter.
    William- Je peux la siffler ?
    Lily- Non.
    William- Je peux la meumeumer ?
    Lily- D'accord...
    William- C'est vrai?!
    Lily-Non!
    William- Mm mmm mmmmm mmmmmm...

    Asphodèle grogna vaguement. Ce voyage allait être un vrai calvaire, surtout pour elle parce que pour William ça lui permettrait de retrouver sa ligne de sportif parce qu'encore un peu et il finissait en petit cochon de lait.
    Par chance donc, ils finirent par arriver en vu d'un château. Enfin un peu de civilisation! là au moins on les traiterait bien, enfin surtout elle mais elle en ferait bénéficier William aussi.

    William – « Hmm hmm. Si tu le dis »
    Lily-Sois moi reconnaissant je dirais que tu es mon valet!

    Elle n'allait quand même pas dire qu'il était de sa famille ni même de sa garde rapprochée, et d'ailleurs il n'avait pas d'armes sur lui. Ca aurait était très bête d'essayer de faire croire ça. Malheureusement William ne devait rien connaître à la bienséance car il la devança dans le palais, entrant comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Asphodèle en était désespérée.

    William – « You hou ya quelqu’un ??? You hou !! You hou on est là !!! You hou a quelqu’un ??? »

    Elle le rattrapa par le bras, l'attirant vers elle un peu brusquement:

    Lily-William! Tu fais trop de bruit!', puis s'adressant aux éventuels châtelains,' Messires? Y a-t-il quelqu'un ici pour me conduire à l'hôte de ces lieux? Je suis Asphodèle Nospheratov, fille de Vlad Alexandrei Nospheratov et...
    William- J’crois qui a personne ! »
    Lily- Ne m'interromps pas. Il n'y a personne.

    Il lui avait coupé la parole! Jamais personne avant lui ne lui avait coupé la parole elle trouvait ça horripilant. Il était évident qu'il n'y avait personne. Les lieux étaient grandioses et plein de lumière on se serait presque cru dans une église et...

    Lily-Mais ne touche pas à tout comme ça! Et qu'est-ce que... hey reviens ici, on a pas le droit! Attends moi!

    Asphodèle soupira longuement. Décidément ce William ne connaissait rien à rien. Il fallait qu'il touche à tout et qu'il visite alors qu'il ne savait même pas à qui appartenait ce château. Si ça se trouvait les châtelains étaient partis pour une chasse à courre et allaient revenir d'une minute à l'autre... il y aurait eu des domestiques tout de même. Asphodèle résolut finalement de rattraper William avant qu'il n'ait inventer une autre bêtise à faire. Elle ne couru pas cependant. Ca n'aurait pas convenu à son rang ni à son éducation de courir après un garçon.
    Justement, arrivant en haut d'un escalier à colimaçon très étroit, elle trouva William s'apprêtant à faire une connerie de plus:

    William – « Oh une aiguille »
    Lily-MAIS NE TOUCHE P...

    Elle se précipita vers lui pour l'en empêcher mais le doigt de William se posait déjà sur le fuseau. S'affaissant mollement , le garçon entraina Asphodèle dans sa chute et elle lui tomba dessus une fois de plus. Sur le moment elle râla, puis vit qu'il n'essayait pas de la pousser. Il dormait profondément, le visage détendu. Il paraissait beaucoup plus noble que quand il babillait des absurdités ou s'évertuait à faire toutes les conneries qui lui passait sous le nez.

    Lily-William? Ohoh William, debout!', elle le poussa du doigt avant de se mettre à le secouer franchement,'ah oui je trouve ça franchement drôle. Quand tu auras fini tes simagrées on pourra peut-être penser à sortir d'ici?

    Elle se releva pas du tout enjouée par la nouvelle blague de son camarade de mauvaise fortune. Elle attendit un petit moment qu'il réagisse, qu'il se trahisse, qu'il se passe quelque chose mais William dormait comme un bébé apparemment:

    Lily-William?', fit-elle légèrement inquiète avant de bousculer une pancarte près du fuseau.

    « Ne pas toucher »
    signé Aurore et son prince.


    Elle soupira. Oui ben ils avaient bien compris qu'il ne fallait pas toucher à ce truc. Enfin William n'était peut-être pas vraiment en état de comprendre là tout de suite mais Asphodèle si. Si encore cette fameuse Aurore avait mit un mode d'emploi sous son petit mot gentil! Encore une écervelée qui ne pense à rien, pensa Asphodèle. Elle se pencha vers William pour le secouer encore un peu mais rien n'y faisait. Elle ne pouvait quand même pas le laisser là par terre comme un nécessiteux alors elle le traîna sur le lit qui se trouvait tout au fond de la pièce et le hissa comme elle put sur le lit, poussant pour le faire rouler sur le côté puis pour le retourner afin qu'il soit sur le dos. Mais William ne bronchait toujours pas.

    Lily-Je sais qu'on ne peut pas se supporter mais ce n'est pas une raison pour me faire ça...',elle laissa passer un petit silence,' si tu ne te réveilles pas tu resteras coincé là pour toujours!', non ça non plus ça ne marchait pas.

    Elle s'assit sur le bord du lit, le menton posé au creux de ses mains. Tsss, il lui aurait tout fait quand même. Elle réfléchit un bon moment avant que la faim ne la pousse à aller explorer le palais visiblement vide. Elle trouva de quoi manger et aussi un bon lit pour dormir mais elle ne dormit pas beaucoup, peu rassurée. A deux on se sentait déjà moins à la merci de ce maudit bouquin. Le lendemain elle se leva très tôt pour aller secouer William en vain. L'idée lui vint d'essayer de lui mettre une gifle mais finalement elle se ravisa ne voyant pas en quoi ça serait plus efficace. Elle perdait patience! Oh et puis finalement ce n'était pas son problème tout ça! Elle se leva du lit de William et sortit du palais prête à reprendre la route. Elle reviendrait sur ses pas quand elle aurait trouvé la solution, elle en avait vraiment l'intention dans le fond.
    Il lui fallut marcher une bonne demie journée avant d'arriver dans un hameau où les villageois lui firent bon accueil, lui indiquant une taverne où elle pourrait trouver le gîte et le couvert. Mais Asphodèle n'avait d'argent.

    Le Tavernier- Allons pas même une pièce pour une poêlée d'oeufs bien frits?

    Asphodèle fit signe que non, sans insister et d'ailleurs elle n'avait rien demandé du tout, détestant la situation de précarité dans laquelle elle se trouvait soudain. Et d'ailleurs elle n'aimait pas être dépendante de la gentillesse des autres ni de quoi que ce fut.

    LeTavernier-Ben ça! D'où qu'tu viens La Belle?

    Asphodèle ne répondit pas, agacée par les familiarité de l'homme et aussi parce qu'il l'empêchait de réfléchir.

    LeTavernier- Si tu me fais la plonge je te sers le repas et le lit pour ce soir.
    Lily-C'est entendu Tavernier.

    Elle scella le marché d'une poignée de main et l'homme ne put que remarquer que sa peau satinée était celle de mains qui n'étaient pas habituées au labeur. Il la regarda un peu tandis qu'elle mangeait ses oeufs, les coupants en fine lanière avec le couteau qu'elle avait réclamé en surplus. A en juger par sa façon de se tenir et par quelques détails, il pensa que c'était une princesse perdue, ou qui désirait ne pas se faire connaître. Bientôt la nouvelle fit le tour du village et La Taverne se remplit car tout le monde voulait voir l'étrangère. Asphodèle ne prêta guère attention à cela et s'acquitta déjà de sa propre vaisselle ravie d'être arrivée juste assez tard pour avoir manqué la vaisselle du midi. Elle sortit de la cuisine s'essuyant les mains dans un torchon blanc avant de voir que tout le monde faisait mine de ne pas la regarder. Mais il préféra ne pas s'arrêter à ce détail. Après tout elle était habituée à être regardée, ne serait-ce qu'à cause de ses cheveux blancs immaculés.

    Lynette-C'est p'têtre ben une gens fay avec ces cheveux là et la peau si tânée!
    Jacot- Elle s'est essuyé les mains dans le torchon!
    Lucie-Pour sûr que c'est pas une fille d'ici.
    Anette-Ca se saurait!

    Et les chuchotis allaient bon train, puis finalement ce fut Asphodèle qui sortit de la taverne, insupportée par tous ces commérages. Elle alla s'assoir près de la fontaine, jetant un coup d'oeil à la route aux pavés ocres qui courrait jusqu'à se perdre dans une forêt très noire à la sortie du village.

    Libraire-Je t'ai vu venir par la route dorée. Est-ce que tu viens du château de la Belle aux Bois Dormant?

    Asphodèle regarda le vieil homme lui sourire, intriguée.

    Lily-Le château abandonné?
    Libraire-Oui oui c'est bien ce château.
    Lily-Est-ce que vous le connaissez?
    Libraire- Oh mais tout le monde le connait par ici. Tu n'es pas d'ici hein?
    Lily-Pas vraiment.

    Elle n'allait pas lui dire de but en blanc qu'elle était cincé dans un bouquin dont il n'était qu'un figurant parmis tant d'autre. Un personnage de fiction. Elle n'avait tout de même pas envie de causer une attaque à se pauvre vieillard, d'autant qu'il avait un métier honorable. Puis, il lui vint une idée en tête. Si il connaissait si bien le château, il allait peut-être pouvoir l'aider.

    Lily-Mon ami est retenu là bas, plongé dans un sommeil magique.
    Libraire-A-t-il touchait au fuseau de la princesse?
    Lily-Oui et je lui avais dit de n'en rien faire d'ailleurs. Il n'écoute jamais rien!
    Libraire-Pourquoi diable n'as tu pas embrassé ton ami?

    Asphodèle fit un bond sur le muret de pierre de la fontaine:

    Lily-L'embrasser?!!! Ah non, ce n'est pas ami dans ce sens là, William est une connaissance!', se défendit-elle.

    Le vieillard semblait pensif. Il laissa passer un petit moment avant de répondre à ça, perplexe.

    Libraire-Demain nous irons au château solitaire et je verrais ce que je peux faire pour ton ami...














The Changelin'

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PR. AZAEL VAN HELLSING
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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:07



    [...]

    Effectivement le lendemain, ils partirent aux aurores empruntant la route à rebrousse chemin pour Asphodèle. Le vieil homme avait emmené un livre et Asphodèle rien du tout puisqu'elle n'avait rien du tout.

    Libraire-Il est écrit là "Maléfice dit, en branlant la tête encore plus de dépit que de vieillesse, que la Princesse se percerait la main d'un fuseau, et qu'elle en mourrait..."
    Lily-Alors mon ami va mourir?!!', elle ne pouvait pas feuilleté le livre devant le libraire pour trouver une autre fin à l'histoire ou du moins en écrire une autre! Mais bien sûr c'était ça! Elle n'y avait pas pensé: il suffisait de l'écrire dans le livre et William se réveillerait!

    Libraire-Mais non mais non, écoutes donc la suite: "la jeune Fée sortit de derrière la tapisserie, et dit tout haut ces paroles : Rassurez-vous, Roi et Reine, votre fille n'en mourra pas; il est vrai que je n'ai pas assez de puissance pour défaire entièrement ce que mon ancienne a fait. La Princesse se percera la main d'un fuseau ; mais au lieu d'en mourir elle tombera seulement dans un profond sommeil qui durera cent ans, au bout desquels le fils d'un Roi viendra la réveiller..."

    Elle comprenait mieux pourquoi il lui avait dit qu'il fallait embrasser William mais Asphodèle préférait le laisser dormir cent ans et qu'il se réveille de lui même que de posait ses lèvres sur celles du garçon, où de n'importe qui d'ailleurs. C'était trop... écœurant.

    Ils arrivèrent enfin en vue du château et Asphodèle conduisit le libraire à la chambre où se trouvait William. Il fit mine de l'examiner puis ayant discrètement déranger le tapis près du lit du garçon sans que la jeune fille ne s'en aperçoive, il prétexta d'avoir besoin du grand air pour réfléchir et ressorti, laissant Asphodèle seule avec William. La belle aubaine, elle allait avoir tout le loisir d'écrire la suite de l'histoire comme bon lui semblait. Pas de baiser. Pas d'enfants à la fin ni rien. Juste...

    "... et il se réveilla alors, tiré des bras de Morphée par la sensation d'une présence dans la petite chambre."

    Le livre absorba son écriture et... rien ne se passa. Elle avait peut-être mal formulé quelque chose, l'endroit où ils se trouvaient n'était peut-être pas vraiment une chambre.

    "... et il se réveilla en sursaut, tiré des bras de Morphée par un affreux cauchemar..."

    Au moins là, il n'y avait pas de risque de s'être trompé en quoi que ce fut. Mais pourtant rien ne se produisit de plus que la première fois. Lassée et passablement irritée par ses échecs à répétition, Asphodèle se leva bien décidée à ce que le libraire ait trouvé quelque chose ou à s'en aller pour de bon cette fois. C'est alors qu'elle se prit le pied dans le plis du tapis, que le libraire avait fait en poussant le tissus de son pied tout à l'heure. Elle trébucha et tomba directement sur le lit, nez à nez avec le Bel aux Bois Dormant. Une telle proximité la mit un instant mal à l'aise puis elle se rappela l'histoire que lui avait lu le libraire en chemin et le baiser.

    Allons Asphodèle ce n'est qu'un baiser après tout, se disait-elle toujours sans avoir bougé, ses lèvres à à peine quelques centimètres de celle de William. Mais elle ne pouvait pas s'y résoudre et un autre problème se posait, enfin deux même: elle ne savait pas comment on faisait et elle n'était pas amoureuse de William. Donc ce n'était pas elle qui allait pouvoir lui poser un baiser d'amour sur les lèvres. Il lui vint alors une idée. Elle observait William depuis quelques minutes déjà, remarquant peut-être pour la première fois qu'il était tout même très beau et qu'il avait tout à fait le type de physique que l'on peut imaginer à un prince ou un héros. Et de surcroît il sentait très bon en fait même si Asphodèle s'était plainte de son parfum la première fois.
    Elle se releva d'une traite, aplanissant le tapis avant de dévaler les escaliers pour rejoindre le libraire qui s'était attendu à la voir revenir avec le garçon comme Asphodèle devait le découvrir plus tard en relisant le livre:

    Lily-J'ai trouvé!!! On va faire savoir dans tout le royaume qu'il y a un prince endormi dans le château solitaire et que seul un baiser d'amour de la plus belle des femmes pourrait le réveiller!

    Le vieux libraire réajusta ses lunettes sur son nez en regardant la jeune fille, pas vraiment convaincu. Puis il secoua la tête la laissant passer devant toute enjouée par son idée. En arrivant au village, Asphodèle alla tout de suite demander au tavernier si leur accord pouvait tenir pour plus longtemps finalement, ce qu'il accepta. Puis elle se mit directement au travail: c'est à dire dessiner un portrait de William en grand, aussi fidèle que possible. Elle y passa l'après-midi, s'appliquant à chaque détail jusqu'à ce que ça lui paraisse assez fidèle. Puis l'heure vint d'aller s'acquitter de sa dette envers le tavernier et elle dut laisser son dessin achevé sur la table de nuit. Elle avait ajouté une légère barbe de trois jours à l'adolescent pour lui donner un air plus mature et une fous que ce fut fait elle se félicita de son travail. William avait quelque chose de tout à fait irrésistible sur son dessin. Quand le dernier client fut parti, elle se remit immédiatement à son idée. Elle sortit sa plume et commença à écrire au bas du dessin en belles lettres calligraphiées, très lisibles:

    Avis aux 12 royaumes,

    William, Prince du Château Solitaire
    prendra pour femme celle qui par un baiser d'Amour
    de son sommeil enchanté le tirera.



    C'était assez simple, clair et concis mais c'était suffisant. Elle s'occuperait du problème des épousailles de William plus tard, car en vérité il n'était pas vraiment question qu'il se marie, enfin sauf si il y consentait mais Asphodèle pariait que non. Simplement parce qu'il ne faisait jamais rien selon le plan, ce que pour une fois elle comprendrait tout à fait. Le lendemain donc elle alla à la librairie pour qu'on lui fasse des copies de son placard, puis elle commença à en donner aux gens et surtout à ceux qui s'apprêter à aller dans d'autres villes pour affaires ou autre. Il fallait que sa circule. Ensuite il n'y avait plus qu'à attendre.
    Il passa une semaine avant qu'une pauvresse vint se présenter à la taverne pour embrasser le prince William. Bien entendu comme personne n'avait jamais entendu parlé de ce prince avant, la presse était difficile à faire passé et tout le monde s'en moquait. A contre coeur, Asphodèle conduisit la fille jusqu'au château solitaire. En chemin, elle lui posa plein de questions et la bougresse de lui en retourner autant. Visiblement, le grande beauté du prince William l'avait charmé au point qu'elle ne veuille plus vivre de ne l'avoir embrassé une fois au moins. Asphodèle ne comprenait pas bien, mais elle était fière que l'on s'extasie à un point si ridicule fut-il sur son portrait de William. La pauvresse s'appelait Lison. Elle était assez jolie sous son visage sale. En chemin, les deux filles rencontrèrent une baronne qui se faisait escortée pour rencontrer un enchanteur dans la forêt qui se situait après le village. Elle leur demanda ce que toutes deux faisaient là d'un ton assez pédant. Cependant quand elle eut entendu l'histoire du prince William et qu'elle eut vu le portait que la pauvresse avait gardé sur elle (au lieu de faire passer, pensa Asphodèle), elle voulut voir le prince de ses yeux et demanda qu'on la laisse l'embrasser la première, considérant les égard qui lui était du. Asphodèle ne se fit point prier et même elle en profita pour regarder comment l'on s'y prenait, ce qui ne lui fit pas plus envie d'essayer par elle même.
    Mais ni Lison ni la belle baronne ne purent réveiller William.
    Le jour suivant, des dizaines de femmes arrivèrent au village demandant à être conduites au château solitaire. Elles étaient si nombreuses qu'Asphodèle se dit qu'elle pouvait bien se permettre de trier et elle n'accepta bien entendu que celles qui étaient princesses en leur royaume et pouvaient le prouver. Apparemment la pauvresse et la baronne avait beaucoup parlé et la douceur des lèvres du prince William faisait le tour du pays, réveillant les épouses toutes honteuses dans le lit de leur mari. De plus en plus de copies du décret circulaient dans les 12 royaumes donc. Toutes les princesses défilèrent, puis les duchesses et les baronnes, les comtesses, les plus belles filles des plus riches marchands puis enfin les plus belles filles tout simplement fussent-elles filles de croquants ou filles de paysans. Toutes y passèrent, princesses brunes, rousses, blondes, châtaignes, petites et grandes, Cendrillons délicates, Blanche Neiges effrontées, Belles infidèles, Chaperons intimidées, toutes absolument toutes. Mais même après un mois de baisers tous plus tendres et plus amoureux que les autres, nulle n'avait su émouvoir le prince William.

    On se lamentait dans les campagnes comme dans les châteaux et Asphodèle voyait de plus en plus son échec lui cuire:

    Lily-Toutes les femmes du pays même les filles du village y sont passées! Pour diantre ne se réveille-t-il pas?
    Libraire-C'est qu'il y en a une qui n'a pas tenté sa chance...', suggéra le libraire.

    Le regard d'Asphodèle s'illumina un instant avant qu'elle ne comprenne qu'il ne faisait pas référence à une femme qu'elle aurait oubliée mais à elle même.

    Lily-Il n'en est pas question et d'ailleurs c'est un baiser d'amour qu'il faut, pas un baiser répugné...

    Ils ne reparlèrent plus de ça et d'ailleurs Asphodèle ne revint pas à la libraire pendant un long moment. Une nuit, elle sortit de la taverne pour aller voir William, peut-être que cela l'aiderait à réfléchir à une autre idée. Elle prit le cheval que la princesse d'elle-ne-savait-plus-quel-coin lui avait donné pour passer la première et se rendit au château solitaire. De l'extérieur elle vit qu'il y avait de la lumière dans la tour de William. Elle se précipita dans la chambre ou William reposait, toujours aussi serein.

    Tu en as mis du temps...


    Asphodèle sursauta cherchant d'où venait ce timbre cristallin et tintant. Elle jeta un coup d'oeil à William qui avait l'air d'aller bien mais préféra s'approcher pour vérifier s'il respirait toujours.

    Lily-Qui êtes vous? Montrez vous?

    Une toute petite luciole approcha d'Asphodèle. Son nom était Mélusine, c'était elle la fée qui avait permis que la princesse aurore ne meure pas mais s'endorme. Elle était venue voir ce qu'il en était du prince William:

    Ne sais tu donc pas que c'est de toi dont doit venir le baiser?


    Lily-Si mais je ne peux m'y résoudre, et je ne saurais lui donner un baiser d'amour par ailleurs.

    N'as tu pas quelque amitié pour lui pour ne pas le laisser dormir d'un sommeil de cent ans?


    Asphodèle ne voulut pas répondre à cette question mais la fée comprit. Elles restèrent un instant sans se parler au chevet de William puis Asphodèle eut une idée (encore une!):

    Lily-Tenez bonne fée, prenez ce livre et écrivez-y que je me mets à ressentir pour le garçon un amour comme le monde n'en a jamais connu. Ne changez pas un mot de ce que je viens de dire, c'est important.

    Cela ne marche pas ainsi. Il faut que tu aie le courage de tes actes et que tu agisses de ta propre volonté


    Lily-Mais c'est bien ce que je fais. Je n'ai pas de baiser d'amour à donner mais j'ai assez d'amitié pour vous demandez de m'enchanter le temps que je rompe le charme. Croyez moi, même si j'en été amoureuse éperdue je ne l'embrasserai pas, parce que ce n'est pas dans mon éducation ni dans mes habitudes.

    Et que se passera-t-il ensuite?


    Lily-Il rompra le charme qui me tiendra à son tour, je ne vois que ça.

    La fée hésita un instant mais elle dut convenir que cette princesse là avait du style et la tête bien dure. Alors elle écrivit ce qu'avait demandé Asphodèle. Et alors instantanément la jeune fille sentit un changement en elle, elle se sentit fragile et pleine d'une énergie nouvelle puis son regard se posa avec douceur sur le garçon endormit et elle en ressentit un plaisir tel qu'il lui fit monter le rouge aux joues. Toujours lucide, elle savait ce qu'elle avait à faire mais ce qu'elle ressentait, bien qu'elle sache que c'était artificiel, était si puissant et si agréable qu'elle ne pouvait luter contre. Ce que voyant, la fée satisfaite s'éclipsa, devinant que sa princesse avait besoin de plus d'intimité que cela même pour un simple baiser d'Amour. Mais Asphodèle était toujours autant intimidée par William et elle avait si chaud soudain en s'asseyant dans le lit à ses côtés... elle croyait qu'elle n'y arriverait jamais. Mais l'amour qu'elle ressentait était plus fort et elle ne pouvait pas laisser un être tant aimé prisonnier de ce charme terrible alors elle se pencha et tout doucement ses lèvres effleurèrent celles de William, avec une retenue timide, maladroite et charmante. Elle allait se retirer donc...












Prudence Slayers

Prudence Slayers


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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:08


Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Bt0527 Le Livre Dont Vous Etes le Héros. Istorm45

William Slayers & Asphodèle Nospheratov


    Lily-Sois moi reconnaissant je dirais que tu es mon valet!
    William – « Tu rêve je ne suis le valet de personne. Je serai ton roi »

    Ils arrivèrent alors aux château où ils espéraient rencontré des gens…

    Lily – « ' Messires? »

    Messire ? Non mais elle avait craquer. C’était quoi cette façon de parler ? Elle se croyait au moyen âge ? Plus personne n’utiliser le mot « messire » ! Bientôt elle allait faire la révérence et offrir des choses en offrande au dieu ou un truc comme ça. Quoique en cas de pépin des offrandes étaient une bonne idée et il savait d’avance quoi donner : Asphodèle ! Bien oui c’est bien connu les Dieu aime les vierges et la demoisselle avait l’air de tout sauf d’une pétasse aux jambe écarté. Quoiqu’il en soit elle continuer de parler de façon beaucoup trop pompeuse a son gout et il l’interromptis.


    William- « J’crois qui a personne ! »

    Lily- « Ne m'interromps pas. Il n'y a personne. »
    William – « C’est c’que j’viens d’dire . »
    Lily-Mais ne touche pas à tout comme ça! Et qu'est-ce que... hey reviens ici, on a pas le droit! Attends moi!

    Qu’est-ce qu’elle avait dit déjà ? Oh rien. Sûrement rien d’important. Quoi qu’il en soit il grimpa l’escalier en colimaçon, se fichant bien de la laisser en bas mais pire que la glue elle lui colla aux basques. Arrivant au somment de la tour il vit un truc brillant tandis qu’Asphodèle le rejoignait. Captivé par l’aiguille il ne pût s’empêcher de la toucher….

    ____________________________________
    Lorsque William reprit connaissance mentalement sans toutefois ouvrir les yeux il sentit sur ses lèvres quelque chose de délicat et pure au goût exquis qu’il s’assura avec délice et dont il n’avait plus envie de séparé. Voilà pourquoi instinctivement il étendis les bras qu’il entoura autour de la fille de ses rêves, la serrant dans ses bras et l’empêchant ainsi de partir. William avait l’impression de dormir encore tellement le baiser était irréaliste et agréable. La belle inconnu sans visage parce qu’il n’avait pas encore ouvert les yeux, n’ayant pas envie de se sortir de se rêve, avait un net savoir faire évident et embrasser à merveille. Faisant preuve même lui de ces talents il fit glisser délicatement sa langue dans la bouche de la demoiselle pour l’embrasser avec passion. Ne voulant pas se décoller de ses lèvres au doux gout de mûre sauvage, le baisser durant un temps conséquent. 3minute peut-être plus. Allez savoir. Le temps semblait s’être arrêté et William était bien certain d’être encore au pays de songe tellement leurs étreinte étaient agréable. Puis il rouvrit les yeux….

    Et là ce fût le drame ! Le jeune homme se raidit alors compte de qui il venait d’embrasser et apercevant le visage de Verveine aussi près du sien et fût des plus surpris et malgrè il eut un geste de recul et tandis les bras en avant pour la pousser comme si elle avait la peste. Asphodèle avait toujours les yeux fermé, encore accroché a leurs baiser et apparemment aussi satisfaite que lui et déstabiliser par le geste brusque de Will elle perdit l’équilibre et se retrouver au sol. Pendant ce temps là William baissa les yeux vers son corps afin de vérifier qu’il porter encore ses vêtements. Qui sait peut-être qu’elle avait essayer de le violer pendant qu’il était endormi. Mais non il n’avait rien. Essayant de se remettre du choc qu’il avait vécu, William se leva du lit tandis qu’Asphodèle faisait de même. Elle le regardait avec un drôle d’air ahurie et il leva un sourcil sceptique ne comprenant pas où elle voulait en venir.

    William – « Qu’est-ce qui a ? Tu jubile parce que t’a abusé de moi quand j’pouvais pas me défendre c’est ça ? » fit-il légèrement sur la défensive mais surtout blazé.

    Blazé parce que si elle voulait un baiser elle n’avait qu’a le demander ! Il lui aurait volontiers donner. Bon d’accord elle l’agaçait mais il était de nature généreuse mais il voulait se sacrifier si cela pouvait la rendre moins coincé. Mais non au lieu de ça elle avait abusé de lui et elle avait pris les devants, le dominant presque. Il avait horreur de ça. Quoiqu’il en soit Asphodèle continuer a sourire niaisement et il commençait à trouver ça vraiment bizarre. Elle s’était peut-être fait une commotion en tombant du lit. Aller savoir.

    William – « T’es sûr qu’sa va ? »

    « Qu’est-ce qu’il est beau. Et ses yeux waw ses yeux. On dirait qu’il y a de l’or dans ses yeux. Ses pupille brille encore plus que les étoiles »


    William tressaillit en entendant cette voix et se retourna pour en chercher la provenance . Le son lui était familier mais c’était étrange et il n’avait pas l’impression que quelqu’un dans la pièce eut prononcé ses mots. De toute façon il n’y avait que lui et Asphodèle dans la tour. Asphodèle qui semblait le regarder comme si il était un gros steak saignant ou du poulet rôti .

    William – « Ta faim ?
    » dit-il innocemment.

    « Est-ce qu'il se préoccuperait de moi ? »

    William sursauta de nouveau en entendant encore la voix et chercha de nouveau de quelqu’un en vain avant de se retourner vers la métisse avec un air des plus surpris réalisant qu’elle chose. La voix avait répondu exactement à sa question. S’ayez il savait pourquoi le son lui avait paru familier . C’est la voix d’Asphodèle ! Oh plutôt… SES PENSEE ! Il entendait ses penser !

    William – « Oh putain de merde ! »









The Changelin'

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PR. AZAEL VAN HELLSING
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► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:08




    Elle tressaillit cherchant à se dérober quand elle sentit les bras de William se refermer sur elle avec une douceur calculée. C'était son tout premier baiser et il lui nouait l'estomac, accélérant le rythme de son coeur au point qu'elle aurait pu en défaillir. Puis il glissa sa langue dans sa bouche, elle fut surprise mais se laissa faire pourtant, succombant presque de plaisir et d'amour mêlé. Et là...
    Expérience traumatisante, le garçon la repoussa brusquement et elle tomba au sol manquant de se faire mal. Par chance tout ce qui lui fit mal en même temps qu'elle se relevait c'était son coeur brisé. Mais Asphodèle était une jeune fille d'une grande noblesse et elle ne s'abaisserait pas à pleurer si blessant fut le geste de William. Plus le temps avancé, moins elle se rendait compte que tout ce qu'elle ressentait été artificiel et être rejetée comme ça lui faisait si mal qu'elle en oubliait le reste. Ell le vit s'observait comprenant sans bien savoir comment qu'il imaginait des choses immondes et elle se sentit insultée, mais le pompon:

    William – « Qu’est-ce qui a ? Tu jubile parce que t’a abusé de moi quand j’pouvais pas me défendre c’est ça ? »

    Elle lui lança le plus mauvais regard qu'il eut jamais eu a recevoir je pense. Un regard noir ténèbres légèrement scintillant, de larmes peut-être? Elle approcha de lui de cette démarche si altière qu'elle avait, parfaitement princière et lui colla un revers avec tout l'amour qu'elle pouvait avoir dans son coeur, lui tournant ensuite le dos pour ne plus le regarder.

    William – « T’es sûr qu’sa va ? »

    Elle ne répondit rien toujours furieuse mais elle ne pouvait s'empêcher de se souvenir à regret:
    « Qu’est-ce qu’il est beau. Et ses yeux waw ses yeux. On dirait qu’il y a de l’or dans ses yeux. Ses pupille brillent plus encore que les étoiles ». En temps normal une telle pensée ne lui aurait même pas traversé l'esprit. Quoiqu'il en fut, elle se ressaisit, ne voulant plus écouter cette amour qu'elle avait en elle et qui la faisait si injustement souffrir.

    William – « Ta faim ?
    « Est-ce qu'il se préoccuperait de moi? »
    Lily-Je n'ai pas faim. Je vais me coucher, bonne nuit William.',fit-elle assez froidement.

    Elle ne voulait pas souffrir d'avantage de la présence de William et sentir tout ce dégoût qu'il avait d'elle aussi clairement que si elle avait pu lire ses pensées. En sortant de la chambre de William, elle emporta le fuseau (pour éviter tout autre accident) mais laissa tomber un carré de parchemin. Celui là même qui avait attiré tant de femme dans cette contrée, pour lui et lui seul. Oubliant même le livre qu'elle avait jusque là tenu intimement près d'elle, elle descendit les escaliers pour aller se trouver une chambre, loin de celle de William. Il n'était plus l'heure de rentrer au village et d'ailleurs un violent orage avait éclaté au dehors. Ils iraient demain.
    Elle s'installa sur le lit le plus étrange du monde. Il y avait au moins vingt matelas empilés les uns sur les autres et encore couvert de vingt édredons d'eider. Asphodèle se dit que ce serait sans doute le meilleur lit du monde et que cela lui mettrait un peu de baume au coeur de sentir tant de confort. Elle s'étendit donc et ressentit alors une gêne encore plus oppressante qu'avant de s'allonger, comme si maintenant en plus de son coeur, c'était son corps qui la torturait aussi. Elle se mit à pleurer en silence, comme une vraie princesse de Durmstrang qu'elle était.
















Prudence Slayers

Prudence Slayers


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Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 20 Nov - 20:10


    Lily- « Je n'ai pas faim. Je vais me coucher, bonne nuit William. »

    N’importe quel garçons aurait était heureux de se faire embrassé et peu leurs auraient importé de savoir si la fille le détesté ou non. Mais William n’était pas « n’importe quel garçon » ! Il était lui avec son cerveau qui tourner beaucoup trop et ses réaction bizarre. Alors il est vrai que c’était complètement stupide et inattendue de pousser Asphodèle alors qu’elle lui offrait un geste tendre et que dans les conte de fée la princesse ne se met pas à repousser son prince, mais il avait était surpris. Surpris d’aimer ça et de peut-être découvrir qu’il tenait d’avantage à elle qu’il ne l’aurait cru. Comment expliquer sinon qu’il est a ce point apprécier leurs baiser ? Non c’était impossible. Elle ne pouvait pas réellement lui plaire alors qu’ils se connaissaient à peine. Enfin à peine… Pas vraiment. Cela faisait au moins trois bon mois qu’ils étaient coincé à l’intérieur de se livre à présent et ils avaient quand partager beaucoup de truc bien qu’il avait dormi durant la moitié de l’histoire. Et voilà ! Il se remettait à cogiter pour rien. Pas étonnant qu’il ai des réactions aussi stupide avec un esprit aussi confus. Mais il faisait tellement d’éffort pour ne rien laisser paraitre de se qu’il ressentait et se montrait le plus insupportable possible que bien sûr Asphodèle ne pouvait pas deviner qu’il ne l’avait pas repousser car elle ne lui plaisait pas ou pour la blesser. Si seulement elle aurait pût lire dans les penser….

    Son regard se posa alors sur le papier de parchemin qu’elle avait laisser tomber et il le ramassa. Il eut un léger sourire en observant le dessin si parfait, la gravure devait sans aucun doute avoir était faite par Asphodèle. Il l’avait blesser il en avait conscient mais apparemment on n’a jamais besoin d’un retourneur de temps lorsque l’on en a besoin. Complètement inutile ce genre d’objet ! Elle était partit se coucher et il ne savait plus vraiment quoi faire ou quoi dire. Pas facile d’entendre les penser d’Asphodèle parce que maintenant il avait l’impression de mieux la comprendre. Et le pire dans tout ça c’est que… elle lui ressemblait ! Qu’est-ce qu’il se sentait con d’avoir réagit ainsi. S’il n’avait écouter que son cœur il sera aller immédiatement lui faire des excuses. Mais il n’était jamais sa cœur mais sa tête et sa tête lui disait qu’il avait sa fierté. S’il lui présenter des excuses elle se servirait de ce geste de faiblesse contre lui plus tard à coup sûr. Non il ne pouvait décemment pas faire ça. Ça aurait était stupide et…. Oh et puis flûte ! Le lendemain il ferait tout pour se faire pardonner.

    La nuit passa alors et le lendemain matin William descendit aux aurores afin de se rendre dans le jardin. Il cueillit une magnifique Rose rouge et rentra afin de trouver la cuisine. Au bout de quelque minute il la découvrit enfin et sifflotant il commença a préparé le petit déjeuner. Lorsque tout fût près, il mit tout sur un plateau et chercha la chambre où pouvait se trouvait Asphodèle. Poussant doucement la porte de la première pièce venut qui se trouvait dans le noir, il l’appela.

    William – « Asphodèle ? »


    Apercevant une masse coucher sur le lit, il entrouvrit d’avantage la porte et entra, un certain remord se lisant sur son visage bien qu’il semblait joyeux.

    William – « Je t’ai apporté le petit déjeuner » dit-il fièrement en lui montrant le plateau, la magnifique rose se trouvant dessus, sous un globe en verre comme pour protéger sa beauté de la poussière.









The Changelin'

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PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 4 Déc - 23:16



    William – « Asphodèle ? »

    Elle ouvrit un oeil rougit. Non seulement elle n'avait pas dormi de la nuit, mais elle avait si mal partout qu'elle avait l'impression d'avoir été rouée de coups pendant la nuit. Et d'ailleurs elle ne voulait pas non plus voir William, entendre sa voix lui rappelait suffisamment ce stupide sentiment qui l'avilissait. Il n'y avait rien de plus détestable que l'amour, elle ne comprenait même pas que tant de pauvres filles se soient précipitées dans l'espoir de le trouver ici avec un inconnu.

    William – « Je t’ai apporté le petit déjeuner »

    Elle ruminait et d'un autre côté elle avait encore ces stupides pensées. Il était venu jusque là rien que pour elle. Foutaise. Il était venu là parce qu'il avait mauvaise conscience. Mais c'était quand même rien que pour elle. Elle se redressa dans le lit, douloureuse, une grimace lui barra le visage tandis que comme à son habitude, elle défaisait la longue natte qui gardait ses cheveux en ordre pour la nuit. Elle regarda le plateau de déjeuner et se sentit littéralement fondre à cause de la rose. C'était d'un mièvre! Furieuse, elle se leva d'un bond, et s'adoucit à la seconde où elle posa ses yeux sur le garçon. Une vraie schizophrène, si elle s'était vue.

    Lily - Ooooh c'est trop... Non mais je rêve!! Tu comptais vraiment te faire pardonner ton caractère odieux d'hier avec... une rose? et un petit déjeuner sur plateau d'argent! Même pour un valet tu dépasses les bornes... mais c'est vraiment trop gentil fallait pas, je sais pas quoi dire.... Rhaaaa!!

    Mais qu'est-ce qu'il lui prenait! C'était quoi cette blague? C'était ce maudit bouquin. Il fallait vraiment être stupide pour avoir voulu sauver ce type! Comment n'avait-elle plus pensé à ça. Elle planta Will sur place furax, et remonta tous les escaliers quatre à quatre pour retrouver le bouquin. Elle trouva le livre exactement là où elle l'avait laissé tombé - la preuve que ce William Slayers ne pensait vraiment à rien, comment pouvait-on être si...beau... non bête! Elle redescendit comme une furie et lui colla le livre dans les mains:

    Lily - Ecoutes...je suis amoureuse de toi... Rhaaa mais c'est pas ce que je voulais dire! Enfin si. Si, c'est exactement ce que je voulais dire', elle se massa la tempe une seconde, ce sentiment ridicule prenait des proportions vraiment démesurées...tu vois j'ai du être amoureuse de toi pour réparer ta stupide bêtise mais c'était pas de ta faute tu pouvais pas le savoir... mais bien sûr! que c'est de ta faute! Il faut vraiment être bête je te jure. Enfin tu vas écrire dans ce livre que tu romps le charme que la fée m'a jeté et que Asphodèle - et t'as pas intérêt de faire une faute c'est avec un A à l'initiale ensuite S.P.H et certainement pas F, O.D.E accent grave L.E, tu as bien noté? , donc tu écris qu'Asphodèle n'est PAS amoureuse de toi, et qu'elle redevient... comme elle était avant de devoir te sauver la vie!

    Il lui vint à l'esprit de le menacer de l'embrasser mais tout aussi vite, elle déduit qu'une idée aussi sotte ne pouvait que venir du charme du livre et non d'elle. Elle n'avait jamais d'idées sotte elle. En attendant qu'il s'exécute (ce qu'il avait intérêt de faire) elle s'assit sur le lit, respirant le parfum de la rose et se mettant à déjeuner, histoire d'oublier les bleus qu'elle devait avoir sur les reins à cause de cet abominable lit! Elle n'en revenait pas de tout ce qu'elle avait été obligée de faire depuis le début de cette histoire ridicule. Voilà qu'elle se remettait à le regarder en battant des cils. Vite, qu'il se dépêche...












Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 11 Déc - 12:33


    Il était en train d’assister à une pièce de théâtre ! C’est ce que William se dit et ce que cela devait sûrement être car sinon il ne comprenait pas le comportement a double tranchant de la miss reine des glaces. Quoi que elle était peut-être en train de subir un combats intérieur entre son cœur et sa raison et elle se soulageait en parlait a haute voix. Aimer ou ne pas aimer William ? Tel était la question. Dur réflexion en somme mais si elle n’était aussi coincée elle aurait sûrement compris qu’il était impossible de ne pas l’aimer. D’ailleurs elle était folle raide dingue de lui. Il ne le savait pas avant qu’elle l’embrasse et c’était pour ça qu’il l’avait repoussé. Mais maintenant si ! S’il seulement il l’avait sue avant ! Il lui aurait alors expliqué les choses en douceur et lui aurait sortit un blablabla à la con du genre : « On est ami toi et moi et les amis ne s’embrasse pas la bouche n’est-ce pas ? » ou « On est trop différents » ou encore « Je suis flatter que tu me porte autant d’intérêt mais je ne te mérite pas. Si si j’assure tu es une fille géniale. As arrête de pleuré s’te plait, ça me fait du mal…. » Enfin un truc comme ça de gentleman. Au lieu de ça il l’avait poussé... Pas franchement glorieux comme réaction et ça expliquer sa soudaine gentillesse et sa délicate attention qu’il espérait qu’elle apprécierait. Hors elle passait tellement de la mégère apprivoisée à la groupie fan attitude en quelque seconde qu’il avait du mal à juger. Quoiqu’en même temps n’importe qu’elle fille serait combler de tomber dans ses bonne grâces et d’avoir l’honneur d’avoir le petit déjeuner au lit servit par le grand William Alex Slayers. Peut-être n’importe laquelle sauf elle a la réflexion. Elle ne faisait jamais rien comme tout le monde. C’était d’ailleurs peut-être pour ça qu’elle l’agaçait tant.

    Lily – « Ecoutes...je suis amoureuse de toi... »
    William – « C’est vraiiiiiiiiiii ???? » jubila-t-il avec un sourire, son visage s’éclairant d’un seul coup. « J’veux dire… » Rajouta-il mal a l’aise avant d’emmener son poing a sa bouche et de faire style de tousser pour se donner contenance. « C’est normal » conclue-t-il avec un sourire des plus arrogants.

    Lily – « Rhaaa mais c'est pas ce que je voulais dire! »
    Will - « T’es sure ? »
    Lily – « Enfin si. Si, c'est exactement ce que je voulais dire »
    Will – « Tu vois. J’le savais. »
    Lily – « ...tu vois j'ai du être amoureuse de toi pour réparer ta stupide bêtise mais c'était pas de ta faute tu pouvais pas le savoir... »
    Will – « Oui je sais c’est de la tienne » fit-il sur un ton compatissant, lui laissant deviner qu’il ne lui en voulut plus pour ça.
    Lily – « … mais bien sûr! que c'est de ta faute! Il faut vraiment être bête je te jure. Enfin tu vas écrire dans ce livre que tu romps le charme que la fée m'a jeté »
    Will – « Et pourquoi je ferais ça ? » demanda-t-il peu convaincu tandis qu’elle continuait son petit discours sans prêter attention a ses dires.
    Lily – « et que Asphodèle - et t'as pas intérêt de faire une faute c'est avec un A à l'initiale ensuite S.P.H et certainement pas F, O.D.E accent grave L.E, tu as bien noté? , donc tu écris qu'Asphodèle n'est PAS amoureuse de toi, et qu'elle redevient... comme elle était avant de devoir te sauver la vie! »
    Will – « Hum hum…. »

    Ce fit là sa réponse au désir omniprésent de la métisse. Il n’avait aucune envie d’accéléré ses actes et de lui obéir au doigt et à l’œil. Non il préférait attendre un peu. Certain aurait pût voir dans son comportement une espèce de sadisme trahissant un gros égoïsme et un manque total de compassion, mais comment ne pas profiter du fait qu’il la tenait sous sa coupe ? C’était trop tentant. Un sourire des plus amusé sur le visage, il semblait jubiler du pouvoir qu’il exerçait désormais sur elle.

    Will – « Si j’le fais qu’est-ce qui j’y gagne ? Bon ok t’arrêtera de me coller mais… t’es plutôt pas mal en fille normale. »

    A notez que sous la formulation un petit étrange, il y avait tout de même un semblant de compliments. Enfin plus ou moins et à bien y regarder. William tenait toujours le livre maudit qu’elle lui avait collé dans les mains quelque seconde auparavant avec une délicatesse digne d’un dragon à pointe, mais il ne semblait vraiment pas presser de l’ouvrir.

    Will – « Je suis sûr qu’en y réfléchissant bien tu seras trouvé les bons arguments pour me convaincre ».

    Sur il promena sous regard sur le colleté de la jeune fille en affichant un sourire presque pervers et qui sous-entendait à merveille ses indécentes idées….









The Changelin'

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PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie

► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 11 Déc - 20:13



    Will – « Oui je sais c’est de la tienne »
    Lily - J'espère bien que tu es en train de te foutre de moi parce que, permets moi de te le faire remarquer mais, tout ça c'est de ta faute et UNIQUEMENT de ta faute! Depuis le début!

    Qu'importe il fallait qu'il écrive dans le livre...

    Will – « Et pourquoi je ferais ça ? »
    Lily - Parce que c'est un ordre.', répondait-elle en levant le nez de façon prétentieuse. C'était un ordre, ça ne se voyait pas encore assez? Pour elle ça tombait même sous le sens. Il devait le faire parce que c'était un ordre. Un ordre d'elle en plus.

    Elle faisait de très belles phrases pour ne rien changer mais il n'en restait pas moins qu'elle avait de l'humeur dans le ton et qu'elle l'aurait étrangler derechef si elle n'avait pas été si bien élevée. Un valet! Même pas un valet! Il y avait de quoi tomber des nues.
    Mais voilà dans moins d'une seconde tout reviendrait à la normale, elle lui collait le livre dans les mains lui spécifiant ce qu'il devait faire. Elle se tranquillisa donc persuadé que ce n'était qu'une affaire de secondes, de minutes s'il n'écrivait pas assez vite.

    Will – « Hum hum…. »
    Lily - Humhum? Est-ce que tu pourrais écouter ce que je te dis pour une fois?', elle perdait patience, il y avait de quoi...
    Will – « Si j’le fais qu’est-ce qui j’y gagne ? Bon ok t’arrêtera de me coller mais… t’es plutôt pas mal en fille normale. »

    Elle n'en croyait pas ses oreilles!!! Il n'avait pas osé? Osé lui demander quelque chose en retour après ce qu'elle venait de faire pour lui.

    Lily - Tu as déjà eu ta récompense. J'aurais pu te laisser ronfler et rentrer tranquillement chez moi. J'estime en avoir déjà fait assez pour toi.', fit-elle avec un ton grandiloquent.

    Son ton naturel en fait. Non mais pour qui se prenait-il?

    Lily- Et d'ailleurs je ne sais pas ce que tu entends par fille normale mais je ne te permets pas de me traiter de "pas mal".', et ce même si elle n'était pas tout à fait sûre de savoir ce qu'il entendait par là. Plutôt pas mal? ,' Je ne suis pas "plutôt pas mal" figure toi, chez moi certaines personnes m'appellent Excellence! Ce n'est pas pour rien, figure toi que je suis le premier dueliste de l'Institut Durmstrang devant même Digory Bathory qui n'est autre que mon cousin. J'ai également...

    Mais ce sans-éducation qu'elle avait devant-elle lui coupa la parole comme un malappris qu'il était!

    Will – « Je suis sûr qu’en y réfléchissant bien tu seras trouvé les bons arguments pour me convaincre ».
    Lily - Les bons... Quoi! Non mais je t'interdis de faire ça!!', cria-t-elle en cachant sa poitrine de ses mains avec une expression tout bonnement outrée, Arrête ça tout de suite. Si tu crois que je te laisserai ne serait-ce que me toucher!!! C'est... très tentant!! REPUGNANT! HORRIBLE! INCONCEVABLE!!! C'est sale!

    Sale? Complètement. Mademoiselle avait encore sa vertus mais elle savait très bien comment on la perdait et elle trouvait cela complètement dégoûtant. De plus elle répugnait à être vue nue par un inconnu ou un parfait imbécile ce qui revenait au même à peu de choses près.










Prudence Slayers

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► MESSAGES : 483
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 11 Déc - 21:59


    Lily - Tu as déjà eu ta récompense. J'aurais pu te laisser ronfler et rentrer tranquillement chez moi. J'estime en avoir déjà fait assez pour toi »

    Plus prétentieuse tu meurs ! Et dire qu’elle aurait dût lui être reconnaissant d’être là. Bin oui sans lui elle serait morte sans jamais avoir embrassé personne de sa vie, il en était certain. Sans lui elle se serait suicidé ou un truc du genre. Sans lui elle ne trouverait jamais la solution pour sortir de se livre. Il ne lui devait rien et c’est elle qui avait des dettes envers lui en fait.

    Will – « Bin j’crois que t’estime mal alors. Parce qu’s’cuse mais un bisou sans la langue ça efface pas le fait qu’on est ici parce que " tu kiff a moooort " » se moqua-t-il en agitant la main « les bouquins »
    Lily- « Et d'ailleurs je ne sais pas ce que tu entends par fille normale mais je ne te permets pas de me traiter de "pas mal".',
    Will – « C’était un compliment ! Je sais que t’a pas l’habitude qu’on t’en fasse mais… tu peux pas juste dire merci ? »
    Lily – « Je ne suis pas "plutôt pas mal" figure toi, chez moi certaines personnes m'appellent Excellence! »
    William – « Ah bon ? Et c’est des personnes mal voyante ou juste attardé ? »
    Lily – « Figure toi que je suis le premier duelliste de l'Institut Durmstrang devant même Digory Bathory qui n'est autre que mon cousin. J'ai également... »

    Mais qu’est-ce qu’il en avait à foutre qu’elle soit dueliste de machin bidule truc chouette ? Il était pas entrain de lui passer un entretien d’embauche et ne lui avait aucunement demandé son CV ! Pas la peine qu’elle essaye de l’impressionner, il l’avait déjà embauché à l’essai. Car après tout on ne manquer jamais de filles dévouer, prête a tout pour combler vos moindre désirs et n’hésitant pas une seule seconde à vous lécher les pieds. Alors qu’elle remballe son blablabla de miss prétentieuse car il avait limite déjà mal à la tête là. Puis comme elle ne semblait pas comprendre ses arrières pensée, il fût plus explicite.

    Lily – « Les bons... Quoi! Non mais je t'interdis de faire ça!!' «


    Elle cacha sa poitrine de ses mains avec une expression tout bonnement outrée. Non mais il en avait déjà vu d’autre hein. Et puis elle n’était pas toute nue ! Il n’avait pas non plus un regard à rayon x et il n’était pas capable de voir a travers les vêtements. Fallait qu’elle décompresse sur le coup. Résultat il l’a regardé comme si elle faisait partit d’une secte.

    Lily – « Arrête ça tout de suite. Si tu crois que je te laisserai ne serait-ce que me toucher!!! C'est... très tentant!! »

    Will – « Ah bon ??? » demanda-t-il intéresser.
    Lily – « REPUGNANT! HORRIBLE! INCONCEVABLE!!! C'est sale! »

    Et voilà elle péter carrément sa durite !!! Elle n’avait pas l’impression d’en faire un peu trop là ? Non sérieux on dirait qu’il lui avait proposé une partouse avec des menottes et un fouet !!! Il fallait quand même pas exagéré. Il voulait juste passer du bon temps avec elle pas la prostituer. Elle jouait les vierges effarouché et il trouvait cela d’un désolant. On l’avait jamais touché ou quoi ? Quoiqu’a bien y réfléchir ça devait sûrement être le cas car ses airs de reine de glaces ne donner guère envie de l’approcher. La pauvre ! Personne n’avait jamais vu son petit minou et ses ravissants seins rebondi. C’était d’une tristesse.

    William – « Tu sais ça arrive a des gens bien. J’t’assure le sexe ça a rien de mal. Promis j’te jure. Si t’étais pas aussi prude tu le saurais. »


    On sentait dans le ton de sa voix a quel point il était moqueur et prétentieux. Non mais sérieux c'était que du sexe. Ça n’avait rien de « REPUGNANT » « HORRIBLE » et « INCONCEVABLE » fallait arrêter de délirer là. Mais bon vu le patacaisse qu’elle faisait pour une proposition indécente alors qu’un seul « non merci » ou « tu rêve » lui aurait suffit, il n’avait pas trop envie d’insister.

    William – « Bon allez va j’vais l’écrire ton truc. Tu me fais d’la peine »

    Il roula ses yeux au ciel avec un air légèrement blaser avant d’ouvrir le livre et d’écrire en gardant bien près de lui afin qu’elle ne puisse pas lire. Au bout de quelque seconde, il finit par fermer brutalement l’ouvrage et regarda Asphodèle avec un air satisfait.

    William – « Voilà c’est fait » fit-il avec un large sourire hypocrite et tenant bien le livre. « Bon on y va ? » rajouta-il apparemment de partir et de changer de sujets.

    Qu’avait-il pût bien encore écrire….

    Spoiler:










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The Changelin'
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► MESSAGES : 1431
Le Livre Dont Vous Etes le Héros. #Ven 11 Déc - 23:03



    Will – « Bin j’crois que t’estime mal alors. Parce qu’s’cuse mais un bisou sans la langue...
    Lily- Je crois que je vais être malade.

    Le pire c'était qu'elle était sincère, surtout à en juger par sa grimace. La langue? Elle ne pouvait même pas s'imaginer qu'on puisse mettre une langue quelque part dans un baiser. Enfin si elle l'avait déjà vu faire et elle trouvait ça tout simplement répugnant. Elle en eut même un frisson de dégoût.

    William – « Tu sais ça arrive a des gens bien. J’t’assure le sexe ça a rien de mal. Promis j’te jure. Si t’étais pas aussi prude tu le saurais. »
    Lily - D'une c'est très bien pour toi, de deux je ne suis pas prude, de trois je suis navrée pour toi si tu n'aimes que les filles qui écartent bien grand les cuisses moi on m'a toujours appris à m'assoir correctement!

    Vulgaire? Furieuse surtout. Comment osait-il l'insulter de la sorte.

    William – « Bon allez va j’vais l’écrire ton truc. Tu me fais d’la peine »

    Elle essaya tant bien que mal de regarder par dessus son épaule mais il gardait jalousement le livre pour lui. Cela dit comme elle ne se sentit plus du tout attirée par lui, elle en déduisit qu'il avait exécuté ses ordres. D'un autre côté finalement elle n'arrivait plus vraiment à lui en vouloir pour sa réaction. Elle s'en fichait complètement maintenant qu'elle était libérée de l'enchantement.

    Lily- Bref c'est pas tout ça mais il faut encore qu'on rentre au village. Pas envie de passer une nuit de plus dans ce château de malheur. Même la paillasse de l'aubergiste était plus confortable que ce lit.', fit-elle en se massant le cou.

    Elle se maudit de n'avoir pas pris la bidasse de l'aubergiste et qu'ils dussent donc faire le chemin à pied. La pauvre ne rêvait que d'un bon bain bien chaud et d'un lit à peu près décent. Un lit où elle pourrait s'étirer et prendre toute la place qu'elle voudrait et ronronner dans les oreillers et...

    Tavernier - Je suis vraiment navré, je pensais que vous ne reviendriez plus. Toutes mes chambres sont complètes avec ces princesses qui sont venus des quatre coins du monde pour vot' dessin là.
    Lily - Toutes? Non ce n'est pas possible!
    Tavernier - J'ai bien peur que si, c'est qu'vous dessinez drôlement bien...
    Lily - Oui je sais c'est très gentil. Mais pour ce qui est de nous...comment va-t-on faire?', elle regarda vers William une seconde.
    Tavernier - Mh... je crois que j'ai une idée.

    Il s'essuya les mains dans son tablier et les fit traverser la rue jusqu'à une maison qui apparemment appartenait à sa belle soeur. Là, on les conduisit dans une chambre de bonne mansardée où il n'y avait qu'UN minuscule lit UNE place pour UN.

    Lily - Euuh c'est... très joli. C'est... quoi?
    Molinda - Un vrai petit nid d'amour vous verrez, je vais vous apporter des édredons bien moelleux.
    Lily - Elle... elle plaisantait n'est-ce pas? Elle plaisantait?

    Elle? Dormir là? Sous un toit? Avec quelqu'un? Mais...

    Lily - Je te préviens je prends le lit!

    Et voilà qu'ils se retrouvaient seuls ts les deux... là dedans, avec tous leurs édredons confortables.
















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