AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  



 
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

Partagez | 
 

 Side Walk When She Walks ( pv )

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
PROFIL & INFORMATIONS









Katarina J. Mckenzie

Katarina J. Mckenzie


► MESSAGES : 116
Side Walk When She Walks ( pv )  #Mar 28 Juin - 2:54


    Katarina marchait dans le chemin de traverse. Elle n’avait réellement rien à faire. Ezio veillait constamment sur elle. Elle l’aimait. Elle était amoureuse d’un homme avec trente ans de différence avec elle. L’amour n’avait pas d’âge, mais elle avait peur de le perdre trop tôt. C’était difficile. Il n’était pas toujours présent. Il repartait en Italie et il était un mangemort. Une vie dangereuse. Il était ministre Italien. Combien de fois avait-elle peur de ne jamais le revoir ? Trop souvent. Elle avait terriblement peur de ne jamais revoir son amour. Son bel amour malgré l’âge qu’il avait, il aura toujours vingt ans dans son cœur. C’était naïf de le croire, car il n’aura jamais plus vingt ans. Ils n’étaient pas de la même génération. Si sa femme n’avait pas été tuée, serait-il toujours avec elle ? Il aurait un enfant d’ailleurs. Elle le savait. Katarina ne savait pas quoi penser. Elle était une remplaçante. Qui l’aimerait ? Qui serait capable d’aimer une pauvre fille comme elle ? Elle pensait malheureusement parfois très négativement. Katarina n’avait pas Ezio auprès d’elle. Il était reparti encore une fois dans son pays d’origine pour gouverner. Elle s’était revêtue de ses anciens vêtements. Elle parcourait les rues pas en t’en qu’une riche jeune femme , mais une sans-abri. Elle devait cacher le fait qu’elle sortait avec un homme qui était de sang-pur, puisqu’elle était de sang-mêlé. C’était un danger pour les deux. Croyez-moi Katarina ne voulait pas que son Ezio meurt par sa forte. Elle serait prête à mourir pour lui. Disparaître à tout jamais pour ne jamais lui attirer des troubles. Elle était amoureuse et ne voulait à jamais se séparer de lui, mais il y avait des limites. Elle ne voulait pas devoir l’enterrer. Jamais. Au grand jamais. Bref, Katarina était seule pour cette semaine. Elle n’avait pas d’ami. On lui avait expliqué ce qu’était un ami. Elle avait vu, mais jamais connu. Elle vivait seule. Katarina s’ennuyait. Elle était dans le chemin de traverse complètement seule. Les gens la regardaient. Elle n’était pas âgée. La jeunesse venait de débuter. Il y avait loin d’elle les autres itinérants avec une barbe et les femmes qui étaient loin d’avoir ce petit éclat dans les yeux. Katarina s’arrêta devant une vitrine alléchante. Elle avait son vieux sac sur son épaule où il y avait quelques pièces de monnaie. Son ventre grondait. Elle s’était arrêté devant une pâtisserie. Elle avait découvert cela avec Ezio qui lui avait fait découvrir des milliers de trucs. Elle n’avait jamais eu la chance auparavant de pouvoir manger ceci. Pourquoi ? Elle n’avait pas un sous. Elle était tellement heureuse qu’avec un petit morceau de pain moisi ou non. Elle ne levait jamais le nez sur ce qu’on lui donnait. La jeune femme prit son sac entre ses bras. Elle sortit un petit sac où elle vida le contenu dans sa main. Il y avait véritablement quelques pièces. C’était avec regret qu’elle décida de remettre dans son sac. Elle n’avait décidément pas assez de sous pour s’acheter un minable beignet nature dans cette boutique. Elle eut un petit regard triste. Elle avait faim. Elle savait qu’elle ne pouvait pas toujours se permettre de manger ceci, mais… elle était tellement attirée par les sucreries en ce moment. Elle se consolait à l’idée que peut-être qu’au retour d’Ezio, elle aura un beignet, une tarte, un petit gâteau, bref un dessert à se mettre sous la dent. Elle resta planter quelques temps devant la vitrine. Elle mangeait avec ses yeux. Pourtant, le propriétaire semblait avoir vu sa présence indésirable. Il sortit avec un balai qu’il monta au-dessus de sa tête. « Allez, tu dégages, toi ! Tu fais fuir ma clientèle. » c’était avec une tristesse non-dissimulée qu’elle traversa la rue en allant se replier dans un petit coin sombre. Bordel, elle préférait les campagnes où les gens lui offraient parfois un petit coin de paille, même Aidev Blake lui avait offert un domicile et du pain. Il était peut-être cruel avec son gouvernement. Elle était peut-être sous-payée, mais elle était bien. Son ventre était toujours plein. Elle dormait sur de la paille, mais elle s’en foutait. Elle avait un toit et un endroit pour dormir. Cet homme était cruel de chasser une personne comme elle qui n’importunait personne pour l’esthétique de la place. Elle n’avait pas mis pied à l’intérieur. Mais dieu seul sait que Katarina aurait été accompagné de son compagnon de vie que le charmant monsieur aurait fait des pieds et des mains pour rendre le couple amoureux de la place. Katarina avait enfui son visage dans ses genoux où elle laissa des larmes de rage devant tant de violence à son égard coulé sur ses joues crasseuses. Pourtant, elle n’avait pas remarqué que quelqu’un l’observait de loin. Elle ne pouvait pas tout dominer malgré son don. L’ignoble don qui lui pourrissait la vie. Avez-vous dans l’état qu’elle était ? Le sort avait décidé ainsi, mais peut-être n’aurait-elle pas connu son Ezio ? Il était possible. Katarina continuait à pleurer en silence dans cette petite ruelle de l’autre côté de la rue où se trouvait la boutique avec ses si délicieuses pâtisseries.
 

Side Walk When She Walks ( pv )

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

-
» Tales of the East Side of the Moon, West Side of the Sun (vsd)
» HOW IT FEELS ON THE OTHER SIDE ? (ec)
» Walk along the way ...
» walk with me now. (suspendu)
» I SHALL NOT WALK ALONE ; Pearl Widmore
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
POET&PENDULUM. :: petite pause aux trois balais. :: la pensine aux rps; :: saison III.-