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 You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth]

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PROFIL & INFORMATIONS









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Dim 9 Jan - 20:56


    Il fallait dire ce qu’il en était : après deux semaines d’essayage de bague dans les bar, Andreas en avait vraiment par-dessus la tête. Cela faisait exactement deux semaines qu’il était en Angleterre et bien qu’il y soit venu avec de grandes espoirs, il n’en était que plus désespéré. Il détestait ce pays, ces coutumes et ces femmes donc aucune d’entre elle ne semblait avoir le bon doigt par son anneau. En deux semaines passés à écumer les bars très fréquentés, il n’avait strictement rien récolté. Ou uniquement du presque. Ah si, on lui avait fait une super blague, qu’il ne comprenait même pas : une sang de bourbe lui avait dit quand il lui avait passé la bague en lui disant qu’il était prince qu’il était : « le seigneur des anneaux » avant d’exploser de rire. Il avait noté cette phrase dans un coin de sa tête en se demandait si un jour quelqu’un pourrait lui expliquer en quoi c’était drôle.

    Enfin, donc, le jeune Nielsen avait prit la décision d’arrêter sa vaine quête pour une unique soirée et d’aller boire comme un débauché qu’il n’était pas dans un endroit où personne ne le reconnaîtrait; Après avoir fait sa petite enquête, il en avait trouvé un qui semblait parfaitement faire l’affaire. Dans bien situé mais miteux, l’idéal. Le véritaserum, si il avait bien lu sur la pancarte à l’entrée. Le jeune Danois s’était alors assis au bar et avait commandé l’alcool le plus fort qu’ils avaient … en gros, le jeune homme n’avait aucune idée de ce qu’il était en train de boire, sentant simplement l’alcool brûler sa gorge et commencer doucement à réchauffer ses joues. Légèrement morose, il était en train de se dire qu’à ce train là, il n’y avait aucune chance que la malédiction soit levée quand il entendit la sonnette de la porte. Relevant doucement ses yeux bleu pâles du fond de son verre, il aperçu une jeune fille qui lui semblait familière s’assoir à son tour au comptoir.

    Le jeune homme se creusa la tête. Décidément elle avait un visage qu’il s’était dit toujours retenir. Mais l’alcool embrumait son esprit et il ne parvenait pas à se concentrer. Jouant à faire tourner son anneau sur le bois du bar, il cherchait encore et encore dans son esprit, en vain, il avait vu trop de jeunes filles ses derniers temps pour pouvoir se souvenir particulièrement d’une. Hypnotisé par les mouvement circulaires de la bague dorée, la réponse lui revint brusquement et il s’écria en allemand, car c’était bien en Allemagne qu’il avait connu la jeune fille :

    « TOI ! »

    Elle s’appelait Lizbeth et Andreas l’avait connu à la cour du prince d’Allemagne qui se trouvait être un sorcier, pour une fois qu’un monarque avait des pouvoir magique … c’était donc la cour préférée en Europe du jeune prince Danois. Il avait voulut lui faire essayer sa bague, comme à toutes les jeunes filles de l’assistance, d’ailleurs, mais elle avait refusé avec un air de «  tu crois que tu peux me passer la bague au doigts comme ça? ». Le jeune danois en avait un prit un coup dans son ego et s’était juré de faire payer cet affront à la jeune fille, Doloris, ou poison, au gré de l’envie … mais il n’avait pas retrouvé la jeune fille qui s’était comme volatilisé … et voilà qu’elle réapparaissait comme si de rien était au beau milieu d’un bar alors qu’il était ivre et qu’il ne s’y attendait pas du tout …Andreas s’approcha néanmoins de la jeune femme. Il ne pouvait pas la tuer là maintenant tout de suite, ça aurait fait désordre et le jeune prince voulait éviter tout incident diplomatique. Il s’assit sur le tabouret à ses côtés et lui dit, en anglais cette fois-ci, avec son accent à couper au couteau:

    « J’ai vraiment pas apprécié ton sale coup ! »

    Et voilà qu’il se mettait à parler n’importe comment. Le jeune Nielsen se dit qu’à ce moment-là, son comportement était bien loin de celui d’un prince.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Lun 24 Jan - 2:29


    Lizbeth avait tendance à se trouver dans la merde. N’avait-elle pas le droit de vivre normalement sa vie de playwitch ? Quoique par moment, la pauvre jeune femme détestait son statut. C’était difficile de vivre avec tous ses paparazzis sorciers. Elle cachait son fils pour qu’il puisse avoir la liberté de se promener dans la rue sans que tout le monde l’arrête. Imaginez le pire scénario qui puisse arriver, le petit Lukas se faire kidnapper pour obtenir une rançon de la part du mannequin. Elle ne voulait jamais que cela arrive, même si dans le fond, elle se disait que Yon retrouverait son filleul et lui ferait passer un sale quart d’heure à cette personne. L’ex-serpentard préférait ne pas penser à ce genre de choses. Ce n’était pas pour rien que son fils était inexistant aux yeux des gens. C’était la meilleure solution pour lui. De plus, les Blake étaient un danger constant sur lui. Elle le cachait le mieux qu’elle le pouvait, même si Aidev avait découvert son existence. C’était la fin du monde pour Lizbeth. Elle ne voulait pas perdre son petit garçon. Elle n’était pas comme ses parents qui l’avaient envoyé presque directement à la morgue. Elle ne méritait pas ce genre de choses. Elle avait bien assez de ses problèmes, mais ses parents lui envoyaient leurs problèmes. Ils étaient des radins. Ils étaient matérialistes. Comment n’avoir autant pas de cœur qu’eux ? Pourquoi la faisaient-ils courir à sa perte ainsi que leur petit-fils ? Pourquoi ne pouvaient-ils pas comprendre que leur fille n’avait pas à faire à devoir tout réparer les pots cassés ? Ils foutaient littéralement de sa gueule. Ils avaient tout fait pour que leur fille ait envie de commettre un meurtre. Pourtant, l’idée de les faire tuer devenait une idée de plus en plus présente dans sa tête. Comme, elle aurait la tête tranquille. Elle obtiendrait leur argent qu’elle donnerait au Blake pour avoir la paix pour le restant de ses jours. Elle avait des doutes dans sa tête pour ce qu’Aidev pouvait lui dire. Il reviendrait peut-être pour la tuer après avoir eu son argent ? Elle ne savait pas quoi penser. Elle avait trop de choses en tête. Elle s’ennuyait beaucoup d’ailleurs. Elle n’avait pas d’homme dans sa vie, mais aussi son Lukas était parti loin d’elle pour assurer sa tête au cas où il arrivait quelques choses à sa mère. Elle avait terriblement peur de voir apparaître l’un des Blake chez elle en particulier Sean Blake. Sean était un monstre. Croyez-moi, il était très peu conseillé de tomber sur l’un des autres Blake. Aidev restait quand même un amant de la dernière chance pour se tenir en vie. Lukas n’avait qu’elle, mais il y avait Yon qui ne pourrait certainement pas l’élever. Il avait déjà donné assez pour elle. Yon la seule personne au monde sur qui elle pouvait compter. Il était son allié… elle le suivait quoiqu’il advienne. Il ne mettrait jamais son filleul en danger. Il l’aimait après tout. Elle en avait eu tant de fois la preuve, même si elle connaissait son statut de mangemort. Elle s’en foutait, parce qu’elle le suivait. Elle le suivait malgré tout. Lizbeth avait pourtant besoin de prendre un coup, elle s’ennuyait. Puis, elle pourrait peut-être trouver Yon Winchester, l’homme de la situation pour lui redonner le sourire. Elle était loin de parler de sexe juste l’envie de lui parler. Peut-être était-il au bar ? Peut-être. Elle ne voulait pas le déranger depuis que sa femme était de retour. Elle n’était pas du genre à vouloir briser un couple. Elle était peut-être une playwitch, mais il ne fallait pas croire ce genre de choses. Bref, Lizbeth transplana jusque dans le chemin de traverse. Elle traversa le reste à pied. Elle entra dans le véritaserum. L’australienne s’approcha du bar pour commander un verre. Elle vit que Yon n’était pas là. Elle soupira bruyamment. Elle commanda un verre pour faire passer le temps. La boisson l’avait souvent réconfortée, depuis la naissance de son fils. Elle avait souvent noyé ses peines dans l’alcool sans exagéré pour ne pas perdre le cap. Elle prit le verre qu’elle paya sur le coup. Elle ne pu boire une gorgée qu’un jeune homme l’abordait. Elle le détailla un instant. Ses yeux s’écarquillèrent sur le coup. Elle le reconnut. C’était ce foutu prince qui avait tenté de lui faire passer une bague au doigt. Elle ne savait pas pourquoi, mais on lui donnait pas de bague pour le plaisir de le faire sans raison. Non. Jamais. « J’ai vraiment pas apprécié ton sale coup ! » Elle le regardait toujours aussi surprise. Le ton qu’il employait… ne donnait pas très envie à Lizbeth d’être gentille. Croyez-moi, il y avait beaucoup mieux, comme façon de s’adresser à elle. « Ouais et alors ? Je n’ai jamais aimé qu’on me force à faire ce que je ne veux pas faire. Une bague ne me disait rien… » dit-elle tout simplement en regardant son verre à nouveau. Elle vint pour prendre une gorgée, mais elle le regarda à nouveau. « Tu n’as pas fini à me regarder ? Tu n’as pas mieux à faire que de me regarder comme un idiot. Youhou ! Je ne suis pas à vendre. Tu veux ma photo… Il en vend partout dans les magazines… » Elle fronça les sourcils. « Si tu veux une discussion. Calmes-toi. Parles-moi de façon civilisée et on verra après. Pour l'instant, tu ne me donnes envie de rien du tout. » c’était clair.









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Sam 29 Jan - 21:30


    « Ouais et alors ? Je n’ai jamais aimé qu’on me force à faire ce que je ne veux pas faire. Une bague ne me disait rien… »

    Andreas la regarda avec des yeux ronds. Et un affront de plus, un ! Le sang du jeune homme ne fit qu’un tour, et il essaya temps bien que mal de se calmer, ce qui n’était pas facile, comme il avait toujours l’habitude de démarrer au quart de tour et de faire ce qu’il voulait en toute impunité. Le jeune Danois sentait bien que la jeune femme n’en avait rien à faire de lui, et elle n’était pas la première, ce n’était, généralement, pas une raison suffisante pour qu’il se débarrasse de quelqu’un. Le jeune prince avait plus pour habitude de liquider les collantes. Mais il ne supportait pas l’idée qu’une femme puisse se tenir devant lui sans qu’il sache si cela pouvait être la bonne ou non. Ca ne leur coûtait rien après tout d’essayer une seule fichue bague. Mais non, certaines semblaient tout simplement bornée, et pensaient que cela lui faisait plaisir de passer un anneau à toutes les jeunes femmes qui se présentaient à lui. Et CA, ça avait vraiment le don de l’énerver. D’autant plus quand il avait bu. Bon d’accord, là, il ne pouvait pas vraiment mettre ça sur le compte de l’alcool non plus, il le tenait plutôt bien, en fait, comme tous les gens du Nord, il était juste vraiment très énervé, et Lizbeth était celle qui, en trois ans de malédiction, l’avait le plus humilié. Ses doigts se resserrèrent autour de son verre, menaçant dangereusement de briser son verre. La jeune femme ne semblait plus lui prêter attention, elle buvant doucement le contenu de son propre verre. Mais enfin, comme si elle avait sentit le faisceau oppressant que les yeux bleu pâle du jeune Nielsen sur elle, elle se retourna vers lui pour lui dire :

    « Tu n’as pas fini à me regarder ? Tu n’as pas mieux à faire que de me regarder comme un idiot. Youhou ! Je ne suis pas à vendre. Tu veux ma photo… Il en vend partout dans les magazines… »

    Ok, ça par contre, ça n’avait aucun sens. Ou si, mais pas pour le jeune Danois qui n’avait strictement aucune idée de qui était Lizbeth en réalité. Une seule chose était sur, cette fille n’avait pas sa langue dans sa poche. Elle lui faisait un peu penser à Andromaque, en moins discrète et plus directe surtout. Décidément, ses anglaises avaient leur tempérament. Une femme de chez lui n’aurait pas osé le quart de ce qu’il avait vu ici en quelques jours. Ca le changeait en un sens, et il ne savait pas trop si c’était en bien ou en mal, c’était trop tôt pour le dire. En un sens, c’était agréable de ne pas avoir à faire la conversation à des pantins, mais d’un autre côté, les filles de chez lui étaient beaucoup plus dociles et obéissantes, moins grande gueule en un sens. Wait and see comme ils disaient ici.

    « Si tu veux une discussion. Calmes-toi. Parles-moi de façon civilisée et on verra après. Pour l'instant, tu ne me donnes envie de rien du tout. »

    Andreas lâcha son verre, se rendant compte qu’il le serrait peut-être un peu trop fort, le relief le décorant ayant laissé une belle marque rouge dans sa main. Il savait bien qu’il avait un peu tendance à très vite s’emporter et encore ce n’était que peu dire. Mais il n’allait pas laisser Lizbeth faire sa loi, pas après la honte qu’elle lui avait infligée lors de leur première rencontre, à refuser ainsi devant tout le monde d’essayer son anneau, oh, elle en avait ainsi inspirée plus d’une, pour le plus grand malheur du danois. Et ça, il voulait qu’elle le comprenne :

    « Et toi, tu agis quand de manière civilisée ? Une bague à essayer, c’est rien quand même ! Tu n’imagine même pas le vent de rébellion que tu as créé, un vrai cauchemar à tout remettre en place .. Ou plutôt de remettre chacun à sa place … »

    Le jeune homme repensa avec amertume aux mois qu’il avait passé, tous les soirs dans une cour ou une autre, à redorer son image auprès des jeunes demoiselles pour qu’elle se pressent de nouveau autour de lui, les yeux brillant d’impatience d’essayer sa bague en or. Heureusement que tout était rentré dans l’ordre.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Sam 26 Fév - 1:57


    Elle avait besoin de voir son ami. Elle avait besoin de discuter, mais il n’était pas au bar. Lizbeth avait tant espéré le croiser. Yon était l’homme qui avait le droit à tant de respect. Elle n’avait pas que coucher avec lui. Elle avait discuté avec cet homme qui était devenu un très bon ami. Comment se pouvait-il qu’une femme aussi jeune puisse être ami avec un homme débutant la quarantaine ? L’amitié entre homme et femme existaient. Selon la théorie de Lizbeth, il fallait connaître son ami mâle physiquement parlant pour ne plus jamais avoir envie de voir ce que cela ferait d’être avec ce type. C’était sa théorie. Ce n’était pas pour rien que la plupart de ses amis avaient couché avec elle. Elle n’avait pas froid aux yeux. Pourtant, ensuite, elle n’avait pas nécessairement envie de retenter l’expérience de coucher avec son ami. Une fois lui suffisait. Il était rare que ce genre devienne une habitude. Son ami, Yon, n’était pas à l’endroit où elle avait espéré le trouver. Elle ne pouvait pas passer sa soirée à le chercher, surtout s’il était en famille. Il serait logique avec le retour de sa douce. Il avait des choses à faire en famille. C’était logique. Elle, elle n’avait pas de famille. Bientôt plus du tout de famille. Ses parents étaient des cons. Elle les haïssait plus que vous ne pouvez le croire. Sérieusement, ils étaient des enfoirés. Elle le pensait. Elle n’avait pas beaucoup d’estime pour ceux qui lui avaient donné la vie. Ils se foutaient tout de même de la gueule de leur fille malheureusement. Alors, elle se préparait mentalement à les faire assassiner. Aidev et elle avaient décidé. Ils avaient discuté. Ils avaient longuement discuté, mais elle avait besoin de son meilleur ami pour en parler, même s’il était beaucoup plus vieux qu’elle et qu’il soit une personne complètement monstrueuse, elle l’adorait. Elle connaissait son vrai lui. Lizbeth ne voyait aucun problème. Il jouait très bien le jeu. Lizbeth était assise dans le bar de cet homme à double face qui était peut-être son seul vrai ami. Elle était énervée. Elle était énervée contre le monde entier. Elle était fâchée, mais ce garçon qui était là à la regarder comme le dernier des imbéciles l’énervait encore plus. La métisse laissait paraître son énervement dans ses paroles remplies de venin qui semblait s’énervé à son tour. Elle était une vraie salope dans son comportement vraiment dégueulasse avec ce jeune homme qu’elle reconnaissait. Il avait été assez con – à son avis – de vouloir faire essayer une fichue bague. Elle avait refusé, car elle ne voulait pas être prise avec un mari quand elle était trop jeune. « Et toi, tu agis quand de manière civilisée ? Une bague à essayer, c’est rien quand même ! Tu n’imagine même pas le vent de rébellion que tu as créé, un vrai cauchemar à tout remettre en place .. Ou plutôt de remettre chacun à sa place … » Elle eut un petit sourire que pour l’énerver. « Bah quoi ? Ça ne t’as pas plu d’avoir des filles avec un peu plus de caractère ? » elle sourit, puis regarda le verre du petit prince. « Calme-toi. On ne parle pas à une dame de cette façon. » elle avait un don de faire fâcher les gens. « N’aies même pas l’idée de me remettre à ma place. Premièrement, tu es arrogant. La façon débile de te présenter avec ta bague. Hellooooooooo ? qui veut se marier avec un gars à cette âge là ? Bref, tu crois quoi que tout le monde rêve aux contes de fée ? Non, mais… j’avais une carrière à faire moi. » Elle le regarda sérieusement. Elle fronça les sourcils se demandant ce qu’il lui voulait. Il ne viendrait sûrement pas l’attaquer ici dans ce bar pour rien. Il avait surement quelques choses à lui dire. Bref, elle le regardait attendant quelques choses. « Qu’est-ce que tu me veux…. Euuh An… c’est quoi ton prénom encore ? » Ok, là, je vous avoue qu’elle se cherchait une claque, mais elle ne se souvenait plus de son prénom. « Et tu fais quoi à Londres ? »

    ( Okay, c'est vraiment beurk. :_: )









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Lun 28 Fév - 19:08


    « N’aies même pas l’idée de me remettre à ma place. Premièrement, tu es arrogant. La façon débile de te présenter avec ta bague. Hellooooooooo ? qui veut se marier avec un gars à cette âge là ? Bref, tu crois quoi que tout le monde rêve aux contes de fée ? Non, mais… j’avais une carrière à faire moi. »

    Ok, cette fille commençait vraiment à le gaver. Elle se prenait pour qui d’abord … ou plutôt, elle le prenait pour qui lui, Andreas Nielsen, Prince maudit du Danemark? Il était bien sur au courant que les filles, surtout par ici, avaient d’autre plan que de se marier et faire beaucoup d’enfants. Il avait largement eu le temps de s’en rendre compte lors de ce premier mois passé à Londres. Le jeune Danois avait essuyé refus sur refus, comme jamais auparavant. C’était dans la culture très certainement. Mais il n’en avait pas grand-chose à faire, il devait surtout se débarrasser de cette malédiction avant de pouvoir faire quoi que ce soit de constructif de sa vie, mais ça, personne ne semblait l’intégrer. Alors non, il n’avait pas exactement l’intention d’épouser sur le champ celle à qui irait la bague. Mais déjà savoir à qui elle revenait de droit serait une grande avancée pour lui. Peut-être, avec un peu de chance, que dès lors les choses iraient un peu mieux pour lui. Mais il n’y croyait pas trop quand même. Cela faisait maintenant quatre ans qu’il portait cette malédiction comme un boulet à sa cheville et ça commençait à le rendre légèrement pessimiste. Et oui, en effet, comment comptait-il réussir à se débarrasser de cette malédiction alors que cette malédiction le rendait justement inapte à avoir un quelconque succès. Cela semblait illogique, non, quand on y réfléchissait bien? Ou plutôt très ironique même si c’était loin de faire rire le jeune homme. Cela le rendait même plutôt acerbe, c’est pourquoi il lui répondit froidement, tentant tant bien que mal de garder son calme:

    « Tu crois que je ne sais pas tout ça … tu crois vraiment que je vais épouser la première greluche à qui ira cet imbécile d’anneau … non je crois pas. Mais rien que donner cette fichue bague à une fille à qui elle ira me permettra peut-être d’envisager moi-même de faire carrière plus sereinement, d’enfin gouverner mon pays, ou tout du moins apprendre, comme mon très cher père est encore au pouvoir. Tu crois vraiment que ça m’amuse comme situation ? Non ! Et encore moins quand des fouteuses de merde dans ton genre me rendent la tache encore plus difficile ! »

    Andreas essaya de calmer sa respiration. Colérique, nerveux étaient encore des mots trop faibles pour décrire son tempérament. Mais cette malédiction y avait rajouté une nouvelle facette faisant de lui quelqu’un de très lunatique, de très changeant. Il avait autrefois été ambitieux, hautain, dédaigneux, traits de caractères qu’il aimait tant et qui lui allaient si bien. Mais après que la fée Lucy soit passé il y avait fallu y rajouter de la frustration, de la peur, de la tristesse et une politesse forcée. Autant dire que tout cela ne faisait vraiment pas bon ménage, avec les résultats que l’on connait : des corps dans des allées sombres et des sourires à des inconnues. Il était changeant, mais savait aussi se maîtriser, il ne pouvait diplomatiquement pas se comporter n’importe comment n’importe où. C’est pourquoi quand elle commença à le questionner, il se força de répondre sans se montrer encore trop agressif:

    « Qu’est-ce que tu me veux…. Euuh An… c’est quoi ton prénom encore ? »
    « Andreas, oui, tu y étais presque, faut croire que tu a la mémoire courte. Quand à ce que je veux, je pense que tu as une petite idée. » Il jouait avec son anneau qu’il avait retiré sur le bois du comptoir et y lança un regard qui signifiait bien que la seule chose qu’il voulait était qu’elle essaye ce bijou rapidement et sans discuter. Autant rêver, il en était conscient, mais puisqu’elle posait la question …
    « Et tu fais quoi à Londres ? »

    Andreas ne savait pas trop s’il devait s’offusquer de cette question ou non : chez lui, on ne demandait pas aux monarques ce qu’ils faisaient à un endroit ou à un autre, c’était de la plus grande impolitesse et surtout de la plus grande imprudence, sa famille n’ayant jamais été très clémente. Quoiqu’il en soit, il lui avait été demandé expressément de ne pas parler de la vraie raison de sa présence ici, comme les délégation de Beauxbâtons et Durmstrang n’étaient encore pas arrivées, le Tournoi des Trois Sorciers n’était pas encore officiel. Non, officiellement, il visitait l’université magique afin de décider s’il souhaitait y poursuivre ses études après avoir eu son diplôme en juin prochain. Même si franchement, il n’en avait rien à cirer de tout ça. Il aurait préféré qu’on dise qu’il était là pour ses talents d’empoisonneur, mais il n’avait pas le droit d’en faire usage sur le sol anglais, même si honnêtement, c’était déjà fait, cela allait à l’encontre du contrat qu’il avait passé avec le ministre de la magie anglais. Le jeune prince pensait que temps qu’il restait discret, il n’y avait pas de trop fort risque d’incident diplomatique. De toute manière, officieusement ou non, il n’avait aucune envie de répondre à la jeune femme, ça ne la regardait tout simplement pas, et il n’allait pas se mettre à lui raconter sa vie après ce qu’elle lui avait fait, sérieusement sinon après quoi ? Il buvaient du thé avec des petits gâteaux ensemble pour se raconter les derniers potins. Non, soyons sérieux, je vous prie. Il but une gorgée de son verre, lui signifiant ainsi qu’elle pouvait toujours courir pour avoir une vraie réponse avant de dire :

    « Tu sais bien … des choses et d’autres. Mais tu sais bien que je ne peux pas t’en dire plus, je suis tellement détestable comme type que tu ne voudrais pas être au courant de ce que je trafique n’est-ce-pas ? Trop propre sur toi, petite colombe blanche effarouchée. Quoique je me demande si ce sont les termes exacts … ça serait plus : petite fille trop innocente qui essaye tant bien que mal de s’imposer, mais c’est pas gagné. Même si, entre nous, c’est un peu trop long comme désignation. »

    Il reprit une gorgée dans son verre, sachant très bien que ses paroles n’auraient que peu d’impact sur la jeune femme. Autant parler à un mur, mais peut-être réussirait-il à fendiller une ou deux briques au passage.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Lun 7 Mar - 18:52


    Sérieusement, les princes étaient-ils aussi emmerdant que de ce petit con d’Andreas ? Il se croyait un homme, quand il était qu’un jeune homme venant sortir de son adolescence. Il ne connaissait pas les vrais problèmes de la vie. Elle en était certaine. Elle était aussi certaine que c’était un caprice pour sa bague. Il était un crétin fini. Elle, elle avait des problèmes plus graves qu’un caprice d’adolescent. Il y avait des tonnes de gens qui voulaient la tuer, ainsi des dettes qui ne lui appartenaient pas. C’était les problèmes de ses parents qui lui avaient légué avant leur mort ceci. Lizbeth avait un fils en plus. Elle le cachait. Elle faisait tout pour ne jamais qu’on découvre l’existence de son fils. Elle ne se faisait pas d’illusion. Son fils sera découvert un jour. Elle sera obligée de justifier tout ce qu’elle a fait. Lizbeth doit retrouver le père de Lukas. Son petit chou devait avoir un père. C’était l’évidence même pour la playwitch. Elle était une bonne mère, mais elle savait qu’elle ne pourrait jamais remplacer le rôle du père dans la vie de son fils. Il avait un parrain fabuleux, mais il n’était pas présent peu importe le moment dans sa vie. Elle savait qu’un jour lorsqu’elle sera dans les bras d’un homme dont elle aura complètement confiance, elle trouvera ce que Lukas avait besoin à travers cet homme qui n’était toujours pas arrivé. Elle était bien seule, mais elle avait un sale caractère ce qui était assez compréhensible pour les autres garçons qui ne voulaient point d’elle sauf que pour faire des choses… sexuelles. Andreas voyait bien que Lizbeth avait un sale caractère de merde, mais elle restait tout de même une fille dont on trouvait jolie et qu’on voulait s’approcher. Tous les goûts étaient dans la nature. Elle fixait le jeune prince qui se trouvait tout près d’elle. Elle le regardait s’énerver au rythme de la conversation. Elle le voyait bien. Elle était loin d’être aveugle. « Tu sais bien … des choses et d’autres. Mais tu sais bien que je ne peux pas t’en dire plus, je suis tellement détestable comme type que tu ne voudrais pas être au courant de ce que je trafique n’est-ce-pas ? Trop propre sur toi, petite colombe blanche effarouchée. Quoique je me demande si ce sont les termes exacts … ça serait plus : petite fille trop innocente qui essaye tant bien que mal de s’imposer, mais c’est pas gagné. Même si, entre nous, c’est un peu trop long comme désignation. » Lizbeth arqua un sourcil. Elle ne comprenait rien du tout d’où il voulait en venir. C’était dû à l’alcool peut-être. Il avait l’air complètement bourré depuis le début de cette super rencontre. Elle était dans le bar de son propre ami avec un prince tueur avec une bague. Lizbeth regardait Andreas. Elle éclata de rire après quelques temps. C’était débile ce qu’il venait de dire. Elle était une playwitch. Croyait-il vraiment qu’elle était pure ? Attendez un instant. Elle était une playwitch. Ne le savait-il pas ? La folie Lizbeth Smith, la gentille playwitch de l’année. « Andreas, je crois que tu me connais très, très mal. Je suis une playwitch. Crois-tu que je suis pure ? À t’entendre, je suis une sainte-ni-touche. Je suis très loin d’être une sainte. » elle eut un petit sourire. Elle se tassa d’un siège pour venir complètement à ses côtés. Elle vint même toucher à son dos avec sa main. « Tu sais, je crois… que c’est toi qui est naïf. Tu crois qu’ici les filles attendent le prince charmant et sa bague pour donner sa virginité… tu te trompes. » C’était une petite attaque gratuite envers le prince. Elle était vulgaire, arrogante… ce n’était pas une gentille fille avec un cœur fragile. Elle était une ancienne Serpentard. Elle traînait avec des gens dont ils n’étaient pas conseillés d’être avec eux. Elle regardait Andreas. « Je dois te dire petit Prince du Danemark que tu ne trouveras pas une princesse ici. Ici, c’est la débauche. La grosse débauche. Tu veux du sexe ? Tu peux en avoir en claquant des doigts… » Lizbeth souriait. Elle passa sa main sur l’épaule d’Andreas. Elle descendait sur le bras de ce dernier. Elle était belle, mais elle était très énervante.









Andreas Nielsen

Andreas Nielsen
TRIWIZARD TOURNAMENT ► DURMSTRANG

► MESSAGES : 119
You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Lun 7 Mar - 19:27


    « Andreas, je crois que tu me connais très, très mal. Je suis une playwitch. Crois-tu que je suis pure ? À t’entendre, je suis une sainte-ni-touche. Je suis très loin d’être une sainte. »

    Andreas n’avait pas été sans ignorer ce fait. Ce qu’il avait cherché à dire bien maladroitement, c’est que derrière ses airs de playwitch provocatrice, elle ne devait pas vraiment avoir une idée de ce qu’était le mal. Avait-elle déjà tué ? Peut-être. Prit du plaisir à cela, c’était une autre affaire, n’est-ce pas. Savait-elle ce que c’était d’être maudite, tous les jours de sa foutue vie sans autre échappatoire qu’un truc gnan-gnan à vous taper sur le système? Certainement pas. Lui connaissait tout cela, malgré son jeune âge, comme disaient certains. Le jeune prince danois aimait à penser qu’il avait toujours été en avance et que la maturité qu’il avait atteinte au jour d’aujourd’hui était bien loin de celle d’un jeune homme de 18 ans. Mais ce qu’il avait voulu sous-entendre aussi, c’était qu’elle n’était pas aussi sure d’elle qu’elle voulait bien le prétendre. Le jeune Nielsen ne prétendait pas avoir le pouvoir de scanner les gens d’un seul regard et il connaissait la jeune femme trop peu pour pouvoir l’affirmer avec certitude, mais quelque chose le faisait dire que sa répartie n’était pas naturelle, peut-être une façade, un moyen de se protéger ou qu’en savait-il d’autre encore. Bien sur, ce n’était qu’une intuition, mais son instinct l’avait rarement trompé, ça aurait été une grande première. Bien sur, Lizbeth ne manquait naturellement pas de caractère, mais elle cachait quelque chose, il aurait pu à cet instant le parier sur sa propre vie, et dieu sait qu’elle en avait de la valeur, sa chère vie, à ses yeux, mais peut-être était ce aussi un peu l’effet de l’alcool cependant. Il sentait que son esprit n’était plus aussi aiguisé qu’à l’ordinaire. Aussi repoussa-t-il son verre de vodka et commanda à verre d’eau. Le Danois ne répondit cependant rien à cette moquerie ouverte, la laissant parler, même si la suite n’allait pas être plus délicate envers lui.

    « Tu sais, je crois… que c’est toi qui est naïf. Tu crois qu’ici les filles attendent le prince charmant et sa bague pour donner sa virginité… tu te trompes. » Là, s’en était de trop, Andreas qui pourtant jusque là se mordait la langue laissa juste siffler entre ses dents serrées :
    « J’en ai connu des filles qui s’offraient facilement avant d’être maudit, tu peux me croire, je suis pas naïf … »

    Mon Dieu, mais pour qui le prenait-elle ? Par la barbe de Merlin, elle était vraiment agaçante. Elle se permettait de le juger comme ça, sans savoir. Il n’était pas idiot, il savait bien que le mythe du prince charmant était depuis bien longtemps tombé dans la décrépitude. Le charme du mystérieux empoisonneur avait été beaucoup plus efficace dans le temps … mais il n’avait plus le temps justement de jouer à l’homme-mystère. Il voulait se débarrasser de cette malédiction, et vite. Il n’avait plus le temps de jouer avec les jeunes femmes, de leur prendre ce qu’elles ne voulaient pas donner. Cette période d’abstinence lui mettait certes la tête dans un état pas possible, mais il n’avait pas le temps de jouer au chat et à la souris pour se détendre une nuit.

    « Je dois te dire petit Prince du Danemark que tu ne trouveras pas une princesse ici. Ici, c’est la débauche. La grosse débauche. Tu veux du sexe ? Tu peux en avoir en claquant des doigts… »

    Andreas retira la main de Lizbeth de son bras. Il la trouvait de plus en plus vulgaire. C’était donc ainsi que se comportaient les jeunes femmes dans ce pays dépravé. Il était tombé bien bas si c’était parmi elles que devait se trouver celle qui le sauverai d’un futur dans le brouillard. Dans un soupir, et sur un ton qui se voulait légèrement péjoratif pour la jeune playwitch, il lui dit :

    « C’est tout ce que j’ai à faire, vraiment. » Le jeune homme claqua des doigts. « C’est justement ça qui me dérange. Dans mon pays, même les playwitch sont un peu plus difficiles à convaincre. C’est quelque chose qui se mérite un minimum tout de même, sinon, ça ne serait pas drôle. Vous avez de drôles de mœurs par ici, vraiment. »

    Andreas bu une gorgée de son verre d’eau qui venait d’arriver avant de regarder de nouveau la jeune femme. Il ne savait plus trop ce qu’il espérait d’elle désormais. Mais le jeun pour l’instant, le distrayait, tel un match de ping-pong moldu en quelque sortes, ils ne faisaient que se renvoyer la balle en attendant que l’autre craque ou fasse une faute.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

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You gonna make me doing things I didn't intend to do [Lizbeth] #Mar 5 Avr - 0:05


    Lizbeth n’aimait pas ce type. Il était bien beau. Elle aurait bien couché avec lui, mais pas plus. Elle avait un sale caractère. Elle ne pouvait vouloir accepter qu’on lui demande sa main. Elle ne voulait pas essayer une bague par peur de perdre sa liberté. La signification d’un homme qui donne une bague n’était nulle autre qu’une demande en mariage. Même si elle se doutait bien qu’un homme de son calibre ne sortait pas avec une vulgaire playwitch. Des playwitch dans son genre, on n’en faisait dans son genre. Elle était la haute gamme de Playwitch. Il n’y avait pas autres choses à dire à son sujet. Pourtant, elle ne voulait pas d’un prince. Elle voulait avoir cette liberté. Elle avait été jeune et ne semblait pas se soucier de la façon dont elle s’adressait à une personne ayant une grande importance. Elle avait mal agi. Elle le reconnaissait même, mais elle ne voulait pas s’excuser. Son orgueil était trop grand pour réussir à passer à travers. Aujourd’hui, elle reviendrait peut-être sur sa décision laisser le jeune homme lui passer la bague au doigt. Elle avait envie d’un changement dans sa vie. Elle avait besoin de passer à autres choses pour tout dire. Elle voulait avoir un copain pour avoir une vie simple. La playwitch était rendue à un stade de sa vie où elle avait besoin d’un équilibre. Elle avait besoin de savoir que son fils avait un pseudo-père qui prendrait soin de lui autant que s’il serait son fils. Elle n’avait toujours pas trouvé ce qu’il lui fallait. Elle avait perdu tout espoir de trouver celui qui lui fallait pour son fils et elle. Il y avait Yon qui était un ami super, mais aussi un parrain super. Pourtant, cela en restait là entre les deux. Il avait sa femme qui était de retour depuis peu. Elle ne voulait pas être en couple avec son meilleur ami. Il était là pour elle et elle était là pour lui quand il le fallait. Elle était bien ainsi, même si elle avait partagé son lit une nuit. C’était du passé. Ce n’était même plus d’actualité, depuis des années pour elle. Elle était certaine que leur amitié était forte, malgré tout. Bref, Lizbeth cherchait désespérément un copain autant qu’Andreas la femme qui porterait sa bague. Elle n’était pas cette fille, car il était jeune. Elle était dans une autre étape de vie. Elle ne pouvait passer sur son orgueil. Il était alors un connard à ses yeux, même s’il ne lui avait pratiquement rien fait. Elle était effronté dans le fond. Elle lui manquait totalement de respect pour tout dire. Elle laissa glisser sa main sur le bras d’Andreas qui l’enleva sans mal. Elle le regardait en penchant la tête sur le côté. « C’est tout ce que j’ai à faire, vraiment. » Il claqua des doigts pour lui remettre sous le nez ce qu’elle venait de dire. « C’est justement ça qui me dérange. Dans mon pays, même les playwitch sont un peu plus difficiles à convaincre. C’est quelque chose qui se mérite un minimum tout de même, sinon, ça ne serait pas drôle. Vous avez de drôles de mœurs par ici, vraiment. » Elle roula des yeux à son tour. Vraiment. Il voulait être méchant, mais ça ne l’atteignait pas. Elle ne se sentait pas blesser par ses paroles. Était-ce sa faute, si elle aimait passer du temps en bonne compagnie sous la couette ? Puis, elle ne se donnait pas à n’importe qui. Il était bien beau le prince. Il était presque dangereux. C’était trop excitant. « Dans ton pays, les gens sont peut-être trop coincés. Moi, je n’ai aucune honte à montrer qu’on me plait. Pour tout dire, tu me plais, mais je n’ai pas envie de mettre vote bague. J’ai peur de me faire avoir au détour. Je n’ai jamais cru en personne et ce n’est pas aujourd’hui que je vais te croire… oh non ! » Elle fit non de la tête. Elle remit ses mains sur ce dernier. « T’es mignon. Ce que tu dégages… m’attire » Elle glissa sa main cette fois-ci de son bras au visage du prince. « Peut-être… que je reviendrais sur mes positions qui sait… il faut tester la marchandise après tout ? » sourire pervers qui voulait absolument tout dire. Elle venait de poser les cartes sur la table. Elle était belle après tout et surtout elle avait un corps super.










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