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 ...dix, onze, douze? (finish)

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Anonymous

Invité
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...dix, onze, douze? (finish) #Jeu 17 Sep - 21:01




    C'était une après midi, à la fin de l'été. Talia avait réussi à se libérer une journée pour aller voir May, une bonne amie à elle qu'elle avait tout bêtement connue au défilé d'un grand créateur. Talia recevait toujours des invitations assorties de très très bonnes places aux défilés parce que sa mère avait été mannequin en son temps et accessoirement parce que les créateurs se battaient pour savoir qui d'entre eux serait le premier à avoir Talia Metzcalli pour sa marque... jusque là aucun. Enfin ce n'est pas le propos. Talia c'était retrouvée assiste juste à côté de May qu'elle avait tout de suite complimenté sur sa tenue et le choix de ses accessoires. Talia était non seulement une fana de mode mais aussi une fine connaisseuse, il ne restait rien à lui apprendre sur la mode, c'est bien pour ça aussi qu'on aurait bien aimé la faire défiler sur le catwalk. C'était vraiment parti de rien mais Talia, bien que plus jeune que May, se prit vite d'amitié pour cette dernière et voilà que trois ans après, toujours aussi enthousiaste, Talia venait sonner à la porte des Clash toujours sans avoir fait le rapprochement entre Mr Clash, le mari de May, qu'elle n'avait jamais rencontré, et l'horrible Edward Clash qui faisait le pendant de Cassandre Grey dans la Gazette Américaine. D'un autre côté Talia avait toujours vécu à Londres, d'aussi loin qu'elle se souvienne, même si elle était née, et été souvent allée au Mexique.

    Bref, ce jour là, Talia avait préparé quelque chose. C'est avec un énorme sac de course qu'elle été arrivée, bien décidé à amené un peu de piquant dans le quotidien d'une maman décidément bien occupée. C'était vrai qu'avec ses douze gamins, May n'avait pratiquement pas une minute pour elle et elle restait de plus en plus à la maison. Jusque là Talia n'avait jamais trouvé le moyen de faire sortir son amie quand elle avait dit non. Alors! Bien décidée à faire quelque chose tout de même,

    Talia- Si tu ne viens pas à la fête, la fête viendra à toi!!', annonça-t-elle toute contente quand May ouvrit la porte.

    Talia était le genre de personne qui ne se laissait jamais ô grand jamais abattre. Dans son sac il y avait tout ce qu'il fallait pour faire de la bonne cuisine mexicaine et aussi un tas de magasine (que talia recevait toujours avant tout le monde), et des trucs de ce genre.

    Talia- Il faut que tu te changes les idées. Surtout en ce moment, tu es enceinte tu es bien assez fatiguée comme ça aujourd'hui c'est moi qui m'occupe de tout. Tu peux faire tout ce que tu veux! Qu'est-ce que t'en dis?










Maïka Clash

Maïka Clash
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 114
...dix, onze, douze? (finish) #Dim 20 Sep - 15:52


    La pauvre Maïka passait une autre journée avec ses enfants. Pauvre ? Dans un sens, elle manquait de sommeil, elle était constamment inquiète et était verte de jalousie en sachant que la liberté de son mari était bien plus immense qu’elle croyait. Oh qu’il était libre ! Elle ? Elle restait sagement à la maison à s’occuper des enfants. Par moment, elle aimerait bien faire les boutiques et sortir pour se reposer un peu, comme toujours. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas ses enfants, mais elle devait parfois prendre des pauses comme tout parent. Elle les aimait tellement. Ils étaient sa vie, en fait. Pourtant, ils étaient le sujet de ceux qui faisaient que sa liberté en prenait un coup, mais elle accusait Edward pour le coup. Il était vrai qu’il était rarement à la maison et qu’il s’amusait avec d’autres femmes. C’était malheureux, mais c’était la vie. Elle n’avait pas le choix de vivre ainsi. Il y avait tant de règle à respecter, il y avait aussi les limites imposés par Edward, ainsi que les siennes. Le couple vivait sur des règles. L’amour basé sur des règles ? Étrange, mais Maïka aimait réellement son mari, c’est pour cela qu’elle est toujours avec lui, qu’elle lui dit qu’elle est jalouse des autres femmes qui l’approchent. La métisse était verte de jalousie en sachant qu’il était certainement avec une autre qu’elle. Il y avait tant de chose que Maïka voulait comme le fidélité et la liberté de sortir, mais elle avait un devoir envers ses enfants. Elle n’avait pas qu’un ou deux enfants, mais douze enfants et en attendait un treizième. Alors sa liberté était encore coupée. La métisse ne voulait pas agir, comme Edward, elle voulait juste pouvoir sortir un peu avec une amie et revenir assez tôt, mais ce petit moment était un moment où elle avait eu le droit à une petite liberté qu’elle apprécierait grandement, mais si on regardait le tout, peut-être que son mari croyait qu’elle allait toujours en demander plus, mais il se trompait totalement.

    Madame Clash était en train de s’occuper de ses enfants, comme chaque jour. Les triplés étaient toujours aussi excités. Ils étaient des petits monstres pour certains, mais Maïka les aimait comme ça, même si parfois, elle les punissait. Roselanie faisait toujours des dessins pour papa sur une feuille de papier placé sur le sol. Ellis était en train d’étudier dans sa bibliothèque. Haimie était certainement près de lui à feuilleter quelques livres à image près de son frère aîné sans le déranger. Les autres étaient là s’occuper avec des jouets, mêmes les triplés qui demandaient à leur mère d’ouvrir la télévision pour écouter les dessins animés. Maïka avait bien sur accepter que ses enfants s’installent devant la télé pendant qu’elle se repose tout près avec la porte de la cuisine grande ouverte pour pouvoir garder un œil sur sa petite famille. Elle savait que sûrement sa journée allait être différente de les autres journées. Comment ? Pourquoi ? Un pressentiment. Vous n’avez jamais eu ce genre de pressentiment où vous savez pertinemment que quelques choses allaient arriver. Oui ! C’était tout à fait normal, un genre de signe du destin qu’il fallait écouter qui nous disait un peu ce que pouvait nous réserver la vie que l’on traçait. Elle avait rangé la cuisine avant de s’être assise avec ses enfants dans le salon. Ce qu’ils étaient calmes. C’était tout à fait agréable. Soudain, elle attendit une personne frappée à la porte. Alors, elle avait eu raison de ranger bien comme il le faut à la vitesse de l’éclair la cuisine après les déjeuners. Elle se leva laissant ses enfants devant la télévision et ouvrit la porte.

    « Si tu ne viens pas à la fête, la fête viendra à toi!! »
    « Hummm, je savais que quelqu’un allait cogner chez moi et changer ma routine » Dit-elle en la laissant passer avec son sac. Maïka la regarda passer. Elle fronçait les sourcils se demandant à quoi pouvait servir ce sac. Il y avait de tout ici, même pour faire une fête, malgré le nombre d’enfant qui s’y trouvait. La métisse referma la porte en arrière de Talia.

    «Il faut que tu te changes les idées. Surtout en ce moment, tu es enceinte tu es bien assez fatiguée comme ça aujourd'hui c'est moi qui m'occupe de tout. Tu peux faire tout ce que tu veux! Qu'est-ce que t'en dis? »
    « Je ne suis pas fatiguée.»

    Elle essaya de prendre le sac que tenait l’invitée. Roselanie apparut avec un crayon dans la bouche et regarda Talia avec d’énormes yeux, comme si elle ne l’aurait jamais vu de sa vie. C’était faux. Roselanie l’avait déjà vue, mais l’unique problème c’est que Roselanie ne s’était pas habillée pour épater l’inviter et ça, c’était grave. Maïka regardait Roselanie se précipiter dans l’escalier. Elle savait très bien où s’en allait sa fille. La métisse eut un sourire un peu étrange. Roselanie sera toujours une petite princesse.

    « Je veux aider… Et qu’est-ce que tu as l’intention de faire ? Je veux savoir moi. Je n’aime pas les surprises ! Je veux savoir » Dit-elle en suppliant son amie. Maïka ne faisait pas grand-chose de sa vie. Elle devait rester ici s’occuper de ses enfants et c’était une habitude à force. L’hawaïenne voulait s’occuper de son invité, elle n’aimait pas rester les jambes croisées pendant que Talia s’activait dans la cuisine ou encore avec les enfants. Non ! Ça ne se faisait pas. Elle devait aider et ensuite s’amuser ensemble.
    « Talia, je veux aider. Je suis peut-être enceinte, mais je ne suis pas fragile. »









Anonymous

Invité
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...dix, onze, douze? (finish) #Lun 28 Sep - 14:26



    Le moins qu'on pouvait dire c'était que Maïka n'avait pas l'air d'être très sensible à l'enthousiasme débordant de Talia. Mais ce n'était pas grave, la jeune femme entra dans la maison sans que rien n'ai été entamé de son énergie. Avec son sac énorme, elle avait tout de suite l'air d'un genre de Mary Poppins hormis qu'elle n'était pas descendu du ciel en parapluie, mais elle aurait fort bien pu si elle l'avait voulu. Une autre différence avec Mary, c'était que Talia n'était pas constament pleine de chansons idiotes.

    Maïka - « Je ne suis pas fatiguée.»
    Talia- Ca tombe bien alors...', fit-elle sans rien expliquer.

    Elle fit un grand sourire à Roselanie qui avait son crayon dans la bouche. Puis la petite fille se précipita dans les escaliers sans aucun doute pour changer de tenue et lui en mettre plein la vue. Talia adorait cette gamine et, quelque part elle se demandait si son hypothétique fille à elle serait aussi préoccupée par ses tenues. Talia avait plutôt peur de s'engager mais d'un autre côté, et bien que ça puisse paraître parfaitement contradictoire, elle adorait les enfants et espérait qu'un jour elle serait mieux disposée à fonder une famille. Mais ce qui était sûr c'était que ce n'était pas demain la veille.


    Maïka - « Je veux aider… Et qu’est-ce que tu as l’intention de faire ? Je veux savoir moi. Je n’aime pas les surprises ! Je veux savoir. Talia, je veux aider. Je suis peut-être enceinte, mais je ne suis pas fragile. »
    Talia- Je le sais très bien mais...', elle posa son énorme sac et se mit à fouiller dans son petit sac à main (un vrai bijou d'ailleurs ce sac, pratique et très élégant), elle ressortit deux petits bouts de parchemins cartonnées qu'elle tenait entre son index et son majeur,' ... je suis sûre que quand tu auras vu ça tu n'auras plus du tout envie de rester avec moi à préparer des burritos et des nachos pour les enfants.

    Le sourire de Talia était un peu comme une lumière sur son visage. Un petit bout de soleil mexicain posé sur ses lèvres soigneusement maquillées.
    Ce qu'elle tendait à son amie c'était deux entrées pour le cocktail ultra select que les grands noms de la mode organisaient une fois de temps en temps un peu avant les semaines de la mode. Bien sûr très peu de gens y étaient invités. Généralement il n'y avait que les grands créateurs, les grands photographes, et quelques veinards qui avaient le bon goût d'être dans les petits papiers de tout le monde. Comme Talia. C'était à ce genre d'occasion qu'on voyait les pièces uniques et même les pièces qui ne seraient pas présentées sur le catwalk et qu'on pouvait avoir une chance de revenir chez soit avec des pièces à se damner. Talia n'aurait pas céder sa place à n'importe qui et il y avait fort à parier que Che allait hurler quand il l'appellerait tout à l'heure pour savoir ce qu'elle faisait et quand il découvrirait qu'elle ne venait pas. Mais elle trouverait à se faire pardonner de ces grandes pointures de la mode, d'une façon ou d'une autre. Elle trouvait toujours. Elle savait que ce genre d'événement, Maïka en mourrait d'envie mais qu'elle n'avait pas le temps parce que ses enfants passaient avant tout ce qui était parfaitement normal. Alors pour une fois, Talia proposait un petit peu de temps libre, ce n'était rien mais ça lui faisait plaisir de le faire...

    Talia- Prends les deux et va à ce cocktail de ma part, tu peux inviter qui tu voudras...












Maïka Clash

Maïka Clash
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 114
...dix, onze, douze? (finish) #Dim 4 Oct - 20:03


    Talia une petite femme énergique que Maïka adorait plus que tout au monde. Elle n’avait jamais eu de véritable amie. Mais qu’était Clara alors ? Une amie qui pouvait lui donner des coups de poignard dans le dos autant que Maïka pouvait lui en faire. Parfois, elle s’était dit qu’elle aurait du écouté ce que son amie disait sur Edward Clash, maintenant son mari. Pourtant mise à part les constantes infidélités, Maïka était très bien. La jalousie montait et redescendait, comme un thermomètre. Talia lui faisait oublier certaines choses et ça, faisait constamment du bien de voir un petit rayon de soleil rentré dans sa vie. Talia était une amie précieuse pour Maïka. La métisse n’avait pas beaucoup d’amie et certaine n’était que pour passer le temps, mais pas Talia. Elle était différente à ses yeux. Elles avaient des points en commun, même si son amie ne savait pas tout sur la vie de Maïka, mais ça, il était logique qu’elle ne savait pas. Si elle savait… Elle ne regarderait certainement pas Maïka de la même façon, donc Maïka mentait et cachait plusieurs choses, tout par rapport à son mari. Toute façon, elle n’avait pas à savoir ce qu’il faisait pendant qu’il était parti. Par contre, elle lui parlait parfois de ses infidélités. Elle se sentait tellement seule qu’elle devait trouver quelqu’un à qui en parler et ça se trouvait qu’une personne aussi énergique que Talia puisse aider une femme dans un état dépressif. Il ne fallait pas croire que Maïka n’était pas contente de voir son amie débarquer chez elle avec l’idée en tête de s’occuper de tout, mais pourtant la métisse voulait aider… Roselanie aussi réagissait quand elle voyait Talia. La petite fille s’enfuit dans sa chambre s’habiller à la hauteur pour se faire remarquer par la belle Talia.

    « Je le sais très bien mais ... je suis sûre que quand tu auras vu ça tu n'auras plus du tout envie de rester avec moi à préparer des burritos et des nachos pour les enfants. »
    « Mais oui. Je veux bien rester. Taliiiiaaaaa » Gémit-elle. Maïka regardait Talia fouiller dans son sac. Elle y sortit deux parchemins cartonnés. Elle fronça les sourcils. Qu’est-ce que ça pouvait être ? La métisse commençait à comprendre que Talia voulait qu’elle sorte prendre l’air en solo. Ça , non ! Comment pouvait-elle s’amuser seule. Oui, elle voulait de la liberté, mais elle ne voulait pas se balader seule. Elle n’était pas autorisée à demander à Edward de quitter son « travail » parce qu’elle n’avait pas envie d’être seule. Il lui en voudrait certainement. Alors pourquoi Talia voulait-elle qu’elle sorte ? Elle était très bien à la maison avec de la compagnie. Ce n’était pas si pire dans ses cas là. Elle avait quelqu’un avec qui parlé pendant que les enfants jouaient et qu’Ellis s’enfermait pour étudier en haut. Maïka aimerait que son Ellis veuille bien lui parler dans une énorme conversation, mais Ellis ne parlait qu’à son père. Il était très silencieux, comme s’il lui en voulait… et ça la blessait plus que tout au monde. Au fond, Maïka se demandait si elle ne devait pas chouchouter Ellis et le sortir ou… aller seul à ce qu’elle ne savait pas. Elle regardait Talia avec ce qu’elle lui présentait. Elle avait toujours les sourcils froncés, mais c’était tellement… étrange ?

    « Prends les deux et va à ce cocktail de ma part, tu peux inviter qui tu voudras... »
    Maïka la regardait avec des gros yeux. Elle était surprise. « Mais Talia, je veux t’inviter toi ! Qui d’autre voudrais-tu que j’invite ? Tu es la seule avec qui je peux parler de beaux vêtements » Dit-elle en regardant les deux invitations. « Puis, je ne peux inviter mon mari. Tu l’imagines là-bas ? » Elle voulait y aller, mais avec qui ? Elle aurait aimé que Talia vienne avec elle. « Et si j’appelle Grand-papa Clash pour qu’il vienne garder les enfants tandis que nous, nous y allons ? » Roselanie arriva en courant au côté des deux adultes. Elle sauta sur les jambes de Talia en les serrant dans ses petits bras.









Anonymous

Invité
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...dix, onze, douze? (finish) #Jeu 15 Oct - 21:31




    May - « Mais oui. Je veux bien rester. Taliiiiaaaaa »
    Talia- Non non, pas question. Tu vas sortir et te changer les idées. Ce n'est pas bon de s'enraciner dans ses petites habitudes. Je sais tu me détestes mais tu verras, une fois dehors, tu seras contente de m'avoir écouté.

    Bornée? Sans aucun doute. Talia connaissait bien son amie et oui elle voyait bien ce petit air buté qui disait "non je sortirai pas", mais écoutez, Talia savait que ce n'était Monsieur Clash qui allait emmener sa femme sortir ni prendre soin d'elle comme il se devait. Monsieur préférait aller courir les minettes que de s'occupait de sa famille. C'était exactement pour se genre de choses que Talia ne voulait pas fonder une famille à elle. C'était trop... risqué. Elle, elle n'aurait jamais supportée d'être ainsi abandonnée, même si elle avait une dizaine d'enfants tous plus adorables les uns que les autres, elle n'aurait pas supporté. Elle préférait se réveiller toute seule le matin avec cette étrange sensation au coeur. Mieux valait être seule que mal accompagnée et aucune femme n'aurait pu dire le contraire, pas même May qui supportait tout sans rien dire.

    May - « Mais Talia, je veux t’inviter toi ! Qui d’autre voudrais-tu que j’invite ? Tu es la seule avec qui je peux parler de beaux vêtements »
    Talia- Mais... tu ne veux pas y aller avec mes amis, tu les adorerai, et puis ça te ferais connaître du monde aussi...
    May - « Puis, je ne peux inviter mon mari. Tu l’imagines là-bas ? »
    Talia- Ce n'est pas vraiment la personne que j'imaginai pour t'aérer l'esprit mais bon...
    May « Et si j’appelle Grand-papa Clash pour qu’il vienne garder les enfants tandis que nous, nous y allons ? »
    Talia- Tu es sûre? Moi qui voulait garder les enfants et que tu vois des nouvelles têtes pour une fois...

    Elle avait une petite mine. Talia cherchait une solution à l'équation insoluble de May, sortir mais pas toute seule, mais pas avec son mari, mais pas en laissant les enfants seuls évidemment, ils n'avaient pas du tout l'âge pour ça.

    Talia- Et si j'appelle Sugar? Pour sortir avec toi pendant que je garde les enfants...












Maïka Clash

Maïka Clash
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 114
...dix, onze, douze? (finish) #Mer 4 Nov - 22:54


    « Mais oui. Je veux bien rester. Taliiiiaaaaa »
    « Non non, pas question. Tu vas sortir et te changer les idées. Ce n'est pas bon de s'enraciner dans ses petites habitudes. Je sais tu me détestes mais tu verras, une fois dehors, tu seras contente de m'avoir écouté.»
    « Non, je t’en supplies Talia. Je ne veux pas sortir seule. Je n’ai pas envie d’être seule dehors de chez moi. » Elle regardait Talia paniquée. Elle ne pouvait sortir comme ça sans ses enfants. Elle ne pouvait pas les laisser là sans avertir Edward pour qu’il n’ait pas de mauvaise ou bonne surprise. Elle était terrifiée de le voir se fâcher, déjà qu’elle endurait des choses que personne d’autre ne serait capable d’endurer, mais elle l’aimait après tout, autant qu’elle aimait ses enfants… elle pourrait y donner sa vie pour ce salaud. C’était peut-être insensé pour la plupart des gens qui connaissaient cette vie plus ou moins belle, mais elle trouvait tout de même du bonheur dans cette vie qu’on pouvait de qualifier de désastreuse par moment. Elle avait ses enfants qui lui demandaient beaucoup de temps, ça finissait toujours par lui prendre toute sa journée, mais elle ne voyait rien de ça. Elle s’occupait d’eux avec amour. Puis son mari s’était calmé sur certaine chose ce qui faisait que Maïka était de plus en plus souriante. Pourquoi devait-elle donc se plaindre ? Elle était par moment si triste… tellement triste. Elle en avait parlé de tout ça à Talia sans parler de tout sur Edward. Il y a des choses dont elle devait tenir secrète et c’était assez compréhensible. Maïka aimait beaucoup son amie, elle ne voulait pas mettre sa vie en danger pour un rien… donc elle gardait certaine chose pour elle ne les partageant à personne qui ne serait déjà au courant de ce que faisait son mari. Elle ne parlait pas beaucoup de lui, préférant ne pas en parler, mais elle finissait toujours par éclater devant Talia sans parler de ce que faisais réellement Edward quand il n’était pas à la maison ou quand il n’était pas avec une autre femme. Ce n’était que des détails. Pourtant, elle ne voulait pas sortir seule. Que ferait-elle seule dehors ? Puis qu’allait-elle faire là-bas ? Elle ne connaissait personne. Si un homme la draguait, elle allait subir les conséquences par son mari surtout s’il le découvrait. Elle était terrifiée d’y aller toute seule.

    « Tu es sûre? Moi qui voulait garder les enfants et que tu vois des nouvelles têtes pour une fois...»
    « Oui j’en suis sur, je veux y aller avec toi… »

    Maïka était près d’une crise de panique intense. De nouvelles têtes… non, non… elle ne voulait pas. Elle avait perdu de la confiance ? Non, mais ce qu’elle avait peur de se retrouver seule et de ne pouvoir se désennuyer. L’inconnu lui faisait peur en même temps. En plus, ses enfants n’allait pas trouver ça amusant que leur mère parte comme ça, sans leur avoir dit la veille qu’elle partait… Elle leurs avait promis de jouer avec eux, mais apparemment, elle ne pourra pas. Comment faire pour ne pas se présenter à la proposition de Talia ? Comment se sortir d’affaire et rester ici à parler avec elle en s’occupant des enfants autour d’un café… Ah que la vie pourrait être si simple, si l’on était dans la tête de la belle métisse.

    « Et si j'appelle Sugar? Pour sortir avec toi pendant que je garde les enfants...»
    « Non je n’ai pas le droit de sortir avec des hommes… mise à part les amis d’Edward… et je ne crois pas que Sugar soit un ami de mon mari. Alors tu n’as pas le choix de venir avec moi, sinon je reste à m’occuper des enfants… » Elle était entêtée jusqu’au bout. Elle ne voulait rien savoir d’autre. C’était comme ça un point c’est tout. « Je devrais te présenter mon mari une fois… Je ne te l’ai jamais présenté … » Dit-elle en pensant un peu à son mari. « Je crois qu’il aimerait te rencontrer… de connaître mes fréquentations… et de connaître celle qui me redonne le sourire quand tout va mal… » Lui dit-elle en souriant d’un sourire franc.









Anonymous

Invité
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...dix, onze, douze? (finish) #Ven 4 Déc - 20:40



    Dire que Talia était sur le point de reconnaître qu'il existait quelque part... non n'allons pas si loin... en face d'elle, quelqu'un de plus tête de mule qu'elle. Non elle ne pouvait pas décemment reconnaître un truc aussi aberrant. Pas question.

    May -« Non je n’ai pas le droit de sortir avec des hommes…', tiens ça ça l'aurait étonnée. Talia n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer Edward Clash en personne mais pour le peu qu'elle savait de lui, elle l'avait déjà irrémédiablement classé dans la catégorie "connard infréquentable", et pour dire, il n'y avait qu'une seule personne qu'elle ait réussi à mettre dans cette catégorie jusqu'alors, et c'était le stupide mage noir qui servait de petit copain coureur à sa soeur. C'était dire. Celui là si elle l'avait eu à côté d'elle à table, elle lui aurait sans doute planté la fourchette dans la cuisse ou poivré les yeux... quelque chose dans ce goût là. mise à part les amis d’Edward… évidemment... et je ne crois pas que Sugar soit un ami de mon mari. Alors tu n’as pas le choix de venir avec moi, sinon je reste à m’occuper des enfants… »

    Pour le coup Talia restait complètement con. Elle n'en revenait pas de ce que Maïka venait de lui sortir. C'était tellement énorme que jusqu'à cette minute elle aurait plutôt parié que le prochain ministre de la magie serait un troll des montagnes que quelqu'un puisse lui sortir un truc pareil:

    Talia - Tu m'inquiète là May. Tu as vu ce que tu viens de me dire? Sugar!!! Mais c'est pas un type! C'est la super vedette de Amour, Gloire & Sorcier! LE Mannequin Sugar, et accessoirement mon amie aussi. Alors c'est vrai que vues les prérogatives de Monsieur Clash, ton mari aurait bien du soucis à se faire parce qu'à ta place j'aurais virée ma cuti depuis des lustres mais franchement, je crois pas que Sugar soit vraiment le genre à te faire des avances. Mh?

    May tu ne sors pas assez. C'était en gros ce que ça voulait dire, bornée pour bornée, Talia n'était pas prête de renoncer à son titre de chieuse de si tôt.

    May - « Je devrais te présenter mon mari une fois… Je ne te l’ai jamais présenté … »
    Talia - Oh euuh mais t'es pas obligée. C'est pas non plus pressé...

    Traduction... non en fait je pense que vous n'avez pas vraiment besoin de la traduction. Contentez vous de relire un peu plus au pire.

    May - « Je crois qu’il aimerait te rencontrer… de connaître mes fréquentations… et de connaître celle qui me redonne le sourire quand tout va mal… »
    Talia - Euh j'en doute pas mais... tu es sûre que c'est une très bonne idée? Parce que honnêtement, s'il veut me rencontrer c'est uniquement pour voir si il cautionne que tu me fréquentes et je suis pas persuadée que ça me plaise vraiment à ça d'aider un tyran à fliquer un peu plus mon amie qui a déjà assez de douze gamins, bientôt treize...tu vois ce que je veux dire?











Maïka Clash

Maïka Clash
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 114
...dix, onze, douze? (finish) #Dim 27 Déc - 5:10


    Elle n’avait pas le droit de sortir ainsi. Elle n’avait pas le droit de fausser compagnie aux enfants, comme ça sans avoir parlé à son mari de sa sortie. Maïka n’était pas préparée pour sortir de la maison, elle n’avait pas de nouvelles tenues, elle ne pouvait tout simplement pas sortir de la maison, même si l’offre était très alléchante, la métisse n’avait aucune envie de sortir seule ou encore avec une inconnue. L’hawaïenne avait entièrement confiance en son amie, mais elle aurait préféré s’occuper de ses enfants en sa compagnie. Il y avait quand même plusieurs enfants ici et parfois il fallait plus d’une tête pour surveiller en partie les triplés qui se montraient de mauvais garnement, mais à force on les aimait quand même ses trois petits garçons qui jouaient plusieurs mauvais tours ou leurs expériences qui finissaient par des petites blessures. Elle ne savait pas comment ils réagiraient avec une gardienne, comme Talia. Elle avait bien peur qu’ils s’énervent et mettent la maison sans dessus-dessous. De plus, Edward rentrerait dans une énorme colère, ce qu’elle n’avait pas vécu, depuis quelques temps. Elle n’espérait pas de revivre ce genre d’expérience qui finissait toujours par une conséquence désastreuse. Elle avait envie de s’éclater, mais peut-être pas de la façon que pensait Talia. Maïka ne voulait pas refuser un aussi beau cadeau, car elle se sentait coupable, mais elle préférait grandement de son amie, qu’elle considérait comme un ange. Eh oui ! à force de ne pas avoir d’ami, elle s’était rendue compte qu’à chaque fois qu’elle voyait Talia, une petite chaleur au fond de son cœur s’éveillait. Elle était un ange venu changer son quotidien. Si elle le disait à quelqu’un, elle serait peut-être considérée comme une folle, mais c’était tout simplement la vérité. L’orgueil était trop grand pour qu’elle puisse dire ce genre de truc. Pourtant, elle ne voulait pas qu’elle garde sa petite famille seule, surtout avec les caractères de ses triplés. Elle n’aurait rien dit si ça n’aurait été que les jumelles, Ellis et les nouveau-nés, mais les triplés restaient un énorme « challenge ».

    Elle ne pouvait sortir avec des hommes s’étaient vrais, mais elle pouvait encore moins trop parler de sa vie avec de nouvelles connaissances. S’il découvrait les secrets que comportaient la petite famille – ou la grande famille – Clash. Sugar lui semblait un prénom d’homme, mais elle se trompait littéralement sans le savoir. Elle n’écoutait pas la télévision des séries sorcières et encore moins des épisodes d’amour, gloire & sorcier, elle préférait écouter les émissions pour enfant avec ses enfants sur le sofa en regardant son Ellis assit sur le trône du roi où son père se trouvait lorsqu’il était présent. Quand son père était présent, elle se retrouvait sur les genoux de son mari. On pouvait dire qu’il état le roi ou le mâle de cette demeure, le petit prince, Ellis, était non loin ou à ses pieds. Ellis ne parlait qu’à son père en temps normal, il était très rare qu’elle puisse entendre la voix de son propre fils. Maïka avait le cœur brisé, parfois elle se surprenait à le fixer pendant des heures en se répétant sans cesse dans son cœur qu’il ne l’aimait pas. Qu’avait-elle fait pour que son fils ne veuille pas lui dire un mot ? Était-ce à cause des nombreuses disputes entre elle et son père quand il était bébé, encore ? Ou était-ce le fait qu’elle soit parti pour Salem lorsqu’il avait quelques mois ? Elle avait été forcée de quitter pour Salem par Edward qui n’avait rien voulu entendre à ce qu’elle disait. C’était lui peut-être le coupable dans le fond. Le pire des scénarios qu’elle se faisait, c’est qu’elle n’était rien à ses yeux. Le fait de penser à ses choses horribles la chamboulaient énormément, elle quittait la pièce où se trouvait son premier enfant pour se réfugier loin des regards avant d’éclater dans une crise silencieuse. Elle ne parlait pas de ça, mais souvent, elle voulait partager ce qu’elle vivait avec une personne digne de confiance Talia, Moony ou encore Edward. Elle se demandait si Talia avait eu la chance d’entendre Ellis parlé… Il était si silencieux… Si intelligent, son fils était parfait ! Le petit prince occupait la majeur partie des pensés de Maïka. Elle aimait beaucoup ses enfants, mais le petit prince était encore plus dans sa tête, il était le préféré – c’était sur – du roi, mais Edward était un père aimant et ça, personne ne pouvait le contredire sur ce point.

    « Tu m'inquiète là May. Tu as vu ce que tu viens de me dire? Sugar!!! Mais c'est pas un type! C'est la super vedette de Amour, Gloire & Sorcier! LE Mannequin Sugar, et accessoirement mon amie aussi. Alors c'est vrai que vues les prérogatives de Monsieur Clash, ton mari aurait bien du soucis à se faire parce qu'à ta place j'aurais virée ma cuti depuis des lustres mais franchement, je crois pas que Sugar soit vraiment le genre à te faire des avances. Mh? »
    « Je ne veux pas aller avec cette personne, même si c’est un homme ou une femme. Je préfère aller avec toi ou je n’y vais pas du tout !!, Maïka croisa les bras et la regardait avec tant de sérieux que s’en était presque troublant, Puis Edward ne sait pas cette sortie surprise et je ne suis pas sur qu’il soit d’accord avec ce genre de comportement. Je ne me sentirais pas à ma place à aller à ce genre de soirée. Tu sais comme moi qu’ils s’entendent à te voir. Puis, j’ai rien à me mettre. Pourquoi nous ne passerions pas la journée ensemble ? Comme ça, pendant que les enfants font la sieste, nous pourrions discuter de choses de grande ? Comprends-moi, Talia, j’adore m’occuper de mes enfants et je préfère sortir avec des gens que je connais. Puis que veux-tu faire avec les enfants en pleins milieu de l’Arizona ? Sais-tu à quel point que les triplés sont épouvantables par moment ? S’ils se blessent… Oh mon dieu, non je ne veux pas te faire endurer ça ! » Dit-elle d’un seul coup à croire qu’elle ne reprenait jamais son souffle. La jeune femme eut la brillante idée de changer le capte de la conversation en ayant la merveilleuse manière de se sauver de cette soirée. Quand elle était Adolescente, elle faisait souvent ce genre de conversation à ses parents, changeant complètement de sujet ce qui parfois fonctionnaient, ses parents oubliaient la conversation du départ et la métisse réussissait à se sauver d’une peut-être punition. Maintenant, elle était une adulte et à court d’argument, mais elle ne craquerait pas pour autant. Au fond, elle aimerait bien que son mari et son amie se rencontre pour une fois. Elle voulait prouver qu’elle avait de bonnes relations avec quelqu’un de bien autre que les amis de son roi. Maïka voulait bien les présenter, même si elle savait que Talia n’était pas beaucoup son mari, mais c’était grâce à lui qu’elle avait une aussi grande et aussi belle famille. Il était celui qui avait voulu d’elle en épouse.

    « Euh j'en doute pas mais... tu es sûre que c'est une très bonne idée? Parce que honnêtement, s'il veut me rencontrer c'est uniquement pour voir si il cautionne que tu me fréquentes et je suis pas persuadée que ça me plaise vraiment à ça d'aider un tyran à fliquer un peu plus mon amie qui a déjà assez de douze gamins, bientôt treize...tu vois ce que je veux dire? »
    « Non, c’est une bonne idée ! Edward n’est pas si pire que tu le penses. Il est un très bon père, peut-être qu’il me trompe, mais au fond… il tente du mieux qu’il le peut de faire des efforts. Quand il était plus jeune à ses vingt ans, c’était bien pire que ça. Il n’était pas rare qu’il me violente, mais ça fait extrêmement longtemps qu’il n’y ait pas eu de disputes aussi graves. » dit-elle rapidement, elle ne se considérait plus comme une femme battue. Ils s’étaient améliorés chacun de leur côté à force de se côtoyer. Maïka avait appris comment vivre avec son mari. Elle avait vieilli, compris ses intentions du pourquoi il la trompait, mais elle ne pouvait pas dire cela à son amie qui ne comprendrait certainement rien de ce qu’elle racontait. C’était normal, elle devait se l’avouer. Elle ne devait jamais comprendre ce qui se passait par rapport à son mari, elle ne voulait pas perdre son amie pour ce qu’était son mari.

    « Allez dit Oui ! Je veux que vous vous rencontrez ! Ça me ferait tellement plaisir. Tu es capable de faire ça pour moi. » Elle lui fit des yeux d’épagneuls pour amadouer sa meilleure amie. « Allez, s’il te plait ! Je vais préparer un souper de mes mains pour nous trois… Je promets ! Et s’il te laisse venir ici, c’est qu’au fond, il n’est pas si pire que ça, non ? Puis tu sais, tu ne dois pas contrarié une femme enceinte !? Ah, et tu sais que j’attend mon bébé fin février, début Mars ! Tu voudras être là pour m’accompagner ? »

    ( bon désolée, j’ai eu un élan de Oo je ne sais quoi. Je me suis mise à écrire comme une folle en une heure xD )









Anonymous

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...dix, onze, douze? (finish) #Dim 17 Jan - 19:56


May - Puis Edward ne sait pas cette sortie surprise et je ne suis pas sûre qu’il soit d’accord avec ce genre de comportement. Je ne me sentirais pas à ma place à aller à ce genre de soirée. Tu sais comme moi qu’ils s’entendent à te voir. Puis, j’ai rien à me mettre. Pourquoi nous ne passerions pas la journée ensemble ? Comme ça, pendant que les enfants font la sieste, nous pourrions discuter de choses de grande ? Comprends-moi, Talia, j’adore m’occuper de mes enfants et je préfère sortir avec des gens que je connais. Puis que veux-tu faire avec les enfants en pleins milieu de l’Arizona ? Sais-tu à quel point que les triplés sont épouvantables par moment ? S’ils se blessent… Oh mon dieu, non je ne veux pas te faire endurer ça ! »

Talia soupira bruyamment, levant les yeux au ciel. Mais quelle tête de mule cette Maïka. Enfin vous me direz ça, Talia le savait déjà avant de venir. La brunette ne ruminait même pas le côté Edward Clash, qui avait une grande part de responsabilité dans l'obstination de sa femme. Dieu savait ce qu'un Edward Clash contrarié pouvait faire à son épouse enceinte ou pas. Bref... ne parlons plus de ce triste sire.

Talia - Bon, bon ça va tu as gagné. Mais tu me le revaudras, la prochaine fois je te jure que je ne céderais pas même si pour ça il faut que j'aille dégoter une autorisation signée de ton mari...', pfff celui là. Enfin on avait dit qu'on en parlait pas,' mais je tiens à dire que je m'en serais sortie avec tes enfants, j'en suis sûre. Qu'importe qu'ils aient leur petit caractère bien à eux.

Elle s'en sortais avec Che et une armée de mannequins pas toujours très brillants, avec ça elle pouvait se sortir de tout et n'importe quoi. Ca ne faisait toujours pas l'ombre d'un doute. Petit à petit la conversation reglissa vers le malheureux sujet que Talia avait réussi à éviter jusqu'ici ou presque: Edward Clash, le seul et unique (fort heureusement d'ailleurs).

May - « Non, c’est une bonne idée ! Edward n’est pas si pire que tu le penses.', si seulement Maïka avait su ce que Talia pensait... Il est un très bon père, ', c'est sans doute pour cela qu'il est là en ce moment pour garder les enfants et que tu puisses sortir, se dit Talia. Mais elle le garda pour elle.,' peut-être qu’il me trompe,', peut-être c'était bien gentil...,' mais au fond… il tente du mieux qu’il le peut de faire des efforts. Des efforts? D'un autre côté il était vrai que quand Edward Clash n'était pas là, May ne devait pas avoir à ce plaindre de lui, de là à considérer cela comme... des efforts...,' Quand il était plus jeune à ses vingt ans, c’était bien pire que ça. ', pire que ça... voyons... non pire ce n'était pas possible,' Il n’était pas rare qu’il me violente, mais ça fait extrêmement longtemps qu’il n’y ait pas eu de disputes aussi graves. »

Ah si il pouvait y avoir pire donc. Talia était toujours complètement blasée quand elle voyait May s'accrocher à cette raclure qui se prenait pour un homme et pire encore, pour un mari.

Talia - Je ne veux pas être méchante May, mais franchement, pourquoi tu restes avec ce type? Il... il ne te mérite pas ce c...', mais elle se censura toute seule pour ne pas blesser son amie,' Tu sais il y a des tas de femmes qui vivent divorcées et ce n'est pas si terrible...
May - « Allez dit Oui ! Je veux que vous vous rencontrez ! Ça me ferait tellement plaisir. Tu es capable de faire ça pour moi. Allez, s’il te plait ! Je vais préparer un souper de mes mains pour nous trois… Je promets ! Et s’il te laisse venir ici, c’est qu’au fond, il n’est pas si pire que ça, non ? Puis tu sais, tu ne dois pas contrarié une femme enceinte !? Ah, et tu sais que j’attends mon bébé fin février, début Mars ! Tu voudras être là pour m’accompagner ? »
Talia - Evidemment que oui May...', soupira la Mexicaine,' mais pour le dîner laisse moi y réfléchir encore. Tu sais à quel point j'ai du mal à ne pas dire ce que je pense quand quelque chose m'agace et très sincèrement... j'ai bien peur que ton mari "m'agace" quand je le verrais en chair et en os.

Elle s'imaginait déjà le truc.









Maïka Clash

Maïka Clash
SORCIERE. ► femme au foyer.

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...dix, onze, douze? (finish) #Sam 30 Jan - 3:13


    « Bon, bon ça va tu as gagné. Mais tu me le revaudras, la prochaine fois je te jure que je ne céderais pas même si pour ça il faut que j'aille dégoter une autorisation signée de ton mari... mais je tiens à dire que je m'en serais sortie avec tes enfants, j'en suis sûre. Qu'importe qu'ils aient leur petit caractère bien à eux. »
    « Tu serais étonnée, comment il est dur d’avoir une autorisation signée ! Tu ne gagneras pas Talia. C’est une lutte féroce pour me faire sortir de la maison sans les enfants pour aller seule dans une sortie que je n’ai pas ma place. Crois-tu vraiment que j’avais vraiment ma place parmi tes amis qui t’attendaient là-bas ? » dit-elle sérieusement pour lui donner une réponse complète à son refus autre qu’à cause de son mari qui était parfois difficile à vivre. Pourtant, Maïka s’était complètement habituée à ce mode de vie qui ne la dérangeait plus maintenant. Elle avait vécu pire, juste après son mariage avec lui, maintenant, c’était tellement paisible même avec ses douze enfants parfois turbulent quand tout le monde voulait manger en même temps. La métisse n’avait pas assez de yeux, ni de tête, ni d’oreille et de bras pour toujours avoir l’œil et le temps pour chacun, mais elle tentait de faire le mieux qu’elle pouvait. Elle faisait entièrement confiance à son Ellis qui ne lui parlait jamais, en fait presque jamais, comme s’il lui en voulait. Ça la blessait. Le cœur d’une mère était fragile et un rien à propos de ses enfants pouvaient être en mille morceaux assez rapidement. Maïka avait voulu cette union quand elle était jeune et complètement déjantée. Elle connaissait qu’à peine son petit-copain de l’époque qui était bien sur à présent son mari. Elle l’avait toujours voulu et elle l’avait eu, mais avec les conséquences qui venaient avec ce mariage. L’hawaïenne vivait très bien à présent avec les erreurs qu’elle avait commises. Maïka connaissait ses enfants par cœur pour savoir que les triplés allaient donner du fil à retordre à la pauvre Talia qui avait, elle aussi, beaucoup de caractère. Puis, Roselanie aurait voulu toute l’attention de la seule amie de sa mère ce qui n’aurait rien aidé à avoir des yeux tout le tour de la tête pour pouvoir surveiller la maisonnée au complet.

    « Je ne veux pas être méchante May, mais franchement, pourquoi tu restes avec ce type? Il... il ne te mérite pas ce c... ( … ) Tu sais il y a des tas de femmes qui vivent divorcées et ce n'est pas si terrible... ( … ) Evidemment que oui May... mais pour le dîner laisse moi y réfléchir encore. Tu sais à quel point j'ai du mal à ne pas dire ce que je pense quand quelque chose m'agace et très sincèrement... j'ai bien peur que ton mari "m'agace" quand je le verrais en chair et en os. »
    « Divorcer ne serait pas le meilleur moyen pour moi. Même si tu trouves qu’il est ignoble, je suis bien comme je suis. Si tu savais à quel point, je déteste les femmes qu’il voit. Puis je sais que tu le considère, comme un connard et un salopard. Peut-être au fond que s’en est un, mais ça reste compliquer. » elle se tut. Elle s’en allait dire les vraies choses, ce qui était totalement interdit à dire par rapport à tout ce qu’il faisait quand il n’était pas là. Elle savait qu’il travaillait et qu’elle n’avait en aucun cas le droit de juger quand il rentrait. Ses crises de jalousie s’étaient adoucies. La jeune femme savait que les autres femmes qu’elle appelait ses connasses ou encore ses salopes vivaient l’enfer du viol et des étranges comportements sexuels qu’il avait. Elle ne vivait pas ce genre de choses, car il y avait des choses qu’il s’interdisait de faire, car elle ne voulait pas. Elle comprenait ses choses, même si elle détestait de savoir qu’il avait passé un moment avec une autre femme qu’elle. Au fond, elle l’aimait plus que tout au monde, mais personne ne semblait savoir à quel point elle était attachée à Edward Clash qui lui avait donné une famille et un certains respects que personne avaient réussi à obtenir par cet homme cruel. Talia ne pouvait pas dire ses choses, car elle ne le connaissait pas, mais si elle savait. Oh si elle savait ! « Tu viens dîner avec moi et mon mari. Il ne t’agacera pas. Je te le promets. Puis je t’ai dit, il ne faut pas frustrer une femme enceinte et ce que tu fais c’est tout le contraire. » Roselanie redescendit les marches habillés différemment qu’au début et avait brossé ses longs cheveux bruns, presque noir, comme ceux de sa mère. Elle tenait se trait physique de sa mère. Les jumelles de la famille ressemblait beaucoup plus à leur mère que de leur père, mais elles avaient des points communs avec leur père aussi, même s’ils étaient beaucoup moins apparents que ceux envers leur mère.

    « Je suis comment Talia ? Plus tard… je vais… je vais faire comme toi, je vais devenir une princesse même… »
    Maïka regardait sa fille qui s’accrocha aux jambes de Talia. La métisse ne fit rien. C’était un peu le problème de Talia, maintenant.
    « Je n’ai pas encore préparé le repas pour les enfants, tu voudrais bien m’aider Talia. Je crois que Rose’ va être contente de manger un repas que son idole à fait. » Elle sourit enfin. « Puis, les enfants t’aime bien, alors je crois qu’ils vont être content que tu dînes avec nous. Qu’en penses-tu ? »









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...dix, onze, douze? (finish) #Jeu 11 Fév - 17:20


May - « Tu serais étonnée, comment il est dur d’avoir une autorisation signée !
Talia - Oh non ça je sais très bien. Figure toi que ma dernière mission au ministère était de remplacer la fille de la garderie. Je sais pas pourquoi j'ai accepté mais je te jure... les enfants de ministre sont tous plus mal élevés et pourri gâté les un que les autres. Je te laisse imaginer. Mais je m'en suis quand même tiré mine de rien.
May - Tu ne gagneras pas Talia. C’est une lutte féroce pour me faire sortir de la maison sans les enfants pour aller seule dans une sortie que je n’ai pas ma place. Crois-tu vraiment que j’avais vraiment ma place parmi tes amis qui t’attendaient là-bas ? »
Talia - Bon tu me désespères May. On va rester ici tu es contente?

Talia levait les yeux au ciel. Après tout ce n'était pas si grave de rester là à s'occuper des enfants avec Maïka, du moment qu'elle était partie avant que Monsieur Clash ne montre son sale nez crochu ça lui irait très bien. Restait plus qu'à prier qu'il ne débarque pas à l'improviste mais bon, il était tellement présent qu'il y avait peu de chance qu'il soit soudainement pris d'une envie de jouer les papa gâteau. Très peu de chance...

May - « Divorcer ne serait pas le meilleur moyen pour moi. Même si tu trouves qu’il est ignoble, je suis bien comme je suis. Si tu savais à quel point, je déteste les femmes qu’il voit. Puis je sais que tu le considère, comme un connard et un salopard. Peut-être au fond que s’en est un, mais ça reste compliquer. »
Talia - J'imagine. Enfin bon tu ne me convaincras pas sur ce coup là May.
May - « Tu viens dîner avec moi et mon mari. Il ne t’agacera pas. Je te le promets. Puis je t’ai dit, il ne faut pas frustrer une femme enceinte et ce que tu fais c’est tout le contraire. »
Talia - May vraiment non. Si ce n'est pas bon de frustrer une femme enceinte je pense qu'il faut encore moins la stresser et à mon avis si tu m'assois à la même table que ton mari tu ne pourras qu'être stressée. Même sans parler de lui je me connais, je sais très bien que je ne peux pas ne pas dire ce que je pense et je doute que ça lui plaise. Et d'ailleurs, tu sais comme je peux être bavarde des fois...

Des fois. La bonne blague. Talia elle même ne se rendait pas compte à quel point elle pouvait être bavarde. C'était un enfer pour les autre mais elle même se supportait très bien merci.
Roselanie arrivait juste à point pour couper court à la conversation.

Roselanie - « Je suis comment Talia ? Plus tard… je vais… je vais faire comme toi, je vais devenir une princesse même… »
Talia - Waw, tu es magnifique ma puce. On dirait une princesse.', répondit-elle avec un grand sourire sincère. La gamine était véritablement très jolie.
May - « Je n’ai pas encore préparé le repas pour les enfants, tu voudrais bien m’aider Talia. Je crois que Rose’ va être contente de manger un repas que son idole à fait. Puis, les enfants t’aime bien, alors je crois qu’ils vont être content que tu dînes avec nous. Qu’en penses-tu ? »
Talia - Non non May tu ne m'auras pas avec ça. Je veux bien goûter avec vous et t'aider à préparer le repas mais je reste pas manger ce soir. En plus j'ai une réunion de travail ce soir. Bon allez zou', elle prit la petite Roselanie par la main, se dirigeant vers la cuisine toute guillerette,' On va bien s'amuser.










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