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 (v) eurydice hébé, sinfull.

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Anonymous

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(v) eurydice hébé, sinfull. #Lun 31 Aoû - 21:52





EURYDICE HEBE, SINFULL
16 ans, sixième année, galloise
(v) eurydice hébé, sinfull. Fr32

« mon existence est à peine perceptible. je ne peux pas dire que ce soit d'une grande importance, que mon existence soit à peine perceptible. je ne vois pas quoi en dire. je remarque quand même le mot peine là dedans, c'est tout. »
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shine on for everyone. be okay, don't waste your time on rainy days, you know soon it will go away.












Anonymous

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(v) eurydice hébé, sinfull. #Lun 31 Aoû - 21:52




OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi.

(v) eurydice hébé, sinfull. Av1jg8
NOM : Sinfull-Lightened. Après la mort de sa mère, Eurydice s'est vu porté uniquement le nom de son père, c'est-à-dire Sinfull. Autant dire que ce nom lui vaut énormément de moquerie, mais la jeune fille n'y porte plus attention.
PRENOMS : Eurydice Hébé Perséphone. Trois noms grecs. Sa mère aimait la mythologie, et en tant que grande chercheuse en histoire de la magie, elle a nommé sa fille en conséquence. Cependant, le père d'Eurydice a toujours voulu que sa fille ait une symbolique sombre, ainsi, ses trois prénoms sont en association direct avec un destin funeste.
AGE : Seize ans. Elle est née le 21 Juin, durant le solstice d'été. Son caractère tout feu tout flamme vient sans doute de là...
ORIGINES : Eurydice est un un mélange tout à fait étrange. Fille de Lord William Sinfull, originaire d'Écosse, et d'une jeune femme du pays de galle, Lizabeth Lightened, elle est le mélange le plus parfait de deux hauts dignitaires sang purs.
ETAT CIVIL : Célibataire endurcie, et plus encore.

OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent.

je crois que... j'ai écrit plus bas. je suis pas sûr...mais... je crois?

OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler.

Quelle forme prend votre Epouvantard ? Eurydice a une peur noir de son père. C'est son épouvantard. Il est là, il se tient debout, et il hurle des choses incompréhensibles, en levant la main, en fermant le poing...
Que verriez-vous dans le Miroir du Risèd ? Sa mère, belle, dans sa longue robe pourpre, et elle, dans ses bras, heureuse, avec un trophée de quidditch. Peut être un père, beau, rayonnant, et pas la loque qu'il est actuellement.
Où transplaneriez-vous si vous en aviez la possibilité ? Au Pays de Galles. Elle aimerait se perdre dans les étendues de bruyères, mais c'est une chose qui lui ait définitivement fermer.
Quelle forme prend votre Patronus ? Il prend la forme d'un aigle impérial, d'un peu plus de deux mètres d'envergure.
Quel est votre sortilège favori ? Le fameux « Avis »! Elle adore ce sortilège car elle adore tout particulièrement les oiseaux!
Quel est celui qui vous terrifie le plus ? Le Império. Elle ne supporterait pas d'avoir été sous le contrôle de quelqu'un d'autre.
Qu’avez-vous ressenti en entrant à Poudlard ? Une liberté infinie.
Quelle forme de magie vous attire le plus ? La métamorphose! Matière dans laquelle elle excelle en vue de sa particularité... en tant que Sinfull, elle est bien évidemment métamorphomage.
Appréciez-vous la discipline ? Uniquement quand elle est nécessaire. Autrement, c'est quelque chose d'inutile qui embête tout le monde.
Quelle est la pureté de votre sang ? Pur, malheureusement?



OO4. Vous ! Oui, vous !

PSEUDONYME, PRENOM : Sha, le Sha... le Cat.
AGE : 17 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? ahaha?
LE MOT DE LA FIN ? Que la force soit avec toi n'a été cité que dans Star Wars : un nouvel espoir. Eeeeeh ouais! Ça vous embouche un coin, hein? Et toooc!












Anonymous

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(v) eurydice hébé, sinfull. #Lun 31 Aoû - 22:01





SI MAMAN SI
j'ai cru, un moment, m'en sortir à la lueur de ses prunelles
au final, j'ai fait une connerie, j'me suis brûlée les ailes
et tel Icare, je tombe, je m'écrase, le néant m'appelle
content, Dédale? voilà ta création, ta poubelle



(v) eurydice hébé, sinfull. Fr10

« she's a loaded gun in my shakin' hands. " am i in hell or the promised land? and what's your name ? - you want to find hell with me, so, i will show you what's it's like. i'm Eurydice, the justice without limits. " »
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take my hand and come with me
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YOU WERE BORN TO LOSE


    « Je m’en vais bientôt et je pense très très fort à toi,
    Pendant que mes doigts au piano te jouent tout ce que je te dois,
    Et rappelle toi que tu peux avoir le monde à tes pieds,
    Si tu ne te laisse pas abattre par ceux qui te laisse de côté...
    »


D'aussi loin que je m'en rappelle, je n'ai jamais vu Papa à la maison. Maman m'a toujours dit que Papa était quelqu'un dans le monde, et que pour cette raison, elle devait le laisser s'épanouir au dehors, sans vouloir à tout prix le retenir. Quand on a cinq ans, six même, s'épanouir ne signifie rien. On essaye de mettre une image dessus : le rossignol épanouit chante au mieux. Papa ne chantait pas : il faisait du quidditch. Il était une star, une vraie, et je crois bien que Maman avait pris l'habitude d'être son ombre, mais machinalement, l'ombre était devenue transparente. J'ai vécu neuf ans avec Maman, sans trop de nouvelles de Papa. Il passait régulièrement, mais toujours très tard, et repartait très tôt. Il avait une vie dissolue, selon les journaux. Je le voyais plutôt comme un travailleur forcené, qui n'aurait pas fini d'être perfectionniste. J'étais loin de la vérité. Maman avait été « folle », jeune, disait-elle. Je pense qu'elle voulait dire par là qu'épouser Papa avait été une folie regrettable. Épouser le plus grand joueur de quidditch en vu, était-ce une folie ou un conte de fée? Elle s'était prise au jeu, elle avait rapidement perdu ses ailes. L'innocente galloise, déchue par le prince écossais. D'un certains sens, on avait tous pitié de Maman. D'un autre sens, tout le monde admirait Papa et ne lui reprochait rien. Enfin, en ce temps là. Maman est tombée malade quand j'ai
eu huit ans. Elle ne l'a dit à personne. Devant moi, l'air de rien, elle maintenant ses habitudes. Puis les semaines ont passé, on l'a vu maigrir, respirer avec du mal, pleurer la nuit. C'est une des servantes qui a appelé un médicomage. Le verdict est tombé comme une sorte de jugement : elle n'en avait plus que pour six mois. Maman est morte dans son lit deux mois après, trois jours après mon anniversaire. Papa, aux yeux de la rubrique, est passé pour un martyr. J'avais honte de lui : il n'en souffrait pas autant que moi, mais il faisait du bruit, comme s'il jubilait d'être sur les premières pages, qu'importe comment. Son comportement était disgracieux, et même pour une petite fille de neuf ans, c'était insoutenable. Je n'ai jamais imaginé mon père autrement qu'arrogant et dédaigneux. Je pense qu'il s'est rendu compte qu'il avait fait une erreur, et qu'il avait tout perdu. Il l'a mal pris.

* * *

La table est bien silencieuse. Pas de quoi faire le fier, certes, mais l'homme courbé qui se trouve en bout de table n'a plus rien d'un héros, pas même le visage. Déconfit, c'est le mot, et pâle comme la mort, c'est la couleur. A l'autre bout de la table, des cheveux grisés et deux grands yeux gris de pluie, la petite silhouette attends son repas. Elle l'attends depuis deux heures déjà, mais elle ne dit rien. Elle sait combien c'est dur, combien ça fait mal, et quelque part, elle se retient de pleurer quand lui n'est qu'une rivière sans fin. Trois jours qu'il est là, qu'il ne bouge pas. Il commence à sentir la sueur. Il commence, dira-t-on.

« Papa... j'ai faim. »

C'est une plainte, un gémissement, presque une feulement, mais le père ne réagit pas. Elle
recommence, un peu plus fort, et il relève la tête brusquement. Son regard devenu noir croise le regard de sa fille, et le regard de cette dernière prend aussitôt une dizaine de couleur paniqué. Le regard n'indique rien de bon, il est terriblement menaçant, et elle sait qu'elle a fait quelque chose de mal, mais quoi exactement, elle n'en a aucune idée. Il se lève doucement de la table, dans une fureur silencieuse. Il a le corps tendu, il fait un pas, vacille, titube, se rattrape sur un meuble, souffle. Il est ivre mort de la veille, à croire qu'il n'a pas pu dessoûlé. Est-il seulement habitué à boire? Pas sûr. Il n'a plus aucun regard pour la petite fille, et ce qu'il émet – ce pseudo cri – n'est en réalité qu'un horrible gargouillis sans nom, comme s'il s'étouffait. L'enfant reste au bout de sa table, elle sent son estomac grondait et pose les mains dessus. Ils sont riches, alors pourquoi ne peut elle pas manger? Elle ferme les yeux, se retient de quémander, quand une de ses nourrices entrent dans la cuisine avec un plateau. Cette dernière est petite et ronde. C'est Maria. Maria qui jette un regard au père, dépitée, et qui se dirige vers la petite tête aux mille couleurs, lui tendant alors son plateau dans un sourire qui se veut chaleureux, accueillant. Si tout se passe bien la suite est moins jolie.

« Maria! Vous aiiiis-je... » Il cherche le mot, visiblement. « ...sonné? »
« Non, mon Lord, mais j'ai pensé que... »
« Car vous croyez mieux penser que moi? » Il la regarde, agacé.
« En vu de l'état dans lequel vous êtes, je le pense, oui. »
« Et vous vous trompez. Déguerpissez, avant que je ne vous colle mon pied a cul... »

Pas un mort de plus. Elle acquiese silencieusement et sort de la pièce, les laissant à nouveau seuls. L'enfant n'attends pas un mot de son père et mange presque aussitôt son repas. Commençant par l'entrée, qui est un plat de tomate aux persils et avec un peu de crabe, et regarde en même temps le restant du plateau avec des yeux affamés. Pas au goût du père qui s'approche et frappe sur le table – se maintenant à elle au passage.

« N'as-tu pas honte de te comporter comme une crève-la-faim?! Sale petite idiote... » Il lève la main mais recule de quelques pas en arrière, et revient près de la table en titubant. « C'est à cause de toi si je suis comme ça! Regarde toi, comme tu es... tu n'es qu'un poids, Eurydice. Un poids... comme ta mère... vous étiez un poids... vous étiez... »

Il éclate en sanglot, sans rien dire de plus. L'enfant le regarde, surprise. Ses yeux sont bleus, et ils pleurent. Un poids? Maman n'était donc que ça? L'esprit de l'enfant fait rapidement le calcul, et elle ne s'y trompe pas. C'est la peine qui rend Papa triste, la tristesse se noie dans l'alcool, l'alcool rend la tristesse méchante et sans yeux pour ses victimes. Pourquoi, quelque part, elle ne peut pas lui pardonner, pas de lui dire ça, à elle. Il n'a pas le droit de lui faire subir ça, à elle, quand il n'a jamais été là durant toutes ses années. L'enfant de dix ans le regarde, soudainement froide comme le givre, et se lève de table. Elle prends le plateau de ses mains et se dirige vers la porte, seule. Son pas est trop rapide pour qu'il puisse suivre. Il trébuche, tombe sur le sol – comme une merde. Elle le regarde, et le voit là. Assis, sur le sol, presque allongé. Un cloporte ou un rat? Pas vraiment sûr. Une espèce particulière de vermine, en tout cas. Et il chiale, encore et encore. Il ne sait donc faire que ça? Et il parle, de choses sans sens. Il dit qu'Eurydice aurait mieux fait de mourir. Aurait mieux fait. Que sa femme n'est pas morte. La petite fille détourne les yeux du spectacle affligeant et referme derrière elle la porte de la salle à manger.

* * *

D'après Freud, une fois dans nos existence d'adolescent, nous ouvrons les yeux sur nos parents que nous avions vu jusqu'alors comme des dieux, et nous les découvrons imparfaits. C'est la pire des choses qui puissent arriver à un enfant de dix ans, pas même adolescent, mais plus vraiment un enfant : on se rend compte que durant toutes ses années on a magnifié qu'un sale détritus qui ne vaut même pas la peine que l'on s'intéresse à lui. Dans un deuxième temps, Freud dit que l'on doit chercher – par la suite – une seconde figure paternelle. Dans ce cas là, qui est-elle pour moi? C'est la question que je me pose souvent. Si j'ai grandis de par moi même, je suis immorale, je suis imparfaite. Cela signifierait qu'un enfant qui grandis avec deux figures maternelle et paternelle serait parfait? Première incohérence de Freud. La deuxième résulte dans un seul mot : amour. On peut passer au delà des imperfections si l'on aime. C'est ce que je me suis toujours dit. L'année suivante, je suis entrée à Poudlard. J'étais impatiente : la liberté m'ouvrait enfin les bras. J'ai décidé de moi même de ne pas retourner à la maison durant les vacances, trop éreintée du comportement de mon père. Je suis allée à la gare avec Maria et Victor. Papa était ivre mort. J'avais un hématome sur le bras, et un sur les côtes. La dure loi du « tais-toi, sinon je t'en met une ». Je n'ai jamais bien compris les règles de ce jeu familial. Plus sérieusement, j'ai fait le chemin – dans le train donc – avec une peste et un garçon qui a dormi tout le long. Mes premiers contacts ont été plutôt difficile. Puis la peste est partie, le garçon s'est réveillé, et on a parlé, longtemps. C'était mon premier ami dans Poudlard, et c'était « nouveau » pour moi d'avoir quelqu'un a qui dire que le ciel bleu était merveilleux, et que peut être – qui sait? – verrait-ton des monstres ou des trolls à l'école! Toutes mes affabulations ne l'ont pourtant pas agacé, et on a parlé, jusqu'à l'arrivée du train. Rares sont les amis d'enfance. J'entends par là que le garçon que j'ai rencontré – à ce moment là – avait dans le même train deux amis d'enfance qu'il avait perdu de vu, étant arrivé – comme moi – en retard à la gare. Il s'appelait Aaron Vanna Syl. Un nom qui a du style, disait il. Poudlard m'a donc ouvert les yeux, et dès le premier jour, je l'ai rencontré. Vous savez ce qu'on dit : le grand amour,il débute d'un regard, c'est le déclic, et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant? Pas vraiment ça. Il n'a rien dit. Subjuguer, timide ou tout simplement anéanti d'avoir léguer la place à quelqu'un, j'ai parlé, moi, mais avec son ami, sans le quitter des yeux. À onze ans, tout de même... on était un peu cocon, avouons le. Après ça, Roman – si, si, c'est comme ça qu'il s'appelle – est entré dans l'équipe de quidditch. Comme moi. Mais pas à la même place, hein. Moi, je suis pas d'envergure à faire autre chose que l'attrapeuse. Puis je suis rapide, faut dire que ça aide pas mal... je me suis vu une passion pour le rouge. Gryffondor : rouge et or. Depuis, je me met toujours les cheveux rouge et les yeux or. C'est pas beau, ça? À l'image de ma maison. C'est que je suis fière, voyez vous, d'être une Gryffondor. J'aurais été une Serpentard, j'aurais eu les cheveux verts et les yeux argents. Mais alors je vous explique pas si j'avais été une Poufssoufle... j'aurais été blonde – qu'on me pardonne de ma gentille niaiserie. J'ai rencontré énormément de gens, aussi, des gens biens, d'autres moins bien. Aaron est resté : il est même batteur dans l'équipe. C'est quelqu'un de bien, même s'il a une grande gueule et qu'il est souvent recouvert de bleus. Il est un peu bête, mais il cache bien qu'il en a sous les cheveux. Non, je vous jure! Il est aussi bon que moi en métamorphose, et plus que moi en soins des créatures magiques! Ce mec est un génie en métamorphose! D'ailleurs, je trouve que c'est de la triche. Mais j'y peux rien. Que dire de plus... ah si! Je suis restée vierge. Non, rigolez pas, ça n'a rien de marrant. Malgré mon tempérament tout feu tout flamme, et ma facilité à flirter avec les gens, à donner des baisers sans m'en rendre compte, je le suis toujours. J'ai adopté une simple règle de vie : le straight edge. Ni boire, ni fumer, ni coucher sans sentiments. C'est pas une belle résolution, ça? Je dois avouer qu'une ou deux filles ont dit qu'elles étaient déçues, qu'elles auraient bien aimé aller plus loin, mais... j'ai pas de sentiments. Et quand ça colle pas, je le dis clairement. Autant être claire tant qu'à faire mal à quelqu'un. Bien... ça devrait être tout pour aujourd'hui. Je peux partir, madame? Oui? Bien... on se revoit la semaine prochaine donc? Même heure? Je note ça... quoi? Ah, aller au médecin pour mes bleus. J'y vais juste après, promis juré. Bien, à la semaine prochaine, Doc'.

GRYFFINDOR
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Anonymous

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(v) eurydice hébé, sinfull. #Lun 31 Aoû - 22:02




    Et hop, je m'auto-valide. La flemme d'attendre. =)



    GRYFFONDOR donc.










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