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 Coups de blues.

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PROFIL & INFORMATIONS









Gaëlle Llelwellyn

Gaëlle Llelwellyn
ETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.

► MESSAGES : 286
Coups de blues. #Dim 21 Fév - 16:15


    Pour tout le monde, y avait des jours avec et des jours sans, même si la plupart du temps, chez Gaëlle c'était des jours avec, là ça ne l'était pas. Blottie dans un des grands fauteuils moelleux, la petite jaune et noire semblait d'humeur morose, caressant discrètement le pelage cannelle de Fifrelin qui dormait lovée sur les genoux de sa maîtresse. Si on l'avait interrogée sur le pourquoi de cet air, elle même n'aurait su en dire la cause, enfin... pas tout à fait en dire la cause. Quelque part elle se sentait perplexe et perdue... et doutait de tout. Tout ça à cause d'un malheureux baiser. Oui mais un baiser qu'elle n'arrivait pas à comprendre, ni à oublier. Elle avait besoin de passer ses nerfs sur quelque chose, n'importe quoi. D'évacuer tout ça, tout ses soucis. Et pour ça elle ne connaissait rien de mieux que de se défouler à coup de batte sur un cognard. Ou passer ses nerfs sur un instrument, chose plus facilement faisable dans un espace clos. Elle caressait presque tendrement le bois patiné par l'usage et le temps, c'était tout, tout ce qui lui restait de sa mère. Un petit miracle en soit ce violon, surtout lorsqu'on connaissait l'aversion de sa famille pour elle et son père. Elle avait longtemps crue que tout ce qui leur avait appartenu, avait été détruit. Jusqu'à ce qu'elle ait reçu un colis à la distribution du courrier en première année, en l'ouvrant elle avait trouver un étui à violon avec l'instrument et son archet et pour toute explication un mot anonyme et lapidaire "Il a appartenu à ta mère, fais en bon usage." rien d'autre, pas d'explication. Elle avait beau avoir essayer de savoir de qui cela venait, elle n'avait jamais pu le savoir, Loann l'ignorait et lui avait bien recommander de ne jamais, jamais, jamais, en parler à quiconque de la famille. En fait mis à part son cousin et peut être Tao et son grand père, personne ou presque ne connaissait l'existence de l'instrument. Et aucun ne l'avait jamais vu ou entendu ne serait-ce qu'effectuer une simple note dessus. Elle ne prêtait de toute manière pas attention aux autres autour d'elle, qu'ils ricanent ou non, elle était dans sa bulle et rien ne pouvait franchement l'atteindre quand elle était comme ça, séquelle de l'enfance peut être. Elle pinça un peu les cordes, les frottant légèrement de l'archet pour s'accorder, provoquant quelques rires et moqueries de certains, avant de porter le violon à son épaule et de se lancer frénétiquement dans un passage d'une composition d'un moldu du nom de Vivaldi. Elle se laissa rapidement emporter par la musique, laissant ses doigts virevolter frénétiquement le long des cordes. Les paupières closes, le visage fermé, elle laissait la musique chasser ses tracas et son trouble, s'y abandonnant pleinement avant d'ouvrir les yeux sur une dernière note et de s'affaler aussi brusquement que la musique se terminait. Elle se sentait comme épuisée, mais bien plus sereine que depuis la début de la journée.









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Coups de blues. #Sam 27 Fév - 2:53


    Candice regardait ses dessins qu’elle avait faits lorsqu’elle avait des idées de vêtement à faire. Elle les analysait pour voir ce qui serait possible de faire avec ses vêtements qu’elle imaginait. Parfois, en dessinant, elle réalisait que c’était presqu’impossible de faire ce vêtement pour telle ou telle raison. Elle analysait attentivement ses dessins. Elle voulait faire quelques choses de beau encore. Quelques choses dont elle serait fière d’avoir fait. Elle voulait avoir un nouveau coup de cœur en appréciant ce qu’elle avait réussi à faire pour une fois. Elle voulait être fière d’elle. C’était pour cela que la gentille Poufsouffle s’était assise dans un coin tranquille loin des gens le plus que possible. Elle avait avec elle des crayons venant du monde moldu. Elle détestait les plumes et l’encre sur ses dessins qu’elle analysait en dessins délicatement par moment par-dessus certains points du dessin. Candice ne voyait pas le temps passé. Elle était totalement absorbée par ses analyses qui lui prenaient plutôt du temps à chaque dessin. Elle était douce et délicate avec chacun de ses dessins qui pourraient lui donner un chef d’œuvre personnel. Savez-vous à quel point elle adorait la mode ? Comment il était important pour elle de faire tout cela ? Elle voulait percer dans ce domaine. Elle devait donc s’amuser ainsi que s’améliorer. Elle gardait jalousement le secret de son talent ne le dévoilant à peu de gens. Son pire cauchemar était celui de se faire voler ce qu’elle faisait. Quelqu’un pourrait s’approprier ce talent… c’était la seule chose que Candice avait. Elle n’avait aucun talent dans d’autres domaines. Elle avait peur d’un rien en cour, elle ne comprenait souvent rien à ce que les gens pouvaient raconter à propos du cour… Elle n’était pas faite pour être une bonne sorcière. Elle ne sera jamais une puissante sorcière. Elle l’avait remarquée depuis de nombreuses années. La préfète était tout simplement une créatrice de vêtement qui voudrait bien percer soit en tant que créatrice et être un mannequin. Candice était toujours devant ses dessins, mais les gens commençaient à venir vers elle. Elle ne voulait pas que les gens voient ce qu’elle faisait. Elle n’avait pas envie de partager ce qu’elle savait si bien faire. Candice ressembla ses affaires en les rangeant dans plusieurs chemises et cartables qu’elle avait identifié au fur et à mesure qu’elle avait dessiné ses modèles.

    Candice s’était levée après avoir tout ranger. Elle ne supportait pas les gens quand elle était aussi sérieuse et encore quand elle possédait ce qu’elle prenait soin depuis des années. Elle avait espoir un jour de devenir quelqu’un en faisant son nom dans la mode. Même si le nom dans la mode serait petit, elle s’en fout. Elle aura eu une petite place dans ce monde dur. Qui sait, peut-être qu’un jour elle aura créé une multinationale et après sa mort cette multinationale sera en pleine expansion ? Souvent, les gens ne vivaient pas leur heure de gloire lorsqu’ils étaient vivants, certains si, mais d’autres non. Saviez-vous qu’Elvis faisait plus d’argent mort que vivant ? C’est vrai, pourtant personne ne s’en doutait…Quoiqu’il était une légende du rock. Passons pour aller au vif de notre sujet. Candice descendait les quelques marches qui la séparait encore de sa salle commune qui se trouvait dans les cachots de Poudlard. Elle n’aimait pas les cachots. Elle avait peur que quelqu’un se cache dans les coins sombres attendant la bonne proie pour prendre la chance de s’attaquer à la pauvre jeune femme innocente qui n’avait jamais cherché quelque ce soit à personne. Elle vivait sa petite vie, malgré la tristesse dans son cœur qu’on avait rapiécé après chaque moment difficile et déchirant de sa vie. Elle ne voulait plus souffrir, mais le monde était cruel. Ce monde était peuplé de mauvaises personnes qui avaient un seul but dans la vie, celui de faire le plus du mal possible tant aussi longtemps qu’il existerait. Candice n’aimait pas ce genre de monde, mais elle était incapable de leur en vouloir totalement. Candice progressait rapidement en regardant tout autour d’elle si personne ne pourrait s’y cacher peu importe le moyen. Elle avait une peur bleue de se retrouver contre plus fort qu’elle dans un petit coin éloigné des cachots où que personne ne la retrouvait. Peur, injustifié… Mais au fond, elle avait regardé trop de film moldu avec des psychopathes qui sortaient de partout sans vraiment avoir de but dans la vie que de semer la terreur sur leur chemin. Pourtant, certains sorciers avaient ce but dans la vie. Les films d’horreur étaient-ils influencés par la vie sorcière totalement inconnue, mais par malchance un sorcier avait postulé une idée de film. Elle n’en savait rien. Candice arriva enfin devant la porte qui menait à la salle commune des poufsouffle où elle pourra cacher ses dessins dans une valise spéciale où elle gardait tout ce qu’elle faisait à l’intérieur. Elle passa en coup de vent à travers les gens qui y étaient ne faisant pas attention à qui était là. Elle se dirigea vers son dortoir où trônaient ses nombreuses valises toujours en désordre et non défait. Elle rangea dans un temps record ce qu’elle voulait cacher à tous. Elle sortit à nouveau du dortoir où elle entendit du violon. Elle chercha qui jouait le morceau qu’elle entendait. Elle finit par poser son regard sur une poufsouffle qu’elle connaissait quand même assez bien. C’était une muette. Candice finit par mettre un sourire sur ses lèvres et s’approcha doucement de Gaelle. Elle vint s’asseoir devant la jeune femme avec des yeux brillants. Elle resta silencieuse profitant du morceau sans la déranger. Elle voulait en entendre plus.









Gaëlle Llelwellyn

Gaëlle Llelwellyn
ETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.

► MESSAGES : 286
Coups de blues. #Jeu 4 Mar - 16:57


Avec un temps de retard, la petite Poufsouffle se rendit subitement compte d'une chose. Il y avait d'autres personnes dans la pièce. Elle était tellement en boule qu'elle ne les avaient absolument pas remarqués et elle avait jouer devant eux, sans aucune aide extérieure, elle avait vendue toute seule la mèche. Elle grimaça en se répétant en boucle à quel point elle était stupide. Cet aspect d'elle même, ce petit secret, il n'appartenait qu'à elle et elle voulait que ça reste ainsi. Elle s'en serait foutue des baffes si elle n'avait pas déjà son violon et son archet dans les mains, d'ailleurs tellement crispées dessus qu'elles en devenaient blanches. Avec une petite moue énervée, elle baissa les yeux pour ne plus voir personne et tomba en arrêt sur Candice assise par terre devant elle qui attendait avec un grand sourire. D'un coup elle aurait voulue le lui faire ravaler, avant d'inspirer pour se calmer. Candice étant son amie, elle se força à lui rendre un sourire un brin hypocrite sur le coup en lui signant de mauvaise humeur un :

Gaëlle - Qu'est ce que tu veux ?

Légèrement agressif. Bon ce n'était pas sa faute à elle, c'était juste que, la petite jaune et noire se sentait vexée de s'être trahie tout bêtement comme ça. Avec un coup d'œil d'excuse, elle lui fit une petite grimace contrite avant de s'adoucir un peu, sans toutefois quitter son air revêche.









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
Coups de blues. #Ven 5 Mar - 0:08


    Candice était plutôt de bonne humeur depuis qu’elle avait caché ses croquis. Elle ne voulait pas que personne ne voit son talent pour le lui piquer. Il n’était pas rare que des gens s’approprient les talents des gens pour leur propre profit personnel cachant qui était le vrai autour de ce chef d’œuvre. Elle était l’auteur de ses œuvres, elle ne mentait pas elle. Elle ne donnait pas ce qu’elle dessinait, car elle était une petite cachotière par rapport à son talent. Elle l’avait montré à peu de personne, car elle avait terriblement peur qu’un jour on lui prenne la seule chose qu’elle savait faire. C’était son art à elle. D’autres étaient tellement bon en cour qu’on pensait qu’il serait les prochains aurors ou médicommage, pourtant, elle s’était la mode et le dessin qui étaient ses matières les plus fortes. Elle n’avait pas de honte de ne pas être comme les autres. Elle avait d’autres talents Tout le monde avait au moins un talent en quelques choses, même si ce talent n’était pas si fabuleux, il restait tout de même un talent. Candice était fière de son talent, mais elle avait terriblement peur de le partager et de perdre ce qu’elle avait créé. Était-ce normale ? Elle n’en savait rien. Candice se disait qu’elle s’auto-protégeait pour ne pas être déçue des commentaires de gens. C’était aussi peut-être ça au fond. Elle ne voulait pas entendre les mauvais commentaires sur sa fierté, car elle aurait certainement de la peine, mais elle savait que si elle montrait aux gens sincères avec elle, il lui donnerait surement des commentaires constructifs. Elle avait tout simplement un peu peur de ce qu’elle allait recevoir comme commentaire. Elle avait peur de recevoir un coup de poing ravageur que de conseil. Candice était consciente que le monde de la mode était difficile. Il fallait avoir du nerf pour percer. Il fallait travailler fort pour y rester, mais elle était prête, car c’était une passion.

    Gaelle avait son art. Elle le voyait. La poufsouffle la regardait avec des petits yeux brillants. Elle était fière d’être au loge d’une violoniste douée. Elle semblait être dans son monde. Elle se voyait encore avec ses dessins tantôt agir de la sorte, comme elle faisait. Candice restait silencieuse ne voulant pas arrêter la mélodie que Gaelle jouait. Elle se taisait pour l’une de ses rares fois. Elle écoutait chaque note que Gaelle laissait échapper du violon. Parfois, Candice bougeait la tête en fermant les yeux se laissant emporter par la musique, mais à chaque note, elle manquait d’arrêter de respirer. Elle était bien contente d’entendre le merveilleux talent. Son amie arrêta de jouer tout d’un coup. Candice leva la tête en direction de la poufsouffle. Elle lui fit un adorable sourire, mais Gaelle lui dit avec son langage d’une façon que Candice n’aima pas ce qu’elle voulait. Candice répondit tout simplement un « RIEN » aussi bête et impatient de ce qu’elle venait de faire. La préfète se leva d’un bon et alla bouder dans un coin en voulant un peu à Gaelle. Qu’avait-elle fait pour mériter ce que Gaelle venait de fait ? Candice s’était assise dans un coin et elle boudait. Elle était de dos à Gaelle… elle était triste et fâchée.









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
Coups de blues. #Sam 13 Mar - 18:12


    Andrew n’aimait pas avoir sa pile de devoir trop longue. L’accumulation de tâche n’était pas son genre. Il préférait grandement être à jour. Il était bien plus facile par la suite de faire ce qu’il voulait. On ne devait pas le juger. On ne devait pas dire qu’il faisait juste ça, car il avait peur. Il n’avait pas réellement peur, mais en partie ce n’était pas faux quand on savait qu’Andrew avait terriblement peur de sa mère qui contrôlait pratiquement entièrement sa vie. Il n’était pas ce garçon qui agissait parce qu’il choisissait sa vie. Elle choisissait la vie de son fils, comme elle le voulait. Il n’était pas maître de sa propre vie ce qui était troublant au fond. Il n’était pas rare qu’Andrew ait une peur bleue de recevoir une beuglante de la part de sa mère lorsqu’il faisait une connerie. Il avait peur de la voir débarquer à poudlard lui donner la fessé du siècle. Il avait terriblement peur qu’un professeur déciderait d’aller voir les parents d’Andrew pour parler de lui en mal. Il avait peur. Il vivait depuis toujours dans un monde de terreur. Il n’avait jamais la chance de se sortir de cette roulette infernale qu’exerçaient ses parents depuis sa naissance sur lui. La religion avait fait craindre ses propres parents Il avait été en dehors de la société complètement. Il n’avait jamais joué avec des enfants qui vivaient normalement avec leur famille que sa famille considérait comme des damnés. Ils étaient irrécupérables pour la famille Dangelo. Andrew ne comprenait pas. Il ne comprendra jamais. Le poufsouffle vivait avec des gens formidables à Poudlard. Ils avaient connu plusieurs événements dans leur vie. Ils n’étaient pas mauvais en fait, ils étaient juste différents. Il aurait voulu connaître des expériences qu’ils avaient connues. En fait, certaines expériences. Il aurait voulu aussi réagir normalement, comme tout le monde.

    Andrew avait fait tout ses devoirs pour la semaine. Il était prêt à quitter la bibliothèque avec ses affaires pour aller les ranger dans son dortoir prêt à donner à ses professeurs lorsqu’il ira en cour. Il ne remettait presque jamais les choses à faire à demain. Il allait pouvoir profiter un peu plus de sa semaine que les autres. Il pourra faire ce qu’il voudra et faire ce que les professeurs allaient lui donner encore à faire. Contrairement aux autres, il s’en sortait très bien à la vie de Poudlard. Andrew quitta la bibliothèque avec ses manuels, ses plumes, son encre et ses parchemins. Il descendait les marches tout doucement. Il n’était aucunement pressé ne sachant pas quoi faire du restant de sa journée. En fait, il fallait comprendre que le pauvre Andrew ne pouvait pas faire autant de connerie que les autres élèves. Il était pris dans un univers qu’il ne pouvait réellement connaître. La plupart des choses lui étaient totalement interdits. Le jeune homme rentra dans sa salle commune où il passa en vitesse déposé ses affaires. Lorsqu’il revint, il tomba sur une drôle de scène. Il regardait Gaelle et Candice se faire la gueule. Candice avait l’air véritablement fâché. Il s’approcha des deux filles tout doucement. « Qu’est-ce qui ne va pas ? Je n’ai pas l’habitude de vous voir ainsi…. » Dit-il en les fixant. C’était tout à fait étrange. Il n’avait pas l’habitude de voir Candice dans cet état. De plus, Gaelle était une gentille fille habituellement. Il ne suivait pas. Il venait de se mêler d’un truc qui ne le regardait pas, mais c’était pour s’informer de pourquoi elles se faisaient la gueule ou encore calmer les deux jeunes femmes. En fait, il ne savait pas pourquoi il était là…









Gaëlle Llelwellyn

Gaëlle Llelwellyn
ETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.

► MESSAGES : 286
Coups de blues. #Sam 13 Mar - 21:52


Gaëlle resta un instant interdite devant la réaction de Candice. Ah, elle le prenait comme ça ? Ben qu'elle ne compte pas sur elle pour faire le premier pas ce coup-ci ! La petite or et noir en avait par dessus la tête de se montrer charitable et bien luné avec tout le monde par moment, aussi replaça-t-elle rapidement le violon et l'archet dans son étui, en le refermant d'un brusque claquement sec. Elle se leva à son tour foudroyant du regard les quelques uns qui avaient tourner leurs regards vers les deux jeunes femmes, l'air de dire "Vous voulez mon portrait ?". Elle n'avait absolument pas envie de se montre aimable et conciliante ce soir. Peut être finalement aurait-elle du prendre sa batte et son balais, histoire de se défouler.Mais avec ce qui trainait probablement dehors depuis quelques temps... Elle avait un trop plein de colère et de frustration qu'elle gardait au fond d'elle depuis trop longtemps, maintenant que la bonde avait sautée, il fallait qu'elle trouve quelqu'un sur qui déversé tout ça. Elle aperçut Tao dans un coin, détourna la tête, trop raisonnable pour allez chercher des noises à son amie, il y avait bien Candice qui semblait être d'humeur aussi, mais pour ça il lui aurait fallut faire demi-tour et attirer son attention, ce qu'elle se refusait à faire et puis Candice l'aurait mal supporter aussi... Alors qui ? QUI ?

Andrew - Qu’est-ce qui ne va pas ? Je n’ai pas l’habitude de vous voir ainsi…

Elle jeta un regard noir à sa future nouvelle victime qui tombait à pic. Mentalement elle lui adressa les excuses les plus sincères qu'elle pouvait lui donner à l'heure actuelle avait de fondre sur sa proie auto-désignée, le petit Dangelo. A sa décharge, il faut dire qu'il avait un peu la tête de l'emploi aussi.

Gaëlle - De quoi je me mêle, toi ? Hein ? Vous pouvez pas simplement me foutre la paix un moment ? Faut toujours que j'ai quelqu'un sur le dos ou quoi ?

Elle allait pour le dépasser en le bousculant un peu, désagréable au possible, quand elle crut sentir un regard dans son dos. Elle tourna lentement la tête, les épaules raides.









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
Coups de blues. #Jeu 1 Avr - 20:05


    Andrew était le plus gentil des garçons qui pouvaient exister sur cette planète. Il respectait tout les femmes qui pouvaient y avoir… Il ne détestait vraiment presque personne. Il pouvait trouver une personne complètement fatigante, sauf qu’il finissait par passer par-dessus ce genre de comportement inapproprié pour le jeune homme venant d’une famille assez à cheval sur la bonne conduite et le bon comportement à adopter devant les gens. Les apparences devaient être sauvées. La seule chose qu’Andrew ne pouvait tolérer, c’était de se faire traiter de gay. Ça l’enrageait plus que tout au monde. Il n’était pas gay. Il aimait les courbes des femmes qu’il l’attirait bien plus qu’une paire de fesse musclée. Il préférait les courbes délicates des femmes, mais il n’avait jamais vu en dessous du tissu. Il s’était imaginé à quoi tout cela ressemblait, mais… il n’arrivait jamais à voir. Il ne verrait peut-être jamais. Andrew avait l’impression que toute sa vie, il allait rester bien puceau et bien chaste, comme on n’aurait jamais vu. Le Poufsouffle le croyait fortement. Il n’avait jamais aimé personne et la seule personne qui lui avait fait vraiment de l’effet était beaucoup plus vieille que lui. Il était complètement fou d’elle, mais elle… Il n’en savait strictement rien. C’était le vide interstellaire. Il avait l’impression qu’il ne vivra jamais l’amour qui l’aveuglait avec elle. Elle était belle et avait de l’expérience et lui, il n’était qu’un adolescent sans histoire avec un comportement assez étrange, car il était et sera le garçon le plus gentil, doux et romantique…

    Il était face à son amie complètement muette de Poufsouffle. Ils dormaient ensemble régulièrement sans qu’il ne se passe de quoi entre les deux. Ils étaient là l’un pour l’autre et il partageait son lit en tout amitié. Andrew n’était pas ce genre de garçon qui abusait de la gentillesse de son amie, puis de plus, il ne voulait pas faire ça avec la première venue, même s’il avait terriblement envie de connaître ce que les autres connaissaient. Andrew s’était approché de son amie en se demandant pourquoi elle et Candice s’étaient prise la tête. Le poufsouffle n’aimait pas voir ce genre de scène, c’était pourquoi il était venu s’en mêler. Grave erreur, quand on connaissait les humains. Il allait se faire embarrer. On allait lui dire assez rapidement de se mêler de ses affaires et de foutre son camp. Pourtant la gentillesse remportait sur ce genre de comportement qu’il était conscient que c’était possible que ça pouvait arriver. Andrew était tout près de son ami qui semblait de très mauvais humeur. Il vit le regard noir que lui lança l’autre poufsouffle ce dernier ne broncha pas, mais il se demandait ce qu’elle pouvait bien avoir. Cette dernière lui fit des signes avec ses mains qui voulaient dire « De quoi je me mêle, toi ? Hein ? Vous pouvez pas simplement me foutre la paix un moment ? Faut toujours que j'ai quelqu'un sur le dos ou quoi ? »
    « Gaëlle… ?! Qu’est-ce qu’il y a pour être dans cet état ? Moi je n’aime pas te voir comme ça. Tu sais que tu peux tout me dire, je ne te jugerai jamais. Tu le sais han ? » Dit-il tout doucement en s’approchant de cette dernière. Il posa sa main sur l’épaule de Gaëlle et la tira un peu vers elle pour la serrer tout doucement dans ses bras. « Allez, tu veux venir avec moi ? On va te changer un peu les idées, si tu veux bien ?» Andrew parlait calmement pour qu’elle ne s’énerve pas plus qu’elle l’est déjà.









Gaëlle Llelwellyn

Gaëlle Llelwellyn
ETUDIANTE. ► 1e année de DCFM.

► MESSAGES : 286
Coups de blues. #Dim 25 Avr - 11:47


Andrew - Gaëlle… ?! Qu’est-ce qu’il y a pour être dans cet état ? Moi je n’aime pas te voir comme ça. Tu sais que tu peux tout me dire, je ne te jugerai jamais. Tu le sais han ?

Quoi ? Quoi ? Elle n'avait pas le droit d'être en rogne de temps en temps ? Elle n'avait pas le droit elle aussi de tout envoyer en l'air dans un accès de colère ? Pourquoi elle n'aurait pas le droit elle aussi, hein ? Parce qu'elle était trop gentille ? Et si elle en avait marre d'être gentille de temps en temps, hein ? Puis, il ne pouvait pas arrêter un peu ses "han" idiots ? Elle chassa sa main de son épaule d'une tape sèche et tout sauf amicale, l'avertissant du regard l'air de dire "Tu m'touche, j'te bouffe." Peine perdue. L'air de rien le voilà, qui l'attire contre lui pour passer ses bras autour d'elle. Mais stop ! Elle ne voulait pas d'un câlin ! Elle ne voulait pas qu'on la réconforte en la prenant dans ses bras, elle voulait juste hurler et passer ses nerfs et sa frustration sur quelqu'un !

Andrew - Allez, tu veux venir avec moi ? On va te changer un peu les idées, si tu veux bien ?

QUOI ?? Elle avait bien entendu ? Sortir ce genre de chose comme ça devant tout le monde... ça allait être sa fête. D'un coup d'épaule elle se dégagea de ses bras, lui lançant un regard noir. Elle était sur qu'en plus, il n'y mettait aucun sous-entendu. Plus innocent qu'Andrew... ça n'existait pas. Pff... Quel idiot il faisait des fois... Elle le considéra un instant d'un air soupçonneux, avant d'afficher une mine blasée. Et lui lança son poing dans le visage.









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
Coups de blues. #Dim 2 Mai - 4:03


    Le gentil Andrew n’avait rien de bien méchant dans son cœur. Il n’était pas comme les autres ne disant jamais des phrases à double sens ayant vraiment un fond de penser intentionnel. Il faisait des erreurs, comme tout le monde. Pourtant, il ne faisait pas exprès pour faire ce genre d’erreur qu’il aimerait toujours éviter à tout prix. Il n’était pas le genre de garçon qui cherchait à abuser d’une quelconque confiance et encore moins des filles. Il était loin d’être ce genre de type. Il était plutôt le garçon qui prenait soin d’elle. Il croyait que les femmes étaient autres choses que des porteuses d’enfant. Il les voyait comme des êtres avec des sentiments et qui n’étaient pas faible du tout. Un soir où il s’ennuyait terriblement, il s’était imaginé la sensation qu’une femme pouvait avoir lors d’un accouchement. Il avait déduit que ça devait être un moment des plus douloureux, mais la douloureux finissait par partir pour finalement laisser place à un moment heureux de tenir la progéniture qui était encore tout innocent et fragile. Il ne fallait pas la tête à Papineau pour déduire ce genre de chose, mais quand on y pensait plus profondément, on réalisait que certains hommes ne pensaient pas à ce genre de chose. Andrew était un garçon très différent de la plupart des autres garçons de son âge. Il pensait différemment. Il voyait l’action de s’accoupler différent. Il attendait ne sautant pas tout ce qui bougeait et qui était susceptible d’être un objet pour la soirée. Étrangement, certains respectaient son choix, mais d’autres… Il y avait les autres, comme toujours. Pourtant les autres faisaient régulièrement changer les choix. Il y en avait d’autres qui faisait que le pauvre Andrew allait être la proie d’une attaque lorsqu’il tentait d’être le plus gentil possible avec une amie qui comptait beaucoup à ses yeux. Il ne s’attendait pas à ce que tout sa gentillesse finisse par l’atteindre directement au cœur et au nez. Gaëlle n’était pas de bonne humeur. Elle avait le droit, mais Andrew voulait bien des explications. Il aurait aimé discuter avec elle du pourquoi de la chose qu’elle n’allait pas bien du tout. Andrew vit le poing partir et sentit ce même point sur son nez qui fit un petit crac. Ce dernier mit ses deux mains sur son nez qui saignait. Il recula d’un pas. Il regardait effrayé son amie. Le poufsouffle recula encore.

    « Au revoir, Gaëlle. Débrouilles-toi toute seule pour tout. Plus envie de te voir de te parler à cause d’eux. Si tu n’es pas capable de voir autres choses que des phrases qui ne veulent rien dire ou la tentative de te voir sourire à nouveau… Laisse tomber… » Andrew avait mis ses mains sur son nez ensanglanté. Il devait sortir d’ici. Les regards le suivaient. Il était sur le point de quitter la salle commune des Poufsouffles, déçu encore une fois. De ces temps-ci, il était plutôt malheureux. Le ciel lui tombait sur la tête, comme dirait les Gaulois dans la bande-dessiné Astérix et Obélix. Il abandonnait le combat avec Gaëlle n’ayant aucune envie qu’il revienne lui parler. Il n’avait aucunement envie de la revoir. Il n’avait aucune envie qu’elle lui adresse la parole. Il était dépassé par les évènements de toute manière.

    ( c'est pourri )










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