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 D'amour ou d'amitié (finish)

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PROFIL & INFORMATIONS









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
D'amour ou d'amitié (finish) #Mer 20 Jan - 2:51


    - Le titre est pas super, mais c'pour toi Elo x). - [ Rp pour Talia ]

    Andrew devait aller au ministère pour une affaire à propos de ses parents. Ils devaient leur rendre un service, ayant trop peur qu’on lui retombe sur le nez, il décida d’y aller pendant une fin de semaine. Il dut quitter Poudlard après les cours le vendredi même. Il n’aimait pas rendre ce genre de service. Le ministère lui faisait peur, même si plus tard, il se doutait de se retrouver là, même s’il n’avait pas besoin de travailler. Pourtant, ce n’était pas un paresseux. Il préférait travailler que de ne rien faire de ses journées. Il préférait faire quelques choses de sa vie que de s’enfermer dans un énorme manoir pour se faire baiser les pieds par sa maîtresse, sa femme ou une femme. Non, il n’avait pas le même esprit que ses parents. Il était complètement différent, peut-être était-il simplement dans une passe dans son adolescence où il se comportait le contraire de ce qu’était ses parents ? Non, je ne crois pas. Andrew était un garçon complètement différent. Il n’était pas le genre de garçon qui suivait les pas de ses parents. Il trouvait les pratiques religieuses que ses parents avaient tenté de lui entrer dans la tête à coup de claque comme rabaissantes pour les jeunes femmes ou tout simplement les femmes. Il ne comprenait pas l’aspect amusant de voir les femmes aussi basses aux yeux des hommes catholiques. Après tout, les femmes n’avaient pas montré à quel point étaient-elles intelligentes et autonomes ? Il le croyait. Il était totalement différent. Oui, par moment, il se sentait supérieur à certaine pour la force physique, mais ce n’était pas le meilleur nécessairement à l’école. Il croyait des choses différentes de sa famille. Il était tout simplement différent. Il était fier de lui-même, mais pourtant il était incapable de contredire sa mère qui le tenait toujours en laisse. Le pauvre Andrew ne savait pas comment s’y prendre pour se détacher de ce qu’il avait toujours appris avec ses parents et comment se détacher de sa famille, aussi ? Il était totalement incapable.

    Il était dans la cabine téléphonique et composa le numéro six deux quatre quatre deux. Il avait écouté ce que sa mère lui avait ordonné dans la lettre qu’elle lui avait envoyée. Le pauvre garçon aurait préféré dormir dans son lit à Poudlard, là, où il aurait fait la grasse matinée. Il aurait grandement préféré Poudlard. Il n’avait pas besoin de rendre ce genre de service qui n’a aucun rapport avec sa petite vie d’étudiant, mais puisqu’il est un bon fils, il rendait ce genre de service dont il ne voulait pas avoir. Après quelques temps, il arriva dans l’atrium. Il était toujours aussi étonné quand il voyait cette grande salle où se baladaient de nombreux sorciers. Andrew commença à marcher avec la petite lettre qu’il devait aller porter à une personne au cinquième étage, il ne sait où. Il devait tenter de trouver un sorcier parmi quelques centaines d’autres sorciers. Sa mère voulait-elle le tester de sa fidélité envers elle ? Bien drôle d’idée de l’envoyer au ministère avec pas plus qu’un simple nom, étage et une lettre adressée directement à la personne. C’était douteux qu’un garçon de dix-sept ans vienne porter en main propre une lettre. Sa famille serait-elle impliquée dans des affaires douteuses ? Il n’en savait strictement rien. Il n’avait rien à faire avec ce que sa famille faisait, il voulait vivre sa petite vie bien tranquille sans devoir toujours les suivre, mais il devait finir par faire face à sa mère pour lui dire son point de vue tout simplement. Quand est-ce qu’il aura assez de force de caractère pour contredire tout ce que ses parents pouvaient raconter ? Quand est-ce qu’il dira un non décisif et radical ? Il devait bien affirmer ce qu’il pensait pour de bon. Il passa tout près de la fontaine qui se trouvait dans l’atrium se dirigeant vers un ascenseur qui lui semblait achalandé. Il joua un peu du coude pour pouvoir y entrer. Il se faisait un peu regarder de travers. Ils se disaient certainement que faisait un élève, apparemment, de poudlard au ministère ? Hummm, même lui ne savait pas ce qu’il faisait ici. Il ne voulait pas être ici en partie et c’était assez compréhensible. Poudlard offrait une vie facile pour un élève… que le monde qu’offrait le ministère, c’était le point de vue de Andrew. L’ascenseur s’arrêta à un étage. Il voulut sortir de l’enfer étouffant de cet espace petit. Il sortit aisément avec l’aide des mains le repoussant de l’ascenseur. Il ne se doutait pas qu’il était au quatrième étage. Il ne savait rien. Le pauvre Poufsouffle s’était complètement perdu dans le ministère. Ce dernier continua à marcher dans les couloirs cherchant à trouver une personne qui pourrait l’aider avec un visage non-renfermé qui ne donne pas envie du tout de venir poser quelques questions pour se retrouver dans le ministère. Andrew tomba sur une jeune femme, elle était vraiment belle. Il ne pouvait détacher son regard d’elle. Elle l’hypnotisait par sa beauté. Andrew s’approcha tout doucement, presque timidement. Il ne savait pas comment s’y prendre.

    « Pardon, j’aimerais savoir à quel étage sommes nous ? Je crois que je me suis perdu et j’aimerais retrouver mon chemin » dit-il d’un seul coup reprenant son souffle qu’à la fin de cette longue phrase. Il la fixait. C’était fou… Comment elle lui faisait de l’effet sans qu’il la connaisse… Étrange, étrange, celui qui n’a jamais aimé d’amour d’un amour avec un grand A, il a déjà aimé d’amitié, mais pas plus… jamais plus.









Anonymous

Invité
Invité

D'amour ou d'amitié (finish) #Jeu 21 Jan - 21:13


Il n'y avait pas grand chose que Talia ne pouvait pas faire au Ministère. Ce n'était pas tant qu'elle était là pour apporter le café, imiter des signatures pour des ministres trop flemmards pour lire, trier les dossiers de tous les niveaux, et même s'engueuler avec le chef des Aurors qui refusait de porter un trois pièces magenta qui n'était pas - il faut bien le préciser - "un costard rose". Elle n'était là pour rien de tout cela. En fait en théorie, elle était stagiaire au niveau cinq et devait se former à la diplomatie et à la communication. Mais ça c'était en théorie seulement. Heureusement pour elle, elle avait une pratique des talons hauts carrément hors norme et après avoir couru à tous les niveaux du Ministère elle pouvait rentrer chez elle et chausser ses pantoufles en satin sans craindre de se retrouver les pieds pleins d'ampoule.

Ce jour était un peu un jour comme les autres. Mais ça n'avait rien de monotone. Il y avait trop de choses à faire chaque jour pour se laisser le temps de tenir compte de la monotonie. Quand vous rentriez chez vous le soir, vous ne rêviez que d'une bonne douche et d'un petit somme. A l'heure précise où Andrew Dangelo passait les portes de l'Atrium, la jolie Metzcalli se traînait une pile impressionnante de paperasse qui flottait allégrement derrière elle, flottant d'étage en étage en essayant de ne pas perdre l'oiseau rare qui avait la patience de les trier, classer et renvoyer à leur bureau respectif. Il y en avait évidemment pour des heures et des heures de travail alors évidemment sans un bon café bien corsé, Talia n'arriverait à rien. Elle descendit donc à la cafet' se prendre un de ses énormes gobelet qu'on ne voit que dans le nouveau monde et,
sans prendre de paille parce qu'elle n'aimait pas ça, elle remonta en prenant les escaliers. Si elle prenait les escaliers ce n'était ni par snobisme ni par soucis de garder la ligne - qu'elle avait d'ailleurs fort jolie - mais simplement parce que six mois passés comme stagiaire au Ministère lui avait appris que si on était pressé il valait mieux oublié les ascenseurs qui étaient toujours blindés de monde.

Aussi, arrivée au quatrième, elle avait le teint très légèrement rosi par sa montée digne de la chevauchée des Walkyries. Ce jour là elle portait un jean taille basse bleu et un t-shirt blanc au col large et arrondi. Des bottines à talons hauts, et un gilet mi-long à large mailles de laine bistre et saumon. Deux couleur qui lui allaient très bien. Talia était toujours très soigneuse de son apparence, et si elle portait très souvent des tailleurs sérieux au boulot, elle pouvait parfois faire un choix vestimentaire plus décontracte en restant toujours aussi classe. Ca lui donnait quelque chose de plus abordable, moins femme d'affaire fatale mais toujours aussi sexy. Elle avait les cheveux défaits et légèrement parfumés à l'orchidée du Mexique comme toujours. Son maquillage était léger, comme toujours. Elle n'estimait pas avoir besoin de maquillage.

Andrew - « Pardon, j’aimerais savoir à quel étage sommes nous ? Je crois que je me suis perdu et j’aimerais retrouver mon chemin »

Elle accueillit la question avec un sourire plutôt avenant, la paperasse derrière elle stoppa net s'écrasant un peu comme pour ne pas heurter la jolie jeune femme.

Talia - Eh bien nous sommes au Niveau 4, Département de Soins aux Créatures Magiques. Je peux savoir ce que vous faites ici?,' demanda-t-elle toujours amène,' Est-ce que Poudlard organise une visite du Ministère que j'aurais pu oublier?

Elle était curieuse par nature. En outre, elle ne pouvait pas laisser n'importe qui se promener dans le Ministère même si ce jeune homme avait l'air d'être le plus adorable du monde. Il lui semblait même curieux qu'il ait réussi à arriver seul jusqu'ici. La sécurité n'était plus ce qu'elle était. Elle en toucherait deux mots au chef des Aurors.









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
D'amour ou d'amitié (finish) #Ven 22 Jan - 3:02


    Andrew était encore habillé en moldu, il portait qu’un simple jean bleu et un chandail bien simple ne se compliquant pas la vie pour ce genre de sortir, pourtant si sa mère était là… elle serait découragée du comment il se comportait. Il était après tout un sang-pur qui avait quelques tendances moldus. Il savait qu’il les désespérait, en fait ses parents. Ils avaient l’impression qu’Andrew n’était pas vraiment leur fils. Il était si étrange à leurs yeux, pourtant les parents de Andrew se rendaient compte du petit pouvoir qu’ils avaient sur leur fils, mais ils ne s’attendaient pas à ce genre de comportement qu’avait leur unique fils par rapport à ce qui semblait le mieux pour lui. Andrew ne croyait pas vraiment en ce dieu, qu’on essayait de lui prouver son existence. Il ne croyait en rien de tout ça. Il avait l’impression que les religions étaient faites que pour embobiner les gens qui cherchent une voie, qui cherchent quelques choses à croire pour dicter le droit chemin ou les questions sans réponse qui restaient existentielles. Andrew croyait à d’autres théories. Il croyait que ce n’était qu’un sorcier mal élevé qui voulait s’enrichir chez les pauvres moldus qui n’avaient jamais vu de magie. Changer de l’eau en vin était un miracle. Guérir des maladies que les sorciers savaient guérir que les moldus ne savaient aucunement guérir qu’avec un sort. Les sorciers n’étaient pas toujours bons. Andrew le savait. Ils avaient des sentiments d’humain au fond, mais ce que les moldus n’avaient pas, c’était le pouvoir destructeur qu’avaient les sorciers dans un petit bout de bois, pourtant les moldus avaient une technologie bien étonnante… mais les bombes et les fusils ne se faisaient pas aussi facilement qu’un coup de baguette par un sorcier qui pouvait être médiocre. En fait, Andrew comprenait que la religion catholique à ses yeux n’était rien d’autre que des mensonges qu’on avait essayé de lui apprendre. Il avait de la peine en voyant ses parents autant accrochés à ce qui semblait être simple à comprendre, c’était certainement un sorcier qui avait tout fait ça se foutant de la gueule du monde entier, mais peut-être n’avait-il pas vu à quel point… il était devenu puissant face aux moldus qui s’étaient laissés endoctriner même s’il ne le désirait pas vraiment… Une très longue histoire tout simplement difficile à expliquer puisque rien n’était sûr. C’était les avis de chacun au fond.

    Le ministère était bien grand. Il était facile de se retrouver rapidement à un étage qu’on ne voulait pas se retrouver, surtout quand on était un élève de Poudlard, obligé d’aller porter une lettre à je-ne-sais-qui qui ne savait certainement pas qu’il allait avoir la visite du petit des Dangelo. Il aurait été simple que ses parents viennent à sa place. Ça l’aurait certainement tout expliqué la visite de cette grande famille. Un élève devait être à l’école, de plus. Il serait supposé faire la grasse matinée profitant de sa fin de semaine pour se reposer le plus que possible. Il aurait du prendre de l’air à sa façon, reprendre un peu son souffle avant de commencer une très longue semaine pour travailler comme un fou, avant de reprendre à nouveau une pause pour se détendre à nouveau. Pour tout dire, sa place n’était pas ici, encore. Peut-être que plus tard se trouvera-t-il un travail ici ? Peut-être, mais il n’avait aucune idée de ce qu’il voulait faire plus tard. Auror ? Médicomage ?Travailler à des étages au ministère pour s’occuper d’un poste X ? Il n’en savait rien, mais ce qu’il savait, par contre, c’était que ces fichus ascenseurs remplis de sorciers étaient des plus épouvantables. Le pauvre garçon se retrouva bien vite perdu se faisant pousser en dehors de l’ascenseur lorsque la porte s’ouvrit. En fait, il était bien content d’être sortie d’ici, mais il ne savait pas où aller maintenant, ignorant totalement où il se trouvait. Il décida de se déplacer à cet étage pour trouver quelqu’un qui pourrait bien lui répondre. Il tomba sur une jeune femme qui était très belle. Croyez-moi, il ne faisait que la fixer. Il regardait chaque traits de son visage, comme s’il ne voulait pas oublier un seul de ses traits. C’était étrange. Il était qu’un simple élève ayant vu une belle femme au ministère qui était certainement plus vieille que lui, mais… il avait envie de lui poser une question qui était peut-être grossier pour un élève envers une personne plus vieille que lui. Il avait plus que tout envie de l’inviter à sortir avant qu’il retourne gentiment à Poudlard. Il avait la fin de semaine, non ? Ce n’était pas non plus le genre à demander ce genre de sortie, puis à inviter les filles ainsi avant de les connaître depuis déjà un moment… Il la regarda sourire, il se mit à sourire à son tour, comme un pauvre idiot. Il écoutait ce qu’elle avait bien à dire, mais elle l’intéressait, comme si elle contrôlait son esprit. Sa beauté le dérangeait un peu, parce qu’il perdait ses moyens.

    « Eh bien nous sommes au Niveau 4, Département de Soins aux Créatures Magiques. Je peux savoir ce que vous faites ici? Est-ce que Poudlard organise une visite du Ministère que j'aurais pu oublier ? »
    « Hum, non… je dois emmener une lettre à un certain Henri Spencer au niveau cinq pour ma mère qui va me faire une autre crise… ses crises me font peur. Vous devez savoir comment une colère d’une femme peut faire changer une décision ? » dit-il en souriant tout doucement. Ce n’était pas une pique envers les femmes, mais ce que femme veut, dieu le veut. Tout le monde connait ça. Pour qu’un homme soit heureux, sa femme doit être heureuse. Vous comprenez le sens ? Certainement. En fait, c’était ce que l’on croyait, mais ce n’était pas toujours ainsi… pourtant dans le cas d’Andrew… il était juste trop gentil. « Je peux connaître votre nom ? » dit-il un peu gêné de cette demande qui lui semblait juste impolie. Il était jeune, il était con ( certainement ) et elle était sûrement en couple… Qui voudrait bien d’un simple élève de poudlard... étrange dans sa façon de vivre ? Personne qui n’était pas au courant des histoires par rapport à la famille Dangelo. Cette famille qu’on n’aimait pas vraiment pour leurs drôles de croyances… C’était la vie, tout simplement. « Je me sens impoli… de vous dire que vous êtes belle, je ne peux m’empêcher de le garder pour moi. Surtout que les gens ici ont une mauvaise mine. Ils ont surtout l’air grognons, ce qui n’est pas terrible. Vous avez un charmant sourire aussi… Gardez ce beau sourire, ça met un peu d’éclat et de chaleur au ministère… » dit-il avec un peu de gêne. Andrew n’était pas un menteur, mais il semblait un dragueur en ce moment, ce n’était pas vraiment ça son but dans tout ça, mais il ne s’était jamais rendu compte que ses paroles pouvaient laisser les gens sur une drôle de note avec ce genre de commentaires.









Anonymous

Invité
Invité

D'amour ou d'amitié (finish) #Ven 22 Jan - 21:25


Andrew - « Hum, non… je dois emmener une lettre à un certain Henri Spencer au niveau cinq...', elle acquiesça tournant presque déjà les talons pour le conduire. Elle n'était pas le genre de personne à lambiner ou à perdre du temps, elle ne pouvait pas vraiment se le permettre... ...pour ma mère qui va me faire une autre crise… ses crises me font peur. Vous devez savoir comment une colère d’une femme peut faire changer une décision ? »
Talia - Je vois...

Elle lui fit un petit signe de tête indiquant que s'il voulait bien la suivre... Elle avait ce petit sourire en coin moqueur mais gentil. Ça la faisait toujours rire cette façon que les hommes avaient, peu importe l'âge, de toujours être pendu au cordon ombilical. C'était dingue ça. Ca la faisait sourire parce qu'après tout ça n'était pas son problème mais pour autant ça ne l'empêchait pas de remarquer une énième fois comme les hommes manquaient d'indépendance. Enfin, ce jeune homme avait encore quelques petites années devant lui pour prendre son envol bien qu'elle ne croyait pas vraiment qu'il le prendrait. Il ferait sans doute comme beaucoup d'hommes. Il ferait ce que maman voudrait.

Les papiers s'étaient mis en marche en même temps qu'eux . On entendait les talons de la jolie mexicaine claquer sur le dallage de marbre, et elle gardait son air détendu.

Andrew - « Je peux connaître votre nom ? »
Talia - Talia Metzcalli.

Elle aurait pu dire Almadovar puisque c'était Almadovar désormais mais au boulot pour ne pas tout compliquer elle restait Talia Metzcalli voire Metzcalli-Diaz. Si Andrew était encore dans les jupes de sa mère - du moins aux yeux de la brunette - elle avait un gros défaut: elle était trop habituée à voir qu'on lui souriait pour en faire grand cas. Ce n'était pas qu'elle n'avait pas remarqué, ni qu'elle n'appréciait pas mais elle était sur son lieu de travail et de plus, l'auteur de ce sourire était... un peu jeune. Du moins pour qu'elle lui rende autre chose que son sourire et son prénom bien poliment.

Andrew - « Je me sens impoli… de vous dire que vous êtes belle, je ne peux m’empêcher de le garder pour moi. Surtout que les gens ici ont une mauvaise mine. Ils ont surtout l’air grognons, ce qui n’est pas terrible. Vous avez un charmant sourire aussi… Gardez ce beau sourire, ça met un peu d’éclat et de chaleur au ministère… »

Elle leva un sourcil et sourit sans plus de gêne que ça. C'est qu'elle était diablement narcissique. Et à la décharge du jeune homme dont elle ignorait toujours le nom:

Talia - Oh vous n'avez pas à vous sentir gêné. Je suis demi-vélane, vous ne faites ni plus ni moins que réagir comme... un homme.', elle le laissa passer devant dans les escaliers,' Mais je garde tout de même vos compliments ça fait toujours plaisir. Comment avez vous dit que vous vous appeliez?

Il ne l'avait pas dit mais elle avait la tête tellement pleine de tout ce qu'elle avait à faire ce jour là qu'elle n'en était plus vraiment sûre.









Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
D'amour ou d'amitié (finish) #Dim 24 Jan - 2:33


    Elle était belle, elle était vraiment belle. Andrew ne savait pas comment une femme pouvait bouleverser son esprit en un seul regard. Il était jeune après tout, peut-être con sur les rebords. Peut-être n’avait-il pas assez mis le nez dehors pour voir de jolies dames, comme la femme qui se tenait devant lui ? Il était perdu dans ce grand monde qu’il n’avait pas pu explorer comme l’aurait fait un garçon plutôt normal. Andrew n’était pas encore un homme en tant que tel. Il était trop accroché aux jupes de sa mère ou encore il n’avait pas connu ce que les autres garçons de son âge avaient connu par rapport aux filles ou encore aux femmes. Il ne connaissait pas grand-chose sur eux, ce qu’il pouvait vous affirmer par contre… Il était réellement attiré par les femmes qui le rendaient à moitié fou. Celles-ci pouvaient lui faire perdre complètement la raison, même s’il se retenait plus que tout par moment pour ne pas craquer dans ses principes… Il était un homme après tout, il avait ce genre de besoin, mais il tenait bon. Il était fort. Il était puissant au fond de pouvoir contrôler ses envies d’adolescent – disons-le – en manque. Il n’était pas différent, mais il savait se tenir tête à lui-même ce qui était plutôt étrange quand on connaissait à quel point Andrew avait de la misère à tenir tête à ses parents. Ils réussissaient à contrôler la majeure partie de sa vie. Comment alors pourrait-il demander à une femme plus vieille que lui et incroyablement belle de sortir un soir avec lui ? Il devait peut-être tenter sa chance, mais s’il lui dirait non… il sera forcé de continuer son chemin en pensant à la jolie dame qui a bouleversé un moment de sa vie. Ça sera peut-être dur pour ce petit homme de continuer avec un esprit aussi perturbé. Elle était peut-être extrêmement belle, mais il ne s’arrêtait pas à ce critère, il voulait la connaître pour voir la suite des choses, mais pour ça, il devait sûrement… tenter quelques choses qui pourraient faire avancer les choses ? C’était la meilleure idée, mais comment aborder le sujet sans la froisser ou précipiter les choses. Il devait réfléchir. Ce dernier la suivait docilement. Elle était bien gentille de l’aider. C’était peut-être un ange tombé du ciel après tout ? Le poufsouffle gardait ses yeux posés sur la chevelure brune de la gentille Talia, comme elle lui venait de lui dire, sans baisser les yeux plus bas qu’il ne faudrait. Il n’était pas le genre de garçon qui regardait les fesses de la gente féminine, même si parfois ses yeux louchaient vers cet endroit.

    « Oh vous n'avez pas à vous sentir gêné. Je suis demi-vélane, vous ne faites ni plus ni moins que réagir comme... un homme. Mais je garde tout de même vos compliments ça fait toujours plaisir. Comment avez vous dit que vous vous appeliez? »
    « Eh bien, oui je l’ignorais… Mais pour une fois que je réagis normalement... » Il ne termina pas sa phrase. Il était vrai que par moment, il ne réalisait pas sur le coup tout ce qu’il pensait. C’était comme si son cerveau faisait oublier ce genre d’information qu’il avait osé dire. « Je suis content que ça vous fasse plaisir… » dit-il avec un petit sourire encore gêné. Ce n’était pas dans ses habitudes et pour les avoir dit, c’était un énorme changemnet qui s’effectuait. Il avait osé dire que quelques choses lui plaisaient, mais il avait plutôt dit qu’elle était belle et que son sourire faisait que le ministère était plus vivable et beau. Le ministère était un endroit sombre que l’on n’aimait pas y passer du temps, car ce n’était pas amusant. Les gens faisaient parfois peur de plus. « Je m’appelle Andrew Dangelo ». Andrew respira bruyamment dans sa tête, il venait de trouver assez de force pour lui demander une chose qu’il n’aurait jamais demandé à quiconque auparavant. « Je sais que vous allez me trouver jeune pour cette demande, mais je me demandais si ne vouliez pas… souper ce soir avec moi ? » Il serra la lettre dans ses mains. « Ce n’est qu’une invitation sans sous entendu. Je peux vous donner ma parole et si mon nom de famille ne vous dit rien, vous pouvez faire une recherche sur ma famille et vous allez vous rendre compte… le pourquoi du sous-entendu. » Andrew avait terriblement chaud. Son cœur battait si vite. Il avait osé demander avec politesse si elle voulait bien souper avec lui ce soir… Il ne se faisait pas d’allusion d’ailleurs, mais il avait terriblement peur…









Anonymous

Invité
Invité

D'amour ou d'amitié (finish) #Ven 29 Jan - 22:24



    Adrew - Je m’appelle Andrew Dangelo »

    Elle eut un petit humhum très professionnel pour marquer que c'était enregistré. Elle avait très bonne mémoire donc il y avait peu de chance qu'elle l'oublie avant quelques semaines. Ils arrivaient tout juste au niveau cinq. Elle tint la porte au visiteur, observant qu'il faisait comme... une drôle de tête.

    Talia - Quelque chose ne va pas?
    Andrew - Je sais que vous allez me trouver jeune pour cette demande,', elle tiqua, qu'est-ce qu'on allait encore lui sortir?

    Une fois il était arrivé qu'une type se présentait tous les jours à la réception pour essayer de la voir. Flippant. Une autre fois, un type du deuxième lui avait fait des avances en lui promettant une promotion à tomber par terre. Et ce n'était rien, elle en avait vue tellement d'autres.

    Andrew - je me demandais si ne vouliez pas… souper ce soir avec moi ? Ce n’est qu’une invitation sans sous entendu. Je peux vous donner ma parole et si mon nom de famille ne vous dit rien, vous pouvez faire une recherche sur ma famille et vous allez vous rendre compte… le pourquoi du sous-entendu. »

    Elle resta interdite. Qu'un gamin de quoi... 16, 17 ans ait autant de culot. Se serait-elle trompé en le jugeant tout à l'heure?

    Talia - Je n'ai pas pour habitude de faire des recherches sur les gens avec qui je sors Monsieur Dangelo, ce sont généralement les psychopathes et les paranoïaques qui font ce genre de choses. Je n'ai pas non plus pour habitude de sortir avec des gens sans les connaître, vous comprendrez j'en suis sûre, si je vous avais demandé la même chose vous auriez sans doute refusé. Et je ne suis pas libre ce soir, je sors avec des amis...

    Elle s'abstint aussi de faire remarquer qu'elle ne sortait pas avec des gamins de 17 ans. Bon à y bien réfléchir ça ne faisait que 4 ans d'écart, ce n'était pas dramatique. Elle était déjà sorti avec des hommes avec qui elle avait plus d'écart que ça, mais c'était elle la plus jeune dans ces cas là. Elle avait tout de même répondu d'un ton très courtois, et sans méchanceté. Elle ne pouvait simplement pas dire oui au premier inconnu qui la trouvait jolie même s'il avait l'air adorable.

    Talia - J'espère que ça ne jètera pas un froid.', ajouta-t-elle sans trop bien savoir comment s'y prendre. Elle ne voulait pas qu'il ait l'impression qu'elle avait pitié de lui parce que ce n'était pas le cas, mais du coup elle était assez contente d'être arrivée devant le bureau de Spencer,' Monsieur Spencer?', appela -t-elle en tapant trois coups discret à la porte.

    Pas de réponse. Elle regarda sa montre avant d'interpeller quelqu'un:

    Talia - Excusez moi, vous savez où est Monsieur Spencer?
    - Oh il ne sera pas là avant une heure mon coeur.', la charmante quarantenaire aux lunettes roses ne s'arrêta même pas.

    Talia regarda Andrew un peu désolée pour lui:

    Talia - Que diriez vous d'un café déjà? Si vous avez le temps bien sûr.

    C'était bien la moindre des choses sachant que le pauvre garçon allait poireauté une heure pour un type désagréable au possible...












Andrew M. Dangelo

Andrew M. Dangelo
SORCIER.

► MESSAGES : 104
D'amour ou d'amitié (finish) #Sam 30 Jan - 2:38


    Il devait s’en attendre. Il était jeune… elle était plus vieille. Les femmes préféraient sortir avec des hommes plus vieux. Au fond, Andrew s’était fait des idées dans sa tête en invitant une aussi belle femme à sortir avec lui. Il n’avait aucune mauvaise intention dans cette demande. Andrew n’était pas de ce genre, mais c’était un peu suspect de voir un adolescent demandé une demande aussi importante à un adulte. Il ne s’était jamais décidé autant que maintenant auparavant, n’ayant jamais eu cette impression qu’il devait lui demander quoiqu’il en coûte. Jamais, il ne s’était aussi facilement jeté à l’eau pour les beaux yeux d’une femme. Coup de foudre ? Il n’en savait rien. Elle venait de lui dire qu’elle était une vélane. Il rejetait la faute sur ce don qui pouvait ensorceler tous les hommes de ce monde. Il n’était pas insensible à son charme. La preuve, il venait de faire ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Il avait pris son courage à deux mains pour demander une demande qui pourrait sembler des plus banales pour un garçon ou un homme – tout dépendait l’âge de l’individu masculin qui voulait faire la demande – qui avait tendant à draguer les filles ou les femmes qui se trouvaient tout près d’eux. Il n’avait pas l’habitude de se faire aussi effronté en invitant une femme qu’il venait à peine de rencontrer en dedans le chemin vers le cinquième étage pour aller porter une lettre à Monsieur Spencer. Comment avait-il eu autant de culot à se lancer autant dans l’eau ? Andrew se sentait totalement con face à l’a réponse de cette dernière. Il se sentait mal d’avoir fait une demande aussi peu commune d’un garçon aussi jeune face à une jeune femme certainement plus vieille que lui, mais qui restait sensiblement jeune.

    « Je n'ai pas pour habitude de faire des recherches sur les gens avec qui je sors Monsieur Dangelo, ce sont généralement les psychopathes et les paranoïaques qui font ce genre de choses. Je n'ai pas non plus pour habitude de sortir avec des gens sans les connaître, vous comprendrez j'en suis sûre, si je vous avais demandé la même chose vous auriez sans doute refusé. Et je ne suis pas libre ce soir, je sors avec des amis... »
    « Ce n’est pas grave. Je devais m’en attendre. Je m’excuse de vous avoir demandé ceci. » Dit-il en la regardant sérieusement. Il n’était pas méchant, même s’il avait ce petit pincement au cœur et cette honte de lui avoir fait ça. C’était peut-être gênant de décliner une invitation. En plus, il était conscient que les femmes, comme elle, devait être demandée. Ce n’était certainement pas les types comme lui qui les intéressait, comme il aurait souhaité. « Je suis vraiment désolé, je suis conscient que je n’aurais pas du et j’ai l’air encore d’un gros naze en m’excusant autant ainsi. » Dit-il avec un léger sourire en coin. Il avait l’impression de subir un échec. Si sa mère l’aurait vu, elle serait en train de hocher de la tête en tentant de trouver une tâche à lui faire faire pour le punir d’autant de culot. Elle aurait dit qu’il avait certainement manqué de respect envers la jeune femme et qu’il avait déshonoré la famille en la rabaissant par rapport aux recherches qu’il avait dit de faire si elle n’avait pas confiance. Il était peut-être bizarre et adorable devant la belle dame. Il était tout simplement très maladroit. C’était normal, puisqu’il n’avait jamais voulu sortir avec une fille pour une relation plutôt sérieuse, quand il se rendait compte qu’il ne ressentait rien pour la jeune fille qui était sa copine, il lui disait avec classe et douceur que ça ne fonctionnait pas et la quittait… Il n’était pas un méchant garçon, mais il ne faisait jamais les premiers pas. Il avait juste envie de parler à cette femme et la connaître. Il ne lui en voulait pas, elle avait été tout simplement sincère. Il en était conscient. Le poufsouffle s’en voulait plutôt d’avoir mis la jeune femme dans la situation peu intéressante. Peut-être le prenait-elle en pitié ? Il n’en savait rien et ne voulait pas de cette pitié. Il savait qu’il devait forger son caractère par rapport à ce qui se passait dans sa vie. Il n’avait jamais essayé ce genre de truc, c’était une première qui fut audacieuse et blessante à la fois.

    « J'espère que ça ne jètera pas un froid. »
    « Ne vous inquiétez pas pour moi… »
    « Monsieur Spencer? Excusez moi, vous savez où est Monsieur Spencer? »
    « Oh il ne sera pas là avant une heure mon coeur. »
    « Que diriez vous d'un café déjà? Si vous avez le temps bien sûr »
    « Hum… bien sur, j’ai le temps. » dit-il en la regardant, il se demandait si elle était libre pour un innocent café avec lui puisqu’il détestait le ministère. Il se serait enfui avant d’avoir mis un pied à l’intérieur de cette foutue bâtisse qui lui donnait de L’urticaire. C’était étrange que quelqu’un déteste autant un endroit où se trouvait de grands sorciers qui étaient à la tâche pour tenir le monde des sorciers dans un état paisible, le mieux qu’il le pouvait. « Est-ce que vous avez le temps de prendre un café avec moi ou vous êtes trop occuper, sinon… je reviendrais demain ou j’attendrai seul son retour ? » Dit-il avec tant de sérieux pour ne pas recevoir une autre surprise par la réponse de la jeune femme. Il ne se faisait pas d’idée cette fois-ci sur sa nouvelle demande. Il voulait tant la connaître. Il ne voulait pas lui faire peur, mais plutôt apprendre à la connaître pour se rapprocher peu à peu d’elle. C’était un désir grandissant en lui, comme si c’était une question de vie ou de mort. Il la détaillait encore, plutôt, devrais-je dire, qu’il détaillait son visage. Il voulait se souvenir de chaque trait, c’était sa façon à lui de ne jamais oublier cette rencontre.









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D'amour ou d'amitié (finish) #Mer 3 Fév - 10:57


« Ce n’est pas grave. Je devais m’en attendre. Je m’excuse de vous avoir demandé ceci. Je suis vraiment désolé, je suis conscient que je n’aurais pas du et j’ai l’air encore d’un gros naze en m’excusant autant ainsi. »

Elle eut un petit rire amusé mais toujours pas méchant. Elle n'avait pas pour habitude de se moquer des autres et encore moins d'un pauvre garçon un peu plus jeune qu'elle qui aurait eu le culot de l'inviter à dîner sans la connaître. Elle trouvait ça assez courageux dans le fond:

Tallia - Si vous voulez mon avis vous ne devriez pas vous excusez autant effectivement. Il n'y a pas de soucis. Qui ne tente rien n'a rien non?

Elel était parfaitement à l'aise contrairement à Andrew. C'était qu'elle avait une assurance à toute épreuve qui ajouté à son côté demi-vélane faisait d'elle un espèce de monstre charismatique quasiment inébranlable.

Andrew - « Est-ce que vous avez le temps de prendre un café avec moi ou vous êtes trop occuper, sinon… je reviendrais demain ou j’attendrai seul son retour ? »
Talia - Si je vous le propose c'est que j'ai le temps. C'est à vous de voir, je comprends tout à fait qu'on ait pas envie de poireauter une heure pour remettre une lettre en main propre à quelqu'un qui aurait du être là depuis...', elle regarda sa montre,'... bien vingt minutes.

Derrière elle la pile de dossier frétilla mais la suivit tandis qu'elle prenait la direction de la cafétéria du Ministère. Elle savait déjà qu'elle allait prendre un double serré sans sucre avec un muffin au chocolat. Parce que d'une c'était sa pose et de deux, ils avaient une heure à tenir.









Andrew M. Dangelo

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D'amour ou d'amitié (finish) #Lun 8 Fév - 3:06


    L’assurance de Talia impressionnait notre cher poufsouffle qui n’avait pas l’habitude de voir des femmes de ce genre. Il avait tant été caché du monde que tout semblait nouveau avec un peu de retard tout de même. Il avait toujours vu les femmes de sa famille – presque toutes – se rabaisser pour baiser les pieds de leur mari, quand elle était mariée. Andrew n’aimait pas cette image de ses femmes, il préférait grandement l’assurance de la belle femme qui était devant lui. Oui, il avait osé lui demander de sortir avec elle ce soir, mais elle tentait de le convaincre qu’il fallait toujours tenter dans la vie. Il savait qu’elle avait raison au fond, mais il avait été tout de même stupide. Il n’était pas ce genre de garçon qui avait l’habitude de se faire manger par la main par la gente féminine en un claquement de doigt. Il était plutôt ce garçon timide, doux et délicat qi voulait apprendre à connaître pour finalement être bien sur pour demander une question de haute importance pour lui. Il n’était pas ce genre à se jeter à l’eau. Peut-être qu’il sentait que ça valait la peine de l’avoir fait. Il fallait qu’il soit bien plus positif, mais cette tendance à se rabaisser provenait de sa famille. Si sa mère et son père l’avaient vu. Ça aurait chauffé ! Il avait suivi la charmante jeune femme jusqu’au cinquième étage. Apparemment, il allait avoir un petit rendez-vous avec elle, mais rien de bien charmant, ni de bien romantique. Il allait prendre un café avec Talia à la cantine du ministère. C’était le seul point positif de sa journée. Il allait peut-être réussir à mieux la connaître pour finalement réussir à peut-être un jour, je dis bien peut-être, d’avoir un petit rendez-vous plus adéquat avec la jolie femme qui lui avait refusé un souper galant avec lui. Peut-être qu’au fond le destin jouait à son avantage. Pourtant, croyait-il au destin ? Il n’en savait rien. Toute sa vie, il avait appris qu’il n’y avait pas de hasard que tout était fait de la main de dieu et que les évènements étaient voulus par dieu, mais en ce moment… il oubliait tout ce qu’il avait toujours entendu. Il écoutait le destin lui montrer le chemin. Il espérait que ce fameux spencer n’arrive pas de si tôt. Croyez-moi, il ne voulait pas. Il voulait avoir du temps pour apprendre à la connaître, même s’il se rendait compte qu’il n’avait absolument rien à lui dire. Mince !

    « Si je vous le propose c'est que j'ai le temps. C'est à vous de voir, je comprends tout à fait qu'on ait pas envie de poireauter une heure pour remettre une lettre en main propre à quelqu'un qui aurait du être là depuis... ... bien vingt minutes. »
    « Désolé. Je fais parfois des commentaires un peu con. » dit-il avec un léger sourire. Il était inoffensif ce petit. Andrew regarda la pile derrière Talia un instant. « Votre paperasse va vous suivre tout le long comme ça ? » il haussa un sourcil un instant. Il s’imaginait la pauvre petite femme avec cette pile qui était fébrile en arrière la suivre jusqu’à la cafétéria. Il ne voulait pas qu’elle ait des problèmes ou du trouble par rapport à un homme pressé qui ferait tombé sa pile de feuille à qui Andrew ne faisait pas confiance. « Eh bien, je commence à être habitué à faire ce genre de service et entendre des heures et parfois une journée entière. On me refile toujours les services ennuyeux au ministère. » dit-il en poussant la porte des escaliers. Il s’était dirigé inconsciemment vers la cage d’escalier ne voulant plus tenter de prendre l’ascenseur. Il avait eu une mauvaise expérience un peu plutôt. Il tenait la porte pour que Talia puisse passer sans avoir à tenir la porte en même temps que de surveiller sa paperasse. Andrew avait une habitude de toujours ouvrir les portes aux dames. Il avait toujours marché sur le côté de la rue pour ne pas qu’il arrive de quoi. Il avait toujours tendance à sortir d’un conte de fée, mais il était à la mauvaise époque. « quelle fonction remplissez-vous au ministère ? » dit-il poliment avec un léger sourire en la regardant détaillant encore les traits du visage de la jeune femme qu’il venait de connaître. Il devait lui avouer quelques choses qui étaient simples à voir. « D’ailleurs, vous devez m’en excuser. Je n’ai pas beaucoup de sujet de conversation. Je n’ai pas l’habitude de parler avec des femmes, on me l'a toujours presque interdit… »









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D'amour ou d'amitié (finish) #Jeu 11 Fév - 11:29


Andrew - « Désolé. Je fais parfois des commentaires un peu con. Votre paperasse va vous suivre tout le long comme ça ? »

Talia jeta un coup d'oeil par dessus son épaule. La paperasse semblait particulièrement agitée, les feuilles claquaient les unes contre les autres comme pour se rappeler au souvenir de la jolie stagiaire avec toute l'énergie des personnes auxquelles elles avaient d'abord été confiées.

Talia - Oh ça? C'est rien, elles vont commencer à se trier toutes seules dès qu'on sera à la cafétéria, ça les perturbe que je me balade de droite à gauche comme ça. En général elles font ça tranquillement pendant que je suis à mon bureau en train de m'occuper de choses plus intéressantes, puis quand elles ont fini il ne me reste plus qu'à... vous prenez quoi au fait?', à prendre un café avec Talia, on se rendait vite compte à quel point elle pouvait être bavarde et avoir la très salle manie de faire trente six choses à la fois quand elle était au boulot,'... enfin à la fin il ne me reste plus qu'à vérifier qu'il n'y a pas d'erreur dans le tri, ce qui est assez vite faite tout compte fait. Et puis il reste encore les quelques fiches qui n'ont pas su où se mettre. Enfin y en a pas beaucoup en général. Alors vous voulez quoi?

Elle le regardait patiente, sans vraiment le presser. C'était une qualité que Talia avait. Elle avait beau être odieusement bavarde, elle laissait aller les gens à leur rythme, à moins qu'ils n'aient eu la riche idée de vouloir se mêler de son travail, là elle devenait une vraie furie et il fallait tenir son rythme à elle. Ce n'était pas négociable.

Andrew - « Je commence à être habitué à faire ce genre de service et entendre des heures et parfois une journée entière. On me refile toujours les services ennuyeux au ministère. »
Talia - Comme je vous comprends...', fit-elle en zyeutant la paperasse derrière elle avec un sourire amusé. Les services ennuyeux elle savait ce que c'était.

Mais bon elle était ambitieuse. Il lui fallait bien se rendre indispensable.

Andrew - « Quelle fonction remplissez-vous au ministère ? »
Talia - Eh bien, officiellement je suis la stagiaire du service de coopération magique internationale. Je dis "officiellement" parce qu'en fait je suis plutôt la stagiaire de... tout le ministère. J'ai eu la stupide idée de montrer que j'étais efficace dans ce que je faisais alors du coup... d'un autre côté c'est tant mieux pour moi, j'apprends plus que les autres, j'ai le droit de circuler où je veux et je connais les ministres comme si on avait fait Poudlard ensemble... sauf que j'ai vingt ans de moins que mais ce n'est qu'un détail.

Le pire avec les gens qui ont la langue bien pendu, c'est que eux n'ont pas besoin de s'arrêter pour boire où respirer c'est... inné chez eux. Talia ne faisait pas exception à la règle et c'était comme ça que pour une malheureuse question elle pouvait partir à vous raconter toute sa vie dont vous n'avez peut-être pas grand chose à faire mais bon... il ne fallait pas poser de question.

Andrew - Vous devez m’en excuser. Je n’ai pas beaucoup de sujet de conversation. Je n’ai pas l’habitude de parler avec des femmes, on me l'a toujours presque interdit… »
Talia - Éducation stricte?', demanda-t-elle trempant ses lèvres dans son café.









Andrew M. Dangelo

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D'amour ou d'amitié (finish) #Mar 16 Fév - 1:59


    « Oh ça? C'est rien, elles vont commencer à se trier toutes seules dès qu'on sera à la cafétéria, ça les perturbe que je me balade de droite à gauche comme ça. En général elles font ça tranquillement pendant que je suis à mon bureau en train de m'occuper de choses plus intéressantes, puis quand elles ont fini il ne me reste plus qu'à... vous prenez quoi au fait? ... enfin à la fin il ne me reste plus qu'à vérifier qu'il n'y a pas d'erreur dans le tri, ce qui est assez vite faite tout compte fait. Et puis il reste encore les quelques fiches qui n'ont pas su où se mettre. Enfin y en a pas beaucoup en général. Alors vous voulez quoi? »
    « Ah d’accord. » dit-il en jetant encore une fois un regard sur la pile qui ne cessait de vaciller à chaque pas qu’elle faisait. Il ne faisait toujours pas confiance à cette pile qui tenait à peine par la magie. Il avait une entière confiance par rapport au sort, mais il était incapable de se faire à l’idée qu’une pile de feuille pouvait se balade de droite à gauche autant. Pourtant, il reporta le regard sur une chose qui était bien plus intéressant qu’une simple pile de papier vacillant à chaque pas d’une magnifique femme. C’était cette femme qui était bien plus agréable à remarquer. Pourquoi elle le bouleversait autant ? Pourquoi il était aussi fragile quand il posait son regard sur elle ? Pourquoi le poufsouffle avait-il l’impression de ne pouvoir la regarder ou la détailler ? Avait-il droit de la regarder ? Était-il permis de pouvoir voir une aussi belle femme ? Est-ce que dieu lui pardonnera d’avoir posé son regard sur une aussi belle femme ? C’était une déesse à ses yeux. Il était littéralement fou devant une chose aussi belle créature. Était-il tombé dans le péché que ses parents avaient voulu l’éloigner ? Le péché était plutôt alléchant devrait-on dire. Il voulait y aller plus profondément encore pour y goûter encore et encore. Il était dans le péché… pourquoi ne pas en profiter encore plus ? « Hummm, je vais prendre un café à la vanille française. » dit-il en lui souriant. Il avait posé son regard sur elle pour de bon. Il la regardait toujours avec ce sourire un peu con. Au fond, il était jeune. Il était ignorant de beaucoup de chose à cette vie qui lui avait toujours été cachée. Il était fragile au monde qu’il ne connaissait pas. Il voulait connaître tout d’un coup, mais il avait terriblement peur de voir apparaître sa mère et lui foutre une sacrée fessée qu’il n’oubliera pas. Il était terrifié à cette idée. Il ne savait aucunement comment sortir de la maison familiale. Andrew voulait vivre sa vie. Il était un adolescent normal, mais un peu attardé sur les rebords pour son manque de connaissance par rapport à la vie. Andrew était un jeune homme intelligent, sauf qu’il ignorait bien des choses qu’il aimerait connaître, mais sa famille n’avait pas été la plus simple pour avoir une certaine liberté d’expression et d’apprentissage. Il était maintenant libre de faire ce qu’il, mais il mettait des freins à tout ça. Pourquoi ? La peur. La peur tout simplement.

    « Éducation stricte? »
    Il prit une gorgée de son café et il réfléchit à sa réponse qu’il allait lui donner. Il l’avait écoutée plutôt pour sa réponse sur ses fonctions au ministère puisqu’il lui avait posé une question. Andrew l’écoutait parler et il ne se tannait jamais. À présent, il devait lui fournir une réponse à Talia. « Oui, j’ai eu une éducation très stricte. J’ai été plutôt coupé du monde, si tu vois ce que je veux dire. J’ai l’impression de ne rien connaître, mais je veux tout connu. J’aimerais connaître ce que je n’avais pas le droit de connaître. » dit-il sérieusement. Il lui disait la vérité sans gêne. Andrew était comme ça. Après tout, il n’avait rien à se cacher et il n’avait rien à cacher à personne. Peut-être, au fond, il ne la verrait peut-être plus jamais. Il devait se montrer gentil et honnête. Il pensait réellement ne plus jamais la revoir, il ne verrait pas pourquoi, elle voudrait le revoir, quand elle avait refusé son invitation. Il était jeune et il ne connaissait rien. Elle était bien trop belle pour un type, comme lui… « Mes parents croient à un dieu et c’est plutôt compliqué, quand on est élevé par des croyants. Je recevait la fessé régulièrement, car j’avais tendance à me sauver de la maison pour aller jouer avec les enfants qui passaient près de la clôture. Et vous, vous avez une éducation stricte ? Parlez-moi de vous. J’ai tout mon temps, puisque je ne sais pas si ce monsieur Spencer va se pointer le nez, comme il avait dit à ma famille. » dit-il en lui souriant. Il prit une gorgée de sa boisson chaude.









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D'amour ou d'amitié (finish) #Mer 17 Fév - 22:22


Andrew - « Oui, j’ai eu une éducation très stricte. J’ai été plutôt coupé du monde, si tu vois ce que je veux dire. J’ai l’impression de ne rien connaître, mais je veux tout connu. J’aimerais connaître ce que je n’avais pas le droit de connaître. »

Elle sourit, trempant ses lèvres tranquillement dans sa tasse. Elle avait déjà remarqué depuis la toute première phrase qu'il avait dites, qu'il n'était pas un adolescent vraiment épanoui. Un garçon de son âge aurait été tenté dire oui plutôt que ouais, il aurait du faire sans cesse attention à son style quand il parlait, il se serait assis sans vraiment y faire attention. Andrew semblait au contraire vigilent à toute chose, bien qu'il ait pu se montrer maladroit par instant. Elle avait de la compassion pour lui, devinant, parce qu'elle était suffisamment fine analyste, que cette vie là ne lui convenait pas forcément. C'était normal à son âge de vouloir connaître autre chose.

Andrew - « Mes parents croient à un dieu et c’est plutôt compliqué, quand on est élevé par des croyants. Je recevait la fessé régulièrement, car j’avais tendance à me sauver de la maison pour aller jouer avec les enfants qui passaient près de la clôture. Et vous, vous avez une éducation stricte ? Parlez-moi de vous. J’ai tout mon temps, puisque je ne sais pas si ce monsieur Spencer va se pointer le nez, comme il avait dit à ma famille. »
Talia - Je ne peux pas vraiment dire que j'ai eu une éducation stricte, on m'a toujours laissée très libre mais j'ai eu une éducation com...
Mr Spencer - Voilà bien dix minutes que je vous cherche...

Il se permettait encore de prendre l'air agacé. Talia s'excusa auprès de Andrew dans un sourire avenant, elle s'abstint de faire la moindre remarque à Spencer, bien qu'elle aurait presque pu se le permettre vu comme elle était appréciée de tous et comme lui, était en retard. Les fiches s'agitèrent derrière elle, tandis qu'elle retournait à son travail...










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