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| | | {• Faust — La malediction des visions... (ec) |  |
| | PROFIL & INFORMATIONS |
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InvitéInvité
 Sam 24 Oct - 12:28 |
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| OO1. Si quelqu’un sait ton nom, il a une arme contre toi. « Seuls le sang, la famille, l'histoire, le temps, identifient un être humain.»
[Jean-Marie Adiaffi]
 | NOM : Un nom... une malédiction... le mal... Rien de plus maléfique en toi pauvre enfant innocent et inconscient. Tu essaie de le cacher, mais ne cache pas ta vrai nature... N'oublie pas mon enfant... que FAUST... c'est toi.
PRENOM(S) : Un prénom... une bénédiction... le bien... la douceur... le paradoxe en lui même... Je sais qui tu es jeune enfant, innocent, cache toi derrière ton nom de famille, dissimule qui tu es, tu peux toujours essayer, mais je sais qui tu es GABRIEL...
AGE : Quel age as tu l'air d'avoir bel enfant innocent ? 16 ? 17 ANS? L'age de ton âme et celle de ton cœur ne sont pourtant plus les même... et ce... depuis tellement d'année ...
ORIGINE(S) : Si seulement tu le savais bel enfant inconscient... IGNORE tu qui tu es réellement ?
PROFESSION : Du haut de tant d'année quel métier ose tu exercer ? Mais aucun petit enfant car en effet tu n'es qu'ÉTUDIANT
ETAT CIVIL : Si tu n'as pas su aimer ce n'était pas pour elle, tu NE CROIS PAS EN L'AMOUR, ce n'est pas pour toi...
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OO3. Nous avons les moyens de vous faire parler. QUELLE FORME PREND VOTRE EPOUVENTARD ? Regarde au plus profond de ton âme petit ange déchut... Quelle est donc cette peur qui te tiraille ? Un ANGE , aile BLESSEE, tete BAISSEE, qui d'un coup la releve, c'estTON VISAGE, tes yeux sont ROUGE SANG, de tes levres coulent cette SUBSTANCE ROUGEATRE... seul toi peux comprendre ce que cela signifie... FAUST EST DE RETOUR...
QUE VERRIEZ VOUS DANS LE MIROIR DU RISED ? On pourait croire que tu n'y vois rien, juste toi, heureux, libéré, car c'est tout ce qu'il te manque pour être le plus heureux des hommes, mais si, tu y vois quelque chose. Tu revois la TROUPE dans laquel tu as grandis, tu les vois T'ACCUEILLIR, T'EMBRASSER comme un hero, te promettre un ÉTERNEL SUPPORT...
OU TRANSPLANERIEZ-VOUS SI VOUS EN AVIEZ LA POSSIBILITE ? Fuir ? A quoi bon fuir ? Le mal qui te ronge te suivra partout, tu n'es a l'abri nul part... Ca fait bien longtemps que le monde tu le connais, il n'y a NUL PART ou tu voudrais aller...
QUELLE FORME PREND VOTRE PATRONUS ? « Quand l'AIGLE ROYAL étendra ses ailes sur le ciel, la mort arrivera » tel était ta première prédiction
QUEL EST VOTRE SORTILEGE FAVORI ? Tu as toujours aimer les fleurs, oui, toujours... depuis l'instant ou tu te cachais dedans pour echaper a tes visions... « ORCHYDEUS» criais tu dans un ultime sanglot...
QUEL EST CELUI QUI VOUS TERRIFIE LE PLUS ? Beaucoup on peur de la mort, pas toi... beaucoup on peur de la souffrance, pas toi... Et pourtant l' AVADA KEDAVRA te terrifie, et ce parce que Faust a agit...
QU'AVEZ VOUS RESSENTI EN ENTRANT A POUDLARD ? Tu te rappelle de ton entrer a Poudlard comme de ta PREMIÈRE MAISON, d'un sentiment de LIBÉRATION, le sentiment qu'ici on pourrait t'AIDER, que rien, oh oui plus RIEN NE POURRAIS T'ATTEINDRE, tu te trompais...
QUELLE FORME DE MAGIE VOUS ATTIRE LE PLUS ? Tu aime la magie, et pourtant tu rêve d'être un simple moldu, la MAGIE NOIR te terrifie tant tu as peur qu'elle t'attire, toujours a cause de Faust, mais la BLANCHE ne te rassure pas, elle t'a l'air inutile, et pourtant tu la prône, tu reverrais d'une magie ou tu pourrais être toi...
APPRÉCIEZ VOUS LA DISCIPLINE ? Personne n'aime ca, absolument personne, et toi encore moins! Tu la HAIS! l'EXECRE! Comment peut on vouloir te diriger, petit ange déchut...
QUELLE EST LA PURETÉ DE VOTRE SANG? Tu ignore tes origines bel enfant, certain bohémien dise que tu es un sang pur, un monstre, d'autre que ton sang est MÊLÉ, et c'est ce que tu préfère croire...
OO4. Vous ! Oui, vous ! PSEUDONYME, PRENOM : S', TIINKI
AGE : 16 ANS,
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? QU’EN PENSEZ-VOUS ? SI JE M'Y SUIS INSCRITE ...,
LE MOT DE LA FIN ?
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InvitéInvité
Sam 24 Oct - 12:28 |
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| OO2. L'histoire nous façonne, les souvenirs nous construisent. « Faust... Faust... Faust... Faust est de retour... Faust... Faust... Faust reviend... Faust» hurlait cette voix l'intérieure de sa tète
« Faust ne revient pas ! Faust est mort!»
« Mais pauvre enfant... n'as tu pas compris que Faust... c'est toi!»
« On connaît tous l'histoire de Faust, un jeune médecin ayant vendu son âme au diable contre le savoir, et la puissance. Ce qu'on sait moins, c'est que Faust est réel, Faust était un jeune médecin ambitieux et prometteur qui avait, dit on, étudier la magie e Pologne. Il fut accusé de pratiquer la magie noir et d'écrire des libelles sur les miracles de Jésus de Nazareth ou il clamait être capable de faire pareil et même plus. Je vous parle d'une époque ou la religions était des plus importante, je vous parce d'une époque il y a un demi siècle de la, au temps de Luther. Celui ci affirmait que Faust était hanté par le diable, puis, en bon principe du téléphone arabe, on en vint a dire qu'il lui avait vendu son âme pour la toute puissance. Il devint professeur, mais ces méthodes trop rustre et lugubre il dut quitter l'enseignement pour echapper aux poursuite judiciaires. des que Faust était dans les parages et qu'un drame surgissait on l'accusait, ainsi on monta a son encontre une centaine d'accusation pour meurtre par sorcellerie.
On raconte que par la suite il enseigna a l'université d'Erfurt en Allemagne, que la magie était omniprésente dans ces cours, si omniprésent qu'il terrifiait tout ces élèves. On dit qu'en enseignant Homere il réussit grâce a une 'lanterne magique" a faire s'animer les créatures mythique des légendes, les plus grands monstres de l'histoire, qui, dit on, s'apprêtait a dévorer les étudiants avant de disparaître. C'est a Erfurt que Faust confirma les dires en s'adressant a un moine par la phrase : ... »[/size]
GABRIEL « Je suis allé plus loin que vous ne le pensez, j'ai fait une promesse au démon avec mon propre sang, d'être sien dans l'éternité, corps et âme»
CONTEUSE « C'est ça Gabriel... Quelques années après cela un aventurier Allemand retrouve Faust dans une auberge et lui demande de lui prédire son avenir. Faust le fit, avec des détails absolument ireealiste... Quelques années plus tard le frère de cet aventurier reçut une lettre lui disant que Faust avait prédit juste dans les moindres details... Faust avait un don, un réel don, il ouvrait voir le futur... »
EMILIA « Est ce que c'est comme avec Gabriel ? »
CONTEUSE « Emilia... Gabriel a un don, mais ce n'est pas comme Faust... »
AMELIA « Alors pourquoi l'appelle t-on Gabriel Faust ? Il a vendu son âme au diable lui aussi...»
Personne n'imagine a quel point les enfants peuvent être cruel entre eux, et a quel point ce jeune Gabriel avait été heurté par les paroles de la belle Emilie... Il se leva d'un bond...
CONTEUSE « GABRIEL! Reste assis je n'ai pas fini! ... Bien... Ou en étais je ? ... Ah oui... la mort de Faust... Quelque années après cette prédiction, Faust fut arrêter et on le fit brûler sur la place publique, accusé de sorcelerie... il emporta avec lui le secret de son savoir...»
JACOB « Est ce que si les gadjo savent que Gabriel voit l'avenir ils le feront brûler ?»
CONTEUSE « Les mentalités ont évoluées depuis l'époque de Faust Jacob... »
AMELIA « Si les mentalités ont évoluées pourquoi nous regardent ils toujours avec autant de mépris ?»
CONTEUSE « Nous sommes des gitans, des bohémiens, pour eux il n'y a rien de pire... »[/size]
JACOB «Gabriel cumule alors non ? »
CONTEUSE « Gabriel est quelqu'un d'à part, c'est pour ça que nous devons le protéger, car il est votre frere... »
*****  « J'ai toujours cru que j'etais un homme... deja, a 3ans, je suis partie de chez moi me trouver une nouvelle famille... surement que l'ancienne ne me plaisait plus... je me pensais homme... je vois maintenant que je ne l'etais pas... et ne le serais jamais reelement... » Seance n°10; 30/08 ; Hopital Psychiatrique de Londres
Un frère pour certain, un intrus pour d'autre... Gabriel Faust était arriver dans la troupe alors qu'il avait 4 ans, personne ne savait d'où il venait, il marchait sur la route que ces gitans avaient prit, seul, quand la conteuse avait décider de le recueillir. « Je savais qu'en prenait cette route je trouverais une mère, je l'ai vu, dans ma tete... » disait il sans que personne ne le comprenne. A cet époque la, le jeune Gabriel était extrêmement malade, la conteuse passa des jours et des jours a son chevet dans l'espoir de le voir s'en tirer, elle implora les dieux et les force de la nature, suait pour trouver un remède et sauver cette enfant qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle aimait déjà, jusqu'à ce qu'un jour la maladie de Gabriel disparaisse. Personne ne savait d'où il venait, qui il était, ce qu'il attendait, certain refusait de le voir comme l'un des leurs, d'autre l'acceptait avec une bonté sans non ce qui fit de ces personnes sa famille. A son arriver dans la troupe Gabriel ne savait rien, et n'avait ni nom ni parent, on l'appela pendant près d'un mois "raclo" , signifiant "garçon" par ceux qui l'acceptait et "gadjo" signifiant un garçon non-gitan, un intrus, par ceux qui au contraire était pour son exclusion. Ce ne fut que lorsqu'il sauva une petite fille nommée Elena qu'on le nomma Gabriel, en honneur de l'ange Gabriel.
Croire que le jeune Gabriel eu une enfance facile était se tromper sur toute la ligne. La troupe chez qui il était était composer d'artiste de rue, désireux de se faire accepter de tous il apprit par lui même tout les art pratiqués. Il n'avait que 4 ans, et pourtant il se montrait d'un talent sans nom. C'était un petit garçon normal, ordinaire, un peu tourmenté pour des raisons inconnus, mais si gentil et courageux. Il affrontait tout les défi qui lui étaient lancer par la vie avec une hardiesse sans égale. Mais tous craignaient cette enfant malgré sa douceur et sa gentillesse... Tous voyaient lui le démon, car ils le savaient exceptionnelle, a cause de ces yeux qui semblaient changer de couleur de temps a autre, et de ces intuitions qui semblaient de plus en plus réel. De petites choses que certain prenaient pour des coïncidences, mais il y a une fois ou ils durent admettre que tout était vrai, que la puissance de Gabriel dépassait celle de coïncidences, ou ils l'appelèrent Gabriel Faust...[/size]
GABRIEL « Quand l'aigle ROYAL étendra ses ailes sur le ciel, la mort arrivera »
CONTEUSE « Que dis tu Gabriel ? »
GABRIEL « J'ai vu la mort... » déclara le jeune garçon apeuré et sous le choc de ce qu'il avait vu.
CONTEUSE « Comment ça la mort ? »
GABRIEL « Karolina... la soeur d'Amelia... elle va mourir... »
CONTEUSE « Quoi ?!»
GABRIEL « Je l'ai vu ...»
CONTEUSE « Tu as du t'assoupir Gabriel... on ne voit pas les chose comme ca... »
GABRIEL « Je l'ai vu ! Comme la brûlure de Bom le cracheur de feu ! Comme le petit garçon qui c'est introduit dans ta tente! Je l'ai vu!»
CONTEUSE « Couche toi mon enfant... tu es fatguée... tu vera... demain Karolina sera encore la...»
Gabriel s'allongea sur son lit légèrement bancale dans cette roulotte qui le rassurait tant, mais il ne réussit a dormir. Un peu avant 4h il se mit a pleurer, toute les larmes de son corps, cette vision revenait, il se voyait, un couteau a la main, poignarder la jeune Karolina alors qu'elle le suppliait, et écrire sur le mur de sa roulotte "a mort les gitans" ... il s'endormit quelque instant mais fut réveiller par un hurlement, lorsqu'il ouvrit les yeux il avait les mains pleine de sang. Il en pouvait pas l'avoir tuer! Il refusait d'y croire. Il se leva, courut a la rivière et se lava les mains, mais le sang ne semblait vouloir s'en aller. Il frottait. De plus en plus fort! De plus en plus vite! Il pleurait... Pauvre enfant victime d'une hallucination. Il aurait put l'empêcher mais il n'avait rien fait, on ne l'avait pas crut. Il retourna dans son lit, et fit semblant de dormir lorsque la conteuse et deux autres personnes entrèrent.
HOMME 1 « Le gamin l"'avait vu il parait»
Gabriel reconnu la voix du père de Karolina et d'Emilia
CONTEUSE « En effet... vous le pensez coupable ?»
HOMME 1 « Ce n'est qu'un enfant»
HOMME 2 « Mais ce n'est pas l'un des notre »
CONTEUSE « Peut être, mais il nous aime... »
HOMME 2 « Il vous aime, parce que vous le protegez... la douleur d'un enfant fait parfois des ravages quand il n'a pas de famille »
Oui la cruauté des gens sur un orphelin pouvait créer des dégâts. Mais Gabriel les aimait, tous autant qu'ils étaient, ils étaient sa famille, quoi qu'ils pouvaient en dire. Jamais il 'n'aurait fait de mal a qui que ce soit, et pourtant il se sentait coupable..
HOMME 2 « Nous devrions le confie a des gadjos»
HOMME 1« Suffit ! Il restera avec nous! Il n'est pas coupable ! Il dormait ! »
Gabriel sentit comme un déchirement au plus profond de sa poitrine. Il venait de perdre sa fille, tout les charge l'accusait mais il le défendait quand meme... Comment pouvait il ? Gabriel sentit en lui la reconnaissance de toute une vie...
HOMME 1« Conteuse, je veux être tenu au courant de toutes les visions de Gabriel! Absolument toute! Il est hors de question que nous ne l'écoutions pas a nouveau! Vous aviez raison, ce garçon a un don, un don que nous pouvons exploité. Il s'en servira lors de ces spectacles ! Il sera le voyant de la troupe... »
CONTEUSE « Je lui en parlerais... Il sera ravi j'en suis certaine»
A vrai dire, Gabriel ignorait si il était ravi de cette proposition... que pourrait il dire si il voyait a nouveau la mort de quelqu'un ? La vérité ? Et si il voyait que les choses mauvaises ? Jusqu'à maintenant il n'avait eu que des visions d'horreurs, et si il n'était capable que de ça ? Et si il n'arrivait pas a en avoir sur commande ? Tellement de question sans réponse qu'il devrait poser.
C'est ainsi que les dons de Gabriel furent officiel, après cela tout le monde prenait toutes ces prédictions avec le plus grand sérieux et a raison vu que tout ce produisait exactement comme il le disait. La troupe traversa toute l'Espagne, et a chaque ville ou ils s'arrêtaient ils donnaient une représentation, cracheur de feux, danseuse, chanteur, jongleurs, acrobates, et bien d'autre faisaient l'animation, mais si tous étaient la c'était également pour les prédictions de Gabriel dont la réputation commençait a prendre de l'ampleur. Gabriel n'avait pas énormément de vision, et en effet il ne voyait que les catastrophes, a chaque fois il se voyait dans sa vision, c'était qui le pilleur ou le meurtrier, toujours lui, et a chaque fois il ne se souvenait pas de ce qu'il faisait au moment de la prédiction. Il commençait a croire qu'il était le responsable alors que personne d'autre n'imaginait cette possibilité. Après tout il n'était qu'un petit médium d'a peine 6 ans avec un talent que personne ne se permettait de remettre en cause. Lorsqu'il n'avait pas de vision il en inventait en analysant le comportement des gens et en leur disant ce qu'ils espéraient entendre. Il n'aimait pas mentir, non il détestait cela, mais il était obliger, pour ne pas décevoir.
Tous dans la troupe considérait Gabriel Faust comme leur frère, il n'était plus un intrus, il était l'un d'entre eux, c'était unanime, et même si Gabriel en était heureux il regrettait qu'il eu fallut un mort pour que cela ce passe ainsi. Il était proche de tout le monde, s'entendait avec tout le monde, n'avait aucun ennemie bizarrement, peut être parce qu'en bon croyant certain qui aurait put s'opposer a lui craignait qu'une malédiction leur soit lancer. Gabriel était le plus heureux de tous, du moins, il paraissait le plus heureux de tous, car la mort de Karolina le rongeait intérieurement. Il alla voir le père un soir...
GABRIEL « Je suis désolé monsieur... »
PÈRE DE KAROLINA« Que ce passe t-il Gabriel ?»
GABRIEL « C'est a propos de Karolina... Je suis désolé c'est de ma faute... »
PÈRE DE KAROLINA « Voyons Gabriel, si personne ne t'a écouter ce n'est pas ta faute... ça ne se reproduira pas fais moi confiance. »
Il en voulait pas comprendre! Il l'avait tuer! C'était lui qui tenait ce couteau! Du moins c'était ce qu'il pensait... Comme c'était lui qui avait tuer tout les autres morts qu'il avait vu, comme c'était lui le responsable de tout les pillages et massacres qu'il avait vu... Comment pouvait il se pardonner ça. La vision de lui ôtant une vie le torturait, mais la ce n'était plus une, c'était des dizaines, des vingtaines, comment ce pardonner ça ? Il faisait bonne figure, et feignait de ne pas être inquiet, de ne pas être responsable, et ce pour une personne Celina, celle qu'il aimait et ce depuis toujours, celle qui l'avait encourager depuis le début, celle qui avait toujours crut en lui, en ses visions. Elle était si belle. Et lui ne semblait voir qu'elle. Elle avait de long cheveux blond, c'était l'une des rares de la troupe a être blonde, et des yeux d'un bleu parfait, il l'aimait, mais terriblement en secret. Il n'était pas des leur, quoi qu'ils aient put dire c'était ainsi, Gabriel restait le pauvre petit gadjo au don particulier, mais un gadjo quand même. Gabriel ne vivait que pour la troupe, et ceux, aussi enfant qu'il soit. Ses mots étaient purs, et ces gestes innocents, son coeur lui montrait un chemin sans haine que tant auraient voulu pouvoir suivre. Ces visions continuaient mais toujours pour lui montrer des catastrophes, des meurtres, et des volent, il se voyait toujours coupable même si il y a avait peu de chance que ça soit la réalité Gabriel sentait au fond de lui qu'il était l'unique responsable, comme il était responsable de la mort de Karolina.
Les mois passaient et les remords persistaient lamentablement. Plus il essayait de survivre plus l'échec était cuisant. Il s'efforçait de faire bonne figure, mais les remords le rongeait lerriblement...
Dire ce que la troupe représentait pour Gabriel ne suffisait pas a évaluer a quel point elle était importante. Tout ces gens, si diffèrent et a la fois si semblable, représentaient sa famille, son univers, il ne voyait pas sa vie sans eux. Il se voyait comme eux adulte, parcourant le monde, roi de son propre spectacle, heureux dans son état de Gitan, il espérait finir par se marier avec Celina, avoir deux beaux enfants, deux car on n'en permettait pas plus, deux enfants qu'il aimerait comme il aimait sa femme et a qui il apprendrait absolument tout ce qu'il savait. Ce n'était que des rêves d'enfant par tient pour être plus réel que jamais. Quand lieu 7 ans Gabriel commença a monter son propre spectacle, un spectacle basé sur la magie. Je ne vous parle pas de grand tour digne des plus grands sorciers de ce temps, ni même de petit tour de magicien minable que les gadjos font faire par des pseudo magiciens. La magie des gitans reposait sur un tout autre principe, il s'agissait de spectacle, un show, le seul but était d'impressionner, de présenter des tours jamais vu encore. Gabriel, depuis enfant, était fasciner par les tours de magies du magiciens de la troupe. Mais il se faisait vieux, et il n'était plus celui qu'il était au temps ou Gabriel l'admirait comme un fils. Ce vieux magicien décida donc de prendre le jeune voyant comme assistant, pour lui apprendre ces tours et lui permettre de prendre la relève plus tard, lorsque les forces lui manquerait, lorsque la vie lui serait enlevée.
Gabriel, ou Faust comme il se faisait appeler sur scène, prenait goût a cette magie, et commençait a montrer un don pour cela. Il s'investissait énormément dans son travail, il voulait être le meilleur, comme toujours depuis enfant. Un voyant magicien rien de plus beau et surtout quand il s'agit d'un enfant. Plus le temps passait plus Gabriel se montrait doué, il inventait ces tours sans savoir réellement comment, ce que personne n'imaginait était que ces propres tours n'étaient pas truqués, c'était de la vrai magie, de la pure, c'était le commencement de son lui le plus profond. Oui Faust, personne ne savait qui tu étais, toi non plus, on te croyais simple gadjo, tu te révélera sorcier...
Plus ces tours étaient impressionnant plus Gabriel attirait l'attention et la sympathie des autres membres de la troupe. Il était Gabriel l'enfant prodige. Mais ce qui touchait particulièrement l'enfant c'était l'attention que lui portait la belle Celina a présent. Elle dansait, c'était ça son boulot, et comme toute les danseuse elle aurait du finir dans les bras d'un cracheur de feu et pas dans ceux d'un magicien, cela semblait être la coutume depuis quelque générations dans cette famille. Malgré ça et la certitude qui commençait a naître en lui que Celina ne serait jamais sienne, l'impressionner semblait être le plus important a ces yeux. Il travaillait, jours et nuits, pour se perfectionner. Il tentait de percer le secret de ces tours, car il avait beau savoir les faire il ne les comprenait pas, et ça ça l'énervait plus qu'autre chose. Il voulait comprendre, juste comprendre pour être plus fort, toujours plus fort, être le meilleur. Pour ne déranger personne et que personne ne le dérange lors de ses heures a travailler il s'éclipsait après le dîner et allait un peu plus loin que le campement, parfois, si ils s'étaient installés dans un village il en sortait complètement.
CELINA « Gabriel ou vas tu ? »
GABRIEL « M'entraîner un peu, je ne serais pas long... »
CELINA « Je peux t'accompagner ? »
GABRIEL « Bien sur...»
Oui sa voix disait oui mais son coeur hurlait non. Il l'aimait depuis plus jeune encore, ne vivait que pour elle, ne travaillait que pour elle et pourtant n'avait jamais passer une minute seul avec elle, il avait peur. Très peur.
CELINA « Je peux aller avec Gabriel maman ? »
ANITA « Bien sur, faite attention... Gabriel je te la confie fait attention a elle je t'en supplie...»
Anita était absolument la personne que Gabriel préférait dans la troupe. Elle était la plus belle des danseuses de la troupe, et la plus douce. Elle c'était occupé de lui lorsqu'il était malade, elle avait été une vrai mère pour lui.
FAUST « Compte sur moi ...»
Il attrapa la main de la belle enfant aux long cheveux blond et courut au loin. Ils coururent tout deux, riant, on aurait dit une scène d'une belle histoire d'amour tendre et éternel. C'était sûrement ça dans le fond, c'était peut être même uniquement ça. Rien ne pouvait être plus fort que ça, que le rirent de deux enfants s'aimant s'envolant au firmament sous les plus belles étoiles de l'univers. Ils jouaient, ils riaient toujours rire, toujours sourire, toujours être heureux, c'était eux. Cette nuit la, Celina lui montra sa plus belle danse, et Gabriel son nouveau tour de magie. Toujours plus impressionnant aux yeux de simple moldu, mais lui il sentait au fond de lui qu'il pouvait faire plus, tellement plus. Les deux enfants finirent par s'écrouler dans l'herbe haute dans les bras l'un de l'autre. Je vous parle d'un temps il y a maintenant 7 ans de cela.
Yeux qui tremblent, voix qui se stop, images successive et rapides dans la tête du jeune Faust. Lui, couteau a la main, commandant une horde d'homme de piller tout le monde. Il se voyait avancer vers Anita, rire a gorge déployée, la serrer contre lui un sourire pervers aux lèvres. Il était jeune mais il connaissait ces choses la, les gitans se marient jeune et connaissent plus tôt que les gadjos ces choses la. Il se voyait lui faire tant de chose qui heurte une âme, il se voyait finir par la tuer.
Il se leva d'un bond attrapant la main de Celina et courant, encore et encore, jamais plus vite qu'a présent. Toujours courir, comme pour fuir.
CELINA « Gabriel !! Qu'est ce qu'il se passe ? »[/size]
GABRIEL « Le campement a été attaquer !! Ta mere... DÉPÊCHE TOI !!!»
Il courait plus vite qu'il n'avait jamais courut, comme tentant de fuir a quelque chose d'invisible et de dangereux. Il courait. Il n'était pas trop tard, il voulait y croire. Encore un peu. A quelques mètres du campement il lâcha sa main.
GABRIEL « Tu ne bouge pas!! »
Il entra dans le campement. Il était trop tard, il avait encore échoué, il ne pouvait y échapper. jamais il ne pourrait arrêter ces visions ! Il hurla, si fort, du plus profond de son âme, de haine. Encore une fois il était responsable. A quoi lui servait ce don si il ne pouvait empêcher ces visions ?! Son hurlement le fit trembler et il s'evanouit...
Lorsqu'il se réveilla on aurait dit que tout avait changer, rien n'était comme avant, et pourtant tout lui était si familier... Celina et la conteuse se tenaient a son chevet. Sur les yeux de la jeune enfant des trace de maquillage coulé et effacé par les larmes qu'elle avait verser. Les forces manquaient au jeune homme, il se sentait faible , fiévreux, il sentait la sueur sur son corps si musclé et a la fois si maigre pour un garçon de son âge. Que c'était il passer ? Avait il réussit a empêcher sa vision ? A peine les yeux ouverts que les flashs recommençaient, il se voyait la tuer, tuer Karolina, tuer Anita, que c'était il passer ?
GABRIEL « Qu'est ce ... qu'est ce qu'il c'est passer ? »
Sa voix était faible, aussi faible que lui. Il tenta de s'asseoir mais les forces lui manquait. Il tourna la tête vers la fenêtre de la caravane, ils roulaient, ils changeaient encore d'endroit. Cette roulotte était la sienne, il la reconnaissait mais quelque chose avait changer, comme si tout avait été déplacer.
CONTEUSE « Tu as crier jeune Faust... fort... si fort que tes forces ont lacher... si fort que tout a trembler... »
GABRIEL « Et Anita ?! »[/size]
Il ne comprenait pas ce que cela signifiait, non, il ne comprenait pas , mais il feignait de comprendre vu qu'il se fichait de ça, tout ce qu'il voulait savoir c'est qu'est ce qui était arriver a Anita... Celina fondit en larme, et la il comprit. Il l'avait tuer.
GABRIEL « Je suis désolé Celina... desolé... »
Elle plongea dans ces bras alors que son coeur s'emballait. Que c'était il passer ? L'expression utilisé par la conteuse " si fort que tout a trembler" sonnait aux oreilles de Gabriel comme un "très fort" détourné, ce qu'il ignorait c'est que c'était réel, c'est que c'était son premier véritable acte magique. Dans la troupe beaucoup parlait de lui, de ce qu'il avait fait, de la vision qu'il avait eu. Gabriel lui, isolé avec Celina par envie, ne cessait d'être torturé par les visions qu'il avait eu. A croire qu'il ne pourrait jamais en empêcher aucune, A croire qu'il devait être condamné a voir les gens aimés mourir, les un après les autres. La vie avait reprit son cour, s'empêcher de vivre n'était pas la solution disaient ils tous. Pour Gabriel c'était un peu plus compliquer. Alors que la conteuse racontait toujours aux enfants les même histoires, revenait sans cesse celle de Faust, et la même question " était il comme Faust ?". La vision que Gabriel avait de cet homme était celle d'un homme assoiffé de pouvoir, avec une faim de connaissance sans précèdent, qui n'avait pas hésité a tuer tout ceux qui avait put se poser a travers de son chemin. Oui, Gabriel était de ceux qui pensent que Faust était coupable des meurtres dont on l'accusait, pour lui, il était invraisemblable que ça en soit autrement. Mais si Faust était atteint de la même malédiction que lui ? Et si cet homme que tout le monde avait juger coupable sans preuve n'avait tète qu'un simple jeton sur d'échéquier du temps et des visions. Et si il avait été condamné a voir tout le monde mourir de ses mains sans pouvoir l'empêcher ? Comme Gabriel... Il refusait la possibilité d'être comme ça. Mais des voix dans sa tête commencèrent a chanter la nuit. "Faust... Faust... Faust.." chantaient elles simplement. Gabriel les écoutait, calmement, terrifié, avec une seule envie: se tuer.
Les morts ne semblaient apportés a la troupe aucune inquiétude, et le fait que Faust les ai tous vu mais n'en ai empécher aucun non plus. Tous le voyaient comme un enfant, seul lui se jugeait responsable. Après la mort d'Anita, Gabriel se renferma un peu plus sur lui même, il mit tout son coeur au travail et dans sa relation avec Celina, il l'aimait, chaque jour un peu plus, et la promesse qu'il avait faite a sa mère avant qu'elle ne meurt ne pouvait être brisé, il veillerait sur elle. Celina était tout a ses yeux, tout, absolument tout, il restait persuader malgré son jeune âge, qu'elle était la femme de sa vie, celle que l'on aime en secret au début puis qui fini par nous aimer, celle qu'on sauve, qu"on protège, et qu'on aime plus que jamais on a aimer. Son coeur refusait toute autre possibilité, elle serait sienne, a la vie a la mort, il le savait... Qu'on le pardonne, qu'on pardonne son innocence, ce n'était qu'un enfant, un enfant amoureux. Elle devint son assistante lors de ces spectacles, elle était sa danseuse, elle passait même ses nuits dans ses bras, mais ne l'aimait pas, ou du moins pensait il. Gabriel était très admiré dans les troupes, et particulièrement par la gente féminine,qui ne jurait que par le grand Gabriel Faust, mais ce n'était qu'un enfant malgré ses airs de grand, et ce n'étaient que des amours d'enfant.
 « En tant qu'homme je ne voulais que deux choses : apprendre pour la puissance, et aimer pour le bonheur, en tant que maudit je ne voulais qu'une chose : vivre ... » Seance n°12; 30/08 ; Hopital Psychiatrique de Londres
La vie de Gabriel était réglée a la minute près, et il était heureux comme ça. Les tournées un peu partout dans le monde, les voyages, la magie, les amis, et Celina, c'était ça sa vie. Ces visions avaient cesser et il osait espérer que sa malédiction avait prit fin avec la mort d'Anita, avec le mal qu'il avait contracter après ça. Sa vie semblait tracer. Il resterait le plus grand magicien et voyant du monde gitan, malgré ses 11ans, il apprendrait a manipuler le feu pour être sur qu'on lui donne Celina en mariage, car c'était ça, les danseuses avec les manipuleurs de feu, et lui il la voulait elle. Il ne s'attendait pas a ce que sa vie change du jour au lendemain. A ce que la troupe ne soit plus sa seule famille. Ce soir la, il avait fait un taba comme d'habitude dirais je, ils étaient en Angleterre, a quelques kilomètres de Londres, dans un petit village, car c'était ça, toujours des villages. A la fin du spectacle il rejoint sa roulotte, heureux, comme toujours après son spectacle. Celina le rejoint et le prit dans ses bras, et la il se dit une chose, c'était le moment ou jamais de lui dire ce qu'il ressentait, ce qui le faisait vivre depuis tant d'annee... Il n'en eu pas le temps, la conteuse toqua a la porte avant
CONTEUSE « Gabriel ? Un homme veut te voir... il dit pouvoir t'aider a t'ameliorer... je le fais entrer ? »
GABRIEL « Oui... » dit il d'un air hautain...
Il regarda l'homme entrer et eu comme une sensation étrange, il avait déjà vu cet homme, dans un rêve, Gabriel n'y prêta pas attention bien que cet homme lui inspirait la confiance qu'il n'avait jamais eu envers personne...
CONTEUSE « Je vous laisse...»
GABRIEL « Sage decision... asseyez vous monsieur... Qu'est ce qui vous amène ?»
Les détails de cette soirée restèrent flou pour Gabriel, comme si il avait eu une perte de mémoire, tout ce qu'il se souvenait c'était annoncer son départ. La troupe était réunit, l'homme se tenait légèrement en retrait, Gabriel se préparait a faire la plus grande annonce de sa vie...
GABRIEL « Vous avez toujours été la pour moi... Je ne vous remercierais jamais assez... Mais je vais devoir vous quitter temporairement... Ce n'es plus un secret, j'ai des visions, et cet homme a de quoi m'aider a contrôler tout ca... J'ai besoin d'avoir de l'emprise sur mon don, de ne plus le laisse me controler... J'aimerais faire autrement... mais je ne peux pas... je reviendrais souvent, je vous le promet, mais j'ai besoin d'y aller, dans cet endroit plein de gens comme moi... J'espère que vous comprendrez... »
Des sourires apparurent...
CONTEUSE « Quand pars tu ? »
GABRIEL « Ce soir... »
CONTEUSE « Bon voyage Gabriel Faust... n'oublie pas que nous t'accompagnons par la pensee...»
Gabriel savait que personne d'autre ne parlerait...C'etait a la conteuse de prononcer les rares adieux... Mais même si Gabriel voyait que certain pensait ne jamais le revoir, il se faisait la promesse de revenir, car ils étaient sa famille... Il attrapa sa maigre valise qui contenait plus de matériel pour ses tours que d'affaires et il s'eloigna...
CELINA « Gabriel!! »
Celina courait dans sa direction et Gabriel se stoppa un sourire aux lèvres, elle était venu, lui présenter un ultime aurevoir... seulement elle... Mais arriver a sa hauteur elle le gifla.
CELINA « Tu m'avais promis !! Tu en devais jamais me laisser ! Tu m'avais jurer Gabriel! ... Pourquoi tu m'as menti...»
Gabriel la prit dans ces bras et la serra avec lui avec tout e la force d'un amour d'enfant.
GABRIEL « Je tiens toujours mes promesses Celina... Je serais toujours la, même si je suis loin, je verrais si tu vas mal et je reviendrais, je te le promet sur tout ce qui m'est de plus cher... Et puis... tu es toujours avec moi... »
Il sortie de sa poche une photo, une photo d'elle et lui en noir et blanc...
GABRIEL « Seulement entendre ta voix, voir cette photo en noir et blanc, parcourir toutes les villes et je meurs déjà d'amour... Je n'aurais pas de montre pour compter les jours jusqu'à mon retour... Je t'ai conter tout mes secrets, je ne sais si t'embrasser ou attendre que ça arrive une autre fois... Car je reviendrais... Même si je ne sais pas si tu ressens la même chose... Je reviendrais ... juste pour un baiser... Je me réveillerais en rêvant que je suis a tes conter, je révérais éveiller que tes mains sont sur moi, ce n'est peut être pas le moment pour te dire ce que je ressens, mais c'est juste pour te prouver que je veux te revoir... Je serais comme un enfant, en imaginant qu'on est a nouveau ensemble comme si on avait tout gagner en nous connaissant. Cette sensation étrange que je ressentirais même loin de notre chez nous me fera toujours sourire, et me donnera la force de continuer, car pour toi je ferais absolument tout... Et si un jour tu vas mal, regarde nos photos, prie pour moi, et pense que te savoir heureuse fera de moi quelqu'un d'heureux... Je reviendrais Celina... Je te le jure... Je reviendrais... Et cette fois je saurais comment t'aimer... »
L'HOMME « Gabriel, la voiture nous attend...»
GABRIEL « Je reviendrais...»
Et Gabriel s'enfonça dans la voiture qui fila avant même qu'il n'est pu entendre un "je t'aime" innocent lancer au vent...
L'HOMME « Pourquoi ne pas leur avoir dit que tu étais un sorcier ? »
GABRIEL « J'attends d'être sur de pouvoir assumer... je ne veux pas la decevoir... »
Oui, Gabriel était un sorcier, un sorcier qui n'attendait plus que d'être former pour pouvoir retourner au près de ceux qu'il aimait. Son arriver a Poudlard, l'École de magie, c'était fait un peu trop rapidement a son goût. Un jour il était Faust, un gitan magicien au don de voir l'avenir, et le lendemain il était Gabriel le petit sorcier novice arriver dans une nouvelle école, une nouvelle maison. C'était la première fois que Gabriel allait jouer les sédentaires, allait il réussir a s'habituer a cette vie en lieux fixe lui qui était habituer a toujours bouger ? Gabriel était tout ce que les autres n'était pas. La plus part savait ce qu'était la véritable magie, en avait déjà vu, parfois même l'avait pratiquer, mais lui il ne connaissait que la magie pleine de trucs. Il avait peur, peur qu'on le voit que comme un simple gitan dans un monde de Gadjo... Mais tout ce passa bien, l'homme qui était venu le chercher travaillait dans l'École et semblait déterminé a se comporter comme un père pour lui. La vie loin de CElina était dure, mais il lui écrivait souvent et elle répondait également. Sa chouette Nieve avait le chic pour réussir a trouver sa dulcinée peu importe ou elle était. Un mot de Celina et il était heureux. Tout ces amis le disaient fou amoureux et personne ne voyait a quel point c'était vrai...
Celina et lui se disaient les mots les plus doux. La première année il les rejoignait pendant toute les vacances et malgré les mots d'amour qu'ils se signaient ensemble ils étaient trop timide pour que cela ne devienne plus. La deuxième année le travail qu'il avait l'empêcha de venir a Noël, et les vacances d'été furent écourter . Gabriel était un jeune homme brillant et prometteur, qui réussissait dans pas mal de matiere... mais pas en divination... c'était un comble qu'un 'médium' soit mauvais en divination, mais les tasses de thés et autre n'était pas son truc, lui c'était les visions. En quatrième année, peu avant les vacances de Noël, Gabriel écrivit a Celina qu'il ne pourrait venir, et elle elle le supplia, sans qu'il ne comprenne pourquoi. Il ne pouvait pas. Jusqu'à cette fameuse nuit ou il eu une autre vision. Celina dans les bras d'un autre, et c'était ce qui faisait peur a Gabriel. Elle l'avait trahis. Son coeur se déchira et il se mit dans la tête d'aller la prendre sur le fait, peu importe ce que cela lui coûterait. Ça devait se passer le jour de Noël, Gabriel l'avait vu, et il passait toute la première moitié des vacances a suivre la troupe en cachette, a assister au représentation déguisé, et a rêver de sa Celina dans les bras d'un autre eternellement...
Les voix acclamaient un Faust disparut, alors que Celina n'en revenait pas et lui sauta au cou...
GABRIEL « Je crois qu'il faut qu'on parle... »
CELINA « Je voulais te le dire Gabriel... Je te le jure...»
GABRIEL « Tais toi... Je pensais que nous deux c'était clair... a croire que je m'étais tromper... Tu étais en moi, mais maintenant tu vas cesser d'exister... J'aurais tout fait pour toi je ne pensais pas avoir a m'inquiéter de pouvoir te perdre... Je pensais que tu m'aimais comme je t'aimais... Mais tu m'as trahis... Ne t'en fais pas, en moi ces mils problèmes que tu nies arriveront a vivre et fermeront mon coeur... Tu sais la vérité, c'est ta réalité ! Alors pourquoi tu nies ?! Ne soit pas si sensible dans ta manière d'etre... Ne pleure pas... Tu sais que c'est vrai... Tu sais qui est ta vérité! Tu sais qui t'aime pour de vrai... Mais en moi il me reste tout ce que j'espérais pouvoir vivre avec toi, je pensais que rien ne pourrais changer et je me rend compte aujourd'hui que je m'étais tromper... Je n'aurais donner a personne d'autre mon coeur... Je pensais que tu comprennais... Tu m'aimais ne nie pas ! ... Tu m'as trahis... tu sais que j'ai raison... »
Que croyez vous ? Qu'on est dans un de ces films a l'eau de rose ou le héros se rend compte qu'il a été trahis, hurle un bon coup et s'en va ? Gabriel avait rêver d'un moment comme ça, mais a la place Celina sauta a son coup en lui hurlant qu'elle l'aimait, en pleurant plus qu'elle n'avait jamais pleurer faisant naître en lui mil et un sanglot. Qu'avait il fait ? Elle n'était qu'une enfant, une enfant fragile... Lui avait déjà une maturité acquise, mais elle non, elle n'était qu'une enfant... Il aurait voulu la laisser, pour qu'elle se rende compte du mal qu'elle lui avait fait mais il n'en avait pas la force, il était coller a elle, et son coeur s'emballait a nouveau comme avant, il était heureux.
CELINA « Je suis desolée... je te jure, c'était un accideevenait un supplice, mais il devait s'y faire... dans quelques années tout serait fini.... Du moins c'était ce qu'il croyait jusqu'à cette fameuse nuit ou tout rent... Ça ne se reproduira plus je te le jure... »
Il regarda ces yeux quand soudain il eu une autre vision, Celina se refusant a quelqu'un, et il comprit que cela ne se reproduirait plus jamais. Ce fut les meilleurs vacances de sa vie... Le retour a Poudalrd fut plus dure que jamais. Quitter Celina a présent dcommenca... Il était dans la salle commune quand il eu une vision d'horreur, la première depuis sa venu a Poudlard. Tout recommençait. Il voyait la troupe, il se voyait un couteau a la main, et il se vit les tuer a un a un... Celina la premiere... Il hurla! Demanda a voir le professeur qui l'avait amener ici d'urgence dans 'l'espoir que lui puisse empêcher ça, mais il n'était pas la.
Il demanda a voir la direction, mais on ne l'écouta pas... Il devait agir, il ne pouvait la perdre ainsi, il ne pouvait pas la tuer, pas elle, pas comme il les avait tous tuer... Pauvre innocent maudit... Il monta lui même a l'étage des professeurs et interpella le premier qu'il trouva. On clama d'abord au cauchemar, mais u final se ne fut pas ca... pas du tout.. Finissant par se rendre compte du sérieux de l'affaire ce professeur décida qu'il n'y avait aucun risque a agir et transplana avec l'enfant a l'endroit ou la troupe était la. Tout le campement était en feu. Gabriel hurla, en pleure alors que le professeur le retenait. Le jeune Faust réussit néanmoins a se dégager, et parcourra le campement a la recherche de quelqu'un de vivant, a la recherche de sa bien aimer.... Mais rien... Après plusieurs minute Gabriel aperçut un groupe d'individu pénètre dans la roulotte de Celina, il s'y précipita affoler et furieux, peut être même plus prit par un courage ou une inconscience que par véritable envie. Il sortie sa baguette de sa poche et la pointa vers les hommes alors que la jeune Celina pleurait et supliait... Mais rien n'y faisait, rien ne changeait, elle mourrait.
********  « Des le moment ou mon cœur c'etait brisé j'avais cesser d'être quelqu'un de bien, quelqu'un qui aime, quelqu'un tout court. Je n'étais plus qu'une chose : Faust. » Seance n°20; 30/08 ; Hopital Psychiatrique de Londres
INFIRMIERE « Gabriel ?
FAUST « FAUST! »
INFIRMIERE « Excuse moi... Faust... Tu peux rentrer chez toi mais je ne sais pas quand tu pourra retourner en cour... tu devrais en discuter avec le medecin...»
FAUST « Ce soir je suis la bas...»
INFIRMIERE « Qui te l'a dit ?»
FAUST « Vous meme... je rentre chez moi... c'est l'unique "chez moi"
INFIRMIERE « Ah... tu ne changera jamais Gab... Faust... desolée... Faust »
Officiellement, Gabriel Faust passa les vacances qui suivirent a l'étranger, et il ne revint qu'après 1 mois. 1 long mois dont personne ne sait rien, dont personne ne connaît l'horreur. Et Faust ? Il se souvient de bride, de souvenirs vagues et sans forme qu'il sait horrible. 14 ans. Il avait 14 ans, ce n'était qu'un enfant, pourquoi ne le laissait on pas grandir en paix ? La mort de celle qu'il avait toujours aimer avait provoquer chez lui une déchirure visible. Il avait été stigmatise par une douleur qu'on croyait invisible, mais la douleur la plus réel du monde. Ou était passer le Faust chaleureux, sympathique, heureux de vivre qu'il était ? Le Faust qui reflétait l'ambiance festive dans laquelle il avait grandit ? Mort. Juste mort en même temps qu'elle. Gabriel Faust était devenu quelque de froid, d'extrenement protecteur et qui ne montrait sa joie de vivre qui, malgré tout, existait encore, a quelques personnes qui lui était proche, quelques rares personnes pour qui il n'avait jamais changer, quelques personnes qui voyaient en lui toute la fragilité qu'il cachait. Les autres ne voyaient en lui qu'un jeune homme torturer, froid, manipulateur, brute sur les bords.
Lui d'une tel douceur... quelle ironie... Lui qui avait toujours été la joie incarner, lui qui rien qu'avec un regard apaisait une âme, lui qui était incapable de faire du mal a quelqu'un... Mais qu'était il devenu ? Pourquoi n'était il plus capable d'être le même alors qu'il était si fort ? Pourquoi semblait il détruit alors qu'il ne l'était pas tant que ça ? Si seulement j'avais eu la réponse a ces questions mes enfants Faust aurait pu les avoir aussi, Gabrielle serait revenu...
AMELIA « Et ses visions conteuse ? »
CONTEUSE « Il n'en a plus... depuis longtemps... Son âme l'a quitter... mais il n'en a pu... »
AMELIA « Ce n'était donc pas le vrai Faust ? »
CONTEUSE « Ça fait des années que je te le dis Amelia, notre Faust est a part... du moins... je l'espere... »
AMELIA « Pourquoi l'espère tu conteuse ? »
CONTEUSE « Faust avait une âme, et il tuait, il avait des scrupules et des sentiments, mais a présent notre Faust n'en a plus, ou du moins semble ne plus en avoir... »
AMELIA « Tu pense que le monde souffrirait du passage de notre Faust ? »
CONTEUSE « N'exagérons rien... je pense que lui n'y survivra pas... c'est un brave garcon... il ne nous reste qu'a espérer qu'il nous reviendra comme il est partie... »
AMELIA « J'ai peur...»
CONTEUSE « De quoi ? »
AMELIA « Qu'il ne redevienne jamais comme avant... »
CONTEUSE « J'ai peur aussi... l'amour peut faire si mal... elle détruit une âme plus que l'enfer... »
*****  « Je savais qu'il reviendrait... Faust... Je le savais... Je me le cachais... je ne voulais pas... par peur que ca soit moi... mais je le savais» Seance n°67; 30/08 ; Hopital Psychiatrique de Londres [list] « Faust... Faust... Faust... Faust est de retour... Faust... Faust... Faust reviend... Faust» hurlait cette voix l'intérieure de sa tète... «Il croit que Faust ne reviendra pas, que Faust est mort! Mais pauvre enfant... n'as tu pas compris que Faust... c'est toi!»
TAISEZ VOUS ! Maudites voix! Je ne suis pas celui que vous pensez !!! Faust est mort!! Il est mort avec elle!! Il ne reviendra jamais! La douleur... la douleur qu'il a causer avec sa cruauté... plus jamais... plus jamais! Je ne suis pas lkui! Arretez de le pensez !! Je l'ai ete! Il a ete moi ! J'ai ete lui! Mais c'est fini ! C'est FINI ! Ca suffit! Mes visions ne se realiseront plus! Je ne tuerais plus !
« Faust... Faust... Faust... Faust est de retour... Faust... Faust... Faust reviend... Faust» hurlait cette voix l'intérieure de sa tète... «Il croit que Faust ne reviendra pas, que Faust est mort! Mais pauvre enfant... n'as tu pas compris que Faust... c'est toi!»
Vous allez vous taire! Faust est partie! Faust est partie! Je n'ai plus de vision! Je n'ai plus de vision! Il n'y a plus de mort! Ne reveiller pas la malediction ! Je n'aurais plus de vision! Je ne tuerais plus! Pourquoi vouloir faire de moi un monstre... Pourquoi... Karolina... Anita.. Celina... je ne peux plus... je ne suporterais pas un autre mort... j'ai besoin de me prouve que ce n'est pas moi...
«Il pleure l'enfant, il pleure Faust... Il croit que Faust ce n'est pas lui... Il veut se persuader que ce n'est pas sa faute... mais il a tort... les visions vont revenir... il le sait... d'abord il ne vera pas de quoi il sagit... car il est rouillé Faust... mais ensuite il le vera... et il tuera... car... Faust... Faust... Faust... Faust est de retour... Faust... Faust... Faust reviend... Faust» hurlait cette voix l'intérieure de sa tète... «Il croit que Faust ne reviendra pas, que Faust est mort! Mais pauvre enfant... n'as tu pas compris que Faust... c'est toi!»
NOOON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
X « Faust! Reveille toi !... Faust... Qu'est ce que... ?... encore ces voix ?... Oh Faust... Ne t'en fait pas... je t'aiderais... je te le jure... je ferais attention a toi... rien ne recommencera... Je le jure... »
FAUST » Merci X... Merci... Que ferais je sans toi ?... »
******  « Depuis enfant j'ai su que j'allais mourir de chagrin, Que les mots me soigneraient... je n'ai jamais penser a quel point je pouvais avoir raison... mais j'avais oublier qui j'étais... : Faust »
Je n'ai pas voulu soigner mon esprit avec un sort il parait, je voulais faire ca a l'ancienne, comme on m'avait appris, avec du temps et des mots, soigner mes blessures... J'ai refuser qu'on me soigne comme ils le voulaient... j'ai fini en hôpital... Je n'avais pas a m'en plaindre... ça a assez bien marcher... jusqu'à ce que je me rende compte qu'il me manquait des passage de ma vie... ce n'était plus des trous de mémoire, c'etait des fossés... j'ai une 30 de séance dans cet hôpital dont je n'ai aucun souvenir... j'ai des mois entiers de ma vie dont je ne me souviens pas... ai je eu des visions pendant ce temps ? Et si ces periodes étaient des ériodes ou Faust était moi ? Je l'ignore... J'ai peur... Je saurais la vérité... je retrouverais le fil de mes souvenirs... je guérirais... parce que je suis malade... je suis maudit... Je commence a avoir peur de ce qui se passe pendant ces séances... je suis un sorcier... pourquoi ai je tant de mal a me comporter comme tel a ce sujet ?... et si ce médecin entrait réellement dans ma tête... oh les horreurs qu'il y verrait... J'ai peur... plus que je n'ai jamais eu peur... mais a présent ce qui me fait le plus peur c'est le futur... et non le passé...
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InvitéInvité
Jeu 19 Nov - 19:09 |
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| Et voila ... Enfin je crois  ... un travail n'est jamais achevé donc bon... dirons nous que c'est finiiii xD... il m'a fallut le temps fioooou   | |
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The Changelin'PR. AZAEL VAN HELLSING
► Histoire de la Magie
► MESSAGES : 1431
Jeu 19 Nov - 20:05 |
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| BIENVENUE! Un personnage touchant entouré d'un univers qu'on ne croise que trop rarement en rp. Tu m'as donné du fil à retord pour la répartition mais je pense que je vais te mettre à Gryffondor pour le courage et la force de ton personnage que j'ai hâte de voir en rp  Bon Jeu. GRYFFONDOR! dortoir; tu es répartie dans la CHAMBRE 6 du dortoir. rang; tu peux demander un rang ici! inventaire; tu peux voir ça ici et les objets interdits ici. N'oublie pas d'aller réserver ton avatar iciEt si tu veux commencer un RP à plusieurs, tu peux voir ici pour les scénards&missions. Voilà. Bienvenue et bon jeu! (;
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