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| | | Out of Hibernia... (pv lizbeth) |  |
| | PROFIL & INFORMATIONS |
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Anaël FlynnETUDIANT. ► 7e année de BOTANIQUE&POTIONS
BARMAID
► MESSAGES : 104
 Dim 27 Fév - 22:41 |
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| Un crac sonore. C'est dans un crac sonore qu'Anaël Flynn débarquait fraîchement d'Irlande en plein milieu du chemin de traverse, les cheveux un peu en bataille, un peu plus longs que ce à qu'on avait l'habitude de lui voir, mais dans l'ensemble ce fringuant jeune homme aux yeux clairs et pétillants faisait bonne impression. Hormis peut-être à cet homme qu'il avait fait sursauté en apparaissant devant lui suivi d'une énorme malle qui trottinait derrière lui comme un chien fidèle. Anaël s'excusa, jetant un coup d'oeil par dessus son épaule pour s'assurer que ses affaires étaient bien derrière lui et en ordre. Il avait eu assez de mal à refermer avec tout ce qu'il avait tasser à l'intérieur de cette vieille malle en cuir et pour tout dire il n'était pas sûr que les fermetures n'allait tout bonnement pas éclater sous la pression et répandre un tas de fringues, de notes et de bocaux au milieu de la rue. Mais pour le moment... il touchait du bois. Enfin du cuir en l'occurrence.
L'homme contrarié s'éloigna en proférant quelques imprécations contre Anaël mais le jeune homme n'y prêta pas attention. Il était assez calé en malédictions et en maléfices et du haut de ses sept années d'études dans le domaine, il y avait peu de choses qu'il n'aurait pas pu guérir avec ses potions. Peu de choses mais pas tout. Malheureusement pour Anaël, pour la seule chose dont il aurait voulu se guérir ou se prémunir, il n'avait pas de solution. Pas le moindre petit indice. Ses recherches en Irlande l'avaient énormément avancé pour son sujet d'étude mais pas pour son problème. Depuis la nuit de sa naissance, rien. Sa mère avait été tellement heureuse d'avoir eu une fille, et tellement terrorisée le matin quand elle avait cru l'avoir perdue. Il lui avait fallu une journée pour se rendre compte que sa fille n'avait bougée, qu'elle était juste ... momentanément devenue un garçon. Ce n'était rationnellement pas possible mais c'était ... comme ça. Depuis le premier jour elle avait cherché pourquoi, comment... puis c'était Anaël qui avait cherché sans jamais laisser savoir à sa mère que ça avait la moindre importance. Résultat, il se retrouvait là au milieu du chemin de traverse, à deux jours de la reprise des cours et du boulot, brillant mais partiellement insatisfait. Il se passa la main dans les cheveux, pas sûr de vouloir tracer directement vers la fac. Il s'accorderait peut-être un petit moment avant de retrouver son appart' aux cambuses... | |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111
Mar 8 Mar - 3:06 |
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| Lizbeth en avait vraiment sa claque des saletés de journaliste pour les magazines à potin. Elle n’en avait rien à foutre d’eux pour le moment. Elle avait surtout mieux à faire que de leurs accorder des entrevues ou encore des photos. Elle avait une liste assez longue pour l’occuper pendant des jours. S’ils voulaient lui parler, ils devaient prendre rendez-vous avec son manager. Elle ne prenait plus rien par gentillesse. Elle avait cru que la célébrité était un plaisir. Elle adorait prendre des photos. Après quelques mois, c’était un enfer constant. Toujours en train de se faire suivre peu importe l’endroit où on se trouvait. Elle souvenait encore de la folle qui avait tenté de la prendre en photo lorsqu’elle était dans une cabine. Sérieusement, elle avait été vraiment furieuse de voir le journaliste et son photographe se pointer le nez. Ils étaient debout sur la toilette dans la cabine voisine. Lizbeth s’était enfui, comme d’habitude. La mannequin avait besoin d’avoir la paix. Elle avait besoin qu’on la lâche. Ce n’était pas plaisant d’être célèbre à force. Un jour, l’ancienne playwitch de l’année lui avait dit. La célébrité était plaisante au début, mais à force de se faire poursuivre dans les rue et de se faire harceler, on finit par s’en lasser et vouloir retrouver un statut normal. Retrouvait-elle vraiment une vie normale ? Quand ce n’était pas les journalistes, c’était les Blake qui lui rendaient de jolies visites. Ô combien, elle adorait ses visites ! Vraiment, elle pourrait s’en passer. Lukas était grandement en danger lorsqu’il y avait un Blake dans le coin. Lizbeth en était malade de passer qu’il pourrait être blessé. Les problèmes seront bientôt finis pour tout dire. Elle avait pris des arrangements, si elle pouvait se permettre de dire ce genre de choses. Bientôt, elle pourra enfin souffler pour sentir que son fils soit en sécurité. C’était mal de penser qu’en prononçant le nom de Yon Winchester cela arrêtait tout le monde dans les gestes envers son filleul qui était Lukas… il ne fallait jamais se fier à ce nom. Elle avait grandement confiance en lui, mais cela n’empêchait pas qu’on s’en prenne à son Lukas. Alors, elle tentait de trouver des solutions. Bref, elle avait des problèmes avec des journalistes, mais il y avait aussi un journaliste qu’elle adorait énormément. Lizbeth se cachait sous un long manteau pour se cacher des journalistes. Elle semblait suspecte. Elle avait mis de grosse lunette fumée. Elle voulait faire quelques achats en paix. Son fils devait aller à la petite école cracbadaboum cette année. Croyez-moi, Lukas l’avait su. Il avait été même ravi, même si Lizbeth était terriblement désespérée face à tant d’enthousiasme. Elle ne pouvait l’empêcher toute sa vie à rester dans le plus grand secret. Elle n’avait pas le choix. Il devait vivre de petit garçon normal. Lizbeth faisait claquer ses talons sur les dalles du chemin de traverse. Elle marchait rapidement ayant terriblement peur de se faire reconnaître. Si jamais on la reconnaissait avant qu’elle ne disparaisse rapidement. Elle se sauverait peut-être jusqu’au veritaserum où elle transplanerait. Bref, elle ne savait pas. Elle marchait rapidement. Elle ne regarderait pas nécessairement droit devant elle. Elle ne regardait certainement pas ce qui traînait ou était trainé. Elle se prit une valise dans les jambes. Bien vite, la playwitch se retrouva face contre terre. La capuche tirée vers l’arrière. Les quatres fers en l’air. Elle grogna. « Espèce d’imbécile ! Qu’est-ce qui te prend de lai… » Wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Il était canon ce type. Elle eut l’air d’une vraie imbécile à le regarder avec la bouche ouverte. Le doigt en l’air, comme si elle le grondait. « Ce n’est rien finalement. Je… » Elle mit la valise sur ses pieds. Elle avait fermé la bouche finalement après quelques secondes … après avoir cligné des yeux pendant au moins trente secondes. « Tenez. Je suis désolée. Je suis maladroite… » elle replaça une mèche de cheveux nerveuse. Wow, mais il était beau. !!! | |
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Anaël FlynnETUDIANT. ► 7e année de BOTANIQUE&POTIONS
BARMAID
► MESSAGES : 104
Ven 1 Avr - 20:12 |
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| « Espèce d’imbécile ! Qu’est-ce qui te prend de lai… »
« Nom d'un scrout! Je suis vraiment navré… », anticipa Anaël en aidant la jeune fille qui se retrouvait à moitié à cheval, ou du moins à plat ventre sur sa malle de voyage.
La fille n'avait pas l'air franchement sympathique bien qu'elle fût particulièrement jolie. Sans doute pour compenser le côté rombière grande gueule...
« J'espère que ça va...»
La fille semblait tout d'un coup avoir avaler sa langue. Elle le regardait, bouche bée l'air un peu bête. Avec une tête comme ça on aurait presque cru qu'elle était tombée sous un sortilège d'hébétude. Enfin Anaël était suffisamment calé en affections et pathologies magique pour savoir que ça n'avait rien à voir.
« Ce n’est rien finalement. Je… »
Peut-être qu'il s'était trompé sur elle en fait.
« Non c'est moi. Ma malle est assez encombrante j'avoue. Mea culpa. », répondit-il en regardant ses cils papillonner devant lui.
« Tenez. Je suis désolée. Je suis maladroite… »
« Disons 50/50 alors pour la responsabilité. Vous ne regardiez pas et moi j'étais au milieu. », il eut un petit sourire amusé. | |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111
Jeu 14 Avr - 1:26 |
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| Lizbeth ne pouvait tolérer qu’on se mette à travers de son chemin, mais pour les beaux yeux d’un homme… elle pouvait bien faire un effort finalement. Il était incroyablement beau à ses yeux. Elle était tombée sur sa valise par la faute des deux. Elle avait manqué d’attention sur sa route un instant. Un signe du destin après tout ? Ne cherchait-elle pas un homme avec qui elle pourrait passer sa vie ? Elle avait besoin d’attention et une vie stable. Elle en avait marre de rentrer chaque soir chez elle où il y avait personne à qui discuter de sa journée. La seule attention qu’elle avait le droit, c’était de la part des paparazzis qui faisaient de sa vie un enfer. Sérieusement, elle n’avait plus le droit d’avoir une vie intime. Sa vie s’étalait parfois dans les journaux à potin. Elle aimait garder sa vie intime secrète, surtout quand elle commençait à fréquenter un homme qui prenait la fuite soit par tout ce qu’il voyait dans les journaux ou par son saleté de caractère. Elle avait ce caractère de petite princesse qui tapait parfois sérieusement sur les nerfs. Elle voyait par le regard que lui lançait son seul véritable ami lorsqu’elle commençait avoir ce comportement avec ce dernier. Lizbeth s’énervait aussi pour un rien, surtout quand il était question de sa vie intime et son fils. Elle avait eu une sale journée ce qui n’aidait pas à trouver toute la gentillesse du monde quand elle se retrouva les quatre fers en l’air après avoir heurté une malle. Le jeune homme était tout simplement magnifique. Il était le magnifique propriétaire de la malle qui trainait là. Elle le regarda avec cet air de bêta. Elle le fixait plutôt cherchant à connaître le moindre détail de son visage pour l’imprimer dans sa tête pour ne jamais, au grand jamais, oublier. Elle avait eu le droit de voir un homme de calibre. Elle battit des cils. Vraiment, il venait de lui taper dans l’œil à cent pour cent. Il y avait aucune chance qu’il y ait une autre raison pour cet air étrange de poisson qui barbotte dans une mare. Sérieusement, elle avait l’air conne. « Disons 50/50 alors pour la responsabilité. Vous ne regardiez pas et moi j'étais au milieu. » Elle sourit aussi à son tour. « Non, je n’ai vraiment pas regardé où j’allais. J’étais énervée au départ. Pas contre vous, mais contre … des journalistes qui ne cessent d’écrire des bêtises sur ma privée qui normalement doit être privée. Ils se contentent de hocher de leur tête sans se soucier que je veuille une vie privée. Voilà… vous me faites trop parler. » Elle luit fit un sourire poli et gentil. Elle n’était pas méchante après tout. Elle avait juste le culot d’hurler et ensuite faire les beaux yeux à ce magnifique adonis qui s’excusait. Il était charmant dans sa façon de s’excuser. Elle était déjà complètement et éperdumment folle de lui. « … Je peux connaître votre nom ? » elle regarda la malle. « Je ne l’ai pas trop abimé… sinon, je peux… vous en payer une autre ou vous la faire réparer. Ça me ferait plaisir, d’ailleurs ! » | |
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Anaël FlynnETUDIANT. ► 7e année de BOTANIQUE&POTIONS
BARMAID
► MESSAGES : 104
Lun 6 Juin - 18:29 |
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| « Non, je n’ai vraiment pas regardé où j’allais. J’étais énervée au départ. Pas contre vous, mais contre … des journalistes qui ne cessent d’écrire des bêtises sur ma privée qui normalement doit être privée. Ils se contentent de hocher de leur tête sans se soucier que je veuille une vie privée. Voilà… vous me faites trop parler. »
Il eut un sourire avenant et compréhensif. Tout le monde avait ses petits soucis après tout. A l'entendre évoquer les journalistes il se dit qu'elle devait être plus ou moins connue et essaya de fouiller les combles de sa mémoire pour se rappeler où il pouvait bien l'avoir déjà vu. L'exercice se révéla infructueux mais il se dit qu'il aurait tout le temps de tomber sur sa photo dans le journal. Bien sûr il était bien loin de se douter que la jeune femme était plutôt en couverture des journaux qu'il ne lisait jamais que de sa gazette quotidienne.
« … Je peux connaître votre nom ? »
« Anaël Flynn. Et vous? »
« Je ne l’ai pas trop abimé… sinon, je peux… vous en payer une autre ou vous la faire réparer. Ça me ferait plaisir, d’ailleurs ! » , fit-elle en désignant sa malle.
Il éclata d'un rire sincère:
« Oh non ça ne sera pas la peine. Cette malle en a vu bien d'autres. Elle n'est plus à ça prêt et puis c'est du solide. » , il jeta un coup d'oeil à une horloge qui se trouvait là. Il commençait à se faire tard, du moins tard pour lui (comprendre 5h30). L'heure fatidique approchait et il fallait absolument qu'il se dépêtre de cette fille, si sympathique soit elle après y avoir bien regardé. Mais si il pouvait éviter de passer encore pour un goujat... « Mais c'est gentil à vous. » , fit-il plus pour se donner le temps de la réflexion qu'autre chose. | |
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Lizbeth T. SmithSORCIERE. ► femme au foyer.
► MESSAGES : 111
Mer 6 Juil - 19:57 |
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| Cet homme était terriblement beau. Assez beau pour lui faire étrangement beaucoup, énormément, d’effet. Elle ne pouvait nier. Il lui plaisait énormément. Il était beau, c’était un plus. Un fait incontesté, mais il était aussi charmant et gentil. Lizbeth n’était pas du genre à poursuivre une relation qu’elle soit sexuelle ou de longue durée. Elle changeait régulièrement. Croyez-le ou non, mais elle pensait à l’inviter un jour à sortir avec elle. Elle ne croyait au grand jamais que quelqu’un refuserait de la côtoyer un seul instant. Elle était tout de même Lizbeth Trinity Smith. Elle était une playwitch qui plus est de l’année. Elle était reconnue. C’était un grand titre. Bref, Lizbeth était certaine de pouvoir revoir cet homme. Elle avait été une vraie garce au départ avec lui. Mais ne s’était-elle pas reprise ? Bien sûr. Il n’était pas question qu’elle ne se soit pas excusée envers ce dernier. Elle était tout de même une sage femme, Croyons-le jusqu’au bout pour le bien de tous. Il se présenta, comme Lizbeth était heureuse de connaître son prénom au moins. « Oh non ça ne sera pas la peine. Cette malle en a vu bien d'autres. Elle n'est plus à ça prêt et puis c'est du solide. » Elle sourit de plus belle. Elle craquait littéralement pour lui. Elle oubliait même de cligner des yeux, comme une débutante. Oulaaa ! Elle n’était plus cette playwitch difficile en affaire. Elle se montrait plutôt faible. Comme Yon rirait d’elle encore une fois. Bref, elle n’y pensait pas vraiment à lui… « Au fait, je m’appelle Lizbeth T. Smith. Je ne vous ai pas répondu lorsque vous m’aviez retourné la question. Je suis vraiment désolée encore une fois. Elle a beau être solide, mais j’ai le devoir de me faire pardonner pour mon mauvais comportement. » Dit-elle en faisant révérence qu’elle l’avait presque envoyé sur les roses. Elle s’était retenue en le voyant. Elle avait le coup de foudre pour Anaël. « Mais c'est gentil à vous » C’était sa dernière chance pour réussir à revoir ou à rester un peu plus longtemps avec lui. Il fallait trouver rapidement. Elle devait trouver avant qu’il parte, mais ce n’était pas le genre de fille qui demandait un rendez-vous. Trop d’orgueil. Lorsqu’il y fallait, il le fallait bien. Lizbeth soupira assez bruyamment pour annoncer qu’elle avait pratiquement quelques choses de très important à annoncer à Anaël. L’homme au beau visage qui la faisait totalement délirer dans un certain sens. « J’aimerais te revoir. On pourrait prendre un café ? Sortir un soir ? Si… cela t’intéresse seulement. » Même si elle ne se doutait aucunement qu’il pouvait lui dire non. Elle était jolie et surtout une playwitch. « Si c’est possible… » elle attendait une réponse, comme une débutante. Elle ne s’était pas fait désirer. Elle se sentait en faute. Elle n’était pas une vraie femme si elle ne se faisait pas prier. Ouhhh, lizbeth était-elle sur le point de devenir sage ? Se ranger ? | |
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