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 Kids aren’t alright ♣ PV

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PROFIL & INFORMATIONS









Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Mar 1 Mar - 17:12


Depuis que le soleil était revenu, je passais la majorité de mon temps dehors. A croire que j’avais peur qu’il disparaisse de nouveau, que j’avais peur de ne pas en avoir assez profité. Le fait est que j’avais l’impression de revivre, à l’image de la nature. Certains arbres commençaient à bourgeonner, tardivement, et ce retour à la vie entrait en moi, m’insufflant une énergie nouvelle. J’étais efrit depuis ma naissance, contrôlais plus particulièrement le bois. Et la mort lente de l’entité végétale par manque de lumière m’avait coupé le souffle. Souffle que j’avais repris, fort heureusement. A présent, je désespérai juste d’avoir à remplir des quantités énormes de paperasses – je détestais écrire, écrivant le plus petit possible pour abîmer le moins possible la feuille. J’avais l’impression de détruire un peu plus ce que j’adorais tant, tout en me privant de la liberté d’être dehors. A croire que je me punissais moi-même, pour les crimes que je commettais sans le vouloir, réellement.

J’avais appris que l’université d’Ealdwic restait ouverte pendant le mois d’août pour que les étudiants, comme moi, puissent passer à la scolarité. Pour une fois qu’elle était ouverte… Allez savoir pourquoi, elle était disponible pendant les vacances mais pendant les cours, dès qu’il y avait des choses importantes à récupérer ou à prévoir, elle répondait aux absents. C’était n’importe quoi, c’était l’administration. Une administration qui râlait sous le travail qu’elle avait à effectuer, à cause de tous les renseignements qu’elle demandait. Elle n’avait qu’à en demander moins, depuis le temps que je le disais. Mais non, apparemment, c’était tellement plus marrant de se retrouver avec quinze pages de futilités. Découragée, j’avais enfin rendu les dernières notes administratives concernant l’inscription. On m’avait alors regardé, avec un grand sourire, avant de me demander si j’avais trouvé un appartement pour l’année qui venait. J’avais répondu que, non, non … n’avions nous pas les mêmes que l’année précédente ? Apparemment non, je m’étais encore fait avoir. Qu’à chaque année les demandes étaient à refaire. Et que, par conséquent, j’allais devoir me taper encore quelques pages de papier à remplir. Cela me démoralisait à l’avance. Sachant que vu la date actuelle, il n’allait plus rester des masses de chambre. Connaissant ma chance légendaire, j’allais certainement me retrouver avec une chambre hors de prix, une autre tout à fait ridicule. Ou encore en colocation. C’était démoralisant, oui, vraiment. Et mon frère qui ne donnait aucune nouvelle alors que j’avais des questions à lui poser. Qu’il m’avait dit qu’il s’en occupait et, depuis, silence radio. Je désespérais d’avoir des nouvelles un jour, me disant qu’il valait mieux que je m’occupe de ma future et hypothétique chambre toute seule. Au lieu d’attendre que cela se passe, les bras croisés.

Je rangeais alors les feuilles dans mon sac, grimaçant par la même occasion. Je n’avais pas envie de m’en occuper mais j’allais devoir le faire. J’avais envie, dans le même temps, de m’en débarrasser au plus vite – je ferais certainement cela demain. Pour le moment, j’avais besoin de sortir, de profiter encore de l’air extérieur. Faire une petite balade en ville, peut être ? C’était tout à fait possible. J’avais remarqué que pour l’occasion, des animations avaient été proposé. Y jeter un coup d’œil n’allait pas me faire de mal, au pire, j’allais être déçue. Et j’allais perdre mon temps. Je refermai alors mon sac, me félicitant, tout de même, d’être venu d’ici et, surtout, avant tout le monde. L’heure de pointe n’allait pas tarder, à en juger par le nombre de personnes qui faisaient la queue. J’avais bien fait d’être passer aussi tôt ; je crois que je n’aurais pas supporté d’attendre. Je pouvais être, parfois, très impatiente, et c’était peu dire. Les battants de la porte s’ouvrirent de nouveau et, étrangement, je souriais. Pour une fois que les employés de l’administration avaient du travail, c’était plaisant à voir.









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
Kids aren’t alright ♣ PV #Dim 13 Mar - 17:44


    High School Never Ends ... L’école ne finit jamais… Voilà une phrase qui avait du sens. William avait cette horrible impression. A peine avait-il quitter le collège qu’il devait se préparé à affronter la fac. Bon il avait dans l’idée que ça ne serait pas pareil, nettement plus cool sans doute et avec moins de prise de tête. Mais ça restait des cours ! Bien que désormais il avait le choix d’étudier ce que bon lui semblait. Alors que bien des filles bavant d’avance sur sa musculature de rêve l’aurait facilement vu se vouer à des études sportives afin d’avoir tout le plaisir de l’admiré, le jeune Slayers avait plutôt choisit de prendre la voix des Sortilèges, un sujet qui l’intéressé tout particulièrement. Il faut dire que lorsqu’on invente en secret des sort depuis longtemps pas besoin de chercher midi à quatorze heure. Il ne manquait plus que son inscription… Voilà pourquoi il se trouvait à Ealdwic en cette fin d’Aout, se demandant qui allait se retrouvait dans sa classe cette année. Peut-être qu’il n’aurait plus à supporter la tête de Midnight était donné que ça n’avait plus rien à voir avec l’âge. Avec de la chance qui sait… Alors qu’il n’était pas presser de revoir Luke, d’autre aller lui manquer à la rentrée dont notamment Aleksander avec qui il s’amusait tant à faire les quatre cent coups. Mais qui disait nouveaux lieu disait nouvelles connaissances, alors c’était peut-être un mal pour un bien. Moais il en doutait. Quoiqu’il en soit la file d’attente était déjà importante lorsqu’il se présenta au bureau. La patience n’avait jamais était le grand fort de William, d’autant plus qu’il y avait des places pour un match de Quidditch qui avait lieu dans une petite heure. Il poussa un soupir agaçait, trouvant désespérant que les gens attendent la dernière minute pour s’inscrire. Bon lui s’était différent, c’était un homme très occupé. Il n’avait pas eut que ça à faire, pas comme toutes ses filles qui perdait leurs temps dans les magasins de fringues ou à se pomponner. Non lui il avait un emploi du temps très charger. Ne tenant plus sur place il se tortilla sur la droite pour essayer de compter le nombre de personne devant lui. Une… deux… trois… quatre… Bon ça suffit c’était déjà trop. Sans attendre il sortit alors de la file d’attente et vint alors rejoindre le comptoir passant sans vergogne devant tout le monde. La première lui adressa un regard et il se retourna vers elle.

    « J’en aie pour deux minute » dit-il avant de faire face à la secrétaire bien décidé à s’inscrire sans a avoir à faire la queue.


[HJ : la 1ere de la file c'est Teegan bien sûr ]









Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Mar 29 Mar - 19:10


Un soupire par-ci, un autre par là. Un soupire d’exaspération, par rapport à une attente qui paraissait insupportable. Il faut dire qu’il y avait largement mieux à faire que de s’agglutiner, comme ça, dans un hall alors qu’il faisait beau dehors. Que le soleil était enfin là. Un autre soupire, encore. Le temps semblait long, bien trop long. Einstein aurait décidé mieux fait que d’inventer le principe de la relativité. Une toux irritée, ensuite. Parmi d’autres bruits à l’instar des secrétaires qui rayaient du papier ; de personnes qui changeaient de position sans cesse ; des pieds que l’on tapotait dans le sol en espérant y déverser tout son énervement. Mais bordel, c’était pire que tout ! A croire que l’énervement se répandait dans le sol. La contagion était intense et voilà que tous, ou presque, tapaient du pied. A ce rythme-là, ils auraient pu limite tous être pris dans une chorale pour faire les bruitages, tiens. Et, dans tout ça, allez savoir pourquoi, je souriais. Cette situation m’amusait et je prenais un malin plaisir à observer le comportement des autres. J’avais toujours aimé regarder les gens, comme ça, pour le fun, attendant lequel aller vraiment craquer. Définitivement. Il faut dire qu’il commençait à faire cruellement chaud ; ça n’aidait pas tellement. Mentalement, je commençais le compte à rebours … Et puis, entre nous, c’était aussi un passe temps comme un autre. Même s’il y avait sûrement plus palpitant, je l’accorde.

« Hey ! Non mais je … » , dit une voix derrière moi qui me fit rapidement perdre le contrôle de mes comptes. Je ne me retournais cependant pas, si la « voix » avait un problème avec une autre personne, elle pouvait très bien se débrouiller toute seule. « Mais on vous cause là, ça s’fait pas de … ». De quoi, au juste ? Si les gens finissaient leurs phrases, ça pouvait certainement aider. Mais ils préféraient s’interrompre. Baragouiner un coup. Et continuer à râler intérieurement, allez savoir pourquoi. Je ne comprenais pas l’intérêt d’avoir pousser un coup de gueulante, dans ce cas, estimant qu’il est nécessaire de finir quelque chose de commencer. Si ça se trouvait, ils avaient juste peur de se faire remarquer un peu plus. Quels abrutis… Ou alors « J’en aie pour deux minute ». Tiens ? Et si c’était lui l’élément perturbateur du jour, celui qui venait de craquer, aussi ? Je me retournai pour voir l’étendu de la file, découvrant un nombre considérable de personnes qui étaient en train de tuer le jeune homme des yeux. Pauvre de lui. Je me retournais de nouveau, jetant un rapide coup d’œil aux papiers qu’il portait en main. Je tournai la tête sur le côté … Allez, dis moi ton petit nom mon mignon. « J’vous en prie. Après tout, Wil – liam, dis-je en finissant de lire, on en a tous pour deux minutes. » A ce moment-là, je sentis au niveau de mes jambes comme un … coup de pied ? C’était une blague, là ? Lentement, je me retournai – ah, j’allais finir par attraper le tournis ! – vers la personne qui me suivait. Une petite blonde peroxydée en mode barbie – il ne manquait plus que le chihuahua sous le bras dans un sac rose bonbon. J’affichais alors un grand sourire, l’imaginant porter une robe meringue – ou barbe à papa, ou choix. « Un problème, peut être ? », demandai-je innocemment alors que je savais pertinemment sa réponse. J’attendais alors, qu’elle me réponde, alors que j’avais certainement mieux à faire … Genre, avant qu’elle n’agisse comme elle devait le faire, j’étais prête à répondre de nouveau à William et voilà que … ce coup de pied puéril m’avait fait chasser toute envie de rétorquer, laissant alors le jeune homme me passer devant. « Ouais, genre le gars d’vant toi. Il vient de m’passer d’vant et … t’crois, toi, que j’voulais le … ». J’haussais alors les épaules, la coupant dans son élan. « J’ai un problème plus important que de perdre deux minutes et, à tout hasard, c’est ta manière de parler. », petite pause tranquille. L’expression ébahie me donnait envie de continuer, alors que, décidément, parler n’était pas vraiment mon truc. Pendant ce temps, la secrétaire relevait la tête pour demander, d’un ton mi-aigri, mi-enjôleur « Au suivant mon chou ! » Mon chou … Cette secrétaire me plaisait d’un coup. Mais là n’était pas mon problème. J’avais toujours barbie à portée de voix. « Non puis, tu sais, William, il n’a pas beaucoup de temps. Dis-toi que c’est un super héro qui passe son temps à sauver des vies et à secourir des gens. Il essaie de suivre des études en même temps, c’est galère. Alors, s’il perd du temps pour s’y inscrire, tu imagines ? Si ça se trouve, à cause de toi, une personne va mourir et … » Bref. Je ne voyais pas l’intérêt de discuter avec cette fille. Je me coupais alors en pleine phrase pour me préparer à passer ensuite.

Note – le gars devant Teegan, c’est William. Bien sûr (a)
Et désolée du temps de réponse ( et des satanés virgules qui ne sont pas toutes passées)









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
Kids aren’t alright ♣ PV #Jeu 31 Mar - 13:35


    « J’vous en prie. Après tout, Wil – liam on en a tous pour deux minutes. » « Merci... Mademoiselle. C’est franchement sympa de votre part de comprendre. » Dit-il en le pensant à moitié, je m’en foutiste jusqu’au bout des ongles et ne voyant pas en quoi son comportement était critiquable. William s’apprêtait à passer devant la secrétaire quand la fille qu’il venait de doubler parla de lui et il se retourna avec un demi sourire aux lèvres alors qu’il aurait dut plus se préoccuper d’avancer qu’écouter ce qu’elle venait de dire. En même temps c’était tellement flatteur – bien que tinté de sarcasme, il en avait conscience – qu’il lui était impossible de faire comme si de rien n’était. D’autre à la place de l’inconnu l’aurait sans doute traité de tout les noms et se serait acharné sur elle, mais la jeune fille elle garder le sourire et même son humour. C’était là une chose qui attirait sans aucun doute l’attention du jeune Slayers. « Peut-être même deux » dit-il en continuant ce qu’elle venait de dire sur le fait qu’il était un super héro. « C’est cool de ta part de compatir à mon pauvre sort. » dit-il avec une certaine ironie alors que la secrétaire répétait pour la troisième fois « Au suivant ! » et que la file d’attente s’impatienter que personne ne bouge. William se mit alors légèrement sur le côté et d’un geste galant de la main fit signe à la fille qui avait prit plus ou moins sa défense de passer devant lui. « J’t’en prie. » lui dit-il gentiment. « J’pense que Robin n’a pas plus de temps à perdre que Batman. » Ce qu’il venait de nommer « Robin » l’apprentie super héro, c’était elle bien évidemment. Elle avait l’air sympa et ne chouiner pas comme l’autre blondinette juste derrière alors il ne voyait aucune raison de ne pas agir comme un Gentleman. Puis il était déjà passé devant une quinzaine de personne alors il n’était pas à une près, il avait suffisamment gagné de temps à son goût. Puis le temps qu’il perdrait pas à faire la queue il pourrait peut-être le passer à savoir son nom…


[HJ : un peu cour mais j'voulai la réaction
de Teegan avant de développer d'avantage. ]









Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Jeu 31 Mar - 22:14


« Merci... Mademoiselle. C’est franchement sympa de votre part de comprendre. » Whouais, c’est cela. De rien, de rien. Avais-je eu envie de répondre, à mi chemin de l’ironie et de l’amusement léger. Mais Barbie s’était faite remarquer, j’avais du changer mes plans au dernier moment. Et avais préféré laisser couler le reste, m’appuyant seulement sur un léger haussement d’épaule. Qui, aussi, signifiait « Whouais, c’est cela ». « Peut-être même deux » Je me retournai lentement vers le jeune homme, fronçant légèrement les sourcils. Vu son empressement précédent, j’avais été persuadé qu’il avait déjà réglé ses affaires. Mais voilà qu’il venait taper la discute, allez savoir pourquoi. Cependant, un léger sourire, beaucoup moins ironique que le précédent, s’étirait sur mon visage. Plantant mes obsidiennes dans celles du jeune homme, j’observais leur couleur – fondant littéralement sous leur couleur. Le charme des yeux, c’était certainement la meilleure chose – et la seule – qui fonctionnait sur moi. « C’est cool de ta part de compatir à mon pauvre sort. » Son pauvre sort. Tellement pauvre. C’était tellement horrible que de perdre de petites minutes ; il n’avait qu’à être plus prévoyant. Et, pourtant, alors que j’avais envie de râler, le regard désabusé de la blonde me donnait envie de poursuivre la comédie. Relevant ma manche, je regardais l’heure sur ma montre. Avec un regard insistant sur le bras de William, j’espérais qu’il comprenne ce message discret et me montre la sienne – s’il en avait une. Allez savoir pourquoi, j’avais envie de faire une sorte de synchronisation des montres. Je ne savais plus où j’avais vu ce genre de pratique – dans quelle série, plutôt. Je me rappelais juste que cela m’avait toujours fait rigoler. J’avais à présent une occasion de la faire en réel. « J’t’en prie. » Je fis un pas en avant, entendant la secrétaire appeler la personne suivante : lui en l’occurrence. Je m’apprêtais à passer. Mais une phrase m’arrêta en plein élan. « J’pense que Robin n’a pas plus de temps à perdre que Batman. » False. Error 404. Whatever. J’arrêtais alors mon avancée, remarquant une légère marque de désespoir sur la femme qui attendait toujours derrière le comptoir. Entendant le soupire exaspéré de miss blonde peroxydée qui était derrière moi. « Non mais merde, avancez quoi ! ». Tiens donc, ma belle, craquerais-tu ? Petite question discrète menée par un haussement de sourcil. Regardant de nouveau le jeune homme, j’affichais un large sourire, remettant une mèche de cheveux derrière mes oreilles. « Certes. Robin n’aime pas perdre de temps. Mais on sait tous que Batman préfère rester en avant de tous. Qu’il en a rien à carrer de son adjoint, là. Et, ensuite, vu les œillades de la secrétaire, j’crois pas qu’elle attende une présence féminine. ».

Quoi ? C’était vrai. Autant dire les choses comme elles étaient et là, il était évident que l’employée avait besoin de changer de paysage. « Bordel. Vous n’allez pas chipoter pour une place de mes deux, quoi. Et … » Je n’avais aucune envie d’entendre la suite, d’entendre autant de grossièreté. J’avais une véritable aversion pour ses mots-là. Alors, comme pour mettre fin, je tentais de pousser le jeune homme devant. Ridicule. Pour une fois qu’on me proposait de passer devant, voilà que je faisais tout pour que … non, je ne voulais pas y aller. J’espérais, un jour, comprendre la logique qui m’habitait. Ce n’était pas forcément gagné. Car voilà que je m’apprêtais, encore, à faire une chose à laquelle je ne m’attendais pas. Et dire, qu’en temps normal, je n’aimais pas tellement parler. Encore moins m’afficher. On va mettre ça sur le retour du soleil … « Bonjour. Je vous présente Wil-liam, petite hésitation, encore. il est venu pour s’inscrire. ». Petite valse. Je venais de faire un pas en avant pour annoncer. Un pas en arrière pour céder la place ; coupant toutes possibilités de négociation quant à qui passerait le premier. Je sais, ce n’était pas forcément le meilleur plan. Mais ça s’impatientait vraiment derrière …

Note – de même. ^^









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
Kids aren’t alright ♣ PV #Ven 1 Avr - 13:59


    « Certes. Robin n’aime pas perdre de temps. Mais on sait tous que Batman préfère rester en avant de tous. Qu’il en a rien à carrer de son adjoint, là. Et, ensuite, vu les œillades de la secrétaire, j’crois pas qu’elle attende une présence féminine. ».
    « Une vulgaire Pnj » dit-il en parlant de la dite secrétaire et haussant les épaules pas plus intéresser de son sort que ça. Il se fichait bien de plaire à la secrétaire – bien que c’était normal et flatteur – et tout ce qui lui importait c’était de rester galant. Il lui avait offert gentiment sa place alors qu’elle la prenne voilà tout ! Mais apparemment ce n’était pas aussi simple parce que comme il n’avançait pas du tout, elle le poussa l’obligeant à le faire. Il ‘en était pas question ! Il avait voulu qu’elle passe devant alors elle passerait devant ! Mais la demoiselle avait apparemment plus de caractère qu’elle ne le laissait paraitre et ne lui laissait pas le choix.

    « Bonjour. Je vous présente Wil-liam, il est venu pour s’inscrire. »
    Quoi ??? Oh non elle pouvait pas faire ça ??? Surpris, le jeune homme trouva tout de façon un moyen de rebondir sur la situation, ne se laissant pas démonter.

    « Oh non pas du tout. Moi je venais juste pour… Pour… » Il se retourna et passa derrière la taille de la fille derrière lui qui lui avait tendu ce piège, ayant ainsi une emprise sur elle. « …L’accompagner ! » Termina-t-il avec un large sourire hypocrite. « C’est ma meilleure amie voyait vous mais elle est un peu timide. Elle a du mal à communiquer avec les gens. Alors j’ai trouvé ça sympa de venir avec elle. » Expliqua-t-il. Ah qu’il avait bon cœur ce cher William de gentiment escorté cette jeune fille. Non plus sérieusement, il ne la connaissait évidemment ni d’Eve ni d’Adam et cherchait juste à la laissait passer devant bien évidemment ! Un regard vers elle, il la défier de ce sortir de ce mauvais pas. Il n’appréciait pas que pour une fois qu’il se montrait sympa elle refuse de le laisser faire. Elle passerait avant lui, foie de Slayers ! « Dit à la dame comment tu t’appelle » ordonna-t-il alors que la secrétaire affichait une tête d’enterrement. Elle aurait sous doute voulu s’occuper du jeune homme mais puisqu’il fallait le faire… En tout cas sa patience commençait à diminuer et elle demande pour la deuxième fois « Nom Prénom ! »









Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Sam 9 Avr - 16:19


« Oh non pas du tout. Moi je venais juste pour… Pour… » Surprise, j’ouvrai grand les yeux, regardant le jeune homme sous un œil nouveau. Un grand sourire porté au coin des mes lèvres, j’attendais. Ce qu’il pouvait bien répondre à cette répétition de pour, pour… Allez, ce n’était pas très compliqué. « …L’accompagner ! ». Woo ! Quelle brillante finalité, s’en était presque touchant. M’accompagner, quelle belle blague. C’était la première fois que je lui parlais vraiment – il me semblait l’avoir déjà aperçu à Poudlard – et il prétendait m’accompagner. Soit. C’était tout à fait plausible. « C’est ma meilleure amie voyait vous mais elle est un peu timide. Elle a du mal à communiquer avec les gens. Alors j’ai trouvé ça sympa de venir avec elle. » Il n’avait pas tout à fait tord, sur un point. Communiquer avec les gens n’avait jamais été ma spécialité. J’avais toujours préféré écouter, ne supportant pas parler pour ne rien dire – chose que je faisais en ce moment même, allez savoir pourquoi. Mais là, pour le coup, j’étais étonnée, oui. De la facilité qu’avait William a inventé des bobards – même si j’avais fait pire tantôt en parlant de super héro ( mais c’était pour me moquer de la tête de l’autre alors, ça ne comptait pas vraiment ; on s’amuse comme on peut ). Je captais alors son regard, le genre qui veut dire « Ahah, débrouille toi comme tu peux » alors qu’il prenait, une fois de plus, la parole. « Dit à la dame comment tu t’appelle ». Là-dessus, j’hésitai à m’esclaffer devant le ton employé. Ou, simplement, à le réprimander en lui demandant … quoi au juste ? « Arrête de te foutre de moi et passe devant ? ». C’était ridicule. Et j’allais perdre encore du temps, même si, entre nous, je n’avais rien à faire d’autre. J’hésitai encore sur la réponse que je devais apporter mais, heureusement pour moi, dans un sens, cette fichue secrétaire ramena encore sa fraise. « Nom Prénom ! »

Whouais, whouais. C’était bon. J’arrivais. Pas la peine de répéter inlassablement la même chose. A croire qu’elle se trimbalait avec un enregistreur dans sa poche – ça s’appelait comment, en fait ? – qu’elle actionnait quand bon lui voulait pour s’économiser de la salive. M’avouant vaincue, j’avançais alors vers le comptoir, relâchant par la même occasion un soupir. Posant mes avant-bras dessus, je m’apprêtais alors à répondre mais une autre idée me vint à l’esprit. Show must go on, on continue sur la lancée de la débilité. Je me penchais alors en avant, prête à chuchoter – mais suffisamment fort pour que Will’ puisse entendre. « Faut pas lui en vouloir, il panique quand il doit se mettre en avant. Le plus simple, c’est que vous nous donniez deux dossiers à remplir. Une réinscription et … » Et quoi au juste ? Une inscription ou, comme moi, une réinscription ? Ah, telle était la question. Je me retournai alors vers lui, arquant un sourcil – chose qui pouvait se traduire par « Et bien alors, aide moi donc ! ». J’affichais alors une moue désolée face à la secrétaire. Désolée qu’une prétendue meilleure amie ne sache pas ce que faisait son prétendu meilleur ami. Ce qui était tout à fait normal, en soi, car je n’y connaissais rien. « Bref. Teegan Pallbearer », avais-je fini par lâcher, comme ça. C’était dans ces moments-là que je n’aimais pas prononcer mon patronyme. Porteur de cercueil, il y avait franchement mieux. Mais, soit, c’était mon identité et rien que pour cela, je n’avais pas envie d’aller voir les services administratifs du ministère pour le changer – ne serait-ce qu’une lettre. Voyant la tête qu’affichait la secrétaire, je compris qu’elle avait besoin d’aide ; je déclinai alors mon identité en l’épelant. Mais là n’était pas le souci. Ce que nous attendions, finalement, c’était bel et bien cette paperasse. Qu’on me la file avant que je ne me meurs, j’avais une sainte horreur de gâcher du papier. Pensant à tous ces arbres merveilleux que l’on avait abattu pour l’égoïsme de l’homme.









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
Kids aren’t alright ♣ PV #Mar 26 Avr - 19:54


[ Désolééééééééé du retard Kids aren’t alright ♣ PV 1604967807
Réponse un peu naze aussi... ]


    « Faut pas lui en vouloir, il panique quand il doit se mettre en avant. Le plus simple, c’est que vous nous donniez deux dossiers à remplir. Une réinscription et … »

    Elle se retourna vers lui et arqua un sourcil afin de savoir ce que devait être le deuxième dossier. SON dossier. Mais si elle pensait qu’il allait l’aider elle pouvait se mettre la baguette dans l’œil. Il avait voulu être galant alors il serait galant ! Il s’inscrirait APRES elle qu’elle le veuille ou non.

    « Bref. Teegan Pallbearer »
    Teegan donc. Il se promit de ne pas l’oublier. Son nom de famille non plus d’ailleurs même s’il ne s’en moquerait pas. Tout le monde ne pouvait pas s’appeler Slayers. Tueur. Ça avait vachement de la classe. William était fier de son nom. De qui il l’avait hérité. Ce n’était maintenant plus qu’une question de minute avant qu’il soit inscrit. Enfin… La secrétaire lui demanda son nom et c’est avec un air fier qu’il déclara « Clark Kent ! » . Teegan lui adressa un regard. « Quoi ? Tu l’a dit toi-même. Je suis un super héro. » dit-il fièrement. La secrétaire commençait sérieusement à en avoir ras le bol et affichait une tête de six pieds de long. Les gens qui attendait derrière eux râlait de plus en plus et certain menaçait même de sortir leurs baguettes. Mais ça n’inquiétait pas plus que ça William. Ce que voulait à présent plus que s’inscrire à la fac c’était en savoir d’avantage sur cette Teegan…









Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Dim 22 Mai - 17:49


hj; haaan, désolée aussi Kids aren’t alright ♣ PV 1604967807

« Clark Kent ! » , avait-il fini par sortir, la voix pleine d’entrain. Je relevai la tête vers lui, arquant le sourcil gauche me demandant s’il était idiot ou … idiot. Certes, j’avais un peu lancé, sans vraiment le vouloir, cette histoire de super héro. Mais dès que les papiers m’avaient été remis, j’avais repris mon sérieux et ce foutu visage froid que j’avais tendance à afficher. D’ailleurs, cela ne passa pas inaperçu auprès du jeune homme qui s’écriait, déjà, sur la défensive : « Quoi ? Tu l’as dit toi-même. Je suis un super héro. » En plus d’avoir lancer la conversation, je l’avais même affublé d’un nom de super héro, c’était pas faux. Quoique, non, je l’avais juste supposé, comme ça, et il s’était déclaré comme étant le super … heu … Batman ? C’était bien ça ? Grimaçant pour tenter de me souvenir, j’oubliai aussitôt le sérieux de la situation et tout ce qui allait avec – notamment l’envie meurtrière de ceux qui nous suivaient, amen. J’avais retrouvé ce petit sourire discret et cette envie de continuer à plaisanter, sans raison apparente. Mais s’il me fallait une raison particulière pour agir, j’étais franchement mal barrée, comme pleins d’autres, je suppose. Relevant mon stylo – confirmant aussi que j’entrai en deuxième année d’Histoire de la Magie – je reprenais la conversation. Comme si rien, jusque là, n’avait pu nous interrompre.

« Des pouvoirs de caméléon ? Passer de Batman à Superman, magique ! » Sans aucun jeu de mot, forcément. Je n’y avais même pas pensé, avant d’avoir lâché ces quelques mots. Il faut dire que, la plupart du temps, j’affichais un humour à deux noises ; il parait que c’était de famille. Quoique, mon humour était généralement discret, ou n’existait pas. Dans le sens où j’avais une sainte horreur de parler, comme ça. Et dire que je plaisantais avec un inconnu, j’avais besoin qu’on m’explique certaines choses. Continuant à parcourir des yeux la feuille – faut dire que la réinscription n’était pas la chose la plus compliquée monde – j’attendais que mon voisin bouge, en vain. J’apposai la signature finale, sans constater une quelconque modification dans son comportement. Il … faisait quoi dans tout ça ? Il attendait qu’un stylo vienne lui extirper les informations ? Ou peut être qu’il ne voulait pas que je me rencarde sur son identité ou n’importe quoi d’autres ? Après tout, il pouvait être n’importe qui. Un célèbre tueur qu’on tenterait d’attraper. Un exilé en transit entre deux pays. Un sous attardé mental. A vrai dire, je m’en fichais. De ce qu’il était et pouvait bien être. Je n’étais pas de celle qui juge les autres, comme ça, d’un premier coup d’œil. Je préférais écouter, dans l’ombre, et observer. Caractériser chaque avancée, chaque pas. Dire ce que signifiait une démarche trop pressante ou, au contraire, des gestes lents. Mieux, même, je préférais l’instant présent ; advienne ce qu’il pourra. Mais j’étais peut être, dans le fond, un peu trop défaitiste. Avec des questions sans réponses et sans fins. Des satanées questions qui tournaient encore et encore, se relayant sans cesse. Et celle du jour concernait ma rencontre : Et toi alors, qui es-tu ?. J’hésitai à bousculer la chose, à faire venir ce que j’avais envie d’entendre. Mais l’avais-je vraiment envie ? Ca n’allait certainement pas m’apporter quelque chose de strictement nécessaire. S’il désirait se faire appeler John, Clark ou Batman, tout cela, ça m’allait très bien. « Si Monsieur se dépêche un peu, je veux bien lui offrir le café. » Ca aurait pu être tout autre chose, un thé, un chocolat, je m’en moquais. C’était juste histoire de faire avancer la situation, sans aucunes arrière pensées. Vraiment.









William Alex Slayers

William Alex Slayers
ETUDIANT. ► 1e année de
SORTILEGES & ENCHANTEMENTS.

► MESSAGES : 420
Kids aren’t alright ♣ PV #Mar 31 Mai - 13:52


[HJ : Pas grave j'ai tarder un peu moi aussi ]


    « Assez normal pour un sorcier. En général ça va de paire avec la magie. »

    Un sourire espiègle au coin des lèvres, il la regardait avec un certain amusement. Il savait bien qu’elle avait dit cela sans réfléchir mais c’était toujours ainsi que c’était le plus drôle, savoir tourné à son avantage des mots prononçait au hasard. William ou l’art et la manière de vous apprendre à réfléchir avant de parler sous peine de ce voir charrié a sa façon.

    Teegan avait commencé à remplir son dossier alors que le jeune Slayers n’avait même pas encore attrapé le stylo que la secrétaire lui tendait au plus grand dam des personnes derrières eux qui s’impatientait énormément. Certain avait même décidé d’aller ce chercher un café et de revenir plus tard. D’autres m’était d’hors et déjà William sur leurs liste noire et ce promettait de lui faire payer son insolence en temps et en heure. Mais peu importe le première année ne semblait pas plus pressé que cela. S’il n’avait commencé à remplir son dossier c’était pour la bonne et simple raison qu’il souhaitait toujours que la jeune fille soit inscrite la première pour question de galanterie. Dire qu’il était têtu était évidemment un euphémisme. Quoiqu’il en soit c’est seulement lorsqu’il la vie rendre son dossier qu’il songea qu’il était grand temps de commencer à remplir le sien.

    « Si Monsieur se dépêche un peu, je veux bien lui offrir le café. »


    Un sourire apparut sur ses lèvres. Il attrapa le stylo et remplit le dossier a une vitesse impressionnante avant de le rendre avec un grand sourire hypocrite. Derrière eux on pût entendre des soupirs de soulagements ainsi qu’un « Eh bin c’est pas trop tôt !!! » auquel William ne prêta pas attention. Bien sûr il ne dirait pas à Teegan qu’il était sur le point de remplir le dossier préférant lui laissait croire que c’était le café qui l’avait motivé. Cette fille l’intriguait. Pas dans le sens « j’ai envie de m’la faire » il avait une petite amie – secrète – toute de même, mais plus dans le sens où elle éveillait sa curiosité.

    « Direction l’amstramgram ? »










Teegan I. Pallbearer

Teegan I. Pallbearer
ETUDIANTE. ► 2e année d' ARTS.

► MESSAGES : 36
Kids aren’t alright ♣ PV #Sam 4 Juin - 16:56


« Assez normal pour un sorcier. En général ça va de paire avec la magie. » J’hésitai à sourire à la remarque ou à hausser les épaules, rien que ça. Il faut dire que la phrase précédente m’avait échappé ; et voilà qu’il se permettait de la reprendre et de s’en amuser. Ce qui, en soit, ne me dérangeait pas. Il faut dire qu’avec tout ce qui se passait autour, tous les problèmes, ça ne pouvait pas faire de mal de sourire un peu. Et de blaguer. Gentilles, les blagues. Il ne s’agissait pas là de faire dans l’humour noir et, de toutes manières, j’avais horreur de ça. C’était même bien pire que les blagues carambars, autant dire qu’il y avait du niveau.

Je ne comprenais pas cette histoire de dossier à remplir ; j’avais pourtant cru, au départ, qu’il s’agissait juste d’une case en tant et en heure. Mais non, il fallait revenir à l’université, décliner son identité. Et sous mes côtés un peu paranoïaque, j’avais peur qu’on se serve de la chose pour nous ficher. Car, dans le fond, tous les individus étaient déjà parqués, classés en listes bien particulières. Et, étrangement, cela n’était pas prêt de changer ; je sentais même que la situation allait se compliquer. Si bien qu’il m’arrivait de paniquer, un peu, sans que je sache vraiment pourquoi. Du moment que ce ne soit pas pour aujourd’hui, tout allait bien. De toutes manières, il n’y avait pas de raison. J’avais fini par rendre ce fichu bout de papier, qui me faisait tant mal au cœur, vraiment. J’avais l’impression de tuer mes pairs, à chaque fois ; si bien que je haïssais cette situation, cet endroit, ces méthodes. Qu’on en finisse vite, je n’en pouvais plus bien que je gardais un sourire figé. Sourire qui s’élargit un peu plus en voyant que notre Batman du jour se dépêchait un peu ; ce n’était pas trop tôt, comme on dit par chez moi. Je ne savais pas trop ce qui l’avait poussé à speeder ainsi ; j’hésitais entre le fait que j’avais rendu ce qui me concernait. Et le fait que je lui propose un café. William Alex Slayers, avais-je eu le temps de déchiffrer. Slayers. Évidemment. Bien que je ne savais jamais vraiment vu – ou jamais vraiment fait attention – je me souvenais de son identité, de ce patronyme. Faut dire que j’étais encore à Poudlard l’année passée et ce n’était pas un nom qui passait tellement inaperçu. Au contraire, quand on écoutait les dires …

Mais je me fichais des ragots ou quoi que ce soit, je faisais table rase de tout. J’avais une sainte horreur de ce qu’on pouvait me raconter, préférant forger ma propre opinion, peu m’importait si je me faisais avoir.

« Direction l’amstramgram ? » J’acquiesçais d’un signe de tête. Il faut dire que c’était l’endroit du coin, celui ou tous les étudiants voulaient mettre les pieds un jour ou l’autre. Pourquoi ? Certainement à cause de sa réputation, et de pleins d’autres petites choses. Alors qu’il y avait tellement d’autres petits trésors à découvrir.

« L’amstramgram. A croire que c’est le seul endroit que connaissent les étudiants … » avais-je finalement lâché comme cela, laissant finalement la place à Barbie Pouf qui nous suivait.












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