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 in our veins, the same blake blood.

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PROFIL & INFORMATIONS









Sean Abel Blake

Sean Abel Blake
SORCIER.

► MESSAGES : 111
in our veins, the same blake blood. #Jeu 10 Mar - 23:16




Une seule mission. Sean a un petit sourire, regarde le ciel alors. Les nuages se déplacent lentement dans le ciel. C'est presque magnifique vue d'ici. Un bruit derrière lui le ramène pourtant à la réalité. Il n'était pas ici pour admirer le ciel. Il est ici pour chasser. Son coeur se met à battre, un peu fort, et il se sent bien. Il s'enfonce la seringue dans les veines du bras gauche et libère à l'intérieur ce calmant. Pourtant, il n'en fait qu'une moitié de dose. Il veut garder l'esprit presque clair, ne pas être assommer au point de vaciller. Il ne veut surtout pas rater, car c'est sa mission, à lui. Comme il pourrait porter le collier d'Aidev et devenir son chien, ses yeux quittent le vague et se reporte sur le bruit derrière lui. Une gamine est là, elle sort les poubelles. Elle est plutôt petite, plutôt jolie. Plutôt normale pour quelqu'un qui aurait du sang Blake au final. En faite elle est même jolie. Les yeux de Sean la détaillent, puis finalement il sort de sa poche une photo vieillie, avec l'image de Thali Gaunt, et il a un petit sourire en coin, découvrant les mêmes traits de la mère sur la fille. Oui, vraiment jolie. Les yeux du jeune homme remontent lentement sur la silhouette de la jeune fille qui le fixe. Merde. vu. Il a un sourire, se décale avec un petit rire. Elle fronce visiblement les sourcils. Personne ne se cache normalement derrière vos poubelles, sauf un fou psychopathe. Finalement, elle doit savoir ce qui l'attends. Il approche, sort de l'ombre. Sean est un beau garçon. Plus beau que la moyenne. Son problème, c'est que les filles, il aime les faire pleurer depuis qu'il est tout petit. Leur tirer les cheveux. Soulever leur jupe. Leur casser les bras, et leur couper les doigts.

« Misery...? »

Theli a un instant de silence. L'air s'arrête. Et c'est... maintenant! La jeune fille pousse violemment les sacs devant elle et fuit à tout l'allure. Courir est sa seule échappatoire. Et Sean prends au quart de tour sa poursuite. Son esprit est dans un brouillard léger, il peut le faire, il le sait. Dans ses veines, son sang pulse, et il accélère en sachant que dans les veines de la jeune fille, il y a également ce sang. Ce sang, fille de Leonard Blake. La seule fille depuis tellement longtemps. Aidev était encore jeune quand leur mère à eux est morte. Il accélère encore plus vite en voyant qu'elle prends le large. Il est comme un dingue en furie, un chien. Oui, un chien. Elle aussi elle court vite, par habitude peut être. La peur forge également une nouvelle force. Elle en sait quelque chose, et elle tremble comme une feuille, parce qu'elle a peur. Elle sait que si elle s'arrête, c'est fini pour elle, ça sera fini tout ça, toute sa petite vie. Et juste au moment où elle pense à ça, une voiture passe devant elle et elle s'arrête, le souffle coupé. Un pas. C'est tout ce dont elle a le temps de faire, car la main puissance de Sean lui attrape déjà le col et la cloue au sol, la tenant par la gorge, baguette sur le front. Il la détaille. Il a l'air un peu fou, un peu dément, mais c'est juste l'adrénaline qui combat l'anti-stress qu'il vient de s'injecter. C'est le choc du froid et du chaud dans ses entrailles qui lui font perdre les pédales. Un équilibre perdu.

« Y a une chose que je déteste » siffle t-il en reprenant sa respiration « c'est les filles qui me font courir! »

Elle couine alors qu'il se redresse, et elle reste sur le sol. Il la tient toujours en joue, se tient les poumons et respire plus profondément. Son esprit s'éclaire, comme un petit rayon de soleil. Toutes ses années pour ça? Pour une simple course-poursuite dans les ruelles crades d'un quartier miteux? Pitié. Les Gaunt n'ont vraiment aucune classe. Sean lui tends la main, mais elle ne se bouge pas, alors il se penche et la relève de force, la tenant fermement par le bras. Comparé à lui, elle est minuscule. Devant la montagne d'un mètre 84, Theli Gaunt ne doit pas excéder le mètre 75. Pas grande, mais pas petite. Il inspire quelques bouffées d'air froid, et finalement la fixe. Elle tremble entre ses doigts. Il a l'oeil qui brille, et transplane. Le crac sonore est bruyant, et c'est dans l'entrée du Manoir Blake qu'il atterrit. Silence dans la baraque. Même Holy n'est pas là. Aidev n'est pas encore rentré, ou alors il est sortit. Tant mieux. Sean pousse la gamine dans l'entrée, contre le mur où elle se tient, tremblante. Elle le regarde fixement, avec l'appréhension des victimes, alors que Sean retire sa veste et jette sa baguette sur le canapé tout proche. Le regard émeraude du criminel passe dans la pièce, mais aucune trace de Sylar. Il a un petit rire : dommage pour lui. Sean s'approche mais Theli s'esquive sur la droite, et sa main se referme sur la tignasse brune de la petite.

« Sssch... pleurs pas, j'ai encore rien fait. Allez, respire calmement... Comment tu t'appelles? »
« T-Theli... Theli Flamsteed... » elle le regarde, se tords, se tenant les cheveux alors qu'il l'attire à lui. « Misery Gaunt est mon vrai prénom. S'il vous plaît, mes cheveux... »
« Ne fuis pas. Je n'aime pas courir. »

Il a un petit rire joyeux alors qu'il la sert contre lui. Elle se débat, mais qu'importe, elle n'aura pas le dessus. Se penche finalement, hume le parfum de sa gorge offerte et passe sa main sous son chemiser, remontant le long du corps. Ses doigts ressortent au niveau de sa gorge, et ils maintiennent le visage de la gamine sur la droite, pour mieux la dévorer. Son autre main, elle, glisse sur la cuisse de la jeune fille, la collant à lui. Il n'est pas si violent, juste qu'il l'oblige. Il pourrait être pire, mais elle ne résistera pas. Elle a bien trop peur pour ça. Il se voûte au dessus elle, déposant un simple baiser sur sa gorge alors qu'elle pleur déjà à chaudes larmes. Mais dans sa dos, la porte d'entrée s'ouvre, et avec elle, une odeur, une simple odeur qui signifie : fin de partie.










Sylar Haxley Blake

Sylar Haxley Blake
SORCIER. ► criminel relaxé.

► MESSAGES : 77
in our veins, the same blake blood. #Lun 21 Mar - 16:07


Le moteur de la voiture ronronnait à l'intérieur du capot, parfois il se mettait à rugir quand Sylar appuyait sur la pédale d'accélérateur. Ce matin il était parti aussi tôt qu'Aidev, pas plus tard que neuf heures. Il avait pris le véhicule de la famille, une magnifique Bentley décapotable qui pourrissait dans la garage vu que personne n'en avait réellement l'utilité. Puis sur une envie il esquiva la ville pour aller faire chauffer les pneus sur les routes campagnardes. Sylar n'avait pas le permis, ne savait pas parfaitement conduire non plus, mais la police moldue ne l'effrayait pas. Pas plus qu'il n'avait peur des aurors, de Sean ou d'Aidev. Le compteur affichait une moyenne de cent quatre-vingts kilomètres par heure. Sur une route limitée à soixante-dix. Mais il aime ça, la vitesse. Ça fait battre son coeur plus vite, l'idée de se cracher et de se retrouver la peau arrachée contre le bitume le fait frissonner. Sans danger il n'y a pas vraiment de vie. Il arpente un long chemin, droite, entourée de champs à perte de vue. Le jeune homme accélère encore un peu, puis il freine, d'un seul coup, son corps se soulevant un peu du siège sous le soudain arrêt brutal. Puis il fait demi-tour, et recommence ce petit jeu pendant une dizaine de minutes, allant toujours plus vite à chaque fois pour voir les limites de la voiture ou juste pour le plaisir d'entendre la gomme sur le sol qui crisse comme dans les films avec des courses poursuites. Ça l'aurait encore mieux fait avec une voiture des années soixante, il aurait eu l'air d'un vrai gangster. Comme Dillinger. Malheureusement, le coupé gris métallisé qui hurle comme une voiture de course casse l'ambiance.

Sauf qu'au bout d'un moment le petit jeu de Sylar finit par déranger le seul habitant de coin qui occupe la ferme et qui doit s'occuper des champs alentour. Sylar s'arrête à une bonne distance, l'observe derrière ses lunettes noires, chewa-gum à la bouche. Il lève les yeux au ciel. Y'a toujours quelqu'un pour venir pour faire chier alors que vous squattez un endroit public. L'habitant approche, fusil de chasse à la main, téléphone dans l'autre. L'humain fait preuve d'une bêtise impressionnante parfois. Quel intérêt de le tuer maintenant et d'appeler les flics ensuite à part pour l'envie masochiste de finir en taule. Toute façon il ne tirera pas, il aime bien trop sa vie tranquille pour finir entre quatre murs. Non, c'est juste qu'avec un fusil on se sent plus fort. Alors, non, il ne fait que s'approche, canon pointant le sol pendant que Sylar enlève ses lunettes les posant sur le siège passager, profondément ennuyer. Le mangemort n'attend, on l'emmerde alors il emmerde. Il pointe sa baguette rapidement sur le vieil homme, qui ne comprend pas alors que le sang chaud gicle même jusqu'a Sylar quand sa gorge se tranche, nettement, et qu'il s'écroule à terre. Encore une chemise blanche de bousillée. Il ouvre la portière, pousse le corps du pied et ramasse le fusil qu'il lance à l'arrière puis redémarre le bolide. Direction le manoir puisque le monde à décidé de lui pourrir sa journée. Il n'a plus envie de jouer si lui même n'a pas le droit de s'amuser. C'est comme ça. Fais-lui mal et il te fera mal.

Le trajet est exactement le même qu'a l'allée et même le manoir ne semble pas avoir changé de l'extérieur, comme figé dans le temps. La voiture reprend sa place initiale dans le garage reprenant ses lunettes qu'il se met de nouveau sur le nez avec le fusil dans la main droite. Il l'offrira à Logan vu qu'il ne lui offre jamais rien. Il monte les marches, il ne s'attendre qu'à trouver Sean, en espérant qu'il ne s'est pas taillé les veines pendant une crise. Juste Sean. Il ouvre la porte, la referme méticuleusement et son regard vert eau se porte presque automatiquement sur son frère. Y'a une fille aussi. " On avait pas dit pas de filles à la maison, tâche de pas faire de bruit, j'suis claqué, j'vais me coucher. " Il leur passe à côté, reniflant l'air ambiant avant de s'arrêter net. Au début il ne se retourne pas, il reste immobile, puis se retourne, fronçant les sourcils. La fille c'était Misery Gaunt. Leur "soeur" à tous les deux. Et Sean l'avait coincé contre un mur. Il ne fut pas longtemps pour comprendre que s’il n'était pas là, la situation aurait sûrement avancé au grand plaisir de son frère. Il la recherchait depuis des mois et là c'était lui qu'il l'avait entre ses mains. Sur le coup il se vexa, parce que Sean l'avait retrouvé et pas lui. Car c'est lui qui la voulait à tout prix, pas son frangin. " C'est comme ça que t'accueilles ta petite soeur? " Il a un rire sarcastique, car il s'amuse à imaginer la suite s’il n'était pas revenu. Et c'est drôle. Pas pour Misery bien sûr. Au même moment il relève le canon vers Sean, et ça le fait encore plus rire intérieurement. Non, il ne va pas tirer sur lui. Léonard le tuerait sûrement. Puis il n'aurait pas le courage de le faire parce qu'il tenait à son grand frère. Il se déplace, s'approche d'eux deux, plus près de la fille en réalité, haussant un sourcil. C'est bien elle, alors au même moment il déporte son regard sur Sean, pas furieux, mais pas calme non plus. Il a déjà eu un début de journée assez merdique.

" Bien que ça m'amuserait beaucoup, et surtout parce c'est elle.. " Il marque une pause, longue, la regarde, la détaille. " Je ne vais pas te laisser violer un membre de notre famille. " Il force et glisse le canon du fusil entre le ventre de son frère et celui de sa soeur, pour marquer une sorte de séparation qui signifie la fin du petit jeu de Sean. Tout du moins, pour le moment.









Sean Abel Blake

Sean Abel Blake
SORCIER.

► MESSAGES : 111
in our veins, the same blake blood. #Dim 27 Mar - 1:42




« On avait pas dit pas de filles à la maison, tâche de pas faire de bruit, j'suis claqué, j'vais me coucher. » « Bonne nuit alors! » Il a un petit rire, et c'est sans doute ce qui doit le trahir, car à peine plaque t-il la jeune fille contre un mur que Sylar s'arrête. C'est drôle, mais à partir de ce moment même, il sait qu'il a perdu la partie, qu'il sait et ne le laisserait pas faire. Il s'arrête alors, tout mouvement lui semblant sans saveur dans ce moment, et la jeune fille, elle, guette d'un oeil inquiet ce qui se passe dans cette maison. Elle n'espère qu'une chose : que ce malade qui marche avec un fusil dans la main la sauve et l'emporte loin du manoir. Elle est folle. Le Manoir Blake est une prison dorée pour qui sait y vivre et s'y adapter, mais elle ne sait pas encore, elle n'a pas encore compris comme ça fonctionnait ici. D'ailleurs, elle ne saurait mettre un nom sur les deux têtes, autant sur celle du probable sauveur que de celui qui ne veut qu'une chose d'elle. « C'est comme ça que t'accueille ta petite soeur? » « De quelle soeur parle t-on, mh? » Sean a un petit rire, et même ce canon qui vise son crâne ne l'effraie pas. Il n'attends que ça. Qu'il appuie et qu'il redécore l'entrée avec les quelques maigres bouts de sa cervelle encore valide. Ça serait une super fin pour quelqu'un comme lui. Ça serait magnifique à souhait! Les yeux pâles du criminel suivent finalement du regard les déplacements de Sylar, et puisque le canon est proche de ses lèvres, il se penche à peine, tirant la langue et la passe sur le canon offert. Rougis Sylar, rougis à t'en faire brûler les pommettes et tire dans ce crâne qui ne vaut rien. La gamine, sous Sean et contre le mur, tremble quant à elle et n'ose pas dire un mot. Elle a appris à force du temps que dans ces moments, il ne vaut mieux rien dire. Parce que ça ne sert à rien, parce que ça agace, et parce qu'elle est de toute façon entre deux fous furieux. Un armé d'un fusil, l'autre... l'autre n'est pas armé, mais il fait trois fois elle en carrure, et à la première claque, elle serait de toute façon couchée. Misery Gaunt ferme les yeux et sert les dents, se maudissant quelque part. Avoir un si grand don, si recherché, et finir misérablement comme ça. À croire que c'est son avenir à elle, d'écarter les cuisses contre son grès et se laissait aller. Juste comme ça. Après Grey, Blake. Elle sent ses yeux se remplirent de larme à cette idée, s'aplatissant contre le mur, comme un chat fuirait le contact.

« Bien que ça m'amuserait beaucoup, et surtout parce c'est elle.. » Elle le fixe, parce qu'elle sait qu'on parle d'elle à ce moment. Ça ne peut qu'être elle, comme Sylar la regarde et la détaille, et elle ne comprends pas vraiment. Elle ne comprends pas qui est cette soeur, et encore moins pourquoi Sylar la regarde comme ça. Finalement elle détourne ses iris vert émeraude, de peur d'être trop assistante, même si elle supplie littéralement du regard le cadet de Leonard de la sauver des griffes de son grand frère. « Je ne vais pas te laisser violer un membre de notre famille. » Il laisse le canon s'immiscer entre eux, et si Misery affiche un air soulagé, Sean, lui, rit. Il a un petit rire, de rien du tout ou presque. Au plus il est moqueur, mais ça devient une habitude chez lui, que de se moquer ouvertement. Alors il hausse un sourcil, et ses yeux fixent Sylar droit dans les yeux, avec un air de défis assuré. Ça sera serré, mais Sylar a toujours été nul au jeu de la provocation. « Quoi...? T'es jaloux, Sy'? Tu aimes pas que je tripote les autres? » Il hausse un sourcil, dans un petit rire, alors qu'il retire lentement ses mais de sur Misery. Ses mains qui remontent calmement jusqu'à ses épaules, les serrent et la jeune héritière Gaunt ne pipe pas mot. Que pourrait-elle dire? Supplier? Ça serait drôle – un moment seulement. Lentement Sean recule derrière Misery et la pousse sur Sylar, la tenant par les épaules contre lui. Il le fixe, avec cet air terrible qui annonce généralement un jeu des plus obscènes qui soit, parce qu'il est comme ça, Sean. Malsain. Et c'est Azkaban qui l'a rendu comme ça. Son éducation sexuelle s'est faite entre les murs de la prison, avouée à demi-mot ou pleurait pendant une crise. Il a appris à aimer contre le carrelage froid du sol de la lingerie, les dents en sang. Et on aimerait le comprendre? Si seulement c'était encore possible. Misery, elle, par pur instinct de survie, baisse les yeux et fixe le sol, tremblante. Elle est si proche qu'elle peut sentir le souffle chaud de Sylar, et ça lui fait peur, parce qu'elle ne sait pas de quoi ils sont capables. D'ailleurs elle ne sait pas grand chose de tout ce qui se passe, excepté le fait que tout ça n'est qu'un cauchemar. La tête penchée sur la droite, elle ferme les yeux, cillant en sentant se rapprocher Sean dans son dos. Le prédateur en effet se rapproche, sa joue effleurant le canon de l'arme pour finalement venir se caler contre le dos de la jeune Misery Gaunt, bien piégée entre lui et son frère. Il se presse tellement qu'elle est obligée de se presser contre Sylar, et se crispe, parce que ce n'est pas normale. Non, ce n'est pas normale. « Tu la veux, peut être? Tu sais que tu n'as qu'à demander... Je ne te refuse jamais rien. » Il a un large sourire, dévoilant ses dents. Il se moque éperdument de lui en réalité. Il le déteste. Il le déteste autant qu'il déteste sa Temperance. Comment ose t-il s'interposer quand lui a des cuisses à embrasser, mh? Comment ose t-il ...











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