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 Hum, pardon ? Je peux, sinon je pars.

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PROFIL & INFORMATIONS









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
Hum, pardon ? Je  peux, sinon je pars.  #Lun 11 Oct - 3:15


    Lizbeth, la belle Lizbeth, n’en avait rien à foutre des regards des hommes peu intriguant et peu séduisant aux yeux de la jeune femme. Elle n’était pas intéressée par ses hommes qui la fixaient en ce moment. Elle les ignorait. Peut-être qu’en ignorant ses hommes, elle finirait par les fâchés, malgré tout. Le mannequin n’en avait vraiment rien à foutre de ses laiderons. Elle se foutait de les fâchés, elle n’était tout simplement pas intéressé à eux. Qu’est-ce qu’il y avait à dire ou à faire lorsqu’on était complètement désintéressé par leur invitation ? Elle semblait croire que leur répondre était la pire chose. Si elle répondait, elle ne ferait qu’empirer la situation. Pourtant, eux ne semblaient pas croire à cette hypothèse. Il pensait certainement qu’elle n’avait que ça à faire s’intéresser ou faire semblant de vouloir d’eux. Hé Oh ! elle n’était pas une salope qui passait son temps à aller de tout côté. Elle n’était pas ce genre de fille, même si parfois elle se laissait aller couchant avec des hommes qui l’intéressaient réellement. Saviez-vous comment de fois aurait-elle eu à coucher avec d’homme à chaque fois qu’on aurait voulu l’aborder pour mieux la connaître ? Elle était tout de même la playwitch de l’année, mais loin d’être la salope de service pour ne pas dire pute. Elle avait d’autre chat à fouetter. Elle n’avait pas à s’arrêter pour tous ses gens qui tentaient de s’approcher d’elle. Puis, elle avait un but en tête en ce moment. Elle devait voir Yon Winchester avant, ensuite elle devait aller chercher son fils. Elle lui avait promis de rentrer tôt ce soir. Elle avait promis d’écouter des films moldus à la demande de Lukas. Elle devait bien faire parfois plaisir à son fils qui vivait cacher pour son bien. Elle ne voulait pas que les gens stupides font exprès pour que leurs enfants s’approchent de son Lukas pour… apprendre à connaître Lizbeth. Elle ne pouvait s’imaginer que son petit soit autant utilisé. Elle préférait parfois s’arranger avec Yon pour certaines affaires de ce genre. Elle lui faisait grandement confiance. C’était son ami qui voyait bien plus loin que de ce qu’elle est, un mannequin ainsi que la playwitch de l’année. De toute façon, Yon et Lizbeth avaient déjà eu une nuit torride, mais il y a déjà bien longtemps avant même la naissance de Lukas. Cela faisait au moins quatre ans, même plus . Bref, elle marchait dans les rues de Londres côté moldu, elle était connue dans les deux mondes, sauf qu’elle était connue d’un côté pour un simple mannequin de lingerie et de l’autre la playwitch . Elle décida de marcher plus vite ayant l’impression d’être prise au piège par tous ses regards insistants qui la suivaient. Elle haïssait se sentir seule dans une aussi grande ville. Elle haïssait avoir autant d’attention sans avoir une sortie de secoure sure et certaine. L’australienne se mit à marcher plus rapidement pour se diriger vers le bar qui faisait la transition entre Londres moldu et le chemin de traverse. La jeune femme rentra dans le bar et alla en arrière du bar où elle pu traverser. Elle était dans le chemin de traverse regardant tout autour, mais jamais elle n’aurait cru que toutes ses têtes le fixeraient de cette façon. Comment allait-elle se diriger en direction du mauvais côté du chemin des travers, en fait, près de cette partie du chemin ? Elle allait avoir bien du mal, surtout qu’une nuée de gens vinrent vers elle pour avoir des autographes. Bordel ! Elle voulait que se promener librement sans avoir des problèmes avec les femmes des hommes qui la regardaient un peu trop ou encore ses hommes qui voulaient faire plus amples connaissances. Lizbeth eut un mouvement de recul avant d’affronter la foule. Elle se déplaça rapidement ayant ses mains la tirer vers un endroit puis un autre. Quelle brillante idée, Lizbeth. Vraiment, pensa-t-elle finalement regrettant son choix. La jeune femme réussit à se dégager. Elle rentra dans une auberge ne réfléchissant aucunement se dirigeant dans une chambre se fichant qui qui pouvait se trouver dans cette chambre. Elle allait lui donner de l’argent, son autographe… elle verrait au bon moment. Peut-être qu’avec un peu de chance. Pourtant, en refermant la porte, elle attendit un bruit derrière elle… Elle se tourna vers ce bruit en verrouillant la porte et regarda l’homme qui se trouvait dans cette chambre. « Bonjour. Je suis désolée… » Elle s’approcha de cet homme séduisant et lui présenta sa main pour la serrer. « Lizbeth Smith. Et vous, vous êtes ? » Elle lui fit un sourire ultra séduisant pour se faire pardonner d’être entrée dans sa chambre pour se cacher pour le peu de temps qu’elle avait. « je ne resterai pas trop longtemps, j’ai tenté de me cacher de cette nuée de gens qui voulaient mon autographe… Ça ne vous cause pas problème … j’espère ? »









Anonymous

Invité
Invité

Hum, pardon ? Je  peux, sinon je pars.  #Lun 25 Oct - 21:57


    Si il y avait une chose que Delan appréciait un peu plus que son travail de couverture et sa véritable entreprise; c'était les jours de repos qu'il s'octroyait dans la semaine. Et ce jour-là en était un dans toute sa splendeur. Même si il n'était pas un gros dormeur, il s'était levé à 7h30, ce qui était en somme une grasse matinée pour lui. Il en avait profité pour nettoyer un peu le bordel de sa chambre. Pas qu'il vivait dans la merde, mais à force de ne jamais rester plus de deux heures dans sa chambre, il en laissait traîner des vêtements un peu partout, pas forcément sales en plus juste roulés en boule. Et comme il interdisait à la femme de ménage d'entrer dans son taudis en son absence, elle ne passait jamais. Outre les quelques toiles d'araignées qui traînaient au plafond, bien que les araignées en question étaient introuvables, sans doute morte en tombant dans les poudres magiques que trafiquait Delan, la chambre restait vivable.
    Ainsi, il s'attela à ranger ses vêtements aux endroits appropriés, découvrant du même coup que son armoire avait des étagères ! Chose inimaginable pour lui. Retrouvant peu à peu des morceaux praticables dans la pièce, ou créant des chemins - dans le bordel de ses affaires de travail - pour se rendre d'un coin à un autre, il finit par mettre de l'ordre dans ses comptes.
    Assit à son bureau, qu'il avait dégagé de sous un amas de petits sacs, contenant principalement des gallions mais aussi des poudres ou des morceaux de créatures pour ses mélanges, voir même des herbes, il ouvrit un petit carnet. Trempant sa plume dans un petit pot d'encre, en attrapant une brioche qu'il avait été cherché en cuisine, il raya un nom et nota des nombres à côtés des autres. Parfois, il annotait un plus, ou un moins, à côtés des patronyme, signe que l'un lui devait plus, ou alors qu'il lui restait moins de temps pour payer. Et ça, Delan le détestait ! Quand il faisait affaire, il attendait de ses clients qu'ils le paient en temps et en heure, bien qu'il laissait parfois des délais plus ou moins courts.
    Finissant sa tranche de brioche, il quitta son coin de travail pour s'enfermer dans la petite salle de bain adjacente dans le but de se décrasser. Torse-nu, il observa son reflet, pas forcément ses muscles, mais surtout les multiples petites cicatrices qui apparaissaient sur sa peau. Ne résultant pas toutes de nuits d'ébats endiablés, mais aussi de bagarre ou d'accident de labo quand il manipulait des matériaux en verre qui pétaient souvent sous la chaleur du produit qu'ils contenaient. Les aléas du métier sans doute.
    Nu, il entra dans la douche et laissa couler l'eau un bon moment, frottant ses yeux pour bien se réveiller quand il entendit des bruits;. Dans SA chambre ! Attrapant une serviette, il la noua à sa taille, attrapa sa baguette et ouvrit la porte pour découvrir une jeune femme dans son espace vital.
    Grognon, surtout parce qu'il ne l'y avait pas convié, il la dévisagea méchamment, la pointa de sa baguette, près à lâcher un sort quand elle ouvrit la bouche.
    Droit, le menton légèrement relevé, il écouta ses explications, sans savoir d'où il pouvait connaître son prénom. Ce n'était pas une fille qui avait déjà partagé ses draps, il l'aurait reconnu. Il avait du en entendre parler.

      « Je suis le propriétaire de cette chambre. » répondit il simplement de ce même ton dur qu'il maniait avec talent. La main libre sur sa serviette pour éviter qu'elle ne glissa, il continua de la dévisager. « Touchez à rien, pas même avec les yeux et vous pouvez attendre que ça se calme pour partir. » Fit il en retournant s'enfermer dans la salle de bain pour enfiler ses vêtements propres, se coiffer rapidement et rejoindre à nouveau la petite pièce où se trouvait l'intruse. D'un coup de baguette il refit ses draps, poussa ses petits sachets dans un coin et retourna s'asseoir à son bureau. « La prochaine fois, frappez avant, ou enfermez vous dans un placard. » Appréciant moyennement qu'on entre dans son périmètre sans y avoir été convié.









Lizbeth T. Smith

Lizbeth T. Smith
SORCIERE. ► femme au foyer.

► MESSAGES : 111
Hum, pardon ? Je  peux, sinon je pars.  #Lun 25 Oct - 23:51


    Sale petit con! si tu savais que je ne suis pas un ange lorsqu’on me connait... moi aussi je peux devenir méchant, pensa-t-elle. Elle haïssait bien des gens, même si c’était grâce à eux qu’elle avait cette vie de folie. Parfois, elle prendrait bien une pause d’autant de célébrité. Elle était un peu la nouvelle Paris Hilton version sorcière. Une vraie. Une belle femme qui n’avait pas besoin d’un riche milliardaire, son père, pour réussir à percer le showbiz. Elle n’avait pas besoin de faire parler d’elle en mal pour faire la une. Elle avait besoin d’un simple sourire qu’on connaissait à la belle australienne qui faisait de plus en plus les couvertures de plusieurs magasines qui tentaient de s’arracher la célébrité autant de fois possible. Elle était là plantée devant un homme qu’elle ne connaissait aucunement. C’était sa seule porte de sorite. Pourtant, elle n’aimait pas ses airs, même si c’était étrange de voir apparaître une fille sans invitation dans sa chambre. Surtout lorsqu’on prenait une douche. Lizbeth flipperait à mort si quelqu’un débarquait dans sa chambre tandis qu’elle prenait une douche pour se détendre d’une journée longue et parfois très ennuyante. Ses journées n’étaient pas si difficiles, mise à part le fait de la traque de ses fans et des paparazzis, le restant restait sensiblement facile. Il fallait aussi cacher son fils pour ne pas lui faire vivre une vie difficile. Les gens ignoraient l’existence du fils de Lizbeth. Son petit Lukas. Son bébé à elle. Il y avait très, très peu de personne qui était au courant de ce secret, comme Yon Winchester, son ami. Elle n’aimait pas l’accueil de cet homme. Elle n’aimait pas la façon dont il agissait, même si elle s’excusait d’être rentrée ici sans autorisation. Elle était prête à le dédommager pour l’avoir dérangé dans sa douche. Son regard se promena sur le torse de l’homme un instant. Elle arqua un sourcil en levant les yeux vers son regard. Elle le fixait droit. Elle n’avait pas peur de cette voix aussi froide. Elle avait une certaine habitude. Il y avait Yon qui n’avait pas toujours le sourire aux lèvres. Il y avait les serpentard qu’elle avait connus. Il y avait aussi sa famille. Bref, elle était une habituée. Elle n’était pas surprise. Elle le regardait sérieusement, comme si sa voix ne l’effleurait même pas. Elle avait sa baguette au cas où. Elle n’eut même pas le réflexe de vérifier. Elle n’avait pas envie qu’il prenne ce geste pour une menace quelconque. Elle continuait à le regarder sans quitter son regard du sien. Ce n’était pas un défi, mais elle semblait chercher quelques choses. « Je suis le propriétaire de cette chambre. » Comme si elle ne l’avait pas remarqué. Elle n’était pas si conne au fond. Elle voyait très bien qu’il était le propriétaire. Il manquait que le petit écriteau où il était inscrit « Attention, je propriétaire ». Elle leva les yeux un instant au ciel. Il la prenait vraiment peut-être pour une conne. « Pour de vrai ? Moi je pensais que tu étais le voisin d’à côté » Insolente. En bonne petite serpentard, comme toujours. Elle le regardait avec un léger sourire. « Touchez à rien, pas même avec les yeux et vous pouvez attendre que ça se calme pour partir. » Elle le regarda partir pour dire assez fort pour qu’il comprenne. « Comme si tes choses m’intéressaient. Tsss, j’ai mieux à faire que de fouiller… dans vos choses. » sérieusement, elle avait beaucoup plus à faire. Elle ne pourrait indéfiniment son temps à fouiller dans les choses d’un inconnu qui semblait terriblement sur ses gardes. Ce n’était pas dans ses intentions de toute manière. Il revient habillé cette fois-ci. Il s’assit à un bureau. Elle ne le quittait pas des yeux. « La prochaine fois, frappez avant, ou enfermez vous dans un placard. » Elle haussa un sourcil encore une fois. « As-tu déjà eu des fans à tes trousses ? Sais-tu ce que c’est d’être playwitch ? Cela m’étonnerait la seule chose que tu pourrais attirer, c’est les playwitch » elle eut un petit sourire en coin. « la plupart aime des hommes comme toi » Roulement de yeux. Elle en connaissait des tonnes qui auraient craqué pour lui pour une nuit, même elle. « Et toi, tu es ? Il faut bien partir sur une bonne base au fond. La prochaine fois je cognerai avant d’entrée, mais je ne promets pas de pousser la porte et ensuite cogner. » Elle s’approcha de la fenêtre sans regarder vraiment ce qui se trouvait autour d’elle. Elle regardait par la fenêtre en soupirant bruyamment. « Merde ! les gens sont terriblement fatiguant à force… pas une minute sans que je ne puisse pas vivre une vie normale. Je veux qu’aller voir… Tu veux quoi pour dédommager ton temps perdu ou pour ce dérangement » Elle parlait plus à soi-même qu’à lui d’ailleurs avant de se retourner presqu'aussitôt vers lui le regardant droit dans les yeux.









Anonymous

Invité
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Hum, pardon ? Je  peux, sinon je pars.  #Lun 10 Jan - 21:57


    Très franchement, si il y avait bien une chose dont Delan se fichait complètement, encore plus que sa première paire de chaussette, c'était de l'opinion des gens sur sa personne. Encore plus des gens comme cette inconnue qui se permettait d'entrer chez lui comme dans un moulin et lui faire, en plus de ça, des réflexions sur sa façon d'accueillir sa personne. A croire qu'elle se prenait pour la reine d'Angleterre et encore, ce n'était même pas sûr que Delan soit aussi accueillant avec sa sérénité. D'ailleurs il aimait encore moins le regard qu'elle avait laissé traîner sur son torse. En plus de s'octroyer le droit d'entrer chez lui, elle se permettait de le reluquer. Il se sentait presque comme un objet et si il appréciait parfois ce genre de jeu, là c'était carrément pervers et agaçant, voilà pourquoi il s'empressa de se vêtir.
    Certes elle était charmante mais elle semblait du genre grande gueule et Delan préférait les filles qui se taisaient quand il fallait faire silence au lieu d'ouvrir la bouche pour bavasser. Encore une nana qui avait tout dans les seins et rien dans le crâne, quoi que niveau carrosserie il avait vu mieux quand même. Un regard en biais et il sourit méchamment avant de se remettre à son bureau pour raturer des lignes et inscrire de nouveaux noms sur ses listes.
    Il fallait bien trouver quelque chose pour se retenir de la frapper alors qu'elle se montrait des plus insolentes. Ne lui offrait il pas asile à l'instant même ? Si elle continuait il la renvoyait à ses détracteurs et pas par la porte, et avec un coup de pied aux fesses en prime ! Non mais pour qui se prenait elle cette pimbêche ?

      « J'aurais été le voisin d'à côté je t'aurais claqué la porte au museau pour avoir au moins la chance de commencer ma journée en paix. » Avec un peu de retard mais il se contenait encore, d'ailleurs il avait presque sifflé entre ses dents sur un ton sec. Les réflexions suivantes lui arrachèrent un grognement. « J'en ai trop dans le crâne pour être playwitch et mes attributs masculins m'empêcheraient d'en être une quand bien même j'en aurais envie. »


    Elle était stupide ou alors elle le faisait exprès ? En tout cas la répartie venait facilement à Delan quand il s'adressait à elle. Tellement facilement qu'il aurait presque aimé ce petit jeu si cette fille ne l'agaçait pas autant. Le compliment ne lui échappa pas mais il n'était pas de ces hommes qu'on charmait avec quelques mots, il n'était d'ailleurs pas du tout du genre à se laisser charmer. Ce n'était pas amusant, le mieux c'était de séduire et plus la fille résistait meilleur c'était.
    Levant les yeux au ciel, espérant obtenir au moins une minute de silence, il reporta son regard sur ses papiers et alors qu'il s'appliquait à faire la boucle d'un L, sa plume manqua de se briser quand il appuya soudainement dessus tandis que la jeune femme reprenait la conversation .. Ou alors le monologue, parce qu'elle parlait quand même toute seule. Enfin, jusqu'à ce que Delan se sentit forcé de répondre.

      « Qui a dit qu'il y aurait une prochaine fois ? » Sans un regard vers elle, un peu énervé. « Mon nom te sera inutile vu que je ne compte pas te revoir. » ça avait au moins le mérite d'être clair, encore fallait il espérer qu'elle comprendrait.


    Et il songea à se payer des gardes du corps qu'il placerait devant sa porte pour repousser tout nuisible du même genre. Sauf si le nuisible lui plaisait assez pour lui autoriser l'asile politique .. Dans ses draps. « Merde! Les gens sont terriblement fatiguant à force.. » il ne pouvait pas être plus d'accord ! Et il lança un regard conséquent à la jeune femme, sous-entendant que si il était d'accord avec ça c'était parce que lui aurait classé cette jeune femme là dans le panier des gens fatiguant. Il rangea sa plume sur le bureau et plia le cahier pour le ranger dans un tiroir avant de se frotter le visage dans ses mains, l'air épuisé ou tout du moins les nerfs à fleur de peau.
    La question de la jeune femme, en revanche, attira son attention. Il lui aurait bien demandé quelque chose en contrepartie, en effet mais lui demander dédommagement reviendrait à être forcé de la revoir un jour.. Il grinça des dents et plongea son regard dans le sien.

      « Considère ça comme ma Bonne Action du jour. » bien que ça lui arrachait la gueule de ne pouvoir tirer un bon prix de tout ça. « Je pourrais virer ces types d'un petit sort... » parlant plus à lui-même qu'à quiconque était dans la pièce, histoire de réduire sa peine.










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