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 Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire...

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PROFIL & INFORMATIONS









Dante A. Maestriani

Dante A. Maestriani
PROFESSEUR de dcfm

► MESSAGES : 95
Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Jeu 8 Avr - 20:12


Ce cours allait être DE-PRI-MANT. Il le savait. C'était couru d'avance. Déjà c'était la rentrée. Qui était ravi de retrouver les cours à la rentrée? Le monde était plongé dans le noir. Il pleuvait dehors. Il faisait froid et humide dedans. Il n'avait plus de clopes (sûr qu' Alice était venu en piquer dans ses réserves). Il avait tordu sa plume en écrivant le titre au tableau tout à l'heure. Quelqu'un lui avait volé une chaussette. Il y avait une fuite au troisième étage. La classe était jonchée de cailloux sur lesquels les élèves trébucheraient en rentrant (ça aussi c'était sûr). La porte avait gonflé à cause de la géométrie. Ses chaussures grinçaient. Il avait perdu sa craie qui ouvrait toute les portes. Le rat de bibliothèque avait bouffé toutes les barres chocolatées qu'il gardait dans l'armoire de la salle de classe pour un usage strictement pédagogique. Il avait croisé Lilith Grey en se levant ce matin, et Lilith Grey c'était le Sinistros de Poufsouffle, pire que de croiser au petit déjeuner le Baron Sanglant ou Nick Quasi-sans-Tête un jour où il avait le hoquet. C'était sûr... il allait se suicider avant la fin de...

Professeur Maestriani - Et voilà ça vous reprend! Je trouve que vous avez légèrement tendance à exabuser, je ne suis pas le seul dans cette école tout de même!', puis après ce petit soliloque, il se mit à chantonner à pleine voix... Dans la vie faut pas s'en faire moi je ne m'en fais pas toutes ces petites misères seront passagères tout ça s'arrangera je n'ai pas un c...

Il était justement sur le point de se mettre à danser - et Dieu sait que quand il dansait c'était quelque chose... à ne pas voir - quand un élève fit une entrée magistrale: une superbe glissage à travers toute la salle. Sans doute à cause de ces maudits cailloux qu'il y avait un peu partout par terre et qu'on ne remarquait pas vraiment de prime abord. Ca plus l'humidité. Le professeur rattrapa son élève par le col:

Professeur Maestriani - Encore un peu et vous passiez par la fenêtre...', l'ennui avec les élèves c'était qu'une fois sur deux il oubliait leur nom, mais il s'en tirait toujours avec l'air de rien...... ça aurait été calamidable, vraiment. Quoi que rigolo sur le coup vous ne trouvez pas?

Il avait l'air sérieux en plus. L'élève ayant de nouveau les deux pieds sur terre, il alla s'assoir sur son bureau, sa petite chansonnette toujours en tête, et il devait se retenir à grand effort pour ne pas la humhumer. Au tableau on pouvait voir écrit en gros:

Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... Attent10

Spoiler:









Anonymous

Invité
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Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Ven 9 Avr - 18:35


Premier étage, salle numéro onze, premier étage salle numéro onze, premier étage salle… Dix minutes qu’elle tentait d’inscrire dans son esprit le lieu du cours de défense contre les forces du mal. C’était le premier auquel elle allait assister, pour sûr elle craignait un peu d’être mise au devant de la scène, du genre oh regardez je vous présente la nouvelle. Très peu pour elle, elle supportait non sans mal les regards trop inquisiteurs, trop de mauvais souvenirs, des souvenirs bien trop proches. Elle avala sa dernière gorgée de thé avant de quitter la grande salle. Le thé, quelle merveilleuse invention que le thé. Elle l’avait découvert à Poudlard. Depuis elle ne s’en passait plus, Katherina était devenue une véritable accro au thé. Si elle avait eu cela quand elle était encore au Vatican les réveils auraient été bien plus agréables. Et puis quand elle buvait du thé elle l’avait l’impression de faire quelque chose de tout à fait normal. Le thé lui permettait de se fondre bien plus facilement dans la masse.
Livres et parchemins contre sa poitrine elle monta les escaliers en direction du premier étage se demandant comment le cours allait se dérouler. Elle s’était renseignée sur le professeur. Etrangement les descriptions à son égard n’étaient pas toutes cousues de fil d’or, à ce qu’on lui avait lui avait dit, elle se demandait encore si l’on ne s’était pas moqué d’elle quand elle était venue avec ses bêtes questions. Cela ne l’étonnerait pas, si elle avait bien compris une chose sur la façon d’agir des gens, c’est que quelle que soit le rang ou les croyances, le mensonge demeure. Alors pour ne point se détacher du lot elle tentait vainement d’apprendre à mentir. C’était un choix qu’elle avait murement réfléchi. En effet, le mensonge est condamnable par les lois divines, cependant elle pouvait comprendre que parfois il demeurait nécessaire et que dans ces cas là, Dieu ne lui en tiendrait pas rigueur. Là encore, son expérience personnelle lui a prouvé que si les clercs lui avait menti c’était pour la préserver de la connaissance, à trop savoir l’on est trop tenté. Ce n’était pas là un raisonnement qu’elle approuvait, loin de là d’ailleurs. Mais s’il n’était pas néfaste à des hommes d’Eglise, il ne le serait pas pour elle, point final.

Katherina passa devant la salle 21 quand elle s’arrêta nette dans sa progression. « Toi tu as encore perdue la salle. » Elle fit donc demi-tour, en prenant bien garde de ne pas passer outre la bonne salle de cours, il manquerait plus qu’elle arrive en retard parce qu’elle ne trouvait plus salle, alors qu’elle était persuadée d’être, à l’origine, une des premières. La dite porte se présenta à son regard, visiblement il n’y avait pas foule, son intuition n’était donc pas mauvaise. Elle passa discrètement sa tête par l’ouverture pour voir le professeur en train de chantonner elle ne savait quel air de musique. De toutes manières, à part les chants religieux qu’elle connaissait, le reste était pour elle un véritable mystère. Pourtant elle avait remarqué qu’elle aimait bien la musique, c’était un moyen formidable de faire passer des émotions assez simplement, malheureusement elle avait aussi compris qu’elle était un moyen de propagande pour le moins impressionnant, et encore elle n‘avait pas tout découvert.
Absorbée par la démarche particulière du professeur, elle entra doucement dans la salle, sans avoir fait une seule seconde attention à l’endroit où se posait ses pieds. Encore fallait-il se douter, ne serait-ce que l’espace d’une demi-seconde, qu’il y avait des cailloux jonchant sur le sol. Si bien que son pied dérapa avec grande justesse, entraînant le second dans sa folle avancée, et la voilà qui se lançait dans une glissade dont elle se souviendrait, elle qui ne voulait pas qu’on lui porte trop d’attention. La fenêtre se rapprocha dangereusement, elle imaginait déjà le vol plané qu’elle y ferait quand elle la percuterait. Sa crainte se dissipa lorsqu’elle sentit une pression au niveau de sa gorge, on la tirait vers l’arrière. Suite à cet étouffement forcé, elle toussota reprenant sa respiration.

Professeur Maestriani - Encore un peu et vous passiez par la fenêtre… ça aurait été calamidable, vraiment. Quoi que rigolo sur le coup, vous ne trouvez pas ?
Katherina - Heu, je… A voir certainement. Merci., dit-elle encore sous le choc. Non pas sous le choc de la glissade non ça s’était passé avec la venue du second choc : calamidable. Calamidable ? Il sortait d’où ce mot ? Elle ne l’avait jamais entendu et pourtant en matière de lexique elle se savait très renseignée sur le sujet. C’est là que cela fit tilt dans sa tête. Le prof qui invente des mots. C’était ce que lui avait dit un Poufsouffle. Ca par contre, c’était une des choses auxquelles elle n’avait pas voulu croire…
Elle le suivit du regard en train s’assoir sur son bureau jusqu’à ce que ses yeux dérivent vers le tableau. En voilà une nouvelle grande énigme. Qu’est-ce qu’il y avait d’inscrit là-dessus, et surtout pourquoi ce n’était pas écrit en entier. On pourrait croire que c’était une personne apeurée qui était venue écrire ici ses dernière recommandations avant de disparaître. Ce qui n’était certainement pas le cas puisque cela ne semblait nullement inquiéter le professeur, de toute manière maintenant qu’elle avait le cas Meatriani sous les yeux elle se demandait qu’est-ce qui pouvait bien l’inquiéter… Mais comme elle ne voulait surtout pas être mauvaise langue, elle cessa là ses prémices de commérages pour éviter toute confession.

Prenant place au premier bureau à sa portée, deuxième rang près de la fenêtre, elle essaya de chercher ce que voulait dire l’inscription. Attention pou… Attention Poudlard ? Et c’était quoi l’intérêt d’écrire ceci à par créer une émeute ? Attention pour ce cours pas de baguette ? Attention poudre de cheminette ? Attention poudre glissante au sol ? Attention poutre mal scellée ? (elle regarda d’ailleurs au plafond à cette pensée, ne sait-on jamais). Cela pouvait dire bien des choses, si bien qu’elle continuerait certainement jusqu’à ce qu’elle ait une explication digne de ce nom.









Matthias J. de Salamine

Matthias J. de Salamine
MAGISTER. ► ès HDLM.

► MESSAGES : 171
Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Mar 13 Avr - 17:07





Il n'avait pas vraiment envie d'y aller... d'y aller. C'était où, déjà? Il réfléchissait, calmement, l'air de rien. Allongé dans son lit, il réfléchissait. Dans ses cheveux, une plume noire était plantée, comme marque de Caïn sur l'enfant blond. Visiblement, il ne savait même pas à quoi réfléchir. À sa rencontre avec la soeur de Keith? À la cécité de Keith? … tout ça venait compromettre son avenir. Reynar lui avait dit de ne pas s'inquiéter, de ne pas avoir peur, de ne rien craindre. L'avenir serait bon. Comme si... Il regarda Nicolas qui se levait, lui, pour aller en cours. Soit... Matthias se tourna dans son lit, et regarda l'horloge. C'était l'heure. Il marmonna quelque chose et finalement s'extirpa de son lit, remit en place sa cravate verte et argent, et regarda dans la glace. La plume noire s'était logée dans ses cheveux, et elle dessinait comme une branche d'olivier, à la façon de Jules César ou d'une couronne. Il n'y avait qu'une plume pourtant, mais elle était belle, longue. Unique en son genre, de la texture jusqu'à la forme. Trop belle pour être réelle. Il sursauta comme on ouvrait la porte, et finalement sortit, oubliant de l'enlever de ses cheveux. Les gens posaient leurs yeux sur lui. Était-il si moche de péché qu'on le regardait ainsi? … triste chose. Il n'y faisait pas attention, passer dans les couloirs, sans une attention, sans un regard. Il n'avait pas besoin d'eux. Il n'avait besoin de personne d'autre, que Keith, et il était celui qui lui échappait le plus. À croire que le destin se jouait bien de l'esprit et des désirs du petit blond, qui avait perdu ses chères boucles, lourdes et bien faites, pour des cheveux lisses, qui lui donnaient un air désespéré. Soit. Il l'était. Alors il le portait bien.

Cours avec qui déjà...? Ah oui. Maestriani. Comme si ça pouvait aider. Matthias ne le portait pas dans son coeur, mais ne le détestait pas davantage. La chose était que tous les professeurs, pour le jeune vaticanais, se valaient. Et autant dire qu'il n'aimait pas la compagnie. Qu'elle soit adulte, ou non. Surtout en ces moments douloureux. Il releva le nez. Ils étaient déjà deux. Bien. Il hocha la tête pour lui même, la plume toujours dans ses cheveux, au niveau de la tempe droite, et entra dans la pièce sans un mot. Son regard était sur les cailloux, et heureusement pour lui, il ne trébucha pas. Il se posa sur la première chaise en vue, c'est à dire au deuxième rang, près du mur. Il posa son regard sur l'autre élève... Forcément. Il détourna le regard, le posa sur le tableau. Il n'avait pas le moral à réfléchir. Pas à ça... Il posa son menton dans sa main. La plume encore dans les cheveux.











Anonymous

Invité
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Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Mer 14 Avr - 8:01


Beaucoup de professeurs, beaucoup d'adultes ont dit que Wednesday avait une case en moins. Il n'y a eu que le professeur Maestriani pour dire qu'elle en avait une en plus. Pensez-vous elle l'a adoré directement. Peut-être le premier qui ne l'a pas juste pris pour une gamine insupportable - quoiqu'elle le soit vraiment -, et ça ça vous vaut la reconnaissance éternelle de la petite gamine. Elle pourrait tout lui donner, son sourire, sa collection de peluches, son refuge de chats (oui parce que Weddie recueille tous les chats du château, même si c'est pas nécessaire), ses tartes au citron, ses prises de chasses, son corps.... hum restons en au sourire. Chose qu'elle lui offre à chaque entrée en cours.
A peine passe-t'elle dans l'encadrure de la porte, qu'elle lui jette le plus sincère et gigantesque de ses sourires, sans aucun reflet carnassier, ce qui est très rare chez elle. « Joyeux non-anniversaire Professeur Mae... » Une calamité à prononcer. Elle se trompe à chaque fois. Elle plisse un peu les yeux pour se souvenir et finit, moins assurée. «...striani-iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii » Ah non ça l'allongement de la voyelle, c'était pas prévu. C'est qu'elle vient de s'étaler par terre sur les cailloux qui jonchent le sol et qu'elle n'avait pas vu. Mais au lieu de la faire pleurer, et de se laisser étendue sur le sol, elle se met à éclater de rire et se relève en chancelant. « Wah, trop cool, on dirait qu'on vient dans un parc d'attraction! » Wednesday avait toujours cette faculté de s'inventer un monde, ou de prendre tout ce qui lui arrive comme la plus belle chose du monde, on arrive pas encore à déterminer.
Le pas partant un peu à dreuz, elle se dirige vers les tables qu'elles balayent du regard afin de chercher où s'asseoir. Une fille qu'elle ne connait pas, qui vient d'arriver il lui semble. Peut-être qu'elle se sent seule, peut-être bien qu'elle irait se mettre à coté d'elle pour lui tenir compagnie, mais ses yeux dans un coin aperçoivent un éclair de cheveux blonds, et Wednesday sent son visage s'illuminer. Pauvre petit, tu n'échapperas pas à la tornade Weddie. « MATTHIIIIIIIIIIII! » Weddie en oublierait presque qu'elle n'est pas seule dans la salle. Elle se précipite sur la place libre à coté de lui, ne lui demandant même pas son avis, et le sert très fort dans ses bras, et avec sa force surhumaine, manque de s'étrangler avant de se rendre compte que sa peau si blanche commence un peu à virer au bleu. « Ça fait longtemps que je t'avais pas vu! » Elle lui fait un autre de ces grands sourires dont elle a le secret, et on croirait presque qu'ils sont juste deux bons amis qui se sont juste un peu perdus de vue quelques semaines, alors qu'il n'ont passé qu'une nuit ensemble, et que c'est pas ce que vous croyiez! « Oh t'as une jolie plume dans les cheveux! » Elle approche sa main, comme les enfants veulent tout toucher, pour la prendre dans sa main, mais s'arrête en cours de route se disant qu'elle est vraiment jolie là où elle est.
Mais Wednesday plus rapide encore qu'une girouette détourne son attention de Matthias et de ses cheveux pour regarder le professeur et ce qu'il y a au tableau derrière lui. Après un moment d'intense réflexion signifié par un puissant froncement de sourcil, comme si avec ça elle allait faire léviter le prof, elle pointa du doigt le tableau, l'air intriguée. « Professeur, moi je ne vois pas de Pourriture Communiste ici... » Peut-être qu'il faut qu'elle étaye son propos. « Y a bien marqué " Attention Pourriture Communiste " au tableau, non? » Soudain elle est prise de panique. « A moins qu'il soit déjà passé et qu'ils vous ait tué! » Mais sa brusque peur s'efface. « Ah mais, vous êtes toujours là, c'est vrai. Vous êtes trop fort, monsieur! » Weddie vient juste de s'inventer toute une histoire sans queue ni tête. Mais on ne peut pas lui reprocher d'être juste une enfant un peu trop innocente, et au moins de s'intéresser au cours.









Dante A. Maestriani

Dante A. Maestriani
PROFESSEUR de dcfm

► MESSAGES : 95
Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Jeu 15 Avr - 11:08


Miss de Ricci - Heu, je… A voir certainement. Merci.,

Visiblement la nouvelle élève ne semblait pas vraiment partager l'avis du professeur Maestriani. Il ne lui en tint pourtant pas rigueur, esquissant un sourire sincère et assez rassurant quand on arrivait à faire abstraction du reste du personnage. Il n'était pas étonné. Après tout s'il avait dormi pendant les trois quart de la dernière réunion des professeurs, il avait tout de même glané çà et là quelques informations qui pourraient s'avérer utiles. Comme par exemple que le Vatican envoyait un autre de ses enfants et comme il avait déjà pu remarquer que les quatre premiers manquaient frabieusement de plussoyance, il s'était plus ou moins attendu à ce que la soeur du préfet de Serpentard en manque aussi. Et pourtant elle avait été envoyée chez lui. De fait, il ne doutait pas de trouver caché quelque part la petite étincelle, la fameuse case en plus qu'il avait plaisir à trouver chez les siens. Quoique pas chez tous.
Mais les faits allaient bientôt lui montrer qu'il s'était trompé au sujet des jeunes envoyés du Vatican. En effet en voyant Matthias de Salamine entrer, le professeur leva un sourcil, puis un sourire curieux lui passa sur le visage. On aurait eu du mal a dire si c'était moqueur ou bien...
Se mettre une plume dans les cheveux: un peu ridicule mais original tout de même. Se serait-il tout d'un coup découvert une âme d'artiste? Il n'eut guère le temps d'étudier ce cas là car Miss Makkonen faisait une entrée fracassante, volant la vedette à tous. Il fallait dire que c'était son élève favorite. Un vrai bijou de droline et de plussoyance. Une perle cette élève.

Miss Makkonen - « Joyeux non-anniversaire Professeur Mae... »
Professeur Maestriani - Vous de même. Mince, j'avais dit que je ferais des crêpes pour notre prochain non-ann... ah au fait, faites attention aux...
Miss Makkonen - «...striani-iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »

Le professeur la regarda passer en slide devant lui, puis lui tendit une main secourable alors qu'elle se mettait à rire:

Miss Makkonen - « Wah, trop cool, on dirait qu'on vient dans un parc d'attraction! »
Professeur Maestriani - Vous trouvez vous aussi?', il avait l'air absolument ravi par la remarque et on entendit des petites émeraudes tomber dans le sablier de Serpentard. Puis la relevant vigoureusement, C'est très bien nous allons tous avoir besoin de votre enthousiasme et de votre plussoyance aujourd'hui Miss Makkonen.

Et il n'avait pas tord de se reposer sur elle là dessus parce qu'il craignait de ne guère pouvoir compter sur l'enthousiasme des autres élèves. Ce n'était pas que le cours ne serait pas intéressant mais il serait tellement dép... Le professeur secoua légèrement la tête comme pour chasser quelques idées parasites. Enthousiasme! C'était ce qu'il fallait. Il laissa encore entrer quelques élèves et ferma la porte... à clé. Bien étrange. Tout d'un coup l'atmosphère de la classe devint carrément oppressante, et chaque élève put se sentir profondément démoralisé. Le pire de tout c'était qu'à y réfléchir ne serait-ce qu'une seconde, chacun se trouverait une bonne raison de broyer du noir. Par chance le gai pinson de la clique avait encore quelques tours à tirer de son chapeau de sorcière:

Miss Makkonen« Professeur, moi je ne vois pas de Pourriture Communiste ici... Y a bien marqué " Attention Pourriture Communiste " au tableau, non? »

Dante se retourna vers le tableau pour voir le "attention pourriture de communiste" en question. Il en aurait presque oublié que c'était lui qui avait écrit au tableau et que sa plume avait dérapé.

« A moins qu'il soit déjà passé et qu'ils vous ait tué! Ah mais, vous êtes toujours là, c'est vrai. Vous êtes trop fort, monsieur! »
Professeur Maestriani - C'est gentil Miss Makkonen. Cela dit je ne le fais pas exprès.', on aurait pu croire qu'il allait lui faire remarquer que c'était tout à fait déplacé mais non. Il voulait bien être "trop fort" si on le lui disait, ça ne le gênait pas outre mesure. Sentant un nouvel élan de déprime le saisir il s'empressa de répondre, mais en fait non, ce n'est pas "attention pourriture de communiste"... ma plume s'est cassée quand j'ai voulu écrire attention povre...

Mais il du s'interrompre parce qu'un retardataire tapait à la porte. Le professeur jeta un regard torve à la porte puis lança un sortilège qui fit tourner la clé d'un quart à droite, empoigna l'élève en question, l'installa sans ménagement à une table, claqua la porte dans le même temps et retourna la clé d'un quart à gauche.

Professeur Maestriani - Bon. Maintenant que vous êtes éclairés sur le cours d'aujourd'hui je vais vous demander de sortir vos manuels et de vous mettre par deux ou trois maximum. ET AVEC ENTHOUSIASME!!! s'il vous plait. Ce n'est vraiment pas le moment de me faire une dépression. Nous allons devoir agir très vite. Aussi je ne vous ferais pas le topo habituel pour voir si vous avez tous potassé vos leçons. Venons en aux faits avant que quelqu'un ne se suicide.

Certes.
Mais avec l'intervention inopinée de ce retardataire. Il en avait oublié de dire le sujet du cours. Pourtant Miss Makkonen l'avait déjà si bien lancé.

Spoiler:









Anonymous

Invité
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Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Ven 16 Avr - 19:08


    Raven tira sur ses bas émaillé qui tombait sur ses chevilles. Elle espérait ne pas croiser Melle Grey sinon elle aurait droit encore une fois à une remarque sur « son accoutrement tout a fait grossier » qui était juste son propre style. Fort heureusement pour le corps enseignant de l’école la jeune blonde portait le plus souvent la tenue réglementaire de Poudlard même si elle l’avait personnalisé avec des pin’s, des bas résille et une jupe plus courte qu’elle ne devait l’être. Son maquillage était comme d’ordinaire assez exagéré mais certain s’en était formalisé depuis longtemps. Quand aux autres…

    Elle était en retard au cour de Défense contre les forces du mal mais ne s’en soucier guère a vrai dire. Arrivait devant la porte elle actionna la poigné et se rendit compte qu’elle était fermé. Mais à peine deux seconde après qu’elle l’eut lâché la porte s’ouvrit en grand et sans qu’elle ne puisse l’empêcher elle fût empoigner par une force invisible qui l’empêcha de marcha sur tout un tas de caillou présent à l’entrée l'installa sans ménagement à une table. La porte claqua alors et Raven et se retourna juste au moment où la clé les enfermer à l’intérieur. Un sourire apparut sur ses lèvres en même temps qu’une certaine curiosité. Pourquoi les tenir ainsi prisonnier ? Le cour commença alors pendant que Raven sortait ses affaires. Mr Maestriani demanda alors à ses élèves de faire des groupes de deux élèves et un détail turlupina alors la jeune fille.

    Raven – « Professeur. On va vraiment étudier les Povrebines ? Enfin je suppose que oui vu qu’il y en a déjà plein sur le sol de cette classe mais… »

    Son regard se posa sur le tas de pierre et elle esquiva une légère grimace.









Dante A. Maestriani

Dante A. Maestriani
PROFESSEUR de dcfm

► MESSAGES : 95
Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Ven 23 Avr - 16:04


Le professeur ne fit aucune remarque sur la tenue de l'élève qu'il avait "poliment" fait entrer dans la salle de classe. Ce n'était pas qu'il n'avait pas remarqué l'absence du bien triste uniforme noir - encore une chose déprimante - mais il n'était pas gêné le moins du monde par cette infraction minime au règlement.

Raven – « Professeur. On va vraiment étudier les Povrebines ? Enfin je suppose que oui vu qu’il y en a déjà plein sur le sol de cette classe mais… »
Professeur Maestriani - Ce n'est pas ce que je viens de dire?', doutant soudain, il s'écoutait rarement parler aussi...,' Je n'en mettrais pas ma main au chaudron mais bon passons... ce sont les povrebines que j'ai du aller ramasser dans le parc cette nuit. Visiblement ses créatures ont profité des invasions de créatures infernales pour pulluler. Et comme si ce n'était pas assez avec les gardes chasse qui... enfin il n'y a plus de garde chasse donc nous allons devoir faire leur boulot. Donc! comme je l'ai déjà dit - enfin je crois - mettez vous par groupe de deux et attaquez vous au nettoyage. Je ne me sens déjà plus très en forme... vous n'auriez pas une idée amoureusante pour nous Miss Makkonen?', demanda-t-il en tirant mollement sa baguette pour commencer à se débarrasser des premiers povrebines. Mais le coeur n'y était vraiment pas...

Pendant qu'il disait cela, un petit attroupement de povrebines c'était formé autour de Miss de Ricci et un povrebine sans doute plus téméraire que les autres était venu s'assoir sur le pied de Monsieur de Salamine...

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Anonymous

Invité
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Cours de DCFM n°1 - Dans la vie faut pas s'en faire... #Lun 3 Mai - 16:19


Non Wednesday n'est pas un cadeau pour le pauvre Matthias. Pour tout le monde en fait. Pour tous ceux qui espèrent suivre le cours. Sauf pour le professeur, qui doit bien croire la voir arriver emballée d'un bon gros ruban. Enfin de quoi illuminer un peu les cours qu'on se dit. Mais franchement, les autres professeurs s'en passeraient bien. Mais pas le professeur Maestriani, qui Merlin a encore oublié les crêpes. Wednesday le bouderait bien un coup pour cet affreux oubli, mais voyez-vous elle ne peut s'empêcher de l'ouvrir et d'oublier qu'elle joue à celui qu'elle boude. Elle l'aime tellement. Et elle aime tellement l'ouvrir. On n'y peut rien. Même les Povrebines si elles se mettaient à grimper sur faire l'ascension de ses jambes.
Donc. Des petites bestioles. Ça ne doit pas être bien méchant. Suffit de les écraser avec le pied. « Visiblement ses créatures ont profité des invasions de créatures infernales pour pulluler. Et comme si ce n'était pas assez avec les gardes chasse qui... enfin il n'y a plus de garde chasse donc nous allons devoir faire leur boulot. Donc! comme je l'ai déjà dit - enfin je crois - mettez vous par groupe de deux et attaquez vous au nettoyage. Je ne me sens déjà plus très en forme... vous n'auriez pas une idée amoureusante pour nous Miss Makkonen? » Hum, oui? Wednesday se triture les méninges, et surtout les rides de son front, essayant de croiser son regard vers un point imaginaire au plafond ou ne se trouve pas la réponse. « ... Si on essayer de les tuer en tapant deux fois dessus en disant 'Transforma!' Et on voit en quoi ça se transforme? » Hum oui bien sûr, quelle idée. Surtout vu le niveau de maitrise de sa baguette. Ça promet d'être drôle. « Oh et si après on en faisait un barbecue? » Ça c'est la fin de loup-garou qui remonte.
Mais Saperlipopette, voila qu'un Povretrucmachinjesaisplusquoi s'attaque à la jambe de Matthias. Ca ne se passera pas comme ça petite créature toute moche et toute méchante. Wednesday se saisit de sa baguette, à l'endroit, pour une fois tiens. « Arrière, sale bête! Transformaaaaaaa! » Et le povrebine se transforme en un gros, très gros mille-pattes. Oh ben mince. Ni une ni deux, Wednesday l'écrase d'un grand coup, sans prendre le temps de vérifier si le pied de Matthias ne se trouve pas dessous. Ah ben si. Surtout avec sa force de loup-garou, ça doit faire mal. Se rendant compte de sa bêtise Wednesday jette ses bras autour de Matthias, se voulant réconfortante mais surtout étouffante. « Oh non non, je suis désolé Matthi, je voulais pas que t'es mal! »










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