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 J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish}

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Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Ven 16 Oct - 19:17


    William se redressa d’un seul coup. Il venait de faire un mauvais rêve. Ce n’était pas la première fois qu’il en faisait mais il n’avait pas non plus pour habitude de voir ses nuits secoué de mauvais songe. Le vert et argent était un garçon plutôt joyeux et souriant qui semblait n’avoir aucun problème apparent. Certes il était nouveau à l’école, pour l’instant ses amis pouvait se comptait sur le bout des doigts, et il n’avait pas les meilleures note qui soit. Toutefois il n’avait pas non plus à se plaindre et ce n’était pas se genre de détail sans importance qui pouvait laisser sous-entendre qu’il avait des problèmes et des préoccupations. Et pourtant…. Cela faisait un bon mois à présent qu’il avait quitté son Amérique natal et il n’avait toujours reçu aucune nouvelle de lui. A quoi c’était-il attendu d’un certain côté ? Il n’avait jamais prêté attention à sa présence et ce n’était certainement pas maintenant qu’il se trouvait a des kilomètres, résident a Poudlard que cela allait changer. C’est ce genre de phrase qu’il n’avait cessé de se répéter dans sa tête comme pour se convaincre lui-même que ça n’avait aucune importance, que c’était la vie et qu’il fallait l’acceptait. Mais malgré ça une part de lui-même, peut-être son petit côté naïf et enfantin, n’avait cessé d’espérait lui manquer. Etait ce trop demander que de recevoir une lettre ? Une simple et délicate petite lettre ? Juste quelque mots couché sur un parchemin pour prendre de ses nouvelles ? Apparemment….

    Les préoccupations de William allait bon train dans son esprit à longueur de temps mais il arrivait pleinement à le dissimuler en journée et cela même aux yeux de Roman ou Elladora. Mais en pleine nuit c’était totalement différent. Sans compter le fait qu’il lui fallait de bonne minute pour s’endormir, son esprit bien trop préoccupé pour laisser ses cellules nerveuse se détendre, à présent il devait faire face à des mauvais rêve. Torse nu malgré les nuits qui commençait à se rafraichir en ce début de mois d’octobre, William était tout transpirant à cause l’adrénaline provoqué par son cauchemars. Son cœur cogner furieusement dans sa poitrine et il se demandait comment il arrivait encore a respiré tant sa respiration était courte. Son esprit était embrouillé et seul quelque morceau de son songe lui revenait en mémoire. La chambre de son dortoir était grande et pourtant il se sentait étouffait dans cette pièce qui lui paraissait tout à coup minuscule. Il avait l’impression de manquer d’air et il avait comme un besoin pressent et immédiat de liberté. En proie à une crise d’angoisse à venir, il poussa alors les couvertures de son lit avec empressement et posa ses pieds nus à terre.

    Les autres élèves de son dortoirs dormaient à point fermer. Sans un bruit il attrapa sa baguette posait sur la table de chevets et se dirigea vers un mur face a son lit. Il murmura alors un sort et une pierre sortit de l’alignement. Il se rapprocha et enleva la dalle qu’il avait descellée. Un trou était présent à la place de la pierre mais beaucoup plus profond qu’on aurait pût le supposer. La dalle que tenait William dans sa main était sans doute la porte d’une cachette qu’il s’était lui-même construite à l’insu des Professeur et des préfets de l’école. Il avait mis à l’intérieur des objets cher à son cœur et d’autre interdit dans l’enceinte magique. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres quand il tendit la main à l’intérieur de sa caverne aux merveilles pour en saisir le paquet de cigarette qu’il y avait mis. Chez les Slayers on lui avait vite fait perdre cette habitude et bien qu’en Amérique c’était surtout une façon pour lui de provoquer son père, il est vrai que la nicotine lui faisait toujours du bien en cas de stress intense. Pas la peine d’aller bien loin. Il était certain qu’il serait beaucoup plus repérable a la fenêtre de son dortoir que sur la plate forme qui n’était pas si loin que ça de tout façon Il se dirigea vers la porte et c’est seulement lorsqu’il mit le premier pied dans le couloir qu’il se fit la réflexion qu’il aurait peut-être dût s’habiller. Il est vrai que ce promener torse nu et en bas de pyjama gris ça le faisait moyen mais il n’avait plus le courage de faire marche arrière. Ce collant contre les murs comme un agent secret et prenant bien soin de ne pas rentré dans le collimateur des préfets, il finit par rejoindre son but. L’air frais lui était agréable bien que la froideur de la nuit contrastée a merveille avec sa peau brulante et les gouttes de sueurs perlant sur sa peau. Son torse musclé en aurait fait flancher plus d’une sans aucun doute mais William n’était pas sortit dans le but d’essayer de se rendre dans le dortoir des filles rejoindre une hypothétique conquête mais dans celui de s’en fumer une. Il porta alors sa main a sa poche et en sortit son paquet de cigarette tandis que son regard s’attardait sur le vue magnifique qui s’étendait devant lui. Alors qu’il porta la clope à sa bouche, il réalisa alors quelque chose.

    William – « Oh putain non… ! »









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Dim 18 Oct - 22:10

    Candice assise dans son lit à pleurer, encore. Elle pleurait à cause de son mauvais rêve qu’elle avait fait. La Poufsouffle ne voulait pas que ça arrive. Elle avait encore rêvé à Jayden qui l’avait remplacée par une autre auprès de lui, malgré le fait qu’il ne soit pas en couple. Elle était incapable de penser que Jayden pouvait l’abandonner. C’était rendu un ami très près d’elle. Elle avait tellement travaillé pour que cette amitié existe qu’elle ne pouvait concevoir de se séparer déjà de lui. Déjà qu’elle était éperdument amoureuse de ce dernier. Il ne l’aimait pas, en fait il ne l’aimait pas plus qu’en amie contrairement à elle qui l’aimait d’un amour profond. Elle était malheureuse chaque jour de sa vie, mais elle essayait d’oublier ses sentiments pour pouvoir continuer sa vie la tête tranquille, mais elle ne réussissait pas. Elle s’était promis de ne jamais plus tomber amoureuse de qui que ce soit. Elle n’avait pas réussi sa propre promesse. Alors mentait-elle à toutes les personnes à qui elle faisait une promesse ? Non, il n’y avait qu’à elle qu’elle ne réussissait pas toujours à tenir ses promesses. C’était triste. Pourtant, elle gardait le sourire devant tout le monde. La nuit quand elle ne dormait pas avec lui, elle pleurait. Elle se sentait si vulnérable et elle n’aimait pas le sentiment d’insécurité qu’elle ressentait quand elle n’était pas près de lui. Aucune présence masculine avait fait cet effet sur elle. Elle était bien avec lui, mais lui ne semblait pas bien avec elle. Ça lui brisait le cœur au fond. Elle souffrait de plus en plus, chaque jour ça l’empirait. Quand elle le voyait avec d’autres filles, elle se sentait terriblement abandonner et elle se fâchait, terriblement avec une immense peine. Candice errait donc sans vraiment d’endroit où aller quand ça lui arrivait. Elle était totalement perdue sans lui. Elle l’aimait à un point tel que personne ne pouvait comparer cet amour à aucun autre amour. Pour Candy c’était son âme sœur, mais elle semblait être l’une des malchanceuses qui aime sans être aimé en retour puisque l’autre ne veut pas l’aimer et ne l’aime pas. C’était malheureux, car elle faisait beaucoup d’effort pour qu’il la laisse s’approcher de lui, elle oublie parfois, même qui elle était. Elle était totalement malheureuse, mais dans sa tristesse, elle trouvait le bonheur… elle l’avait comme ami, il la câlinait régulièrement et elle pouvait dormir en sa compagnie, sauf qu’elle avait tendance à devenir trop émotive et suivre un instinct de femme totalement amoureuse, elle tentait par moment de l’embrasser, mais il la repoussait et gueulait. Son cœur se brisait en petite miette, elle baissait la tête et s’excusait voulant se faire pardonner. Candice pleurait pour beaucoup de chose, mais elle était émotive et elle n’en pouvait plus de souffrir ainsi…

    Candice sécha ses larmes et se leva de son lit. Elle devait prend un peu d’air, mais elle avait trop peur de sortir dans le parc seule, elle ne voulait pas aller le déranger ayant trop peur qu’il se fâche et qu’elle perde encore tous ses moyens. Elle quitta son lit, vêtue d’un très long chandail lui arrivant à la mi-cuisse avec une petite paire de short cachée sous le long chandail. Elle mit ses pantoufles roses et partit enfin de la chambre où dormaient les autres filles. Elle marcha dans les couloirs errants en respirant bruyamment, retenant ses larmes. C’était tellement compliqué, tellement dur… Elle était impuissante. Elle devait vivre chaque jour de sa vie en sachant qu’il ne l’aimera certainement jamais. Elle était plus malheureuse que quand elle était tombée enceinte de son premier amour. Elle n’avait jamais aimé personne autant que lui… Elle souhaitait au fond de n’être jamais approchée de lui pour se faire dire par la suite qu’il n’avait aucun sentiment. Ce fut plus fort qu’elle… Elle éclata en sanglot à cette simple pensée. C’était trop dur. C’était tellement dur. Elle était incapable de trouver quelqu’un qui la rendra heureuse comme il le faisait quand il la prenait dans ses bras. Candice voulait qu’on lui lance un oubliette… jusqu’au point d’oublier ce qu’elle est. Peut-être qu’elle pourrait changer d’école… elle ne serait plus obligée de le voir. Elle finirait peut-être par l’oublier, mais elle savait qu’il y aurait un vide dans sa vie et serait malheureuse quand même loin de ses mais, ceux qu’elle avait connu…t out ce qu’elle avait connu. Elle verrait son visage dans ses rêves, dans ses pensés… C’est dans un soupire de douleur qu’elle parti vers les tours. Elle avait besoin de respirer le grand air de la nuit sans aller dehors, trouillarde, comme elle est par moment. Elle était en haut. C’est alors qu’elle vit une personne.

    « Je suis police nounours, je donne des contraventions Câlin.» Dit-elle ne fixant la silhouette se trouvant là. « En échange d’un câlin, je ne te donne pas de retenu… je suis obligée de faire ça, mais je n’aime pas ça. » Elle parlait beaucoup, même si elle semblait ne pas le reconnaître. Elle le regarde plus attentivement s’approchant de lui. « Hey ! Mais t’es un nouveau toi ! Haaan ! T’es tout beau ! » Elle le regardait avec de gros yeux ronds. « Je m’appelle Candice, je suis une préfète et je dis que fumer c’est le mal mon chou. » Elle avait séché ses larmes se concentrant sur autre chose... ce garçon.









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Lun 19 Oct - 12:21

J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} Pome20 J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} Omgue


      Alors que William venait de réaliser qu’il avait laissé sa baguette dans sa chambre et que par conséquent il n’avait rien pour allumer sa cigarette, son intention fût détournée par autre chose. La porte s’ouvrit a la voler et il écarquilla légèrement les yeux de surprise en apercevant une fille a moitié dévêtue avec des cheveux rose. Il se souvenait vaguement l’avoir déjà aperçut dans l’école car une couleur pareille n’était quand même pas banale mais il ne lui avait jamais parlé. Elle portait un long chandail qui lui arrivait à mis cuisse et qui le laissait songeur. Impossible pour lui de ne pas penser à ce qu’elle portait dessous étant donnant sa tenue des plus sexy a ses yeux. S’il avait sue qu’elle avait mis un mini short, il aurait était bien déçue. Quoiqu’il en soit, la jeune fille ne faisant pas partit de ses amis de l’école il s’empressa de cacher sa cigarette derrière son dos bien qu’il était pris en flagrant délits. Il affichait un large sourire hypocrite qui se voulait innocent mais qui trahissez surtout sa culpabilité. Qui était cette fille et qu’était-elle venu faire sur la plate forme ? Elle n’arrivait pas à dormir elle aussi ou elle faisait partit de l’ordre et de la répression de Poudlard ?

      « Je suis police nounours, je donne des contraventions Câlin.»

      William fût encore plus surpris par ses mots que par sa présence mais toutefois amusé. Police nounours ? Vraiment ? C’est ce que nous allons voir…

      « Ah mince » fit-il en posant sa main sur sa hanche avec un air faussement embarrassé et en exagéré son geste de façon théâtrale. « Moi qui pensait que les ours était en hibernations a cette période de l’année. Me voilà bien pris au piège. »

      Un sourire espiègle sur son visage et ses yeux brillant de malice, William suivait le petit délire de la jeune inconnu, toujours partant quand il s’agissait d’inventer des histoires farfelues.

      « En échange d’un câlin, je ne te donne pas de retenu… je suis obligée de faire ça, mais je n’aime pas ça. »

      William non plus n’était pas très « câlin » et les débordements d’affection n’étaient pas vraiment son genre. Il n’avait jamais eut de petite amie ou d’amie fille et en règle ses contact avec la gente féminine était largement plus hot et moins sentimentale. Il n’était pas certain d’apprécier cette échange si elle mettait ses dires a exécution mais en entendant il continua sa petite comédie sur un ton léger.

      « Hey c’est plutôt cool comme contrats. Moi qui pensait qu’a Poudlard le personnel était tyrannique et insensible »       continua-t-il toujours avec humour.
      Elle se rapprocha alors d’avantage de lui et le regarda avec minutie.
      « Hey ! Mais t’es un nouveau toi ! Haaan ! T’es tout beau ! »

      En entendant ces mots William ne pût s’empêcher de soupirer intérieurement. Et oui il était nouveau ! On était déjà en octobre et cela allait faire un mois qu’il était ici et c’est limite il se sentait pas toujours étranger. D’ailleurs il n’était pas rare qu’on zappe son nom pour le nommer tout simplement « le nouveau ». A la longue ça en était presque agaçant et c’est presque s’il n’avait pas l’impression d’être insignifiant dans cette école accueillant plus d’une centaine d’élèves. D’un certain côté il ne s’en portait pas plus mal et cela le changeait de son ancienne vie où il était au centre de toute les attention mais il avait tendance à penser que sans son titre il n’était rien au final. C’est vrai qu’au final à part Ellôra ou Roman et peut-être Eurydice, il ne s’était fait aucun ami et n’était pas certain de se sentir bien à sa place ici. Quoiqu’il en soit la présence de la jeune inconnu lui était agréable pour l’instant bien qu’elle avait une curieuse façon de parler selon lui. Enfin c’était surtout le « haaan t’es tout beau » comme si elle s’était adressé a un chiot ou une peluche mignonne qui l’avait quelque interloqué.

      « Euh… Merci » fit-il en ne sachant pas vraiment comment le prendre.

      Bin oui malgré le compliment sa façon de le dire était quand même un peu vexante. William trouvait les termes « tout beau » un peu péjoratif et castrateur. Pas très viril comme terme. De plus elle l’observait avec de grands yeux ronds comme s’il était un animal de foire et il eut un léger geste de recul comme s’il redoutait qu’elle lui sautte dessus pour le croquer tout cru ou autre.

      « Je m’appelle Candice, je suis une préfète et je dis que fumer c’est le mal mon chou. »

      Au mot « préfète » William se mit à grimacer, se rendant bien compte qu’il était dans de beaux draps. Apparemment malgré sa petite comédie de police nounours elle faisait partit des forces de l’ordre et de la répression et il savait pertinemment que fumer était interdit dans l’école. Cachant toujours sa cigarette derrière son dos, il afficha de nouveau un large sourire hypocrite pour feindre l’innocence.

      « Enchanter moi c’est William. Fumer ? Quelle fumer ? Qui fume ? J’vois pas de cigarette moi aussi » dit-il avec hypocrisie sur un ton surjoué et toujours en souriant.









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Dim 1 Nov - 1:51

    Pourquoi Candice était-elle une préfète ? Aucune idée. Elle ne savait même pas, elle-même, pourquoi elle était une préfète. Elle n’avait jamais respecté les règles établies par l’école. Elle n’était pas dans les normes de la société ou des étudiants de l’école. La Poufsouffle était totalement à part par moment. Il était surprenant de la voir arriver avec ses cheveux roses et donné des retenues contre sa volonté. Elle n’avait pas le choix, même si elle ne respectait toujours pas toutes les règles à la lettre étant plutôt une préfète col qui était moins à cheval sur les règlements qu’avait établi l’établissement pour que l’ordre règne. Parfois les règles étaient trop sévères et les peines aussi. Elle conseillait par moment les élèves pour qu’ils corrigent au mieux leur faute, tout dépendant de la gravité, Candice laissait passer les choses sans se battre. La Poufsouffle préférait suivre ses mots ; vivre et laissez vivre. Parfois l’ordre régnait bien plus sans ses règles très strictes. Les jeunes posaient leur limite, il y en avait toujours des petits « con » qui tentaient de passer par-dessus les normes et les règlements qui sont créés naturellement par l’ordre des choses. Il était logique qu’on devait respecter l’individu devant soit, il était évident qu’on devait faire la file pour attendre d’être servi à certains endroit et il était bien plus que logique que l’école n’était pas une partie de plaisir, oui, il avait une partie qu’on pouvait appeler de fun, mais l’autre s’était plus sérieux… Candice en était consciente, même si elle aurait bien aimé faire qu’un cour où on pouvait faire que du social. ¸Ça lui aurait peut-être évitée de connaître un garçon en particulier qui lui avait fait chavirer son cœur avec ce regard si intense… mais ce n’était pas l’heure de ce sujet, donc passons. Elle regardait le garçon qui lui était totalement inconnu, elle le trouvait bien sur de son goût. Quand est-ce que Candice n’allait pas trouver un garçon de son goût ? C’était bien rare, mais ce dernier était dans l’erreur. Elle n’allait pas se battre pour le faire arrêter de fumer, elle ne voyait rien de bien important à le forcer d’arrêter. Ça ne lui dérangeait pas plus que ça dans le fond, mais ce qu’elle trouvait amusant c’est qu’il tentait de le cacher. Il était vrai aussi qu’elle devait le punir pour ce qu’il faisait hors de son dortoir et qu’il fumait dans l’établissement. Mais qu’est-ce qu’elle en avait à foutre, bon sang ?

    « Ah mince. Moi qui pensait que les ours était en hibernations a cette période de l’année. Me voilà bien pris au piège. »
    « Tu ne ris de moi ? » dit-elle la bouche grande ouverte, comme si elle serait vexée, mais elle ne l’était pas du tout. Elle ne s’arrêtait pas toujours à ce que les gens pouvaient bien dire. Si elle s’arrêterait à tout, elle n’aurait pas fini de fuir les gens pour tous les commentaires désagréables qu’elle pouvait bien se faire dire. Elle se foutait des autres, l’important c’était de se soucier de ceux qui l’aimaient réellement, mais par moment, il lui arrivait de subir des moments où elle vivait mal le fait que les autres la regardaient de travers ou lui disaient des paroles intensément méchantes. Elle était fragile émotionnellement, même si elle tentait de faire semblant que rien ne l’atteignait, certains commentaires réussissaient à traverser son esprit. Les normes l’énervaient, mais inconsciemment, elle suivait les normes… pourtant pas à chaque fois. C’était ses humeurs qui variaient selon ses périodes, c’était ce qui faisait qu’elle atteint ou pas.

    « Hey c’est plutôt cool comme contrats. Moi qui pensait qu’a Poudlard le personnel était tyrannique et insensible »
    « Il n’y a pas tout le monde, mon cher, qui agit comme des méchantes personnes.» Dit-elle sérieusement, puisque techniquement, elle faisait presque parti du personnel de l’école. Elle n’était pas vexée, juste que c’était un peu blessant quand on mettait tous ceux qui maintenaient l’ordre dans l’école. Elle se foutait des petites sanctions, comme il faisait, mais il y a des cas où elle intervenait, car ça allait la chercher directement au niveau de son cœur, c’était simplement par le fait que quelques situations lui font plus d’effet qu’un autre. Quel genre de sujet ? La violence, l’intimidation venaient la chercher… elle n’aimait pas qu’on s’en prenne aux autres, n’aimant pas voir les gens tristes qui la rendaient plus que malheureuse. Elle compatissait pour eux. Tout le monde avait le droit à une belle vie, tout le monde avait le droit aux respects, personne n’avait le droit de subir les moqueries des autres, les mauvais commentaires blessants sur la façon dont il s’habillait ou qu’est-ce que la personne aimait. On ne pouvait juger. Elle s’approchait aussi de ceux qui pleuraient en se cachant dans un coin, essayant d’obtenir des informations pour ensuite les consoler de leur peine. Candice n’était pas un monstre, mais elle faisait parti de ce qui se rapprochait le plus d’un travail qui ressemblait sur certains points à celui des professeurs. Elle regardait le bel homme, elle lui souriait même si le commentaire ne lui faisait pas.

    « Euh… Merci ( … ) Enchanter moi c’est William. Fumer ? Quelle fumer ? Qui fume ? J’vois pas de cigarette moi aussi »
    « Arrête de mentir. Pas la peine. Je n’ai pas envie de me battre avec un fumeur pour le faire arrêter de fumer. Moi, je n’ai pas envie de faire chier le peuple pour un détail aussi insignifiant. Comprend-moi à la fin je serais détestée, je vois beaucoup de chose, mais je préfère ne rien dire. Tu me vois te donner une retenue. Qu’est-ce que je faisais à cette heure sortie ? Je serais autant en faute que toi, et je n’ai pas envie de te foutre en retenu… Il y a bien plus le fun dans la vie. T u comprends ? » Elle prit une petite pause avant de sourire au jeune homme. « Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien à personne, tu es libre de faire ce qu’il te plait devant moi qui ne m’atteint pas… Tu en penses quoi ? » Elle souriait pour lui, même si au fond, elle n’allait pas bien du tout. Dans le fond…









Prudence Slayers

Prudence Slayers


► MESSAGES : 483
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Lun 9 Nov - 16:41

    Candice - « Tu ne ris de moi ? »

    C’était lui ou cette phrase ne voulait rien dire ? Il la regarda d’un air légèrement perplexe pour finalement s’en désintéressé. Ses propos semblait sans importance et tant qu’elle ne s’énervait pas contre lui tout allait bien. William n’était vraiment pas d’humeur à se prendre la tête et en cas d’ennui il aviserait mais là il préférait éviter. L’ambiance était bonne enfants malgré le fait que les deux élèves ne se connaissaient pas et vint le moment des présentations. Le jeune Slayers apprit alors que la joyeuse Candice n’était autre qu’une préfète, employé de l’ordre et de la répression. Sa réaction fût immédiate et il s’empêcha de nier l’évidence : il fumait !

    Candice - « Arrête de mentir. Pas la peine. Je n’ai pas envie de me battre avec un fumeur pour le faire arrêter de fumer.
    William – « Mais je fume pas » fit-il en souriant toujours.
    Candice – « Moi, je n’ai pas envie de faire chier le peuple pour un détail aussi insignifiant. Comprend-moi à la fin je serais détestée, je vois beaucoup de chose, mais je préfère ne rien dire. Tu me vois te donner une retenue. Qu’est-ce que je faisais à cette heure sortie ? Je serais autant en faute que toi, et je n’ai pas envie de te foutre en retenu… Il y a bien plus le fun dans la vie. Tu comprends ? »

    Pas tout a fait à vrai dire…. Au début bien sûr il l’avait écouté et avait suivit le fil de la conversation. Mais à la fin… En Amérique les filles avaient toujours tendance à lui parler pendant des heures pour attirer son attention. Parfois c’était limite s’il n’avait pas l’impression qu’elles se lançaient des pari. Genre celles qui arrive à dire le plus grand nombres de mots à William a gagné. A force, il avait finit par les écouter sans le faire vraiment. Surtout que les conversations étaient toujours plus ou moins les mêmes. Tu me trouve jolie ? Ce vernis me va bien ? Ou encore autre péripétie purement superficiel qui ne l’avait jamais intéressé. Il avait donc appris par la force des choses à placer deux trois mots du style « ah woé » ,« cool » ,« tout a fait » pour feindre son attention. Dans le cas présent la conservation semblait plus profonde qu’une histoire de vernis ou de coiffure mais le flot de parole qu’elle déversa le dissuada vite de prendre réellement part à la discussion.

    William – « Tout a fait ».

    Lui qui avait cru qu’elle s’en teindrait là fût presque surpris de l’entendre se remettre à parler a peine quelque seconde plus tard.

    Candice - « Ne t’inquiète pas, je ne dirai rien à personne, tu es libre de faire ce qu’il te plait devant moi qui ne m’atteint pas… Tu en penses quoi ? »

    Cette fois chaque mot était parvenu à son oreille. Il répondit à son sourire par un des siens, content de savoir qu’elle ne lui causerait aucun ennui.

    William – « J’trouve que c’est cool. »

    Il enleva la main qu’il avait derrière son dos et qui tenait toujours sa cigarette. Eteinte malheureusement. Il sortit son paquet pour la rangeait mais un sourire malicieux apparut sur ses lèvres tandis qu’une idée lui traversait l’esprit.

    William – « T’en veux une ? »

    Candice ne semblait pas du tout être le genre de fille à fumer et William se demandait si elle était influençable ou pas….









Candice Johnson

Candice Johnson
SORCIERE. ► créatrice de mode.


► MESSAGES : 534
J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Lun 23 Nov - 22:11

    Candice n’était pas ce genre de personne qui faisait chier la population avec des millier de règles qui ne servaient à rien. Elle était libre de faire ce qu’elle voulait en tant que préfet dans le dos des élèves, alors pourquoi ne permettait-elle pas les autres élèves de faire ce qu’elle faisait dans le dos des professeurs ? Humm, elle n’était pas comme ça, alors elle faisait profiter aux autres à ce qu’elle avait le droit sans avoir le droit réellement, puisque c’était contre le règlement de l’école. Mais il fallait s’y attendre en la nommant préfète. Elle n’avait jamais été l’élève modèle. Toujours ce genre d’élève à se mettre dans le trouble ou encore à se retrouver en retenu. Qui avait bien eu l’idée de lui donner ce titre ? La poufsouffle pensait que cette personne en avait fumé du bon pour lui donner ce titre des plus étranges pour une personne, comme Candice qui avait de drôle de tendance enfantine. Elle avait cette manie de toujours agir étrangement dans des moments qui semblent des plus normaux. Elle s’amusait régulièrement à jouer à saute mouton ou encore à la cache-cache dans Poudlard avec d’autres individus beaucoup plus jeune qu’elle, sauf quand elle était auprès de Jayden, elle devenait une autre femme. Elle était dans ses cas là plus calme, comme si elle voulait lui montrer qu’elle était capable d’être calme, qui était capable d’être différente avec lui. Elle l’aimait, Ô qu’elle l’aimait, mais lui ne l’aimait pas. Elle était malheureuse. Elle noyait généralement sa peine dans le chocolat, les jeux enfantins et parfois, même, dans le sexe. Il était bien rare de voir une Candice totalement sage, mais elle ne s’aimait pas quand elle tentait de trouver mieux ailleurs, quand elle tentait de l’oublier, car elle essayait de nier son amour envers le garçon de ses rêves. Ce garçon si froid, si distant… totalement différent de Candice, elle l’aimait. Au tout début, elle voulait que créer un lien d’amitié avec ce dernier qui semblait trop solitaire à son goût. Elle s’était approchée de lui, malgré que ce dernier la repousse rudement, elle avait agi, comme une tête de mule… Ce n’était pas pour faire du mal à quelqu’un qu’elle avait agi comme ça, c’était pour mieux le connaître. Elle était tombée amoureuse de lui, elle acceptait son sale caractère… Elle était amoureuse de tout ce qu’il était. Pour tout dire, elle sortait régulièrement le soir seul ou parfois en sa compagnie, mais il n’était pas rare qu’elle sortait pour retrouver un garçon, pourtant, comme je le disais, elle se détestait quand elle faisait ça. Pour tout dire, elle laissait tout le monde libre, s’ils sortaient le soir après le couvre-feu et elle les voyait, Candice les avertissait de courir pour se cacher au cas où que se serait un autre préfet qui les prenait sur le fait. Elle laissait vivre les autres, malgré les fonctions qu’elle a. Elle faisait qu’à sa tête, même si elle était une préfète…

    Candice se trouvait sur la plate forme à discuter avec un jeune garçon, nouveau apparemment à l’école. Elle ne l’avait jamais rencontré auparavant, c’est ce qu’il lui avait mis la puce à l’oreille. Elle connaissait la plupart du monde dans cette école, surtout ceux qui étaient de sa tranche d’âge. Il semblait être aussi vieux qu’elle. Alors comment se faisait-il qu’elle ne lui ait jamais encore parlé ? Ce n’était pas dans ses habitudes, mais peut-être avait-elle passé trop de temps à essayer d’avoir l’attention de Jayden ? Peut-être. Ses derniers temps, elle parlait qu’avec ceux qu’elle connaissait, parce qu’elle passait beaucoup de temps avec le garçon qui la rendait complètement folle et désorientée. Candice gardait son regard posé sur le jeune homme qui tentait de lui mentir. Elle n’aimait pas vraiment qu’on lui mente, mais il ne la connaissait pas, alors c’était normal qu’il tente de prouver sa culpabilité fausse. Heureusement pour lui qu’il soit tombé sur Candice qui n’avait rien contre le fait de fumer dans l’établissement dans une tour puisque c’était plutôt bien aéré ici. Candice ne souriait pas, n’oublions pas qu’elle avait pleuré avant de venir ici, mais elle faisait quelques fois quelques sourires en coin. Elle restait sensiblement calme, devant ce dernier, même si elle ne semblait pas comme l’habitude. C’était tout à fait normal, elle ne le connaissait pas, elle avait eu de la peine avant d’arriver ici et elle n’avait pas le cœur de rire et de s’amuser autant que quand elle était à la normale. Candice essayait de reprendre le dessus sur sa tristesse en discutant avec le petit nouveau. Il lui semblait sympathique, mais elle ne pouvait pas juger à la première rencontre, surtout pendant la nuit. Candice avoue à William qu’il ne devait pas s’inquiéter près d’elle, elle ne lui causerait pas de problème, n’ayant aucunement envie de le faire chier en appliquant toute les règles de Poudlard. Personne n’était parfait dans le fond… et Candice était loin d’être parfaite, surtout qu’elle était loin d’être la parfaite préfète.

    « J’trouve que c’est cool. T’en veux une ? »
    « Non, je ne fume pas… Je n’aime pas l’odeur qui s’y dégage. Je préfère me relaxer en mangeant du chocolat. C’est sur que ça prend dans les fesses, mais bon… » dit-elle en lui souriant gentiment. « Alors, monsieur-le-nouveau, tu t’es fait des amis ? J’espère pour toi, parce que vivre seule à Poudlard, ce n’est pas plaisant, quand on est bien entouré c’est plaisant. Moi je connais pratiquement tout le monde, mais bon je traîne toujours avec le même groupe de personne. Je passe mon temps avec Elladora, c’est ma meilleure amie. J’espère pour toi que tu vas la connaître, parce que c’est une personne merveilleuse. » dit-elle en souriant. « Tu dois te demander, pourquoi une préfète se promène si peu habiller ? Bah en fait, je ne savais pas que je tomberais sur quelqu’un. La nudité ne me dérange pas… C’est comme si je promènerais en ce moment avec un robe courte » Elle lui sourit encore une fois. « je ne t’ai pas demandé si je te dérangeais… Je te dérange ? » elle arqua un sourcil en attendant sa réponse. « Sinon, je peux m’en aller… si tu veux » elle finit par lui faire des yeux d’épagneuls. Elle n’avait pas envie de retourner dans son dortoir à penser trop à sa tristesse. Elle n’avait pas envie de se retrouver seule. Elle voulait rester ici à regarder le visage du petit nouveau. Il était bien beau et c’était agréable à l’œil.









Prudence Slayers

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J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Lun 21 Déc - 20:42

    Candice - « Non, je ne fume pas… Je n’aime pas l’odeur qui s’y dégage. »
    William – « Oui j’me doute bien mais tu n’as quand même pas peur d’une pauvre petite cigarette. Allez soit sympa prend une. »

    Tentation du diable. Il était bien curieux de savoir si elle se laisserait faire et se laisserait prendre au jeu. Il voulait également savoir si une fille était capable de faire n’importe quoi juste pour ses beaux yeux. En Amérique il savait que c’était le cas. Mais ici….

    Candice – « Je préfère me relaxer en mangeant du chocolat. C’est sur que ça prend dans les fesses, mais bon… »
    William – « … elles sont jolies » dit-il comme pour terminer la phrase de la jeune fille avec un sourire.

    A vrai dire il n’avait pas vraiment regardé les fesses de Candice mais il se faisait tellement discret avec les filles depuis qu’il était à Poudlard qu’il se demandait presque s’il était encore capable de séduire. Certes ce n’était pas le genre de chose qu’on oublie mais avant s’était tellement quotidien pour lui que ça lui manquait presque. Puis il se faisait tard et il n’avait rien de mieux à faire.

    Candice - « Alors, monsieur-le-nouveau, tu t’es fait des amis ? J’espère pour toi, parce que vivre seul à Poudlard, ce n’est pas plaisant, quand on est bien entouré c’est plaisant. Moi je connais pratiquement tout le monde, mais bon je traîne toujours avec le même groupe de personne. Je passe mon temps avec Elladora, c’est ma meilleure amie. J’espère pour toi que tu vas la connaître, parce que c’est une personne merveilleuse. »

    De nouveau il trouva qu’elle parlait trop et fût tenté de n’écouter qu’un mot sur une dizaine de prononcé mais elle attira son attention en parlant d’Elladora.

    William – « C’est ta meilleure amie ? »     demanda-t-il surpris. « Elle m’a jamais parlé de toi… »

    La jeune Konstantine était pratiquement la seule personne hormis Roman et Willara que William côtoyer dans le château. Lui qui était très sociable avant n’était ici pas vraiment une modèle de popularité. Mais c’était son choix et ça ne lui faisait pas de mal de ne pas être sous le feu des projecteurs pour une fois.

    Candice - « Tu dois te demander, pourquoi une préfète se promène si peu habiller ?
    William – « A vrai dire non. J’pensait que c’était l’uniforme de patrouille réglementaire » dit-il avec ironie et un sourire espiègle.
    Candice – « Bah en fait, je ne savais pas que je tomberais sur quelqu’un. La nudité ne me dérange pas… C’est comme si je promènerais en ce moment avec un robe courte »
    William – « J’suis tout à fait d’accord. Puis… ce n’est pas désagréable à regarder. »
    Candice - « je ne t’ai pas demandé si je te dérangeais… Je te dérange ? » Elle arqua un sourcil en attendant sa réponse. « Sinon, je peux m’en aller… si tu veux »
    William – « Non reste » fit-il en haussant les épaules comme si ça lui était égal. « Par contre j’vais allumer ça » affirma-t-il en désignant sa clope.

    Il ferma alors les yeux et murmura « incendio » et le petit papier pris feu. Pratique les informulé et les sort qu’il inventait quand on était tête en l’air comme lui. Bien sûr c’était un secret et la formule avait tellement était dite a mis mots qu’elle n’avait pût l’entendre. Avec une certaine fierté, il porta sa cigarette a sa bouche et en tira une bouffé. Il entendit alors du bruit et sursauta alors qu’il ne s’agissait que d’un chat. Seulement dans sa panique il avait lâché sa clope qui était tombé sur la nuisette de Candice prête à l’enflammer….









Candice Johnson

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J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Ven 1 Jan - 2:31

    « Oui j’me doute bien mais tu n’as quand même pas peur d’une pauvre petite cigarette. Allez soit sympa prend une. »
    Elle hocha de la tête. « Non, merci. Même pour tes beaux yeux, je n’irai pas dans ce vice, coco ! Je ne suis peut-être pas Sympa à tes yeux, mais arrête un peu d’essayer de m’en faire fumer une. Tu ne réussiras pas ! » dit-elle avec un petit sourire en coin. Elle était sérieuse. Jamais, elle ne se laisserait marcher sur les pieds par rapport à ça. Elle ne voulait pas commencer à fumer. Elle avait terriblement peur de ne jamais arrêter ce vice qui pouvait causer du tort à sa vie. Candice savait que c’était sûrement con de penser dans ce sens là, mais elle voulait prendre soin d’elle. De plus, elle trouvait que ce n’était pas beau une femme fumée. La Poufsouffle se voyait donc pas faire cette action. Elle n’allait pas craquer pour un garçon qu’elle venait de rencontrer par hasard, ni pour personne d’ailleurs. Il y avait des choses qu’elle ne ferait jamais, c’était pour cela qu’elle refusait l Elle était peut-être plate à ses yeux, mais il devait s’y faire et respecter son choix. Elle n’avait été malpolie en refusant, ce dernier devait peut-être arrêté d’ambitionner. C’était un non catégorique et ferme. Elle ne changerait certainement pas pour ses beaux yeux peu importe ce qu’il pouvait dire.

    « … elles sont jolies »
    « Toi, tu es vite en affaire ! Ça fait… peut-être dix minutes qu’on se connait et tu me dragues déjà. Ah ben ça alors ! » Elle lui sourit. Ce n’était pas méchant. Il l’amusait en fait. Elle ne lui avait certainement pas montré que ce dernier lui plaisait vraiment et surtout que ses petits commentaires à propos de ses fesses lui faisaient du bien au fond de son petit cœur. Elle se sentait aimer, quand quelqu’un la draguait. Pourtant, elle n’allait pas lui demander encore et encore de la drague. Ça serait trop dommage de le faire fuir. Elle ne voulait pas le voir partir parce qu’elle lui avait fait peur avec ses drôles de commentaires qui étaient parfois plus qu’étranges, même insolites. Elle était proche de lui, sans être trop proche tout de même, elle se tenait à côté de lui, Bougeant le moins possible. Son chandail long était plutôt court. Elle évitait de se pencher ou encore de lever les bras en l’air. Elle était à moitié à poil. Loin que la nudité lui dérange, mais elle devait respecter les gens qui se trouvaient aux alentours, même si en ce moment c’était qu’un simple garçon. Candice le regardait en souriant. Elle n’était pas fatiguée, elle était bien se sentant complètement réveillée. Elle était certainement étrange à ses yeux, mais il allait s’y habituer.

    « C’est ta meilleure amie ? Elle m’a jamais parlé de toi… »
    « Oui c’est ma meilleure amie. Peut-être a-t-elle des sujets plus importants à discuter avec toi que sa meilleure amie aux cheveux roses ? » Cette nouvelle lui fit un petit pincement au cœur. Elle devait s’y attendre que la Serpentard ne parle pas d’elle. Il n’était pas intéressant de parler d’une fille marginale qui vous servait de meilleure amie. Elle tentait de se faire accroire tout ça, quand techniquement, elle serait prête à lui parler de tout au premier venu à quel point sa meilleure amie était merveilleuse. Elle devait s’y faire au fond, personne n’était vraiment comme elle. Tout le monde pouvait le dire, Candice était sortie tout droit d’un autre monde. Ils n’avaient peut-être pas tort. Elle parlait toujours de ses amis, comme ils étaient spéciaux, comment ils étaient bien… Il n’était peut-être pas question de parler de leur amis dans les conversations qu’ils avaient avec les gens qu’ils rencontraient. C’était peut-être normale au fond, mais la Poufsouffle ne pouvait concevoir son monde sans ses amis, alors elle parlait régulièrement d’eux, car ils étaient importants à ses yeux. C’était peut-être pour cela qu’elle parlait souvent d’eux sans dire leur secret. Elle parlait peut-être de tout et de rien, mais c’était une personne de confiance. La jeune femme parla par la suite de quitter, si elle était de trop. Ce dernier lui répond que non, elle pouvait rester. Il était vrai que présentement il n’avait pas grand-chose à faire puisque la plupart des gens dormaient.

    « Non reste »
    « Oh trop cool !!! »
    « Par contre j’vais allumer ça »
    « Libre à toi » dit-elle sans se douter qu’une scène allait se passer par la suite. Elle regarda tout autour d’elle. Une odeur de brûler lui monta au nez. Cette dernière sentit sa peau lui brûler légèrement. La préfète regarda son chandail qui était en feu. Candice eut le réflexe immédiat d’étouffer les petites flammes qui s’étaient formés. Laissant un énorme trou dans le devant de son chandail. Elle regarda William en arquant les sourcils. Elle se mit finalement à rire. « Si tu voulais me voir à poil, il fallait que me le demander ! » elle le regarda un instant et fixa ses vêtements. « Tu pourrais me passer ton chandail ou bien je me promène à poil… Même si je sais que tu as envie de me voir à poil, si on me prend sur le fait, je suis un peu dans la merde. Tu ne veux pas me foutre dans la merde han ? Si tu me passes ton chandail, je fais tout ce que tu veux… je te couvre, même si tu veux faire entre de l’alcool à Poudlard… Mais il fait froid… regarde… ! » Elle lui montra le trou« L’air passe par-là… Et en plus, je suis très peu habillée… » elle lui montra juste en haut de sa cuisse. « Tu vois ? »









Prudence Slayers

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J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Ven 8 Jan - 0:04

    William – « C’est bien. Tu te laisse pas influencer. » fit-il avec un sourire.

    Il est vrai qu’il était content de voir que derrière ses airs de Manga attendrissante et débordante d’affection elle avait du caractère mais d’un autre, il se disait que ça venait peut-être de lui. Peut-être s’y était-il mal pris et était-il désormais incapable de séduire quelqu’un pour lui faire réaliser ses moindres désirs. Pourtant il y arrivait si bien en Amérique… Mais il avait fini par se lasser des oies blanches de bonne famille et avait désiré rencontré une fille qui sache lui tenir tête. Candice n’était pas le genre de fille qui pourrait lui plaire et elle manquait un peu d’affront et de mystère mais elle n’était pas désagréable a regarder, même pour un garçon comme lui qui se la jouer solitaire ses derniers temps. Il ne pût d’ailleurs pas s’empêcher de lui faire remarquer qu’elle avait de jolie fesse.

    Candice - « Toi, tu es vite en affaire ! Ça fait… peut-être dix minutes qu’on se connait et tu me dragues déjà. Ah ben ça alors ! »
    William – « Qui a dit que j’étais en train de draguer ? » demanda-t-il malice. « J’me doute bien que tu serais pas contre l’idée mais prend pas tes désirs pour des réalités. »

    Un brin arrogant, fier et machiste, il était bel et bien en train d’essayer de la séduire mais il n’avait rien trouver de mieux que retourner la situation à son avantage pour susciter d’avantage l’intérêt de Candice sur lui-même . La conversation dériva alors sur Elladora…

    Candice - « Oui c’est ma meilleure amie. Peut-être a-t-elle des sujets plus importants à discuter avec toi que sa meilleure amie aux cheveux roses ? »
    William - « Qu’est-ce que tu veux par là » demanda-t-il avec un air perplexe. « Je couche pas avec Ella » se défendit-il, choquer. « J’l’ai même jamais touché ! J’l’ai pas même jamais vu nu ! »

    Sa réaction pouvait sembler suspecte, comme si on prenant ainsi la mouche il se déclarait lui-même coupable mais c’était la stricte vérité. Chez lui il n’avait jamais eut d’amie fille, se contentant d’avoir un ou d’eux ami garçon et une horde d’admiratrice folle de lui et son corps, et aussi malheureusement de son statut mais ici… Elladora et lui n’étaient qu’ami et ça lui convenait tout a fait.

    Il finit pas allumer sa cigarette après avoir demander à Candice de rester en sa compagnie. Malheureusement sa clope lui échappa des mains et vint brûler le chandail de la demoiselle. Merlin soit louée, elle éteignit assez rapidement le début de feu mais son pull se retrouva tout de même avec un énorme trou qui laissa a William tout le loisir d’admiré le soutien gorge de Candice ainsi que sa magnifique poitrine qui se trouvait à l’intérieur.

    Candice - « Si tu voulais me voir à poil, il fallait que me le demander ! »
    William – « J’m’en souviendrais. » fit-il avec malice.
    Candice - « Tu pourrais me passer ton chandail ou bien je me promène à poil… Même si je sais que tu as envie de me voir à poil, si on me prend sur le fait, je suis un peu dans la merde. Tu ne veux pas me foutre dans la merde han ? Si tu me passes ton chandail, je fais tout ce que tu veux… je te couvre, même si tu veux faire entre de l’alcool à Poudlard… »

    Il trouva ces paroles un brin sensuel et aguicheuse bien qu’elle n’était peut-être pas prononcé dans se sens. C’était aussi sûrement la vue des jolies forme de Candice qui hypnotisé son regard qui lui laisser penser cela mais il comptait bien répondre aux signes qu’elle lui lancé.

    William – « Ça aurait était avec plaisir mais comme tu peux le voir j’suis torse nu ( hj : voir plus haut ) »
    Candice - « Mais il fait froid… regarde… ! L’air passe par-là… Et en plus, je suis très peu habillée… »

    Ça il s’en était bien rendu compte et ça le gêner aucunement. Bien au contraire d’ailleurs. La vue s’offrait gratuitement à lui alors il aurait était bête de ne pas en profiter. Hors William n’était pas bête et plus les secondes passaient plus son esprit d’adolescent fertile se mettait à imaginer mille et une chose quand a la suite des évènements…

    Candice - « Tu vois ? »
    William – « Oui je vois. Tu va finir par prendre froid et moi j’ai pas envie qu’tu tombe malade. Ça serait dommage. Tu sais j’connais une excellente façon de se réchauffer. Tu veux que j’te montre ? »

    Sa voie était des plus charmeuses et son regard des plus intéresser. En même temps comment ne pas l’être après ce qu’elle avait sous les yeux ? William n’avait pas fait l’amour depuis son arriver a Poudlard et comme tout homme il avait certain besoin. C’était peut-être dût à l’heure tardive et une secrète envie d’abandonner l’espace d’une heure sa solitude qui commençait à le ronger de l’intérieur, mais le jeune homme n’était pas contre l’idée de connaitre Candice sous toute les coutures….









Candice Johnson

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J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Dim 10 Jan - 5:10

    « C’est bien. Tu te laisse pas influencer. »
    « Jamais. Pourquoi se laisser influencer quand on peut se battre pour avoir ce que l’on désire ? » dit-elle avec un énorme sourire collé à son visage. Elle regardait William avec des yeux tout brillant, même si elle ne se laissait pas faire par lui, elle l’aimait bien… déjà qu’il ne se connaissait aucunement. Ils étaient que de nouvelles connaissances, mais leurs relations faisaient des énormes pas. Tout ça avançait rapidement. Elle aimait bien qu’il prend le temps de la connaître en se jouant un peu d’elle, sans être méchant d’ailleurs, mais il jouait quand même avec elle. Candice le remarquait à peine. Sérieusement, il testait ses limites. C’était bien mieux comme ça, il pouvait mieux la connaître, malgré tout. Il pouvait connaître ce qu’elle était réellement puisqu’elle lui prouvait qu’elle n’était pas facile à influencer. Elle avait une tête sur les épaules, même si elle était naïve sur les rebords. Pourtant, on ne pouvait lui en vouloir, car naïve et non influençable ne veut pas dire la même chose. Elle était ce qu’elle était, mais elle avait un caractère qu’on pouvait considérer comme fort, même s’il n’était pas si fort. On pouvait l’influencer par quelques façons, mais c’était par la violence. Qui ne craquerait pas sur certaines formes de tortures ? Les tortures qui impliquaient ses amis pour qu’elle prend certains choix, voilà le genre de torture pour laquelle, elle craquerait. Il était sur qu’elle donnerait sa vie pour ses amis, puisqu’ils étaient sa raison de vivre, mais eux… donneraient-ils sa vie pour elle ? Candice ne voulait pas qu’on lui donne une vie en échange de la sienne. Elle ne voulait pas, car elle se sentirait mal de perdre un ami pour sa minable vie. Elle ne voulait pas. William n’était pas considéré, comme un véritable ami, mais elle l’aimait déjà bien.

    « Qui a dit que j’étais en train de draguer ? J’me doute bien que tu serais pas contre l’idée mais prend pas tes désirs pour des réalités. »
    « C’est bien les hommes de dire ce genre de chose. Peut-être serais-tu trop orgueilleux pour l’avouer? » Elle lui fit un magnifique sourire spécialement pour lui. Elle s’amusait bien en cette nuit. Elle était supposée de dormir, mais elle n’avait pas réussi à fermer l’œil. Un peu plus tôt dans la soirée, elle avait pleuré à chaude larme, la voila en train de sourire à un garçon qui lui était inconnu, il y a quelques temps. La jeune femme n’était pas méchante avec ce bel inconnu qui lui plaisait bien au fond, même si techniquement, il était ce genre de type qu’on voyait populaire qui ne traînait pas avec une marginale. Il était vrai que draguer une fille de son genre n’était pas normal, puisqu’elle était terriblement différente des autres filles qui peuplaient poudlard… Pourtant, elle se fait draguer par un garçon qui ne serait pas supposé de draguer le genre de fille qu’elle correspondait, mais elle n’était pas si différente au fond, elle avait tout ce qu’une vraie fille avait.

    « Qu’est-ce que tu veux par là. Je couche pas avec Ella. J’l’ai même jamais touché ! J’l’ai pas même jamais vu nu ! »
    « Je n’ai pas dit le contraire… tu t’accuses par toi-même » dit-elle calmement sans trop savoir quoi faire. Elle faisait des yeux ronds. Qu’avait-elle dit de mal pour qu’il se met dans cet état ? La jeune femme ne voulait pas le mettre comme ça. Elle faisait que parler de sa meilleure amie sans avoir voulu le fâché ou le mettre mal à l’aise ce n’était pas le but en lui parler de Elladora. « Pourquoi tu t’accuses toi-même ? » finit-elle par dire, puis ensuite, elle enchaîna avec un autre sujet en lui demandant si ça lui dérangeait qu’elle reste avec lui, mais ce dernier ne lui donna pas de réponse négative voulant être seul. Il voulait qu’elle reste. Heureusement pour elle, elle n’avait pas envie de rester seule à un autre endroit. Elle ne voulait pas s’ennuyer en parcourant les couloirs à la recherche que d’autre âme qui vivre. C’est alors, lorsqu’il alluma sa cigarette et lui mit le feu aux rares vêtements de Candice. La jeune femme eut le réflexe de l’éteindre au plus tôt après avoir laissé échappé un léger cri. Elle avait été prise par surprise. Elle se mit finalement à rire, elle avait eu plus peur qu’autres choses. Elle n’avait pas de blessure et ni de brûlure. Ça la soulagea quelques peu. Pourtant, il y avait un énorme trou au niveau de sa poitrine. Elle ne portait pas de brossière, ce qui n’arrangeait rien à cacher ses formes qui se découvraient à cause du trou. Elle n’avait pas de pudeur, mais elle avait froid.

    « Ça aurait était avec plaisir mais comme tu peux le voir j’suis torse nu. Oui je vois. Tu va finir par prendre froid et moi j’ai pas envie qu’tu tombe malade. Ça serait dommage. Tu sais j’connais une excellente façon de se réchauffer. Tu veux que j’te montre ? »
    Elle n’en croyait pas ses yeux. Candice regardait où le regard de William se dirigeait. Cette dernière éclata de rire. « Tu sais quand tu me parles, tu peux regarder mon visage… » dit-elle pour rire, même si elle savait ce qu’il regardait. « Serait-ce une invitation à se dévergonder un peu plus William ? Serais-tu en manque ? » Elle riait au fond, ça ne lui dérangeait pas avoir ce genre de demander, puisqu’elle trouvait ça flatteur. Étrange ! « Oui je veux que tu me montres… Mais ne serait-ce pas mieux aller ailleurs ou on aurait la paix… ? » Elle s’approcha de lui, si elle avait bien compris… c’était des avances. La jeune femme se mit sur la pointe des pieds en soyant assez proche de lui pour déposer ses lèvres, contre les lèvres de William. Elle l’embrasse d’un baiser chaste au début. Elle voulait voir ce qu’il allait faire. La jeune femme colla son corps tout de même contre le sien, cherchant la chaleur corporelle que ce dernier. Elle avait froid, déjà. Le ventre qui pénétrait dans la tour et le peu de vêtement qu’elle avait… n’aidait en rien. « T’es tout chaud… » dit-elle après avoir quitté ses lèvres, après avoir eu un frisson.









Prudence Slayers

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J'ai peut-être oublier quelque chose non ? {finish} #Dim 10 Jan - 12:47


    Candice – « Serait-ce une invitation à se dévergonder un peu plus William ? Serais-tu en manque ? »
    William – « Cruellement » fit-il avec un sourire espiègle.

    Ah quoi bon mentir ? Il n’était du genre à cacher se qu’il désirait bien que parfois manquait un peu de tact et pouvait passer pour vulgaire. Mais l’évidence était que William était un homme aux mœurs légères. Certes à Poudlard il n’avait pas fait trop parler de lui, préférant presque devenir invisible que de se faire remarquer pour sa propre sécurité, mais en Amérique chez lui la donne était tout à fait différente. Les filles faisaient de loin la queue pour être dans son lit et c’est donc tout naturellement qu’il avait prix pour habitude de s’endormir que rarement seul.

    Candice - « Oui je veux que tu me montres… Mais ne serait-ce pas mieux aller ailleurs ou on aurait la paix… ? »

    Elle se rapprocha de lui et il planta son regard charmeur dans le sien. Le jeu de la séduction était déjà bien entamer et William commençait à y prendre goût.

    William – « Certainement »

    Il ne pensait pas qu’elle accepterait aussi facilement mais ce n’était sûrement pas lui qui allait s’en plaindre. Il espérait juste qu’elle ne soit pas assez naïve pour ne pas comprendre le sous entendu de ses mots. Mais le fait qu’elle veuille qu’ils aillent ailleurs lui laisser penser qu’il n’avait aucun souci à se faire. Elle ne tarda pas d’ailleurs à confirmer son raisonnement en se hissant sur la pointe des pieds pour a peine effleuré ses lèvres. Il passa ses mains autour d’elle pour la serrer tandis qu’elle se collait à son corps. Il eut un sourire satisfait avant qu’elle ne s’adresse à lui.

    Candice - « T’es tout chaud… »
    William – « Je sais. Et tu n’a encore rien vu. »

    Il se pencha sur elle et lui donna alors ce que lui appelait réellement un baiser. Il n’avait rien de chaste et les lèvres ne firent pas seulement que s’effleuré. Ce fût plus intense et plus profond et là que le début de se qui les attendaient pour la suite de la nuit. Les mains d’abords sur ses hanches, il les fit ensuite glisser le long de son dos tandis qu’il continuait de l’embrasser, sentait en effet son corps devenir de plus en plus chaud…


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